International
Aucun vainqueur à la primaire républicaine du Nevada
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Aucun candidat n'a remporté la primaire républicaine dans l'État américain du Nevada mardi, un revers pour Nikki Haley qui n'avait pourtant quasi pas de concurrent face à elle, dans une élection dépourvue d'enjeu du fait des règles électorales du Parti républicain.
Les bulletins portant la mention "aucun de ces candidats" ont été plus nombreux (61%) que ceux en faveur de Nikki Haley (32%), selon les résultats officiels de ce scrutin. Donald Trump ne figurait pas parmi les candidats.
Ce résultat, même s'il n'a aucune conséquence, est un nouveau revers pour Nikki Haley, seule candidate encore en lice face à Trump. L'ex-ambassadrice américaine à l'ONU a déjà perdu face à l'ancien président dans l'Iowa et le New Hampshire et semble mal partie pour l'emporter le 24 février en Caroline du Sud dont elle a été gouverneure.
La primaire républicaine du Nevada était sans enjeu, en raison des règles électorales complexes retenues par le Parti républicain.
Car les 26 délégués du Nevada qui participeront à la désignation du candidat républicain à la Maison Blanche se détermineront jeudi, lors des caucus: des assemblées locales tenues dans des écoles ou des gymnases, auxquelles Nikki Haley ne participera pas et où Donald Trump est le seul candidat majeur.
Système illisible
Ce système illisible, qui sème la confusion chez les électeurs, est dû à des désaccords entre les autorités du Nevada et le Parti républicain.
Cet Etat de l'Ouest américain, qui abrite la capitale du jeu Las Vegas, avait choisi en 2021 de changer son système électoral, et de délaisser ses traditionnels caucus pour des primaires qui permettent de voter par correspondance.
Mais dans une Amérique où Donald Trump conteste toujours sa défaite de 2020 face à Joe Biden, le vote par courrier est l'objet de théories complotistes l'assimilant à une combine pour manipuler les résultats. Le "Grand Old Party" a donc choisi de maintenir ses caucus, auxquels il faut obligatoirement se rendre en personne.
Et il a décidé que seul le résultat des caucus compterait pour la nomination, interdisant en outre aux candidats aux primaires de mardi de participer aux caucus de jeudi. Nikki Haley ne sera donc pas candidate lors des caucus.
Le Parti républicain a été accusé de favoriser par sa décision Donald Trump, dont les électeurs sont plus susceptibles de se déplacer.
Lundi le directeur de campagne de Mme Haley avait déclaré que le processus choisi par le Nevada était "truqué en faveur de Trump".
Déjà vainqueur dans l'Iowa et le New Hampshire, M. Trump pourrait écraser Mme Haley début mars lors du "Super Tuesday", où 15 Etats sont en jeu. De quoi rendre son avance insurmontable en cas de victoire.
Sans attendre cette confirmation, il est déjà considéré dans les faits comme le candidat républicain à la Maison Blanche par son propre parti et par l'actuel occupant du Bureau ovale, Joe Biden.
La prochaine primaire républicaine doit avoir lieu en Caroline du Sud. Bien que l'ex-gouverneure ait l'avantage d'être sur son terrain, les sondages lui promettent une défaite.
Son refus de jeter l'éponge irrite ouvertement Donald Trump qui profère régulièrement des insultes à connotation raciale à son encontre et utilise son prénom entier, Nimarata, pour rappeler qu'elle vient d'une famille d'immigrés.
Une stratégie similaire à celle qu'il avait employée contre Barack Obama, lorsqu'il l'appelait par son deuxième prénom Hussein, pour l'accuser à tort d'être un président illégitime car né hors des Etats-Unis.
Biden s'en prend à Trump
Une primaire était également organisée pour les démocrates dans le Nevada. Elle a été remportée haut la main par Joe Biden.
Plus tôt mardi, le président actuel s'en est pris à son prédécesseur, qu'il accuse de vouloir torpiller un projet de budget comprenant une réforme de la politique migratoire, pour lequel un accord entre les deux partis semblait avoir été trouvé au Sénat.
Ce compromis semble sur le point de s'écrouler, Joe Biden incriminant des pressions de Donald Trump sur les républicains du Congrès.
L'élection présidentielle de novembre promet d'être serrée: les sondages donnent Joe Biden et Donald Trump au coude-à-coude et suggèrent que la plupart des Américains sont peu enthousiastes à l'idée d'un nouveau match entre les deux hommes.
Dans ce contexte, le Nevada fait partie de la poignée d'Etats clés qui décideront de l'avenir du pays. En 2020, Joe Biden s'y était imposé d'une courte tête, avec 33'000 votes d'avance.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Deux explosions font plus de 50 blessés dans un lycée de Jakarta
Deux explosions vendredi dans un lycée de Jakarta ont fait au moins cinquante blessés, ont annoncé la police et des responsables du gouvernement indonésien, sans fournir d'éléments sur l'origine de ce drame.
Les déflagrations se sont produites vers 12h15 heure locale (06h15 en Suisse), respectivement près la porte et à l'arrière d'une mosquée située à l'intérieur de cet établissement scolaire du nord de la capitale indonésienne, a précisé Lodewijk Friedrich Paulus, le ministre chargé de coordonner les politiques suivies et la sécurité.
Celui-ci a dans le même temps exhorté ses compatriotes à ne pas tirer de conclusions hâtives sur l'origine de ces explosions, une enquête étant en cours. "Ne concluez pas trop vite qu'il s'agit d'un acte terroriste", a-t-il insisté, cité par l'agence de presse étatique Antara.
Le chef de la police nationale, Listyo Sigit Prabowo, a par la suite révélé qu'il y avait un "suspect", un élève blessé qui subissait une intervention chirurgicale.
Avant la prière
"Concernant le mobile, nous enquêtons actuellement sur diverses pistes", a-t-il poursuivi au cours d'une conférence de presse.
"La situation a immédiatement dégénéré en chaos à l'école, tout le monde s'est précipité dehors, sur le terrain de sport", a de son côté raconté à l'AFP Muhammad Rizky Muzaffar, l'un des lycéens.
"De nombreux élèves ont été blessés et beaucoup ont été directement emmenés à l'hôpital", a ajouté cet adolescent de seize ans, assurant qu'une explosion s'était produite au moment où les fidèles s'apprêtaient à participer à la prière du vendredi dans la mosquée du lycée.
Environ 54 personnes ont été blessées, dont 33 "reçoivent toujours des soins médicaux", a annoncé Budi Hermanto, le porte-parole de la police de Jakarta.
Confusion
Un journaliste de l'AFP a constaté la présence d'enquêteurs sur les lieux, avec des sacs en plastique contenant divers objets sur des tapis de prière.
Interrogé par l'AFP, Kinza Ghaisan Rayyan, un élève de 17 ans, a témoigné du fait que la confusion régnait quant aux circonstances dans lesquelles l'une des explosions s'est produite.
"On a d'abord cru que ça venait d'un appareil électronique, peut-être de la sono ou de quelque chose de cassé, mais, en fait, l'explosion s'est produite sous le tapis de prière", a-t-il déclaré dans un hôpital de la capitale.
Le chef de la police de Jakarta, Asep Edi Suheri, a fait savoir que les enquêteurs avaient mobilisé une équipe de déminage pour déterminer la cause des déflagrations.
Il a affirmé que les autorités avaient mis en place des permanences dans deux hôpitaux pour aider les familles à retrouver les blessés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Transition énergétique au 2e jour du sommet précédant la COP30
Le président brésilien Lula a estimé vendredi que "le modèle de développement basé sur l'utilisation intensive de combustibles fossiles" était intenable, au deuxième jour du sommet de dirigeants mondiaux en prélude à la COP30 à Belem.
Deux ans après l'adoption inédite à la COP28 à Dubaï d'un engagement général à sortir progressivement des énergies fossiles, le thème ne figure pas comme tel à l'agenda de la conférence climat qui s'ouvrira lundi dans cette ville d'Amazonie brésilienne.
Mais certains pays comme le Brésil - pourtant huitième producteur mondial de pétrole - tiennent à remettre le sujet au coeur des débats.
"La Terre ne peut plus supporter le modèle de développement basé sur l'utilisation intensive de combustibles fossiles qui a prévalu au cours des 200 dernières années", a lancé Luiz Inacio Lula da Silva en ouvrant une session consacrée à la transition énergétique, au deuxième et dernier jour du sommet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'ONU alerte sur la menace de violences massives au Kordofan
L'ONU lance "un fort avertissement" sur la menace de violences massives au Kordofan, après les massacres à El-Facher au Darfour. Vendredi à Genève, le Haut commissaire aux droits de l'homme s'est dit inquiet face aux "préparations pour des hostilités intensifiées".
"Depuis la prise d'El-Facher, les victimes civiles, la destruction et les déplacements de masse augmentent" au Kordofan, région voisine du Darfour, affirme Volker Türk. "Il n'y a pas de signe de désescalade", a-t-il déploré.
Il demande à nouveau aux Etats influents auprès des parties au conflit d'oeuvrer. Dans le cas contraire, "il y aura davantage de carnage et d'atrocités", insiste l'Autrichien. Il a rappelé que le Conseil de sécurité de l'ONU a exigé la fin des acheminements d'armements vers le Soudan.
Khartoum accuse les Emirats arabes unis de livrer ce matériel aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), responsables de crimes contre l'humanité selon la Mission internationale d'établissement des faits. M. Türk redoute aussi que les exécutions sommaires, les viols et les violences ethniques se poursuivent à El-Facher, alors que de nombreux civils restent bloqués dans la ville.
Depuis le début de la guerre, des dizaines de milliers de personnes ont été tuées. Le conflit a fait près de 13 millions de déplacés, dont quatre millions de réfugiés. Selon les estimations, plus de 21 millions de personnes font face à une importante insécurité alimentaire. Plus de 206'000 sont confrontées à une situation de famine. Des dizaines de millions d'individus doivent être aidés.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Les Etats-Unis tancés à l'ONU à Genève pour refus de collaborer
Le refus de l'administration de Donald Trump de soumettre les Etats-Unis à l'examen de leur situation des droits humains par les autres Etats ne passe pas. Vendredi à Genève, le Conseil des droits de l'homme de l'ONU a approuvé une décision de non collaboration.
Comme tous les quatre ans, les Etats-Unis auraient dû être décortiqués par les autres pays. Mais ils avaient annoncé dès cet été qu'ils ne participeraient pas à cet Examen périodique universel (EPU), une première depuis Israël en 2013. Washington boycotte les travaux d'un organe qu'il accuse d'être politiquement biaisé.
Après avoir constaté cette absence, le président du Conseil, l'ambassadeur suisse à l'ONU à Genève Jürg Lauber, a refermé la séance. Une réunion a ensuite approuvé la décision qui repousse d'un an l'EPU des Etats-Unis.
L'ONU ou des experts indépendants onusiens, qui ne s'expriment pas au nom de l'organisation, ont ciblé à plusieurs reprises la politique de droits humains du président. Tout comme les ONG qui auraient souhaité relayer leurs critiques vendredi au Conseil.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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