International
L'opposant de gauche remporte la présidentielle en Uruguay
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Le candidat de l'opposition de gauche à la présidentielle uruguayenne, Yamandu Orsi, a remporté dimanche le second tour de l'élection. Cette victoire marque le retour au pouvoir de la gauche de l'emblématique ex-président José Mujica.
Sur 94,4% des bulletins de vote dépouillés, M. Orsi a obtenu 1'123'420 voix contre 1'042'001 pour son adversaire de centre droit Alvaro Delgado, selon les résultats officiels communiqués par la cour électorale.
"Je serai le président qui appellera encore et encore au dialogue national pour trouver les meilleures solutions, bien sûr, en suivant notre vision, mais aussi en écoutant très attentivement ce que les autres nous disent", a réagi lors d'un discours face à ses partisans le président élu, un ex-professeur d'histoire issu de la coalition de gauche Frente Amplio.
M. Delgado, ancien vétérinaire issu pour sa part du même parti national de droite que le président sortant Luis Lacalle Pou, a concédé sa défaite dimanche soir. "Aujourd'hui, le peuple uruguayen a choisi [celui] qui occupera la présidence de la République", a déclaré M. Delgado, disant "saluer" M. Orsi au nom de "tous les acteurs de la coalition" gouvernementale qui l'ont soutenu.
Pas de changement à attendre
Yamandu Orsi avait fini largement en tête du premier tour le 27 octobre avec 43,9% des voix, devant M. Delgado (26,8%), qui disposait cependant du réservoir de voix d'Andres Ojeda, du parti Colorado (centre droit), arrivé en troisième position (16%).
La victoire de M. Orsi n'augure toutefois aucun signe de changement de direction, le président élu ayant promis, lorsqu'il était encore candidat, "un changement sûr qui ne sera pas radical".
Pendant la campagne, MM. Orsi et Delgado ont insisté sur la relance de la croissance et la réduction du déficit budgétaire. Ils se sont engagés à ne pas augmenter la pression fiscale et ont promis de lutter contre la criminalité liée au trafic de drogue en augmentation.
M. Orsi souhaite développer des échanges à l'échelle régionale, quand M. Delgado penchait vers des accords multilatéraux.
Emploi et sécurité
"Je tiens à féliciter [...] le président élu Yamandu Orsi, le Frente Amplio et mon ami Pepe Mujica pour leur victoire aux élections d'aujourd'hui", a réagi sur le réseau social X le président du Brésil voisin, Luiz Inacio Lula da Silva. "C'est une victoire pour toute l'Amérique latine et les Caraïbes", a-t-il relevé.
Si l'Uruguay affiche un revenu par tête élevé, ainsi que de moindres niveaux de pauvreté et d'inégalités par rapport au reste de l'Amérique du Sud, l'emploi et la sécurité ont été placés au centre des préoccupations des 3,4 millions d'habitants du pays aux 12 millions de têtes de bétail.
"Pour les salariés, ces cinq dernières années n'ont pas été bonnes du tout. Je suis dans la rue toute la journée et ce qui m'inquiète le plus, c'est l'insécurité", confie Gustavo Maya, un vendeur de bonbonnes de gaz de 34 ans, électeur de M. Orsi. "Je vois beaucoup de vols, de plus en plus d'homicides et peu de policiers", dit-il.
Jeunes et indécis
La gauche a misé sur sa figure tutélaire, José "Pepe" Mujica, l'ancien président (2010-2015) et ex-guérillero torturé et emprisonné sous la dictature (1973-1985), pour revenir au pouvoir après les années Tabaré Vazquez (2005-2010, puis 2015-2020) qui avaient mis fin à l'hégémonie de droite et de centre droit.
Malgré ses 89 ans, son combat contre le cancer et des difficultés à se déplacer, M. Mujica a multiplié les apparitions et réunions de campagne pour attirer le vote des jeunes et indécis qui semblaient détenir la clé du scrutin.
Le président sortant Luis Lacalle Pou, au pouvoir depuis 2020, n'a pu se représenter malgré une cote de popularité de 50%, car la constitution interdit de briguer un second mandat consécutif.
Il a promis une transition "ordonnée" dans le pays le plus stable d'Amérique latine, avec des partis à la longue histoire, aux identités claires malgré leurs unions dans des coalitions et dont l'appartenance se transmet à l'intérieur même des familles.
Des élections générales concomitantes du 1er tour ont vu le Frente Amplio remporter 16 des 30 sièges du Sénat et 48 des 99 sièges de la chambre des députés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Devoir de vigilance des entreprises: détricotage de la loi en vue
Le Parlement européen a soutenu jeudi le détricotage d'une loi sur le "devoir de vigilance" sociale et environnementale des grandes entreprises. Droite et extrême droite ont mêlé leurs voix lors du vote.
Les eurodéputés ont approuvé par 382 voix contre 249 la baisse des ambitions de ce texte, en limitant le nombre d'entreprises concernées et en supprimant certaines de leurs obligations.
L'extrême droite a savouré une "grande victoire" après ce vote, marqué par une alliance de circonstance avec le PPE (droite). "Nous avons prouvé qu'une autre majorité - et une autre politique pour l'Europe - est possible. Ce n'est qu'un début", a assuré le groupe des Patriotes, présidé par Jordan Bardella.
Virage pro business
Adoptée il y a seulement un an et demi, cette loi sur le devoir de vigilance fait les frais du virage pro business de l'Union européenne, bousculée par la concurrence de la Chine et les droits de douane des Etats-Unis. Son entrée en vigueur a déjà été reportée d'un an.
Mais Bruxelles voulait aller plus loin et a fait de la révision de ce texte l'un des premiers actes de sa politique de "simplification" pour alléger les charges administratives des entreprises sur le continent.
Travail des enfants, travail forcé
Sous peine de sanctions, la loi adoptée en 2024 voulait obliger les entreprises de plus de 1000 salariés à prévenir et remédier aux violations de droits humains (travail des enfants, travail forcé, sécurité...) et aux dommages environnementaux tout au long de leurs chaînes de valeur, y compris chez leurs fournisseurs dans le monde.
Jeudi, dans le sillage des Etats membres, le Parlement européen a relevé le seuil des entreprises concernées, à plus de 5000 employés et plus d'1,5 milliard d'euros de chiffre d'affaires annuel.
Surtout, les eurodéputés ont supprimé le régime de responsabilité civile européenne, qui servait à harmoniser les obligations des entreprises et leurs responsabilités en cas de manquements. Les parlementaires ont préféré renvoyer aux législations de chaque pays.
Texte "vidé de sa substance"
Cette simplification permet de "sauver nos entreprises de l'asphyxie normative", revendique l'eurodéputé de droite François-Xavier Bellamy.
Mais les discussions ont été très difficiles avec le centre et les sociaux-démocrates. Mercredi soir, ces groupes dits pro-européens avaient renoncé à trouver un compromis, laissant la porte ouverte à cette majorité alternative avec l'extrême droite qui faisait jusqu'ici office d'exception.
Après ce vote, les négociations vont s'engager avec les Etats membres, en vue d'une adoption définitive de la loi revue et corrigée. Mais aux yeux des écologistes et des organisations environnementales, le texte est désormais "vidé de sa substance".
"Machine de lobbying"
Le processus "déraille complètement", fustige Swann Bommier, de l'ONG Bloom, qui s'en prend aux "lobbies industriels" et à la "machine de lobbying de l'administration Trump" aux Etats-Unis.
L'absence de responsabilité civile européenne risque d'introduire "une concurrence entre les 27 États membres pour savoir qui a le régime le plus laxiste pour essayer d'attirer des entreprises", met-il en garde.
Au nom de la lutte contre la bureaucratie, le chancelier allemand Friedrich Merz et le président français Emmanuel Macron avaient appelé à supprimer purement et simplement cette loi.
Mais même si elle n'est que sabrée, la pilule est difficile à avaler pour une partie des parlementaires qui avaient célébré son adoption "historique" en avril 2024 après plusieurs années de bras de fer au sein même des institutions européennes.
Les superlatifs ne manquaient pas à l'époque, y compris chez les macronistes, dont la présidente actuelle du groupe centriste Valérie Hayer (Renew).
Catastrophe du Rana Plaza
Les eurodéputés présentaient cette directive comme une réponse à la catastrophe de Rana Plaza, du nom de l'immeuble abritant un atelier de confection de prêt-à-porter au Bangladesh qui s'était effondré en avril 2013, faisant 1130 morts.
Mais les équilibres politiques ont changé dans l'hémicycle depuis les élections de juin 2024, marquées par le renforcement de la droite et la percée de l'extrême droite, prompte à combattre le "pacte vert", la batterie de mesures environnementales adoptées lors du précédent mandat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Corruption: Zelensky impose des sanctions contre un proche
Le président ukrainien a imposé jeudi des sanctions contre un homme d'affaires considéré comme son ami proche et accusé d'avoir orchestré une vaste affaire de corruption. Il tente ainsi de régler l'une des pires crises politiques qu'il traverse depuis l'invasion russe
Ces sanctions visant Timour Minditch, 46 ans, ainsi qu'un autre homme d'affaires impliqué dans ce scandale, prévoient notamment le gel de leurs biens, selon un décret présidentiel.
M. Minditch est accusé d'avoir orchestré un vaste système de corruption dans le secteur énergétique, avec 100 millions de dollars de pots-de-vin et impliquant plusieurs hauts responsables dont des ministres.
Cet homme, qui a quitté l'Ukraine peu avant le scandale, est copropriétaire de la société de production audiovisuelle fondée par M. Zelensky, qui était un humoriste vedette avant de se lancer en politique.
Ce scandale éclate alors que le réseau énergétique ukrainien a été gravement endommagé par une série de frappes massives russes, qui ont provoqué des coupures de courant à l'approche de l'hiver.
Inquiétude sur les répercussions
Il s'agit de l'une des pires crises politiques pour le président Zelensky depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022.
Des voix s'inquiètent en Ukraine de la réaction d'alliés européens à ce scandale, alors que l'effort de guerre de Kiev dépend fortement de l'aide occidentale.
Le chancelier allemand Friedrich Merz, dont le pays est le principal bailleur européen de Kiev, a réclamé jeudi, lors d'un entretien téléphonique avec le président Zelensky, que ce dernier lutte "avec énergie" contre la corruption.
M. Zelensky n'a pas, lui, mentionné le dossier de corruption en commentant son entretien avec M. Merz sur X. "J'ai assuré à Friedrich que l'Ukraine fera tout le nécessaire pour renforcer la confiance des partenaires", s'est-il borné à indiquer.
"Pété un câble"
Interrogé par l'AFP, un haut responsable ukrainien travaillant étroitement avec le chef de l'Etat a assuré que le chef de l'Etat avait été pris au dépourvu par les révélations de l'enquête.
"Bien sûr, il ne considère pas cela comme normal et a pété un câble lorsqu'il a découvert ce qui se passait", a assuré ce responsable. "Il soutient pleinement l'enquête. Tout le monde au gouvernement va aider l'enquête".
Cette source a assuré que "le président avait pris les mesures les plus dures possible dans le cadre de ses pouvoirs" en imposant des sanctions et réclamant le départ de deux ministres.
"Le président n'a pas parlé avec Minditch" depuis l'éclatement de cette affaire, a encore affirmé le responsable. "Qu'y a-t-il à discuter ? Qu'il aille voir ailleurs. Il a créé un tel problème", s'est-il insurgé.
Soupçonné d'avoir influencé des décisions
Timour Minditch est également soupçonné d'avoir influencé des décisions de hauts responsables du gouvernement, parmi lesquels l'ex-ministre de la Défense, Roustem Oumerov, aujourd'hui secrétaire du Conseil de sécurité national, et un vice-Premier ministre, Oleksiï Tchernychov.
Les ministres de l'Energie et de la Justice, Svitlana Gryntchouk et Guerman Galouchtchenko, ont annoncé mercredi leur démission, à la demande de M. Zelensky, après la révélation du scandale.
M. Galouchtchenko, ex-ministre de l'Energie, est accusé d'avoir perçu des "avantages personnels" dans cette affaire en échange du contrôle sur les flux financiers du secteur énergétique donné à M. Minditch.
Mme Gryntchouk n'est, elle, pas directement visée par des accusations de corruption à ce stade mais elle est considérée comme une personne de confiance de M. Galouchtchenko, selon des médias ukrainiens.
Passeport israélien
Timour Minditch et un autre homme d'affaires ukrainien cité par dans l'enquête et visé par les sanctions, Oleksandre Tsoukerman, possèdent des passeports israéliens, selon la présidence ukrainienne.
Un vote parlementaire entérinant le renvoi des deux ministres est attendu mardi, selon des députés, dont beaucoup se disaient scandalisés par cette affaire.
"C'est un bordel! J'en peux plus", a lancé auprès de l'AFP une source parlementaire proche du parti présidentiel.
Le président Zelensky a par ailleurs annoncé avoir effectué dans la matinée une visite auprès des soldats combattant dans la région
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Les policiers japonais désormais autorisés à tirer sur des ours
Les policiers japonais sont autorisés depuis jeudi à abattre des ours. Le pays a assoupli ses règles draconiennes sur les armes à feu, afin d'endiguer une série d'attaques mortelles.
Treize morts - plus du double de l'an dernier et un record depuis l'établissement de statistiques - et plus de 100 blessés ont été recensés dans des attaques d'ours depuis début avril au Japon. Des incidents sont rapportés presque quotidiennement par la presse, qui évoque des plantigrades errant dans des zones résidentielles, entrant dans des maisons, dévastant des supermarchés ou s'approchant d'écoles.
Les départements d'Akita et Iwate (nord-est), où la plupart des attaques ont eu lieu, ont organisé jeudi des cérémonies pour accueillir les policiers antiémeutes qui seront déployés dans la région armés de fusils.
Des responsables locaux ont confirmé à l'AFP que la modification des règles sur les armes à feu prenait effet ce jeudi. Les pistolets habituellement portés par les policiers n'étaient pas réputés assez puissants pour tuer un ours.
L'armée a également été déployée depuis la semaine dernière dans les deux départements du nord-est, mais les soldats ne sont pas armés. Équipés de sprays anti-ours, bâtons, boucliers, lunettes de protection, gilets pare-balles et lance-filets, ils aideront à transporter des pièges à ours, des chasseurs et des animaux capturés.
L'ambassade des Etats-Unis à Tokyo a posté mercredi sur son site "une alerte concernant la faune sauvage", pour enjoindre à ses ressortissants d'éviter de randonner seuls dans les zones où des ours ont été aperçus, ou bien de ne pas s'y rendre. Le gouvernement britannique a également appelé les voyageurs à éviter de marcher seuls dans les régions fréquentées par les ours.
Une pénurie de nourriture a poussé cette année certains ours, dont la population est en pleine expansion dans l'archipel, à s'aventurer dans les villes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
Burberry divise ses pertes par trois au premier semestre
Burberry, symbole du luxe britannique, a annoncé jeudi une perte nette divisée par trois pour son premier semestre décalé, à 26 millions de livres (29 millions d'euros), et voit les premiers signes d'un rebond après le recentrage stratégique amorcé il y a un an.
"Bien qu'il soit encore trop tôt pour tirer des conclusions définitives et qu'il reste du travail à accomplir, nous disposons désormais d'éléments probants démontrant" que cette nouvelle stratégie "est la bonne voie", a fait valoir le directeur général Joshua Schulman dans un communiqué.
Confronté comme l'ensemble du secteur du luxe à un ralentissement de la demande et à l'offensive protectionniste des Etats-Unis, Burberry pâtit en outre de choix stratégiques malheureux, notamment d'un pari (raté) de monter encore davantage en gamme, ce qui avait fait tomber dans le rouge son dernier résultat annuel.
Le groupe a amorcé ces derniers mois un recentrage d'urgence sur ses grands classiques, comme son trench coat et ses écharpes, pour enrayer le plongeon de ses résultats, avec des prix plus en rapport avec sa marque: le luxe, mais pas l'ultra luxe.
Si le groupe voit encore son chiffre d'affaires reculer sur un an au cours des six mois achevés fin septembre (-5% à 1,03 milliard de livres), il signale une progression de ses "ventes à périmètre comparable" (c'est à dire notamment hors effet des ouvertures et fermetures de magasins) au deuxième trimestre de son exercice, pour la première fois en deux ans.
Burberry met aussi en oeuvre un plan drastique de réduction de coûts qui "est en bonne voie pour générer 80 millions de livres sterling d'économies annualisées d'ici la fin de l'exercice", indique l'entreprise, tout en avertissant qu'elle évolue dans un marché qui "demeure incertain".
Pour autant, plusieurs groupes de luxe tels que Kering, L'Oréal ou encore Prada, ont eux aussi publié récemment des résultats encourageants.
Et en dépit de ses difficultés, l'entreprise fondée en 1856 à Basingstoke (sud de l'Angleterre) par un apprenti drapier, peut toujours compter sur sa renommée.
La Reine d'Angleterre elle-même avait décerné un "mandat royal" à l'entreprise dès 1955, faisant de Burberry un fournisseur régulier de la famille royale.
Le groupe a par ailleurs fait en septembre un retour parmi les valeurs de l'indice vedette FTSE 100 de la Bourse de Londres, un an après en avoir été délogé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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