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Un ex-trader de Goldman Sachs élu à la présidence de Syriza

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L'ancien trader de Goldman Sachs, Stefanos Kasselakis a été élu dimanche au 2e tour à la présidence du parti de gauche grec Syriza. (© KEYSTONE/EPA/ALEXANDROS VLACHOS)

Un ancien trader de Goldman Sachs, Stefanos Kasselakis a été élu dimanche à la présidence du parti de gauche grec Syriza, en s'imposant à la surprise générale après le départ d'Alexis Tsipras.

Cet homme d'affaires de 35 ans, qui n'a jamais exercé de mandat politique et a passé une grande partie de son existence aux Etats-Unis, a été désigné avec 56,69% des voix des membres de Syriza pour devenir le président du premier parti d'opposition en Grèce.

Inconnu du grand public il y a quelques semaines encore en Grèce, il a battu l'ancienne ministre du Travail d'Alexis Tsipras, Effie Achtsioglou, qui apparaissait pourtant comme la favorite avant ce scrutin interne.

Mais il avait déjà suscité la surprise dimanche dernier en arrivant en tête du premier tour face à quatre autres candidats dont trois anciens ministres.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'armée russe a visé des cibles militaires vers Kiev, huit morts

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Débris d'un drome russe dans la banlieue de Kiev. (© KEYSTONE/EPA/SERGEY DOLZHENKO)

La Russie a affirmé lundi avoir visé des cibles militaires en Ukraine. Ces frappes nocturnes qui ont tué au moins huit personnes dans Kiev et sa région, selon les autorités ukrainiennes.

Ces nouveaux bombardements interviennent au moment où les efforts diplomatiques visant à mettre un terme à la guerre entre Moscou et Kiev déclenchée par l'invasion russe de l'Ukraine en 2022 sont dans l'impasse.

L'attaque, qui a visé principalement Kiev et sa région, a commencé peu avant minuit et duré plus de quatre heures, d'abord avec des drones explosifs, puis des missiles balistiques et de croisières.

Des journalistes de l'AFP ont entendu des vrombissements de drones en vol et des séries de détonations dans la capitale où des familles, certaines avec des animaux domestiques, se réfugiaient dans des abris, des stations de métro ou simplement des passages souterrains.

A Kiev, des frappes ont touché plusieurs quartiers et détruit notamment une section entière d'un immeuble résidentiel de plusieurs étages, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Natalia Marchavska, qui était chez elle quand son immeuble a été touché, a raconté à l'AFP avoir entendu un engin survoler le bâtiment, puis une "explosion" qui l'a projetée vers une porte.

"C'était l'horreur", se lamente-t-elle. "Les fenêtres ont volé en éclats. Dans la pièce, c'était tout noir avec de la fumée".

Au moins sept personnes ont été tuées et une trentaine blessées, selon un nouveau bilan des services de secours.

Dans la région de Kiev, une personne a été tuée et huit autres, dont deux secouristes, ont été blessées dans la ville de Bila Tserkva, au sud de la capitale.

La Russie, comme d'habitude, a affirmé avoir visé des cibles militaires.

"Cette nuit, les forces armées de la Fédération de Russie ont lancé une frappe groupée (...) contre des entreprises du complexe militaro-industriel ukrainien dans la région de Kiev", a affirmé dans un communiqué le ministère russe de la Défense.

"Coalition de meurtriers"

Selon le président ukrainien Volodymyr Zelensky, la Russie a tiré dans la nuit "352 drones dont 159 Shaheds", des drones explosifs de conception iranienne, "et 16 missiles" dont des projectiles balistiques produits par la Corée du Nord.

"Une grande partie des drones et des missiles ont été abattus par nos défenseurs du ciel", a-t-il ajouté en qualifiant Moscou, Téhéran et Pyongyang de "coalition de meurtriers".

Le président ukrainien est arrivé lundi au Royaume-Uni pour rencontrer le roi Charles III et le Premier ministre Keir Starmer en vue d'"approfondir la coopération en matière de défense" entre les deux pays, selon son porte-parole.

M. Zelensky est ensuite attendu au sommet de l'Otan qui s'ouvre mardi à La Haye.

Les villes ukrainiennes sont ciblées chaque nuit par des frappes russes, tandis que les pourparlers entre Kiev et Moscou en vue d'un cessez-le-feu sont dans l'impasse, malgré la pression de Washington.

Dans la capitale ukrainienne, au moins 28 personnes avaient été tuées lors d'une précédente de grande ampleur de Moscou au début de la semaine dernière.

Dans la nuit de dimanche à lundi, une journaliste de l'AFP a vu une dizaine d'habitants se réfugier dans un abri aménagé dans le sous-sol d'un immeuble résidentiel à Kiev.

La plupart consultaient anxieusement leur téléphone pour suivre l'actualité. Plusieurs personnes, dont une femme et son enfant, dormaient sur des lits pliables ou à même le sol, sur des tapis.

Frappes ukrainiennes

L'armée ukrainienne attaque aussi régulièrement le territoire russe. Dans la région de Rostov, une attaque de drones ukrainiens lundi a "provoqué un incendie dans une entreprise industrielle dans le district de Kamenski", a annoncé sur Telegram le gouverneur régional Iouri Slioussar.

Samedi, le commandant en chef des armées ukrainiennes, Oleksandr Syrsky, avait assuré que Kiev allait intensifier ses frappes contre des cibles militaires en profondeur en Russie, trois semaines après une attaque spectaculaire contre des bases aériennes reculées dans ce pays.

"Nous ne nous contenterons pas de rester en défense. Parce que cela n'apporte rien et conduit finalement au fait que nous reculons, perdons des hommes et des territoires", a déclaré le général Syrsky.

L'armée russe, elle, a dit poursuivre son offensive contre la région ukrainienne voisine de Soumy (nord-est). Kiev assure depuis une semaine d'avoir stoppé son avancée dans cette zone.

Moscou occupe actuellement environ un cinquième de l'Ukraine et a déjà revendiqué l'annexion de quatre régions ukrainiennes, qu'elle ne contrôle pas entièrement, en plus de la péninsule de Crimée, annexée en 2014.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Frappes israéliennes sur le QG des Gardiens de la Révolution

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Téhéran sous le feu nourri d'Israël. (© KEYSTONE/EPA/HANDOUT)

L'armée israélienne a annoncé lundi en début d'après-midi être en train de mener des frappes sur des quartiers-généraux des Gardiens de la Révolution iraniens, l'armée idéologique de la République islamique, à Téhéran.

"En ce moment même (...) les avions (de combat israéliens) intensifient les frappes dans la région de Téhéran, en mettant l'accent sur les quartiers-généraux des Gardiens de la Révolution, ainsi que sur tous les éléments menaçant l'Etat d'Israël", a déclaré le général de brigade Effie Defrin, porte-parole de l'armée israélienne, lors d'une conférence de presse télévisée.

Le Ministère israélien de la défense avait annoncé peu auparavant mener "des frappes d'une force sans précédent" sur le centre de Téhéran.

La justice iranienne a indiqué de son côté que des frappes israéliennes avaient visé la prison d'Evin à Téhéran, endommageant certaines parties de l'établissement.

"Lors de la dernière attaque du régime sioniste contre Téhéran, des projectiles ont malheureusement touché la prison d'Evin, causant des dégâts à certaines sections", a indiqué le site du pouvoir judiciaire, Mizan Online, ajoutant que les bâtiments de l'établissement restait "sous contrôle". Israël a confirmé que ses frappes à Téhéran visaient notamment cette prison.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Israël frappe le site nucléaire de Fordo, au sud de Téhéran

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Le site iranien de Fordo à nouveau frappé par Israël. (© KEYSTONE/AP/Planet Labs PBC)

Israël a mené lundi une nouvelle attaque contre le site nucléaire iranien de Fordo, enfoui sous une montagne au sud de Téhéran, a rapporté un média local.

"L'agresseur a de nouveau attaqué le site nucléaire de Fordo", a rapporté l'agence de presse Tasnim, citant un porte-parole de l'autorité de gestion des crises de la province de Qom, où est situé le site.

Ces frappes surviennent au lendemain de frappes américaines contre des sites nucléaires iraniens, notamment Fordo, ainsi que les sites de Natanz et Ispahan, dans le centre de l'Iran, où l'étendue des dégâts reste à évaluer.

Selon le président américain Donald Trump, ces frappes ont infligé des "dégâts monumentaux" aux sites nucléaires iraniens.

L'Iran a condamné l'attaque et promis des représailles.

Allié des Etats-Unis, Israël a lancé le 13 juin des attaques de grande ampleur contre l'Iran, visant ses installations nucléaires et de missiles, ainsi que ses chefs militaires et de sécurité.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Nouvelles menaces de l'Iran contre les Etats-Unis, raids israéliens

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En Israël, des sirènes d'alerte ont retenti lundi à l'approche de missiles iraniens à Tel Aviv. (© KEYSTONE/AP/Bernat Armangue)

L'Iran a menacé lundi les Etats-Unis de "lourdes conséquences" après les frappes américaines contre des sites nucléaires iraniens, à l'heure où Israël a annoncé des frappes d'une force "sans précédent" contre la capitale iranienne Téhéran.

Au 11e jour de la guerre entre Israël et l'Iran, les sirènes d'alerte ont retenti dans des régions d'Israël après plusieurs salves de missiles iraniens, et des habitants se sont réfugiés brièvement dans les abris. Le réseau électrique est perturbé dans le sud du pays à cause de dégâts près d'une installation clé.

En plein conflit déclenché le 13 juin par une attaque israélienne inédite contre son ennemi juré iranien, le président américain Donald Trump a envoyé ses bombardiers frapper dimanche en Iran le site souterrain d'enrichissement d'uranium à Fordo et les installations nucléaires à Ispahan et Natanz (centre).

Le Pentagone a affirmé avoir "dévasté le programme nucléaire iranien".

Mais le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a jugé impossible à ce stade d'évaluer l'étendue des dégâts.

"L'acte hostile (des Etats-Unis) élargira la portée des cibles légitimes des forces armées d'Iran et ouvrira la voie à l'extension de la guerre dans la région", a averti un porte-parole des forces armées iraniennes, Ebrahim Zolfaghari.

Il a prévenu les Etats-Unis de "lourdes conséquences imprévisibles avec des opérations (militaires) puissantes et ciblées".

La veille, Akbar Velayati, un conseiller du guide suprême d'Iran Ali Khamenei, a menacé de s'en prendre aux bases militaires américaines au Moyen-Orient.

Le même jour, le secrétaire d'Etat Marco Rubio a appelé la Chine à intervenir auprès de l'Iran après que des analystes ont affirmé que Téhéran pourrait choisir de riposter à l'attaque américaine en fermant le détroit d'Ormuz, par lequel passe un cinquième de la production mondiale de pétrole.

Israël frappe le site de Fordo

Affirmant que l'Iran était sur le point de se doter de la bombe atomique, Israël a frappé depuis le 13 juin des centaines de sites militaires et nucléaires en Iran, et tué les plus hauts gradés du pays et des scientifiques du nucléaire.

L'Iran, qui riposte avec des tirs de missiles et de drones vers Israël, dément vouloir fabriquer l'arme atomique mais défend son droit à développer un programme nucléaire civil.

L'armée israélienne "est en train de frapper avec une force sans précédent des cibles du régime et des organismes d'oppression du gouvernement au coeur de Téhéran", a déclaré lundi le ministre de la Défense, Israël Katz.

Des nuages d'une épaisse fumée se sont élevés de plusieurs points de Téhéran, selon des journalistes de l'AFP sur place. Des frappes sur le système énergétique à Téhéran ont provoqué des coupures de courant, d'après médias locaux.

Selon l'agence de presse Tasnim, de nouvelles frappes israéliennes ont visé le site de Fordo, au sud de Téhéran.

En Iran, la guerre a fait plus de 400 morts et 3.056 blessés, en majorité des civils, selon un bilan officiel. Les tirs iraniens sur Israël ont fait 24 morts, d'après les autorités.

"Mesures spéciales"

Lors d'une réunion à Vienne, M. Grossi a réclamé un accès aux sites nucléaires iraniens. "Nous devons permettre aux inspecteurs de retourner" sur place "et de faire le point sur les stocks d'uranium, surtout sur les 400 kg enrichis à 60%".

Il a ajouté que Téhéran lui avait adressé le 13 juin une lettre signalant la mise en place "de mesures spéciales pour protéger les équipements et la matière nucléaire".

"Des dommages monumentaux ont été causés à tous les sites nucléaires en Iran, comme le montrent les images satellite", a affirmé dimanche Donald Trump.

Cependant, des responsables israélien et américain ont dit qu'ils cherchaient à évaluer les dégâts sur les sites nucléaires, alors que des experts estiment que le matériel nucléaire pourrait avoir été déplacé avant l'attaque.

Ali Shamkhani, un conseiller du guide iranien, a affirmé que l'Iran possédait toujours des stocks d'uranium enrichi.

L'Iran a enrichi de l'uranium au niveau élevé de 60%, selon l'AIEA, niveau proche du seuil de 90% requis pour la fabrication d'une bombe atomique. Mais l'agence onusienne dit n'avoir décelé jusque-là aucun indice sur l'existence d'un "programme systématique" iranien de production d'une arme nucléaire.

A Fordo, où une usine d'enrichissement d'uranium est enfouie sous une montagne, le sol semble avoir été affecté par les frappes, et la couleur de la montagne a changé par rapport au 19 juin, selon une analyse d'images satellites de l'AFP à partir des données de la société américaine Planet Labs PBC.

"Changement de régime"?

M. Trump a aussi semblé plaider pour un changement de régime à Téhéran. "Si le régime iranien actuel est incapable de RENDRE A L'IRAN SA GRANDEUR, pourquoi n'y aurait-il pas un changement de régime ???"

Après les frappes américaines, M. Trump appelé Téhéran à "faire la paix" sinon "les attaques seront bien plus importantes". Et il a aussi mis en garde l'Iran contre toute riposte à l'attaque américaine.

Face aux craintes de représailles, les Etats-Unis ont appelé leurs ressortissants dans le monde à une "vigilance accrue".

Avant la guerre, Téhéran et Washington menaient depuis avril des pourparlers via la médiation d'Oman pour un accord sur le nucléaire.

L'attaque américaine a été menée à l'aide de sept bombardiers furtifs B-2. Pour la première fois, Washington a eu recours à de puissantes bombes anti-bunker GBU-57, capable de s'enfoncer à des dizaines de mètres de profondeur avant d'exploser.

Israël, qui maintient l'ambiguïté sur sa propre possession de l'arme atomique, détient 90 ogives nucléaires, selon l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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