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"La balle est dans le camp de la Russie", dit Londres

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Le premier ministre britannique Keir Starmer préside une réunion virtuelle avec une coalition de pays "volontaires" pour aider au respect d'une éventuelle trêve avec Moscou. (© KEYSTONE/AP/Leon Neal)

"La balle est dans le camp de la Russie" qui devra "tôt ou tard venir à la table" des négociations, a déclaré samedi le Premier ministre britannique Keir Starmer. Il s'exprimait à l'issue d'un sommet virtuel organisé avec plus d'une trentaine d'alliés de l'Ukraine.

Les responsables militaires des pays soutenant Kiev se rencontreront jeudi au Royaume-Uni pour discuter de la "phase opérationnelle" de leur plan de maintien de la paix en cas de trêve entre Russes et Ukrainiens après trois ans de guerre, a-t-il en outre annoncé au cours d'une conférence de presse à Downing Street.

Alors que l'Ukraine a montré qu'elle était "pour la paix" en acceptant un cessez-le feu de 30 jours, Vladimir "Poutine est celui qui essaie de retarder" les choses, a déclaré M. Starmer au début de la réunion.

Le président russe "veut tout obtenir, puis négocier", a renchéri le chef de l'Etat français Emmanuel Macron, selon lequel la Russie "ne donne pas l'impression de vouloir la paix sincèrement".

Moscou veut arriver à une "position plus solide" sur le champ de bataille avant d'accepter un arrêt provisoire des hostilités, a jugé Volodymyr Zelensky, également partie prenante à ce sommet.

"Poutine est celui qui aujourd'hui n'est pas d'accord avec ce que Trump a proposé à l'Ukraine et à la Russie", a lâché le président ukrainien, qui a parallèlement désigné une équipe de négociateurs en vue de possibles pourparlers de paix.

"Poutine ment aussi sur le fait qu'un cessez-le-feu est supposément trop compliqué. En réalité, tout peut être contrôlé et nous en avons discuté avec les Américains", auteurs cette proposition de trêve, a encore dit M. Zelensky.

Faire pression sur Moscou

Le chef de l'Etat russe "devra tôt ou tard (...) s'engager dans des discussions sérieuses", a insisté Keir Starmer, alors que Moscou pose des conditions en vue d'une trêve.

"La balle est dans le camp de la Russie", a-t-il martelé.

"Le 'Oui, mais' de la Russie ne suffit pas et tous les participants à la réunion de ce matin sont convenus d'exercer une pression collective" sur elle pour la pousser à accepter la proposition de Washington, a relevé le Premier ministre britannique.

Si Moscou refuse de signer ce plan, "nous devons alors faire tout notre possible pour accroître la pression économique sur la Russie afin de mettre un terme à cette guerre", a prévenu M. Starmer.

"Si nous voulons la paix, il faut que la Russie réponde clairement et que la pression soit claire, en lien avec les États-Unis, pour obtenir ce cessez-le-feu", a acquiescé M. Macron.

La Russie doit "enfin" oeuvrer pour une "paix juste" en Ukraine, a exhorté le chancelier Scholz, notant "l'importance du rôle de leader joué" par Donald Trump.

"Désormais, la Russie doit montrer qu'elle soutient un cessez-le-feu qui mène à une paix juste et durable", a demandé la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

Les Américains réclament une trêve au plus vite et ont dans ce but fait peser un poids considérable sur Volodymyr Zelensky, tandis que Vladimir Poutine a évoqué des "questions importantes" à régler avant d'à son tour donner son accord.

"Nouveaux engagements"

Depuis deux semaines, Keir Starmer et Emmanuel Macron s'efforcent pour leur part de constituer une "coalition de pays volontaires", dont l'objectif serait de dissuader Moscou de violer cette éventuelle trêve.

De nombreux Etats européens, l'Ukraine, la Turquie, l'Otan, la Commission européenne, le Canada ou encore l'Australie ont participé au sommet virtuel pour en dessiner les contours.

La contribution des pays alliés à Kiev pourrait prendre la forme d'un envoi de troupes - un engagement que Paris, Londres et Ankara se sont dit prêts à prendre - ou d'un soutien plus logistique.

Le chef du gouvernement britannique a à cet égard évoqué de "nouveaux engagements mis sur la table" samedi par un groupe "plus grand" qu'il y a deux semaines.

Son homologue italienne Giorgia Meloni, sous pression de son allié d'extrême droite Matteo Salvini, a quant à elle confirmé après la réunion que l'Italie ne prévoyait pas de dépêcher des militaires.

La Russie refuse de son côté de donner son feu vert à l'éventuel déploiement de forces européennes de maintien de la paix.

Et elle a émis des revendications maximalistes en vue d'une cessation des hostilités : reddition de facto de l'armée ukrainienne, cession par l'Ukraine de cinq régions annexées par Moscou, abandon des ambitions de ce pays de rejoindre l'Otan, démantèlement du pouvoir en place à Kiev.

En attendant, les forces russes, dont les avancées ces derniers jours dans la région frontalière russe de Koursk sont importantes, ont annoncé samedi y avoir repris deux nouveaux villages aux soldats ukrainiens.

L'Ukraine a quant à elle affirmé le même jour avoir abattu 130 drones lancés dans la nuit par la Russie sur l'ensemble de son territoire, cependant que la Russie a assuré avoir intercepté 126 de ces engins d'attaque envoyés par les Ukrainiens.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Le bénéfice de Volkswagen a dérapé de 40% début 2025

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Souffrant notamment d'effets exceptionnels, Volkswagen vu son bénéfice net chuter de 40,6% en un an au premier trimestre à 2,19 milliards d'euros (archives). (© KEYSTONE/EPA/ALEX PLAVEVSKI)

Volkswagen, fleuron en crise de l'industrie automobile allemande, a fait état mercredi d'une chute de son bénéfice net au 1er trimestre, malgré la hausse des ventes. Le recul reflète notamment la baisse des livraisons des modèles les plus rentables.

Le groupe a dégagé un bénéfice net de 2,19 milliards d'euros (2,05 milliards de francs), en baisse de 40,6% sur un an, a-t-il indiqué dans un communiqué.

C'est mieux que ce que prévoyaient les analystes sondés par la plateforme financière Factset, qui tablaient sur un bénéfice divisé par deux.

Cette baisse contraste avec la hausse du chiffre d'affaires, de 3%, à 77,56 milliards d'euros, porté par le retour à la hausse des livraisons de voitures dans le monde (+1,4%), notamment aux Etats-Unis (+4,4%), le deuxième marché national du groupe après la Chine, où les ventes ont continué de dégringoler (-7,1%).

Le groupe aux dix marques, qui comprend également Audi, Porsche et Skoda, avait publié début avril un avertissement sur résultats en raison "d'effets exceptionnels".

La baisse de la rentabilité des ventes, à seulement 3,7% contre 6,8% à la même période l'an dernier, est notamment due à la baisse des livraisons de voitures de luxe, les plus rentables, et à une hausse des coûts fixes, explique le communiqué.

En outre, les provisions qu'il a dû constituer en lien avec les objectifs d'émissions de CO2 de l'Union européenne ainsi que les coûts de restructuration de Cariad, son unité de logiciels en difficulté, ont pesé sur ce résultat, a-t-il prévenu début avril.

Volkswagen avait également évoqué la dépréciation du coût des véhicules en transit à cause des droits d'importation supplémentaires de 25% introduits aux États-Unis au début du mois d'avril.

Déjà affaibli par la chute de sa rentabilité, qui a conduit le groupe à annoncer l'hiver dernier la suppression de 35'000 emplois, Volkswsagen est particulièrement touché par la hausse des droits de douane car la grande majorité des voitures qu'il vend à la clientèle américaine est importée.

Mi-avril, le PDG du groupe, Oliver Blume, a évoqué dans la presse allemande la possibilité de relocaliser une partie de la production de la marque Audi aux États-Unis.

Le groupe doit faire face "à un environnement d'incertitude politique, de restrictions commerciales et de tensions géopolitiques croissantes (...)", indique le communiqué.

Il a toutefois maintenu ses prévisions pour l'année 2025, tablant toujours sur une rentabilité des ventes entre 5,5 et 6,5%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Vietnam: parade géante pour les 50 ans de la chute de Saïgon

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La parade militaire a commencé dans la matinée à Ho Chi Minh-Ville, l'ancienne Saïgon. (© KEYSTONE/EPA/STRINGER)

Le Vietnam célèbre mercredi en grande pompe les 50 ans de la chute de Saïgon, qui avait marqué la réunification du pays sous l'égide du Parti communiste, en présence, pour la première fois, de soldats chinois.

La parade militaire a commencé dans la matinée à Ho Chi Minh-Ville, l'ancienne Saïgon, avec vers la tête du cortège un char portant le portrait du leader révolutionnaire Ho Chi Minh, survolé par des avions de chasse et des hélicoptères traînant des drapeaux, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Plus de 13'000 personnes participent au défilé dans cette cité ou le Sud pro-américain a acté sa reddition le 30 avril 1975, au terme de l'un des épisodes les plus marquants de la guerre froide.

"On va passer du bon temps", a anticipé auprès de l'AFP Tran Hoang Yen, une Saïgonnaise de 22 ans, en posant en robe traditionnelle devant le palais de l'Indépendance, qui servait de résidence au président du Sud-Vietnam. "Ca n'arrive qu'une fois dans la vie."

Depuis plusieurs jours, une ambiance festive a gagné la mégapole, où flotte une myriade de drapeaux, dont celui, rouge et bleu, frappé d'une étoile dorée, de l'armée Viet Cong.

Le 30 avril est célébré comme étant "le jour de la réunification" par le Parti communiste.

"Nous devons notre succès (...) à l'immense soutien venu d'Union soviétique, de Chine (...) et à la solidarité du Laos et du Cambodge", a décrit le secrétaire général du Parti communiste vietnamien, To Lam, lors d'un discours en amont du défilé.

Considéré comme le dirigeant le plus puissant du Vietnam, il a également rendu hommage aux "progressistes du monde entier parmi lesquels des Américains".

Dans un article paru dimanche sur le portail d'informations du gouvernement, To Lam a dit espérer que le pays se débarrassera de "la haine, de l'esprit de séparation ou de division" afin d'éviter aux jeunes générations la guerre.

Amnisties

Le gouvernement va libérer à partir de jeudi 8000 prisonniers pour marquer l'événement, mais aucun militant politique, dans un contexte de répression accrue de toute voix critique du pouvoir, selon les organisations de défense des droits.

"Je ne ressens plus de haine pour ceux qui étaient de l'autre côté. Nous devons nous donner la main pour célébrer la fin de la guerre", assure Tran Van Truong, un ancien combattant de 75 ans, venu de Hanoï.

Le conflit a fait des millions de morts côté vietnamien dont de nombreux civils tués dans des bombardements. Des centaines de milliers d'autres ont été blessés, dont de nombreux intoxiqués par l'agent orange, herbicide contenant de la dioxine qui avait été pulvérisé par les Américains sur de vastes étendues du pays.

Côté américain, quelque 58'000 soldats ont trouvé la mort. La guerre du Vietnam reste pour Washington la première grande défaite d'une superpuissance qui se pensait imbattable.

Pendant longtemps, cette victoire a servi de fondement pour légitimer la mainmise au pouvoir du Parti communiste, avant que son autorité ne devienne liée à la croissance économique et à l'amélioration du niveau de vie.

Pour la première fois, 300 soldats venus des trois pays qui partagent une frontière terrestre avec le Vietnam - Chine, Laos et Cambodge - ont participé au défilé.

Pékin a soutenu le Vietnam du Nord durant la guerre, mais les deux pays se sont opposés en 1979 dans un bref conflit frontalier. Depuis, des différends liés à des îlots en mer de Chine méridionale restent comme des pierres dans le jardin de leur histoire commune.

"Reconnaissance"

"Je pense que Hanoï signale à la Chine sa reconnaissance pour sa contribution historique", explique Zach Abuza, professeur au National War College à Washington.

"C'est aussi une autre manière pour eux de dire: 'Ne pensez pas que notre politique étrangère penche vers les Américains. Nous sommes indépendants et neutres'", poursuit-il.

Selon les médias d'Etat vietnamiens, plus de 300'000 soldats chinois ont participé à la guerre du Vietnam, apportant un soutien crucial à la défense antiaérienne, à la logistique et au ravitaillement.

Le défilé tombe également deux semaines après la visite à Hanoï du président chinois Xi Jinping, dans un contexte d'offensive protectionniste américaine.

Le Vietnam veille à entretenir de bonnes relations avec la Chine et les Etats-Unis, afin de maximiser ses intérêts commerciaux, dans la lignée de sa "diplomatie du bambou".

Dans un pays où une majorité de la population est née après la guerre, un certain enthousiasme semblait circuler sur les réseaux sociaux et les médias, complètement contrôlés par le pouvoir.

"Je pense que beaucoup de jeunes sont très impatients à l'idée de sortir et de voir de très beaux jeunes soldats et de très belles femmes qui sont dans l'armée", a estimé Vu Minh Hoang, professeur d'histoire et d'études vietnamiennes à l'université Fulbright, à Ho Chi Minh-Ville.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Mercedes-Benz a vu chuter son bénéfice trimestriel de 43%

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Entre janvier et fin mars, Mercedes-Banz a vu son bénéfice net chuter à 1,73 milliard d'euros (1,62 milliard de francs), un résultat inférieur aux prévisions des analystes et reflet des difficultés rencontrées par le secteur (archives). (© KEYSTONE/EPA/ALEX PLAVEVSKI)

Mercedes-Benz a annoncé mercredi une chute de 43% de son bénéfice net au premier trimestre de 2025. Le constructeur automobile allemand a mis en garde sur des "effets significatifs" en cas de persistance des droits de douane.

De janvier à mars, le bénéfice net a chuté à 1,73 milliard d'euros (1,62 milliard de francs), un résultat inférieur aux prévisions des analystes et reflet des difficultés rencontrées par le secteur.

L'incertitude liée aux politiques commerciales et à leurs effets sur la demande "rend toute prévision fiable impossible pour le reste de l'année", prévient le groupe.

Si les politiques commerciales actuelles perdurent, les marges des divisions automobile et vans, ainsi que les flux de trésorerie associés,seront impactés, selon un communiqué.

La marge ajustée sur les ventes de la division automobile a représenté 7,3% au premier trimestre, ce qui est dans la lignée des attentes. Elle doit toujours être comprise entre 6% et 8% sur l'année.

En tout 446'300 véhicules particuliers de la marque à l'étoile ont été vendus jusqu'à fin mars dans un environnement de marché jugé "dynamique" et avant le lancement commercial d'un nouveau coupé sportif CLA.

Le président américain, Donald Trump, a allégé mardi le fardeau des droits de douane pour les constructeurs automobiles fabriquant aux Etats-Unis avec des pièces importées, notamment en évitant un cumul de ces taxes en vigueur depuis début avril.

Mercedes exporte notamment des véhicules de taille moyenne depuis l'Europe (Mercedes GLC et Classe C) et produit des SUV dans une usine américaine de l'Etat d'Alabama.

Le groupe de Stuttgart a déjà dit envisager d'augmenter sa production et de transférer celle d'un modèle supplémentaire aux Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Hockey

Une défaite mortifiante pour les Devils

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La détresse du gardien Jacob Markstrom, d' Erik Haula (56) et du capitaine Nico Hischier après le but de Sebastian Aho dans la seconde prolongation. (© KEYSTONE/AP/Karl B DeBlaker)

La messe est dite pour New Jersey ! A Raleigh, les Devils ont concédé la défaite de trop face à Carolina pour fermer le livre d’une saison qu’ils espéraient plus glorieuse.

Menés pourtant... 3-0 à la 10e minute, les Hurricanes se sont imposés 5-4 grâce à une réussite de Sebastian Aho après 4’17’’ de jeu dans la seconde prolongation pour remporter 4-1 cette série. Le Finlandais a marqué sur une séquence à cinq contre quatre en raison de la double pénalité de 2 minutes infligée à Dawson Mercer pour une canne haute sur Jesperi Kotkaniemi.

Meier et Hischier marquent en vain

Comme en 2023, New Jersey échoue en play-off devant Carolina, qui affrontera au prochain tour le vainqueur de la série entre Washington et Montréal. Cette défaite dans l’Acte V est vraiment mortifiante. Les Devils avaient, en effet, livré un début de rencontre de rêve avec des réussites de Mercer (4e), de Timo Meier (6e) et de Stefan Noesen (10e).

New Jersey a toutefois perdu le fil lors d’une entame de deuxième tiers catastrophique qui a vu Carolina inscrire trois buts en l’espace de 3’54’’. Nico Hischier devait ensuite redonner l’avantage à ses couleurs à la 28e avec son quatrième but dans cette série. Mais Aho, déjà lui, signait le 4-4 à la 32e à 5 contre 4.

Nico Hischier, Timo Meier et Jonas Siegenthaler attendaient davantage de ces play-off qu’une élimination au premier tour. La question désormais est de savoir si ce trio va renforcer l’équipe de Suisse au prochain championnat du monde dans l’idée de rebondir après cet échec.

Kevin Fiala et les Kings au bord de l'élimination

A l’Ouest, Kevin Fiala traverse également des heures difficiles. Battus pour une troisième fois de rang, le Saint-Gallois et Los Angeles sont désormais menés 3-2 par Edmonton. Sur leur glace, les Kings se sont inclinés 3-2 dans l’Acte V. Ils avaient eu pourtant le bonheur d’ouvrir le score à la 24e par Andrei Kuzmenko à cinq contre quatre. Mais Evander Kane (27e) et Mattias Janmark (38e) ont renversé la situation avant le 3-1 dans la cage vide de Ryan Nugent-Hopkins.

Finaliste de la Coupe Stanley l’an dernier, Edmonton aura l’occasion de conclure cette série jeudi à domicile pour s’épargner un septième match à Los Angeles. Pour les Kings, cette série ressemble à une histoire sans fin. Les Oilers les ont, en effet, éliminés ces trois dernières saisons avant ce premier tour qui devait être celui de la grande revanche.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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