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Russie: les sénateurs ratifient le traité de défense avec Pyongyang

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Les présidents russe et nord-coréen, Vladimir Poutine (à droite) et Kim Jong Un (à gauche), unis par un traité de défense (archives). (© KEYSTONE/AP/Alexander Zemlianichenko)

La chambre haute du Parlement russe a ratifié mercredi matin le traité de défense mutuelle avec la Corée du Nord. Des soldats nord-coréens sont déjà, selon Kiev et Washington, sur le point de rejoindre les Russes combattant les forces ukrainiennes.

Ce vote du Conseil de la fédération, qui intervient deux semaines après celui des députés, ne faisait guère de doute. Aucun sénateur n'a voté "contre", alors que Moscou et Pyongyang ont opéré un rapprochement éclair depuis que la Russie s'est lancée à l'assaut de l'Ukraine en février 2022.

Conclu au cours d'une rare visite de Vladimir Poutine à Pyongyang, en juin, ce traité entre deux bêtes noires des Etats-Unis, prévoit notamment "une aide militaire immédiate" réciproque en cas d'attaque contre l'un des deux pays.

Une participation des soldats nord-coréens aux combats, dont les Occidentaux pensent qu'elle est imminente, serait un nouveau coup dur pour les troupes ukrainiennes, en manque d'hommes et d'armes, qui reculent sur de nombreux tronçons du front.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Eni à la peine après la baisse des prix du pétrole

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Sur le premier semestre, Eni a vu son bénéfice net s'inscrire à 1,71 milliard d'euros, en baisse de 8% sur un an (archives). (© KEYSTONE/AP/Luca Bruno)

Le géant italien des hydrocarbures Eni a vu son bénéfice net au 2e trimestre reculer de 18% sur un an, à 543 millions d'euros (à peine moins en francs), en raison de la baisse des prix du pétrole et du cours du dollar, a indiqué la société vendredi dans un communiqué.

Sur le premier semestre, son bénéfice net est de 1,71 milliard, en baisse de 8% sur un an.

Le chiffre d'affaires a lui aussi reculé au deuxième trimestre de 14%, à 18,76 milliards, sur un an, tandis que sur le semestre il a baissé de 7%, à 41,33 milliards.

Eni confirme par ailleurs son objectif de production d'hydrocarbures de 1,7 million de barils par jour pour l'année en cours, malgré une baisse de 3% au deuxième trimestre et de 4% sur le semestre.

"En dépit d'un scénario de marché difficile", le groupe a réalisé "d'excellents résultats au deuxième trimestre 2025", s'est félicité le directeur général d'ENI Claudio Descalzi, cité dans le communiqué.

Il a annoncé une hausse de 5% des dividendes, à 1,05 euro par action, à distribuer cette année.

Le bénéfice net ajusté, qui exclut les éléments exceptionnels, a chuté au deuxième trimestre de 25% à 1,13 milliard d'euros, et de 18%, à 2,54 milliards, sur le semestre.

Le groupe italien a également maintenu le cap de ses objectifs en matière de transition énergétique et a vu sa capacité installée d'énergies renouvelables augmenter de 45% à 4,5 gigawatts au premier semestre sur un an.

Le cours de l'action restait stable à la Bourse de Milan en milieu de matinée après la publication des résultats, dans un marché stable lui aussi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Rémy Cointreau relève son objectif annuel de résultat

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Au1er trimestre de l'exercice décalé 2025/2026 Rémy Cointreau a vu ses ventes progresser de 1,8%. (archives). (© KEYSTONE/EPA/GEOFF CADDICK)

Le groupe de spiritueux Rémy Cointreau a annoncé vendredi relever son objectif annuel de résultat opérationnel. Le recul attendu devrait être moins marqué que prévu après l'accord trouvé en juin sur les prix du cognac en Chine.

Le résultat opérationnel courant, en organique, devrait reculer de quelques points (moins de 10%), quand le groupe prévoyait précédemment une baisse pouvant approcher les 20%, indique Rémy Cointreau, dont le chiffre d'affaires au 1er trimestre de son exercice décalé a par ailleurs crû de 1,8%.

Après la signature d'un accord avec Pékin sur des engagements de prix minimum et au vu des dernières déclarations du président américain Donald Trump, le groupe français a revu à la baisse l'impact maximal net total de ces deux conflits douaniers, désormais estimé à 45 millions d'euros (à peine moins en francs) contre 65 millions précédemment.

L'impact net anticipé sur son résultat est désormais de 10 millions en Chine, et non plus 40 millions. En revanche, Rémy Cointreau envisage désormais 35 millions d'impact venu des Etats-Unis, et non plus 25.

Ce premier trimestre, son chiffre d'affaires s'est élevé à 220,8 millions de dollars, au-delà des attentes des analystes Factset.

Cette hausse de 1,8% est soutenue par une "très forte croissance" des ventes de cognac aux Etats-Unis (et une base de comparaison favorable sur un an quand les grossistes américains déstockaient). Ce bilan est en outre affecté par un effet défavorable des devises, souligne le groupe.

Pour ce trimestre, Rémy Cointreau observe aussi "un recul limité des ventes de cognac en Chine", où les conditions de marché restent difficiles et le duty free est, sur décision des autorités, toujours inaccessible pour les eaux de vie européennes, sur fond de conflit avec l'UE autour de la taxation des voitures électriques chinoises.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Volkswagen: le bénéfice net chute au deuxième trimestre

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Volkswagen, le groupe aux dix marques automobiles (VW, Skoda, Porsche, Seat...) et premier constructeur européen, a dégagé un bénéfice de 2,3 milliards d'euros, en chute de 36,3% sur un an entre avril et juin (archives). (© KEYSTONE/EPA/FILIP SINGER)

Volkswagen, fleuron en crise de l'industrie allemande, a vu son bénéfice net chuter de plus de deux-tiers au 2e trimestre. Le géant de l'automobile a souffert de la hausse des droits de douane américains, qui l'a conduit à abaisser ses prévisions annuelles.

Le groupe aux dix marques automobiles (VW, Audi, Skoda, Porsche, Seat...), premier constructeur européen, a dégagé un bénéfice de 2,3 milliards d'euros (à peine moins en francs), en baisse de 36,3% sur un an entre avril et juin, a-t-il indiqué vendredi.

Pour 2025, le groupe prévoit désormais une marge opérationnelle de ses ventes comprise entre 4 et 5%, contre 5,5 à 6,5% auparavant et un chiffre d'affaires au niveau de l'année précédente (contre une augmentation jusqu'à 5% précédemment).

C'est un peu mieux que ce que prévoyait le consensus des experts interrogés par la plateforme financière Factset, qui tablait sur un résultat net divisé par deux.

Au regard du plongeon du bénéfice, le chiffre d'affaires n'affiche qu'une légère baisse (-3%) à 80,81 milliards au deuxième trimestre, qui témoigne du maintien des ventes de voitures (+1,2%) dans le monde d'avril à juin.

Mais plusieurs facteurs ont contribué à la baisse de la marge opérationnelle du constructeur, qui atteint seulement 4,7%, contre 6,5% à la même période l'an dernier.

"La baisse du résultat d'exploitation s'explique principalement par des charges lourdes liées à l'augmentation des droits d'importation aux Etats-Unis", à hauteur de 1,3 milliard, explique le groupe.

Washington a rehaussé les droits de douane sur les véhicules à 27,5% à partir d'avril, au lieu de 2,5% auparavant, une coup de massue pour les constructeurs allemands puisque les Etats-Unis représentent leur troisième marché.

La bonne forme de ce marché avait permis l'an dernier de compenser en partie la chute de ses ventes en Chine, où le groupe a longtemps réalisé plus d'un tiers de ses ventes.

Mais ce trimestre, le volume de véhicules livrés aux concessionnaires américains a chuté de 16,2%.

Les constructeurs craignent désormais une deuxième salve de droits de douane avec la menace du président américain d'imposer une taxe de 30% sur tous les produits importés d'Europe à partir du mois d'août, sauf accord avec la Commission européenne.

Le résultat a également été plombé par les provisions nécessaires pour la restructuration des marques Audi et VW en difficultés, et de Cariad, son unité de logiciels, et par les charges liées aux objectifs d'émissions de CO2 de l'Union européenne, ajoute le communiqué.

Le groupe a lancé un plan de restructuration dès fin 2022 pour tenter de rattraper ses marges. Il a annoncé cet hiver la suppression dans les prochaines années de 35'000 emplois et l'arrêt de la production dans deux usines allemandes, une première historique.

Enfin, la forte hausse de ses ventes de véhicules électriques (+37,6%), moins rentables en raison du coût encore élevé des batteries, a également eu un impact sur les marges.

Sans compter les droits de douane et les frais liés aux restructurations, la rentabilité opérationnelle des ventes s'établirait à 5,6%, d'après Volkswagen.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Le géant des puces Intel continue de réduire les frais

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Intel peine depuis plusieurs années à rattraper son retard dans les puces les plus avancées pour le développement de l'IA générative, moteur de croissance pour ses rivaux, en premier lieu Nvidia (archives). (© KEYSTONE/EPA/JOHN G. MABANGLO)

Le groupe américain de semi-conducteurs Intel, en retard dans le boom de l'intelligence artificielle (IA), continue sa restructuration dans l'espoir de renouer avec les bénéfices et a annoncé jeudi l'abandon de la construction d'usines en Allemagne et en Pologne.

Au deuxième trimestre, Intel a réalisé près de 13 milliards de dollars de chiffre d'affaires, un résultat stable sur un an et surtout supérieur à ses prévisions et à celles du marché.

L'entreprise peine depuis plusieurs années à rattraper son retard dans les puces les plus avancées pour le développement de l'IA générative, moteur de croissance pour ses rivaux, en premier lieu Nvidia.

En réaction, Intel a instauré plusieurs plans de diminution des coûts, de coupes dans ses effectifs au ralentissement des projets de construction d'usines. Des plans sur lesquels l'entreprise est revenue dans son communiqué de résultats publié jeudi.

Le groupe de Santa Clara (Californie) a ainsi indiqué avoir quasiment fini de mettre en place le dernier plan de départ, annoncé en avril, pour réduire encore ses effectifs de 15%. Intel comptait environ 101.000 employés fin juin, contre 125.000 il y a un an, et prévoit de terminer l'année à 75.000.

Pour réaliser de meilleurs retours sur investissement, le groupe est en outre largement revenu en arrière sur ses projets de construction d'usines lancés en fanfare ces dernières années.

Les projets en Allemagne et en Pologne, déjà mis sur pause pour deux ans à l'automne dernier, sont ainsi désormais complètement arrêtés, et la construction d'un site dans l'Etat américain de l'Ohio va de nouveau ralentir.

Ses mesures lui ont coûté 1,9 milliard de dollars de charges exceptionnelles, qui ont creusé ses pertes nettes à 2,9 milliards au deuxième trimestre, contre 1,6 milliard l'an passé.

"A l'avenir, nous ne gagnerons en capacité que si nous avons des engagements quantitatifs suffisants de la part de nos clients, et pas avant", a promis le directeur général Lip-Bu Tan lors de la conférence aux analystes.

Le patron nommé en mars a regretté des dépenses "excessives et mal avisées" dans de nouveaux projets avant d'avoir des garanties en termes de demande.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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