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Climat

Texas: la sécheresse laisse apparaître des traces de dinosaures

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L'acrocanthosaure pouvait mesurer cinq mètres et peser sept tonnes (archives). (© KEYSTONE/AP University of Arkansas/RUSSELL COTHREN)

Des traces de pas de dinosaures, vieilles d'environ 113 millions d'années, sont apparues au grand jour au Texas dans le lit d'une rivière asséchée. Elles étaient auparavant enfouies, remplies de sédiments et recouvertes d'eau, ce qui a aidé à leur conservation.

"A cause de conditions de sécheresse excessives cet été, la rivière s'est complètement asséchée dans la plupart des endroits, ce qui a permis de révéler de nouvelles traces dans le parc", a déclaré mardi une responsable du département en charge des parcs et de la faune du Texas.

Leur découverte a ravi les employés de ce parc, situé près de la ville de Dallas et nommé "Dinosaur Valley" en raison de la présence de nombreuses traces de dinosaures dans son enceinte.

Il pourrait s'agir de l'une des plus longues suites de traces de pas de dinosaures au monde, selon la légende de ces impressionnantes images publiées par le parc sur les réseaux sociaux. On y voit des bénévoles aider à les nettoyer afin de mieux les distinguer.

Un dinosaure de cinq mètres

"La plupart des traces qui ont récemment été découvertes à différents endroits de la rivière dans le parc ont été laissées par un Acrocanthosaurus", a précisé la responsable. Adulte, ce théropode pouvait mesurer cinq mètres et peser sept tonnes.

Le Sauroposéidon est l'autre espèce de dinosaures ayant laissé des traces dans le parc. Il pouvait avec son long cou mesurer jusqu'à 18 mètres de haut et peser 44 tonnes une fois adulte.

"Les traces de dinosaures dans le parc remontent à 113 millions d'années", a ajouté la responsable. Le parc a ouvert en 1972 afin de protéger ces traces anciennes, selon son site.

Mais les curieux ne pourront pas admirer ces nouveaux pas préhistoriques longtemps, car ils seront bientôt de nouveau recouverts d'eau avec l'arrivée de la pluie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Fionnay (VS): le randonneur blessé a succombé à ses blessures

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Le randonneur de 27 ans est décédé mardi à l'hôpital de Sion (archives). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Le randonneur suisse de 27 ans qui avait été grièvement blessé dans une avalanche samedi dans la région de Mauvoisin (VS) a succombé à ses blessures. L'infortuné est décédé mardi à l'hôpital de Sion.

Dans la matinée de samedi, deux randonneurs à ski avaient quitté Fionnay en direction du Grand Tavé via la cabane FXB de Panossière. Parvenus au sommet vers 14h30, ils avaient entrepris la descente d'un couloir menant à Mauvoisin. A une altitude d'environ 2300 mètres, une avalanche s'était alors déclenchée emportant l'un des skieurs sur plusieurs centaines de mètres.

Sa coéquipière avait immédiatement donné l'alerte et entrepris les premières recherches à l'aide de son détecteur de victime d'avalanche (DVA). Elle avait ainsi pu la localiser avant l'arrivée des secours. Héliportée à l'hôpital de Sion dans un état grave, l'homme y est finalement décédé mardi.

"Cet événement tragique souligne la nécessité d'une vigilance accrue en montagne, particulièrement avec les chutes de neige annoncées, qui pourraient encore accroître le risque d'avalanches", souligne la Police cantonale valaisanne dans un communiqué.

Le Ministère public a ouvert une instruction pour déterminer les circonstances de l'accident.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Climat

En proie aux feux, Los Angeles s'inquiète de vents "critiques"

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Les feux à Los Angeles ont fait depuis le 7 janvier au moins 27 morts, détruit près de 16'000 hectares et dévasté certains quartiers (archives). (© KEYSTONE/AP/Richard Vogel)

Le sud de la Californie était balayé lundi par de nouveaux vents puissants, créant des conditions météorologiques "critiques" autour de Los Angeles, toujours en proie à des incendies destructeurs. Certaines rafales de vent ont la puissance d'un ouragan.

Les pompiers continuent de faire des progrès face aux flammes, qui ont fait depuis le 7 janvier au moins 27 morts, détruit près de 16'000 hectares et dévasté certains quartiers et banlieues de la mégapole américaine. Mais le danger d'une reprise n'est toujours pas écarté, à cause du retour de vents violents.

Certaines rafales ont dépassé les 140 km/h lundi, une puissance comparable à celle d'un ouragan. Combiné au manque de pluie qui assèche la région depuis huit mois, cela crée des conditions propices à la propagation du feu.

"Nous nous attendons à ce que cela continue à créer des conditions météorologiques extrêmement critiques pour les incendies dans toute la région", a expliqué Ariel Cohen, des services météorologiques américains (NWS). "Tous les incendies qui se forment peuvent croître de manière explosive. Il s'agit donc d'une situation particulièrement dangereuse", a-t-il ajouté.

Critiquées pour leur gestion de la catastrophe, les autorités ont pré-déployé des pompiers et des camions dans les zones à risques.

"Je pense que nous serons très, très bien préparés au pire scénario possible au cours des deux prochains jours et j'espère que nous n'en arriverons pas là", a assuré la maire de Los Angeles, Karen Bass.

Trump attendu sur place

L'incendie le plus important, le Palisades Fire, était contenu à 59% lundi, et les autorités ont réduit l'étendue des zones concernées par un ordre d'évacuation. L'incendie d'Eaton, qui a notamment ravagé la ville d'Altadena, au nord de Los Angeles, était lui circonscrit à 87%.

Los Angeles recense toujours l'ampleur des dégâts, qui vont bouleverser la vie de milliers de personnes, bien au-delà des seules victimes d'incendies.

Endeuillée, la ville se pose aussi beaucoup de questions sur sa reconstruction et voit les querelles politiques autour de la gestion des feux s'envenimer.

Donald Trump est attendu en Californie en fin de semaine. Sa visite sera scrutée par les habitants, car le milliardaire républicain a par le passé menacé de couper les aides fédérales aidant la Californie à lutter contre les incendies.

"Nous regardons des incendies qui brûlent encore tragiquement depuis des semaines sans même un geste de défense", a lancé le tribun lundi, lors de son discours d'investiture comme nouveau président des Etats-Unis.

"Nous ne pouvons pas laisser faire cela. Tout le monde est incapable de faire quoi que ce soit. Cela va changer", a-t-il ajouté, en critiquant en creux la gestion de cet Etat démocrate.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Une avalanche emporte un randonneur à Fionnay (VS)

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Un Suisse de 27 ans a été grièvement blessé dans une avalanche samedi dans la région de Mauvoisin (VS) (photo d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Un randonneur suisse de 27 ans s'est grièvement blessé, samedi dans la région de Mauvoisin (VS). L'infortuné a été pris dans une avalanche.

Dans la matinée, deux randonneurs à ski ont quitté Fionnay en direction du Grand Tavé via la cabane FXB de Panossière. Parvenus au sommet vers 14h30, ils ont entrepris la descente d’un couloir menant à Mauvoisin. A une altitude d’environ 2'300 mètres, une avalanche s’est déclenchée emportant l’un des skieurs sur plusieurs centaines de mètres.

La coéquipière de la victime a immédiatement donné l’alerte et entrepris les premières recherches à l’aide de son détecteur de victime d’avalanche (DVA). Elle a ainsi pu la localiser avant l’arrivée des secours. La victime a été héliportée à l’hôpital de Sion dans un état grave.

Le Ministère public a ouvert une instruction pour déterminer les circonstances de l’accident. L’intervention a mobilisé la Police cantonale valaisanne, l’OCVS144 et deux hélicoptères d’Air-Glaciers.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Climat

Mayotte commence à ressentir les effets d'une tempête tropicale

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Une nouvelle tempête tropicale s'approche de Mayotte. Fin décembre, des femmes faisaient la queue à un point de distribution d'eau à Mamoudzou. (© KEYSTONE/AP/Adrienne Surprenant)

Rétrogradé au rang de tempête tropicale, Dikeledi se rapprochait dimanche matin de l'archipel de Mayotte. Les premières inondations ont été signalées sur la côte sud.

Les pluies dimanche se sont abattues sur le village de Mbouini, une des rares localités à avoir été épargnées par le cyclone Chido qui a ravagé l'île il y a moins d'un mois.

A 12h14 locales (10h14 à Paris), la tempête tropicale se trouvait à 120 km au sud de Mayotte, a indiqué Météo-France dans son dernier point de situation. Dikeledi se déplaçait direction ouest-sud-ouest à la vitesse de 30 km/h. La tempête devrait passer à plus de 100 km au sud de l'archipel.

Sur l'île, pluie et vent se sont intensifiés dans la matinée. "De très fortes pluies pouvant générer des crues soudaines, des inondations et des glissements de terrain sont attendus dans les prochaines heures et une bonne partie de la journée. Des rafales pouvant atteindre 80 à 90 km/h sont possibles, notamment sur la partie sud de l'île", a mis en garde Météo-France.

La chaîne Mayotte-La 1ère a diffusé des images du village de Mbouini "complètement inondé et dévasté". A Hamouro (est), les ravines étaient en crue. Des pluies tombant "de manière torrentielle" étaient signalées à Pamandzi, dans le sud de l'île de Petite-Terre.

La population de Mayotte qui compte 320'000 habitants est confinée depuis samedi soir 22h00 locales avec interdiction de se déplacer jusqu'à nouvel ordre, l'île étant placée sous alerte rouge cyclonique depuis samedi soir.

Durant toute la durée de l'alerte, toute circulation est interdite hormis pour les secours et les personnes autorisées.

Mais à Mamoudzou, des gens étaient dans la rue, ont constaté des journalistes de médias locaux, profitant pour certains de la pluie pour laver leur véhicule.

"Tenir"

Quatre vingts centres d'hébergement d'urgence (écoles, MJC, mosquées...), mis en place dans toutes les communes de l'archipel, accueillent quelque 14'500 personnes, a indiqué à l'AFP le ministère des Outre-mer, précisant que pour l'instant la situation était "calme".

Certaines communes ont dû abriter davantage de personnes par rapport à Chido, tout en ayant moins de centres ouverts.

La population a été appelée à constituer des stocks d'eau et de nourriture pour "tenir le temps du cyclone", a exhorté la préfecture.

Le trafic des barges (ferrys locaux) a été mis à l'arrêt samedi à 19h00 locales, l'aéroport international Marcel-Henry dès 16h00 locales.

Après avoir atteint la côte nord-est de Madagascar samedi après-midi, le cyclone a commencé à s'affaiblir pour être rétrogradé au stade de forte tempête tropicale, avec des rafales de vent pouvant atteindre sur mer les 150 km/h en rafales, selon Météo-France.

La tempête tropicale devrait être de nouveau classée cyclone tropical lundi. Dans les prochaines heures, Dikeledi "va continuer de s'intensifier en atteignant possiblement le stade de cyclone tropical intense en effectuant un virage vers le sud puis le sud-est en début de semaine prochaine", selon Météo-France.

En termes d'impacts, la province d'Antsiranana à Madagascar a subi les conditions les plus intenses ces dernières heures. Mais les vents devraient progressivement diminuer, ainsi que les pluies intenses. La mer reste dangereuse sur la côte ouest.

Aux Comores, de fortes pluies sont attendues en journée, notamment sur les reliefs.

Au Mozambique, Dikeledi pourrait s'approcher des côtes de la province de Nampula lundi. De fortes pluies, des vents forts et un état de mer dangereux avec des submersions marines sont possibles.

"Très inquiet"

Quelque 645 personnels de la Sécurité civile ont été pré-positionnés dans des lieux stratégiques de l'archipel pour intervenir le plus rapidement possible à l'issue de l'alerte cyclonique.

Le ministre des Outre-Mer Manuel Valls a assuré samedi à l'AFP que "rien n'(avait été) laissé au hasard" pour assurer la sécurité des Mahorais.

"On est très inquiet vu ce qui s'est passé la première fois", a cependant confié Ali Ahmed, un habitant de Mamoudzou, à une correspondante de l'AFP sur place, avant d'être confiné.

Chido a causé des dommages colossaux faisant au moins 39 morts et plus de 5600 blessés, détruisant de très nombreuses habitations précaires et en dur du 101e département français.

Les cyclones se développent habituellement dans l'océan Indien de novembre à mars. Cette année, les eaux de surface sont proches de 30°C dans la zone, ce qui fournit plus d'énergie aux tempêtes, un phénomène de réchauffement climatique observé également cet automne dans l'Atlantique nord et le Pacifique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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