International
Ruud lâche à nouveau un set
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Finaliste malheureux l'an dernier, Casper Ruud (no 4) a lâché un set au 3e tour samedi à Roland-Garros, comme ce fut le cas au 2e tour face à Giulio Zeppieri (ATP 129).
Le Norvégien s'est imposé 4-6 6-4 6-1 6-4 en 2h35' devant le Chinois Zhang Zhizhen (ATP 71). Il a mis plus d'une heure pour trouver ses marques sur le Court Suzanne-Lenglen.
Gêné par la puissance du coup droit et du service de Zhang Zhizhen, trop vulnérable derrière ses propres deuxièmes balles, le double lauréat du Geneva Open (2021, 2022) a été accroché jusqu'à 4-4 dans la deuxième manche.
Zhang Zhizhen a cependant craqué au plus mauvais moment, concédant le break sur un jeu blanc alors qu'il était mené 5-4 dans ce deuxième set. Remis en confiance, Casper Ruud a pris largement le dessus dans la troisième manche avant de se contenter d'un break pour faire la différence au quatrième set.
Finaliste à Paris puis à l'US Open l'an dernier, Casper Ruud est le joueur le mieux classé dans le bas du tableau après l'élimination de Daniil Medvedev (no 2). Il retrouvera en 8e de finale son successeur au palmarès du Geneva Open, Nicolas Jarry (ATP 35), qui fut aussi son "bourreau" cette année à Genève en quart de finale.
Outre outsider de cette moitié de tableau, Holger Rune (no 6) s'est qualifié sans difficulté pour le 4e tour. Le Danois, finaliste des récents Masters 1000 de Monte-Carlo et de Rome, a dominé le qualifié argentin Genaro Alberto Olivieri (ATP 231) 6-4 6-1 6-3. Il pourrait retrouver Casper Ruud au stade des quarts de finale.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Granit Xhaka face à "son plus grand défi"
Granit Xhaka fait face à "son plus grand défi" depuis son arrivée en équipe de Suisse. Le Bâlois n'a plus beaucoup de temps pour transmettre son leadership à la nouvelle génération.
Les retraites internationales de Yann Sommer, Xherdan Shaqiri et Fabian Schär l'été dernier ont laissé un vide au sein du vestiaire de l'équipe de Suisse. Un vide que Granit Xhaka doit combler.
"C'est sans aucun doute le plus grand défi que j'ai eu à relever depuis mes débuts en équipe nationale", a lancé le capitaine jeudi en conférence de presse. "On a perdu de très grandes personnalités et c'est désormais à nous, avec Manu (réd: Akanji), Ricky (Rodriguez) et Remo (Freuler), les joueurs expérimentés, d'emmener cette nouvelle équipe."
"Montrer l'exemple"
Le milieu du Bayer Leverkusen, qui fêtera ses 33 ans en septembre, sait bien que la Coupe du monde 2026, si la Suisse devait y participer, devrait être sa quatrième et dernière. Il entend donc transmettre l'exigence et l'état d'esprit qu'il incarne depuis plus d'une décennie.
"Il s'agit de leur montrer ce que cela signifie de travailler, de se donner à fond, de ne pas perdre sa motivation et, bien entendu, de vouloir gagner", a expliqué Granit Xhaka.
Egalement présent en conférence de presse, Manuel Akanji a appuyé les propos de son capitaine. "C'est évidemment à nous de montrer l'exemple et de prendre les devants vis-à-vis de la nouvelle génération", a estimé le défenseur zurichois. "Et de la même façon que nous avons bien changé Granit et moi depuis notre arrivée en sélection, je suis sûr que les derniers arrivés prendront davantage de responsabilités au fil du temps."
Bâle? Pas tout de suite
Granit Xhaka a par ailleurs été interrogé sur sa promesse faite au public du FC Bâle de revenir un jour dans son club formateur, lors d'un hommage rendu à son frère Taulant au Parc Saint-Jacques. Dès cet été? "Non", a répondu le numéro 10 de l'équipe de Suisse.
En revanche, il n'a pas entièrement fermé la porte à un départ de Leverkusen, qu'il a rejoint en 2023 et mené au titre de champion d'Allemagne un an plus tard. "Toute ma famille est très heureuse là-bas, mais dans le football, on ne sait pas forcément ce que l'avenir nous réserve", a-t-il déclaré.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Indiana renverse Oklahoma City à la dernière seconde
Oklahoma City a été terrassé jeudi sur son parquet par Indiana à la dernière seconde. Tyrese Haliburton a marqué le panier décisif pour offrir l'acte I de la finale NBA aux Pacers (111-110).
Après avoir mené toute la partie, et notamment de 15 points à 9 minutes de la sirène, le Thunder a subi un retour improbable des Pacers et devra réagir dimanche lors du match 2, encore à domicile.
Spécialistes des renversements de situation, les Indiana Pacers ont réussi à éteindre une enceinte pourtant bouillante. Comme lors du premier match de la finale de conférence Est contre New York, Tyrese Haliburton a réussi le tir décisif.
Les Pacers ont pourtant longtemps fait croire qu'ils avaient raté leur match en perdant notamment 24 ballons (dont 19 avant la pause) face à la défense féroce du Thunder.
Surtout, le MVP de la saison régulière Shai Gilgeous-Alexander semblait sur un nuage, lui qui a compilé 38 points, 5 rebonds et 3 passes, et avait marqué le premier panier d'un match qui devait être le sien. Mais "SGA" a raté, comme cela lui arrive rarement, un tir à mi-distance qui aurait pu donner 3 points d'avance au Thunder à 11 secondes de la sirène.
Un collectif bien huilé
Malgré la tempête, les Pacers n'ont jamais laissé le Thunder s'échapper à plus de 15 points, restant en course grâce à leur adresse de loin (18 sur 39 à 46,2%).
Pascal Siakam (19 points, 10 rebonds), déjà champion avec Toronto en 2019, a aussi tenu le choc, avant que des tirs de loin de Obi Toppin (17 points), Myles Turner (15 points) et Andrew Nembhard (14 points) ne rapprochent Indiana avant le dernier tir d'Haliburton (14 points, 10 rebonds, 6 passes).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
USA: l'interdiction des étudiants étrangers à Harvard suspendue
La justice américaine a suspendu jeudi la mesure du président Donald Trump visant à interdire l'entrée aux Etats-Unis de nouveaux étudiants internationaux venus suivre les cours de l'université Harvard.
En pleine guerre contre des universités qu'il considère être des incubateurs du "wokisme", Donald Trump a annoncé mercredi soir qu'il était "nécessaire de restreindre l'entrée aux ressortissants étrangers qui cherchent à venir aux Etats-Unis pour participer, exclusivement ou en grande partie, à un programme d'études de l'université Harvard".
Cette mesure devait s'appliquer immédiatement à l'encontre des "étrangers qui entrent ou tentent d'entrer aux Etats-Unis pour commencer à participer" à des programmes de l'université. Elle devait rester en vigueur pour six mois, sauf en cas de prolongement, selon le président américain.
Mais jeudi, Harvard a contesté devant les tribunaux cette mesure de l'administration Trump qui fait partie, selon elle, "d'une campagne concertée, allant crescendo, de représailles" contre cette université qui "refuse" de céder aux pressions du gouvernement.
Considérant que l'université de renom risquait de subir "un préjudice immédiat et irréparable avant que toutes les parties aient eu la possibilité d'être entendues", la juge Allison D. Burroughs a suspendu jeudi la mesure de Donald Trump, d'après un document judiciaire consulté par l'AFP.
Fin mai, le gouvernement avait déjà tenté d'interdire à Harvard d'accueillir des étudiants étrangers, en retirant à cette université sa certification SEVIS (Student and Exchange Visitor), le principal système par lequel les étudiants étrangers sont autorisés à étudier aux Etats-Unis.
Cette annonce avait provoqué beaucoup de stress pour les étudiants, avant qu'un tribunal fédéral du Massachusetts, Etat où est situé Harvard, ne leur accorde un sursis en bloquant temporairement cette mesure controversée -- jusqu'à ce que M.Trump revienne à la charge mercredi soir.
"Je m'accroche à l'espoir que Harvard remporte ce combat (judiciaire) et que je puisse y retourner à la session prochaine", expliquait à l'AFP Alfred Williamson, un étudiant dano-gallois de Harvard actuellement en vacances d'été à l'étranger, avant la décision, jeudi, de la justice.
Selon la mesure annoncée mercredi, ceux qui sont actuellement inscrits à Harvard, l'université la plus ancienne des Etats-Unis et l'une des mieux classées au monde, devaient faire l'objet d'un examen et s'exposaient à la révocation de leurs visas.
"L'administration Trump fait tout ce qu'elle peut pour anéantir (nos) rêves", dit l'étudiant de 20 ans en physique et sciences politiques. "Trump s'en prend à Harvard parce que cette université est intègre et refuse de se soumettre à ses exigences illégales et anti-américaines", ajoute-t-il.
Des "pions"
Harvard est sur la ligne de front de la guerre de Donald Trump contre l'enseignement supérieur, l'université ayant entre autres refusé de se soumettre à un contrôle de ses programmes académiques, de son personnel ou de ses étudiants pour maintenir des subventions fédérales.
Washington a déjà amputé d'environ 3 milliards de dollars les subventions de l'université, qui a qualifié mercredi de "représailles" les nouvelles mesures du gouvernement à son égard.
"Je savais que l'été s'annonçait long", résumait à l'AFP un étudiant indien de Harvard refusant la publication de son nom par craintes de mesures de rétorsion du gouvernement à son encontre.
"Qu'en est-il des étudiants rentrés chez eux pour l'été? Ils risquent de ne pas pouvoir revenir", déclarait un autre étudiant international, avant la suspension décidée par la justice, alors qu'il cherchait à renouveler son visa.
Olivia Data, étudiante en 4e année en sciences politiques à Harvard, comptant plusieurs amis étudiants étrangers, décrivait une nouvelle "déchirante et effrayante".
"Nos amis et camarades de classe sont utilisés comme des pions dans la prise de pouvoir d'un dictateur", alertait-elle. "Aucun d'entre nous ne sait où cela mènera, ni si notre université pourra protéger ses étudiants dans le système politique actuel".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Musk rallume la théorie des liens entre Trump et Epstein
Avec un tweet liant Donald Trump au défunt financier accusé d'exploitation sexuelle Jeffrey Epstein, Elon Musk a jeté un pavé dans la mare des soutiens du président américain.
L'homme le plus riche du monde, qui a quitté son poste à la Maison Blanche la semaine dernière, a affirmé jeudi que Donald Trump figurait dans des dossiers gouvernementaux secrets sur d'anciens associés riches et puissants d'Epstein.
L'administration Trump a reconnu qu'elle examinait des dizaines de milliers de documents et vidéos qui, selon le mouvement "Maga" qui soutient Donald Trump, permettront de démasquer les personnalités publiques complices des crimes d'Epstein.
"Il est temps de lâcher la grosse bombe: (Trump) est dans les dossiers Epstein", a posté Elon Musk sur X, alors que sa querelle croissante avec le président a dégénéré jeudi en une violente prise de bec publique. "C'est la véritable raison pour laquelle ils n'ont pas été rendus publics."
Selon les partisans du président républicain, férus de théories conspirationnistes, des personnalités proches d'Epstein ont vu leur rôle dans ses crimes sexuels dissimulés par des fonctionnaires.
Ils accusent les démocrates et des célébrités d'Hollywood, mais pas Donald Trump lui-même, et aucune source officielle n'a jamais confirmé que le président apparaissait dans l'un ou l'autre des documents.
"Type formidable"
Elon Musk n'a pas précisé de quels fichiers il parlait et n'a fourni aucune preuve de ce qu'il avançait. Mais ses allégations ont suscité de nouvelles demandes de divulgation des documents... cette fois-ci de la part de démocrates, désireux de retourner la théorie conspirationniste des supporters "Maga" contre eux-mêmes.
Jeffrey Epstein est mort, officiellement par suicide, dans une prison de New York en 2019 avant d'être jugé pour trafic sexuel. Il était fiché délinquant sexuel depuis plus de dix ans à la suite d'accusations selon lesquelles il aurait eu recours aux services de dizaines de prostituées mineures, qui lui ont valu une condamnation pour des faits secondaires.
Donald Trump a toujours nié avoir passé du temps dans la propriété d'Epstein sur les îles Vierges américaines où, selon les procureurs, le financier se livrait à un trafic sexuel avec des jeunes filles mineures.
L'une des victimes, Virginia Giuffre - qui s'est suicidée en avril, selon sa famille - avait accusé le financier de l'avoir emmenée en avion à des rencontres sexuelles avec des têtes couronnées et des hommes politiques alors qu'elle était mineure.
Le président avait affirmé avant son élection l'année dernière qu'il n'aurait "aucun problème" à rendre publics les dossiers relatifs à Epstein. Mais si son administration a rendu publiques plus de 63'000 pages liées à l'assassinat de John Fitzgerald Kennedy, elle n'a pas tenu sa promesse concernant les dossiers d'Epstein.
Politifact a enquêté sur les dénégations de Donald Trump et conclu que le président avait voyagé à bord du jet de Jeffrey Epstein au moins sept fois. Et les deux hommes ont participé aux mêmes soirées dans les années 1990. Mais il n'y a aucune preuve que le magnat de l'immobilier ait visité l'île d'Epstein.
Donald Trump, qui était le voisin d'Epstein en Floride et à New York, avait déclaré au début des années 2000 que le financier était un "type formidable". "C'est très amusant d'être avec lui. Il se dit même qu'il aime les belles femmes autant que moi, et beaucoup d'entre elles sont très jeunes".
"Protéger Trump"
Des milliers de pages de dossiers sur l'affaire ont été publiées en 2019, d'autres en 2024, mais elles contenaient peu de preuves d'actes répréhensibles de la part de personnalités célèbres.
Les élus de l'opposition démocrate ont en tout cas sauté sur les allégations d'Elon Musk.
"Il y a un mois, j'ai demandé la publication intégrale des dossiers Epstein parce que je soupçonnais (la ministre de la Justice Pam Bondi) de les dissimuler pour protéger Donald Trump", a ainsi écrit Dan Goldman, membre du Congrès de l'État de New York, sur X. "Aujourd'hui, mes soupçons ont été confirmés."
Même son de cloche chez son collègue démocrate Ted Lieu (Californie), persuadé que M.Trump est "au courant de tous les dossiers Epstein". "Que cache l'administration Trump ?", a-t-il déclaré.
Tim Miller, ancien porte-parole du Comité national républicain devenu un féroce critique de Trump, a fait écho à cet appel: "Le peuple américain mérite de savoir si notre président est un pédophile", a-t-il posté sur X.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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