International
La cheminée qui annoncera l'élection du pape a été installée
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Cinq jours avant le début du conclave, le Vatican a installé vendredi sur le toit de la chapelle Sixtine la fameuse cheminée qui émettra la fumée blanche. Celle-ci annonce, à l'issue du vote des cardinaux, l'élection d'un nouveau pape.
Peu après 09h00, des pompiers ont fini de fixer sur le toit de tuiles le fin cylindre métallique de couleur brune, recouvert d'un capuchon, qui concentrera tous les regards à partir du 7 mai, date du début du conclave.
Depuis la place Saint-Pierre bondée, l'installation est passée plutôt inaperçue, sur le bâtiment situé à droite de la majestueuse basilique du même nom. Mais touristes et croyants savent exactement de quoi il retourne.
"C'est pour la fumée", affirme à l'AFP Diana Ispego, Mexicaine installée aux Etats-Unis, qui assure sentir une ambiance particulière en cette période d'attente, "plus spirituelle". "C'est un moment historique, c'est très particulier d'être à Rome quelques jours après l'enterrement du pape. Cela arrive une fois dans la vie!", s'exclame Glenn Atherton, venu de Londres.
Majorité des deux tiers
Les 252 cardinaux du monde entier ont été rappelés à Rome à la suite du décès du pape François, le 21 avril à l'âge de 88 ans. Parmi eux, 133 "Princes de l'Eglise" âgés de moins de 80 ans et donc habilités à élire son successeur se réuniront pour un conclave à huis clos pour une durée inconnue, mais que plusieurs cardinaux prédisent brève.
Le "Sacré Collège" compte 135 électeurs au total mais deux se sont désistés pour raisons de santé: John Njue (Kenya) et Antonio Canizares Llovera (Espagne), a précisé vendredi Matteo Bruni, le directeur du service de presse du Vatican.
M. Bruni a en revanche réfuté des informations de presse rapportant une alerte de santé jeudi du cardinal Pietro Parolin, qui apparaît comme un des principaux "papabili" (favoris) et qui présidera le conclave. "Ce n'est pas vrai", a-t-il assuré lors d'un point presse.
Le premier jour du conclave, mercredi, les cardinaux voteront l'après-midi, puis à partir de jeudi deux fois le matin et deux fois l'après-midi. Pour qu'un cardinal soit élu, il doit obtenir une majorité des deux tiers, soit au moins 89 voix.
"Surprise"
Si aucun candidat n'obtient suffisamment de voix lors du premier vote du matin, les cardinaux procéderont à un second vote, et ce n'est qu'à son issue que la fumée sera émise. Il en va de même pour la session de l'après-midi : si un pape est élu lors du premier vote, la fumée blanche apparaîtra, sinon les cardinaux procéderont à un second vote sans brûler les bulletins.
Après trois journées sans résultat, le scrutin est interrompu pour une journée de prières. Puis d'autres séries de scrutins sont organisées jusqu'à l'élection définitive. D'ici là, les cardinaux se réunissent le matin pour des "congrégations générales" où ils échangent sur les thématiques prioritaires de l'Eglise. Vendredi s'est ouverte la huitième session de ces concertations à huis clos, avec plus de 180 cardinaux présents dont plus de 120 électeurs, selon M. Bruni.
"D'après mes informations, quatre électeurs doivent encore rejoindre Rome", a-t-il affirmé. Les thèmes abordés par les cardinaux vendredi matin ont été, entre autres, "le besoin d'unité, le risque de contre-témoignages (sur les violences sexuelles ou les scandales financiers), la liturgie", a-t-il ajouté.
"Je pense que l'Eglise est en mode prière, mais elle doit aussi se mettre en mode surprise. Souvenez-vous de ce qui s'est passé avec le pape François. Et quelle surprise!", a confié aux journalistes le cardinal salvadorien Gregorio Rosa Chávez à son arrivée. Le jésuite argentin ne faisait pas figure de favori avant le dernier conclave, qui a abouti à son élection le 13 mars 2013.
"Nous avons de nombreuses nationalités. La périphérie est présente, c'est incroyable", a-t-il ajouté, en référence au fait que François a nommé 80% de cardinaux, dont un nombre inédit issus de zones éloignées géographiquement de Rome ou comptant très peu de catholiques.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'Australie se recueille une semaine après l'attentat de Sydney
De nombreux Australiens ont observé une minute de silence et ont allumé des bougies dimanche, une semaine après la tuerie antisémite commise par deux hommes contre les participants à une fête juive sur une plage emblématique de Sydney.
Les deux assaillants, Sajid Akram, 50 ans, un Indien entré sur visa en Australie en 1998 et son fils Naveed Akram, né dans le pays il y a 24 ans, ont ouvert le feu dimanche dernier contre un rassemblement pour la fête juive de Hanouka sur la plage de Bondi.
Des pubs bruyants des grandes villes aux bourgades rurales tranquilles, l'Australie s'est recueillie une semaine exactement après le premier signalement des tirs à 18h47 (08h47 en Suisse) dimanche 14 décembre.
D'innombrables foyers ont placé des bougies sur leurs rebords de fenêtre, invités par les autorités à faire place à "la lumière contre les ténèbres".
"Ensemble"
"Nous sommes ici ensemble", a déclaré Roslyn Fishall, membre de la communauté juive de Sydney.
"Tournez-vous vers des inconnus et prenez-les dans vos bras. Faisons la paix ensemble", a-t-elle lancé, depuis un mémorial improvisé sur la plage endeuillée de Bondi.
Les drapeaux ont été mis en berne à travers le pays, y compris sur le pont du port de Sydney, ont observé des journalistes de l'AFP.
Un petit avion est passé au-dessus de la plage de Bondi avec un message de solidarité avec "notre communauté juive".
"Il est toujours vraiment difficile de comprendre ce qui s'est passé", a confié Leona Pemberton lors de la cérémonie commémorative sur la plage dimanche.
Si la dernière génération d'Australiens avait grandi avec la conviction que les fusillades ne concernaient pas le pays, cette illusion s'est fracassée lorsque les assaillants présumés ont pointé leurs armes sur la plage la plus connue du pays.
Idéologie islamiste
Selon les autorités, l'attentat dont sont suspectés le père, abattu sur place, et le fils était motivé par l'idéologie du groupe djihadiste État islamique.
Naveed Akram, grièvement blessé par la police, est hospitalisé sous forte surveillance policière et a été inculpé pour terrorisme et 15 meurtres.
Beaucoup d'Australiens ont déjà rendu hommage aux victimes à leur façon.
Vendredi, des centaines de surfeurs et nageurs se sont rassemblés pour un hommage sur la plage de Bondi, formant un cercle géant dans les vagues. Samedi, des sauveteurs en mer ont à leur tour observé trois minutes de silence.
Audit sur la sécurité
Le Premier ministre a annoncé dimanche avoir ordonné un audit du fonctionnement de la police et du renseignement après l'attentat "pour protéger les Australiens".
"L'atrocité inspirée par l'Etat islamique (EI) dimanche dernier montre l'évolution rapide du contexte de sécurité dans notre pays", a-t-il déclaré. "Nos agences de sécurité doivent être en mesure d'y répondre de la meilleure façon possible."
Naveed Akram, le fils, avait été interrogé par le renseignement australien en 2019 pour potentielle radicalisation, mais les autorités ont jugé alors qu'il ne constituait pas une menace. Son père a également été interrogé, mais a réussi à obtenir un permis de port d'armes lui permettant de posséder six fusils.
Le gouvernement a annoncé un renforcement des lois contre l'extrémisme et sur la détention d'armes.
La tuerie a plus généralement forcé le pays à remettre en question sa politique de lutte contre l'antisémitisme, et à constater son échec à protéger les juifs australiens.
Cri d'alarme
De nombreux membres de la communauté juive ont critiqué le gouvernement travailliste, estimant que leur cri d'alarme face à la montée de l'antisémitisme depuis le 7-Octobre n'a pas été pris en compte.
Pour le rabbin Yossi Friedman, "le message était clair depuis un peu plus de deux ans". "Est-ce que nous nous sentons en sécurité? Pour être honnête, pas vraiment".
Une série d'obsèques ont été organisées cette semaine par les familles, dont celles, particulièrement poignantes, de la petite Matilda, 10 ans.
Une équipe d'enquêteurs de la police et des renseignements se penche à présent sur les déplacements et les contacts des deux suspects, notamment un voyage qu'ils ont effectué dans le sud des Philippines quelques semaines avant l'attaque.
"Nous allons identifier les méthodes, les moyens et les connexions de ces criminels présumés afin de déterminer avec qui ils ont communiqué avant l'attaque", a déclaré Krissy Barrett, la cheffe de la police fédérale australienne.
Interrogé dimanche sur la question de savoir si l'attaque aurait pu être évitée, Chris Minns, le Premier ministre des Nouvelle-Galles du Sud où se trouve Sydney, a répondu: "Je ne sais pas. C'est quelque chose qui m'empêche de dormir la nuit et qui me préoccupe beaucoup".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Afrique du Sud: neuf personnes tuées vers Johannesburg
Des hommes armés ont ouvert le feu dans un bar près de Johannesburg, tuant neuf personnes et faisant 10 blessés, a annoncé dimanche la police sud-africaine. Il s'agit de la seconde tuerie de ce genre dans le pays ce mois-ci.
La fusillade a eu lieu dimanche vers 01h00 (samedi vers minuit en Suisse) dans une "taverne" - un bar clandestin - puis en pleine rue à Bekkersdal, un township pauvre situé dans une zone minière aurifère à quelque 40 kilomètres au sud-ouest de Johannesburg, la capitale économique de l'Afrique du Sud.
Ce drame fait suite à une fusillade similaire le 6 décembre, lorsque des hommes armés avaient pris d'assaut un foyer de travailleurs à Pretoria, tuant 11 personnes dont un enfant de trois ans dans un lieu qui, selon la police, accueillait un autre bar informel.
A Bekkersdal, "certaines victimes ont été abattues au hasard dans la rue par des hommes armés non identifiés", a écrit dans un communiqué la police, qui a d'abord évoqué 10 personnes tuées avant de réviser son bilan à neuf morts.
La plupart des assaillants étaient armés de pistolets et l'un d'eux portait un fusil-mitrailleur AK-47, a déclaré sur les lieux le commissaire-adjoint de la police provinciale, Fred Kekana, à la chaîne de télévision SABC.
"Ils sont entrés dans le bar et ont ouvert le feu au hasard sur les clients", a-t-il précisé.
Tués puis volés
Trois personnes ont été tuées à l'intérieur de l'établissement et d'autres ont été blessées en tentant de s'échapper, les assaillants continuant de leur tirer dessus pendant qu'elles fuyaient, a-t-il ajouté.
"Il semblerait également qu'après avoir tiré sur les victimes, ils les aient fouillées. Ils leur ont volé leurs objets de valeur, notamment leurs téléphones portables", a précisé M. Kekana.
Parmi les tués figure un chauffeur de VTC qui passait en voiture devant le bar.
"C'est de la criminalité pure et simple", a déploré M. Kekana. La police a lancé une chasse à l'homme pour retrouver les agresseurs et demandé l'aide de la population.
L'Afrique du Sud, pays le plus industrialisé du continent, est aux prises avec une criminalité et une corruption endémiques, alimentées par des réseaux organisés et des gangs.
Le pays regorge d'armes à feu, légales et surtout illégales, et les fusillades sont fréquentes, souvent alimentées par la rivalité entre gangs et la concurrence entre entreprises informelles.
Tueries en série
Le bar visé par une attaque à Pretoria au début du mois était un établissement clandestin situé dans un foyer pour travailleurs migrants du township de Saulsville. Parmi les victimes figuraient des enfants âgés de 3, 12 et 16 ans.
Le pays a également été choqué par l'assassinat, le 16 décembre en plein jour, dans le centre de Johannesburg, d'un ancien animateur radio populaire, Warris Stock, connu sous le nom de DJ Warras, abattu devant un immeuble où il s'était rendu dans le cadre de son travail pour une société de sécurité privée.
Autre meurtre très médiatisé, un témoin dans une enquête pour corruption a été tué par balle devant sa famille le 5 décembre, quelques semaines après avoir témoigné contre un chef de police municipale.
Le meurtre de Marius Van der Merwe, 41 ans, a relancé un débat sur le ciblage des lanceurs d'alerte qui fournissent des informations sur la criminalité et la corruption, y compris dans le secteur public et les affaires impliquant des responsables gouvernementaux.
L'Afrique du Sud a un des taux d'homicides les plus élevés au monde. Entre avril et septembre, environ 63 personnes ont été tuées chaque jour dans le pays de 63 millions d'habitants, selon les données de la police sud-africaine.
En septembre 2024, dans une des fusillades récentes les plus meurtrières, 18 membres d'une même famille avaient été abattus dans une ferme isolée de la province du Cap-Oriental.
Les victimes, réunies pour une cérémonie traditionnelle, étaient âgées de 14 à 64 ans, dont 15 femmes. Plusieurs hommes ont été arrêtés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Poutine "prêt au dialogue avec Macron", selon son porte-parole
Le président russe Vladimir Poutine est "prêt au dialogue" avec son homologue français Emmanuel Macron, a déclaré dans la nuit de samedi à dimanche le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à l'agence russe RIA Novosti.
"Il (M. Macron) a dit qu'il était prêt à parler avec Poutine. Il est probablement très important de rappeler ce que le président a dit lors de Ligne directe (ndlr: sa grande conférence de presse annuelle vendredi). Il a également exprimé le fait qu'il était prêt à engager le dialogue avec Macron", a expliqué M. Peskov.
Le porte-parole de la présidence russe faisait référence à une déclaration d'Emmanuel Macron vendredi matin à Bruxelles, à l'issue d'un sommet où l'Union européenne a trouvé un accord pour débloquer un prêt de 90 milliards d'euros pour soutenir l'Ukraine.
"Je pense qu'il va redevenir utile de parler à Vladimir Poutine", avait dit le président français devant la presse.
"Je constate qu'il y a des gens qui parlent à Vladimir Poutine", avait-il ajouté, en allusion au président américain Donald Trump, qui a renoué le dialogue avec son homologue russe.
"Donc je pense que nous, Européens et Ukrainiens, on a intérêt à trouver le cadre pour réengager cette discussion en bonne et due forme. Sinon, on discute entre nous avec des négociateurs qui vont seuls discuter avec les Russes, ce qui n'est pas optimal", avait insisté Emmanuel Macron.
De fait, des émissaires de Donald Trump mènent une série de pourparlers séparés, avec Moscou d'une part, et avec les Ukrainiens et les Européens d'autre part, dans l'espoir d'aboutir à un accord sur le conflit en Ukraine.
Des négociateurs ukrainiens, européens et américains se trouvent ce week-end à Miami, en Floride, pour ces discussions menées par Steve Witkoff, l'envoyé spécial de Donald Trump, et Jared Kushner, le gendre du président des Etats-Unis.
L'émissaire russe Kirill Dmitriev est également à Miami depuis samedi.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé samedi Washington à accentuer la pression sur Moscou, en vue d'un accord pour mettre fin au conflit déclenché par l'offensive russe de février 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Odermatt vise un 6e succès en géant à Alta Badia
Le marathon italien se poursuit pour Marco Odermatt. Après les trois courses de vitesse de Val Gardena, le Nidwaldien retrouve dimanche l'un de ses terrains de jeu favori avec le géant d'Alta Badia.
Marco Odermatt est même quasiment intouchable dans la station des Dolomites. Il y a fêté cinq de ses 28 succès obtenus en géant sur le front de la Coupe du monde, et reste sur quatre victoires consécutives: une en 2022 - au lendemain d'une 3e place -, deux en 2023 et une en 2024.
Le Nidwaldien, qui s'était également imposé à Alta Badia en 2021 dans sa discipline fétiche, pointe déjà en tête de la Coupe du monde de la spécialité malgré son élimination à Copper Mountain. Vainqueur à Sölden et à Beaver Creek, il reste sur une troisième place à Val d'Isère où Swiss-Ski avait signé un fameux triplé.
Vainqueur pour la première fois de l'hiver dans la station française, Loïc Meillard espère quant à lui confirmer son retour au tout premier plan. Le skieur d'Hérémence est toujours en quête d'un premier podium en géant à Alta Badia. Deuxième à Val d'Isère, Luca Aerni skiera quant à lui sans trop de pression après avoir validé son ticket pour les JO 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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