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Économie

Un gestionnaire d'actifs endetté visé par les autorités chinoises

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Zhongzhi gère à lui seul plus de 1000 milliards de yuans (124 milliards de francs) d'actifs, selon des estimations de la banque d'affaires Nomura (archives). (© KEYSTONE/AP/LEE JIN-MAN)

La police chinoise a ouvert une enquête sur le conglomérat privé Zhongzhi, un géant de la finance criblé de dettes et déclaré "insolvable". Les déboires de l'entreprise font planer le risque d'une contagion.

Zhongzhi (ZEG), peu connu du grand public, mais qui dispose d'une galaxie d'entreprises financières, est l'un des acteurs les plus importants du marché chinois. Il gère à lui seul plus de 1000 milliards de yuans (124 milliards de francs) d'actifs, selon des estimations de la banque d'affaires Nomura.

Un grand nombre d'entreprises et de riches particuliers lui ont confié leur épargne. Durant les années fastes, de nombreux promoteurs ont eu recours à des sociétés fiduciaires ou de gestion d'actifs comme Zhongzhi pour financer leurs projets.

Mais le groupe, rattrapé par la crise de l'immobilier en Chine et un ralentissement de l'économie, est désormais incapable de rembourser les bénéficiaires.

"Mesures coercitives"

Zhongzhi, qui s'est dit mercredi "insolvable", a évalué ses arriérés à près de 60 milliards d'euros, selon une lettre aux investisseurs, rapportée par les médias locaux.

La police de Pékin, où le groupe est basé, a indiqué samedi soir avoir ouvert une enquête sur des "infractions présumées" non précisées. Des "mesures coercitives" ont été prises à l'encontre de "plusieurs suspects", ajoute un communiqué qui ne précise ni leur nombre ni en quoi consistent ces mesures.

Zhongzhi possède notamment la filiale Zhongrong International Trust (ZTR), où des épargnants inquiets avaient tenté en vain en août de réclamer des comptes.

Sa faillite fait craindre des conséquences incommensurables pour le système financier en Chine, deux ans après la descente aux enfers d'Evergrande dont les déboires continuent à peser sur le secteur immobilier et l'économie.

Déjà fragilisé par cette crise, Zhongzhi l'est davantage depuis le décès en 2021 de son fondateur Xie Zhikun.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Scholz sommé par ses rivaux de passer la main rapidement

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Le chancelier allemand défié plus que jamais par l'opposition conservatrice. (© KEYSTONE/AP/Markus Schreiber)

L'Allemagne est entrée dans une période de fortes incertitudes. Le chancelier Olaf Scholz est défié jeudi par ses rivaux conservateurs qui veulent un vote de confiance au Parlement dès la semaine prochaine.

L'opposition veut accélérer la tenue d'élections anticipées après l'implosion, la veille, de la coalition gouvernementale.

La coalition entre les sociaux-démocrates (SPD) du chancelier, les Verts et les libéraux du FDP a "échoué", a constaté le chef de l'Union chrétienne-démocrate (CDU) Friedrich Merz et "il n'y a aucune raison de poser la question de confiance en janvier", comme le souhaite Olaf Scholz.

La fin du gouvernement tombe au plus mauvais moment pour l'Allemagne, aux prises avec une grave crise industrielle, et pour l'Europe qui s'inquiète des répercussions pour son commerce et sa sécurité de l'élection du républicain Donald Trump comme président aux Etats-Unis.

"Nous ne pouvons tout simplement pas nous permettre d'avoir un gouvernement sans majorité pendant plusieurs mois", a martelé M. Merz.

Le séisme provoqué l'effondrement de la coalition tripartite au pouvoir depuis fin 2021 à Berlin bouscule l'agenda d'Olaf Scholz. Il se rendra cependant dans la journée à Budapest pour rencontrer ses homologues européens et le président ukrainien Volodymyr Zelenski lors de réunions organisées dans la capitale hongroise.

Divergences budgétaires

La coalition gouvernementale allemande hétéroclite a volé en éclats suite au limogeage mercredi soir du ministre des Finances et chef de file des libéraux, Christian Lindner.

Ce dernier sera remplacé par un des proches conseillers d'Olaf Scholz, Jörg Kukies, un expert des questions économiques de 56 ans.

La plupart des libéraux ont quitté le gouvernement, à l'exception du ministre des Transports Volker Wissing qui a annoncé qu'il restait dans l'équipe au pouvoir et quittait son parti avec lequel il est en désaccord.

Cause de la rupture: de profondes divergences entre les deux camps sur la politique budgétaire et économique à suivre, les premiers étant partisans d'une relance de l'économie nationale en panne par les dépenses, alors que les Libéraux prônent des coupes sociales et une stricte discipline budgétaire.

"Nous avons besoin d'un gouvernement capable d'agir et qui ait la force de prendre les décisions nécessaires pour notre pays", a plaidé le chancelier social-démocrate.

Olaf Scholz a jugé qu'il n'y avait plus "de confiance suffisante pour la poursuite d'une coopération".

Il dirige désormais un gouvernement minoritaire et espère faire adopter quelques textes de loi jugés prioritaires, en cherchant des majorité au cas par cas.

Fin de partie mi-janvier?

Quant au budget 2025, dont la préparation est à l'origine de la crise actuelle, c'est l'incertitude. Faute d'adoption au Parlement, une version minimum et réduite pourrait être appliquée à partir de janvier.

Le chancelier avait annoncé mercredi vouloir ouvrir la voie à des élections anticipées dans le pays en se soumettant mi-janvier à un vote de confiance, qu'il a toutes les chances de perdre.

Dans ce cas, le scrutin, initialement prévu en septembre, pourrait avoir lieu "au plus tard fin mars".

Olaf Scholz et Christian Lindner ont étalé leurs griefs par micros interposés. Christian Lindner a "trop souvent trahi ma confiance", a déploré Olaf Scholz, dénonçant un comportement "égoïste".

L'ex-ministre des Finances a reproché au chancelier d'entraîner le pays "dans une phase d'incertitude" avec une "rupture calculée de cette coalition".

Le divorce a été acté après une ultime journée de pourparlers organisés mercredi pour tenter de sauver l'exécutif dirigé par M. Scholz depuis fin 2021.

L'ombre de Trump

Les ruptures de coalition sont très rares en Allemagne. Mais l'équipe gouvernementale était minée depuis des mois par des dissensions sur l'économie et l'immigration, et par des querelles de personnes.

"Heureusement que c'est fini", titre jeudi le magazine Der Spiegel, résumant le sentiment général. "Une constellation composée du SPD, des Verts et du FDP n'a pas d'avenir au niveau fédéral. Pas après les probables nouvelles élections du printemps, mais pas non plus dans un avenir prévisible", estime-t-il

Olaf Scholz espérait que l'élection de Donald Trump, adepte du protectionnisme et des confrontations diplomatiques, forcerait sa coalition à serrer les rangs. Mais c'est le contraire qui s'est produit.

Si des élections devaient se tenir demain, l'opposition conservatrice arriverait en tête avec plus de 30% des voix selon les sondages, et Friedrich Merz ferait figure de favori pour devenir chancelier.

Mais il aurait du mal lui aussi à former une coalition majoritaire, avec l'extrême droite AfD en embuscade en deuxième position dans les enquêtes d'opinion.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Biden va s'adresser aux Américains pour la transition avec Trump

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Joe Biden va s'exprimer pour préparer la transition avec Donald Trump. (© KEYSTONE/EPA/RON SACHS / POOL)

L'exercice sera forcément douloureux: Joe Biden s'adressera ce jeudi aux Américains pour préparer la transition jusqu'au 20 janvier avec son pire ennemi politique, le président élu Donald Trump qui a battu sans appel Kamala Harris.

Dans une configuration qu'il n'avait peut-être pas imaginée, le président sortant de 81 ans, qui avait laissé sa place en juillet à sa vice-présidente pour représenter les démocrates, doit s'exprimer solennellement à 11h00 (17h00 en Suisse) depuis la roseraie de la Maison Blanche.

Il doit y "parler des résultats de l'élection et de la transition" avec la prochaine administration républicaine, selon la présidence.

Depuis sa victoire, Donald Trump, 45e et bientôt 47e président des Etats-Unis, a été félicité par Joe Biden qui l'avait défait en novembre 2020, par Barack Obama (2009-2017) à qui il avait succédé et par Kamala Harris, qui a reconnu mercredi sa défaite.

Joe Biden a invité le républicain à la Maison Blanche à une date non précisée.

Les deux hommes sont réputés se détester et s'étaient accrochés à la télévision le 27 juin lors de leur unique débat, calamiteux pour le démocrate, qui avait précipité le retrait de sa course à un second mandat.

Trump "impatient"

Donald Trump, qui n'a jamais reconnu sa défaite en 2020, "attend avec impatience cette rencontre, qui devrait avoir lieu bientôt, et a grandement apprécié l'appel", a fait savoir son équipe.

Sèchement battue, Kamala Harris s'est engagée à l'"aider" pour le transfert du pouvoir et a appelé ses partisans, en larmes, à Washington à "accepter les résultats de cette élection" historique.

Le magnat de l'immobilier new-yorkais - cible durant la campagne de deux tentatives d'assassinat, inculpé et condamné au pénal et au civil - a insisté auprès de son ex-rivale au téléphone sur la nécessité d'"unifier le pays", fracturé en deux camps, semble-t-il, irréconciliables.

Donald Trump, qui prêtera serment le 20 janvier, et qui a passé ces trois derniers mois de campagne à injurier Kamala Harris, lui a trouvé mercredi "de la force, du professionnalisme et de la ténacité", d'après son équipe.

La vice-présidente "a été une partenaire incroyable", a salué de son côté le président Biden, louant dans un communiqué "l'intégrité, le courage et le tempérament" de cette ancienne procureure et sénatrice de Californie, née il y a 60 ans d'une mère indienne et d'un père jamaïcain qui avaient émigré aux Etats-Unis.

Ouverture possible en Ukraine

La victoire sans appel de Donald Trump a provoqué une onde de choc dans la première puissance mondiale et à travers le monde.

Des millions d'Américains ont exprimé leur joie. Des millions d'autres sont inquiets.

Alors qu'il était parti dans le chaos en janvier 2021, le tribun a réussi à 78 ans un incroyable retour en convainquant une majorité qu'il comprenait les préoccupations socio-économiques et sécuritaires du quotidien.

Le président élu a été félicité par nombre de dignitaires étrangers qui n'ont parfois même pas attendu l'officialisation de sa victoire.

Il s'est notamment entretenu avec le président français Emmanuel Macron, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Très critique des dizaines de milliards de dollars d'armements que les Etats-Unis ont débloqués pour l'Ukraine, Donald Trump s'est engagé à régler ce conflit "en 24 heures" avec la Russie, mais sans dire comment.

La guerre au Proche-Orient sera aussi résolue rapidement, a assuré l'homme d'affaires, très proche d'Israël.

Sur l'économie, Donald Trump a promis de "voler les emplois d'autres pays" à coup de baisses d'impôts et de taxes douanières.

Jeudi, Pékin a averti qu'il n'y aurait "pas de gagnants dans une guerre commerciale" avec Washington.

Quitter l'Accord de Paris

La Banque centrale américaine, la Fed, devrait, pour sa part, annoncer jeudi une nouvelle baisse de ses taux, un mouvement engagé en septembre à la faveur de la baisse de l'inflation, et qui devrait se prolonger au lendemain de l'élection du républicain.

Climatosceptique notoire, M. Trump s'est engagé à quitter de nouveau l'Accord de Paris. Et il a promis la "plus grande opération" jamais vue d'expulsion de millions d'immigrés clandestins venus de la frontière avec le Mexique.

Donald Trump, dont les démocrates et critiques redoutent qu'il gouverne en "tyran", reste flou sur le droit à l'avortement que la Cour suprême a mis à mal en 2022.

Il pourra s'appuyer sur le Sénat, que les républicains ont repris aux démocrates. Son parti est aussi en bonne voie pour conserver la majorité à la Chambre des représentants.

Cela lui donnerait quasiment les pleins pouvoirs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Les salaires devraient augmenter en 2025 (étude UBS)

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La hausse des salaires réels, soit ajustés de l'inflation, devrait compenser presque entièrement la perte de pouvoir d'achat subie depuis 2022 selon UBS (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les salaires sont attendus en hausse l'année prochaine en Suisse. Mais bien que le rythme devrait ralentir par rapport à 2024, le pouvoir d'achat devrait croître en raison du repli de l'inflation, selon une étude de la banque UBS.

Les 345 sociétés interrogées par la banque aux trois clés devraient, en moyenne, relever leurs rétributions de 1,4% en 2025. C'est moins que les 1,8% enregistrés cette année, mais grâce au ralentissement du renchérissement, les salaires réels, soit ajustés de l'inflation, devraient augmenter plus fortement "et compenser presque entièrement la perte de pouvoir d'achat subie depuis 2022", ont détaillé les économistes d'UBS jeudi dans leur étude.

Concrètement, les salaires réels sont attendus en hausse de 0,7% en 2025, soit autant que cette année.

Tous les employés ne sont cependant pas logés à la même enseigne, les plus fortes hausses (+2% en nominal) étant anticipées dans les domaines des services informatiques et des télécoms, ainsi que de l'énergie, de la gestion de l'approvisionnement et des déchets.

Les plus faibles augmentations (+1%) sont par contre prévues dans le commerce de détail, les médias et les sociétés actives dans les matériaux de construction.

En 2024, l'inflation devrait s'élever entre 1,1% et 1,3% selon les différentes projections. L'année prochaine, elle devrait ralentir entre 0,6% et 1%. Dans l'immédiat, l'élection de Donald Trump à la présidence de Etats-Unis et ses promesses de relèvement des droits de douane ne devraient pas avoir d'impact sur les projections d'inflation, a souligné l'économiste Maxime Botteron lors d'une visio-conférence.

Légère hausse du taux de chômage

L'amélioration du pouvoir d'achat est cependant à nuancer, en raison de la forte hausse des primes d'assurance-maladie de 6% en moyenne pour 2025, qui n'est pas prise en compte dans le calcul du taux d'inflation. "De nombreux ménages suisses devraient donc encore ressentir une baisse du pouvoir d'achat", a déploré l'économiste Florian Germanier.

Les entreprises sondées par UBS ont aussi constaté une diminution des difficultés de recrutement. Alors qu'elles étaient 73% à indiquer en 2023 avoir du mal à combler les postes vacants, elles ne sont plus que 58% cette année dans ce cas de figure.

L'environnement économique devrait, lui, s'améliorer l'année prochaine, la Suisse ayant enregistré des signes de stabilisation dans le secteur industriel. "En 2025, l'amélioration de la conjoncture européenne devrait pousser la demande pour les produits suisses", ce qui devrait également soutenir les exportations helvétiques et entraîner une hausse des investissements.

Si le produit intérieur brut (PIB) doit passer de 1,0% cette année à 1,5% la prochaine, le taux de chômage est également attendu en légère hausse. A 2,5% en 2024, il doit monter à 2,8% l'exercice suivant, selon les projections de la banque zurichoise.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Valiant augmente ses résultats sur neuf mois

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Les récentes baisses de taux par la Banque nationale suisse (BNS) ont entraîné un repli du résultat brut des opérations d'intérêts (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Valiant a amélioré ses recettes et ses résultats sur neuf mois. Le groupe bancaire table sur une hausse de son bénéfice consolidé pour l'ensemble de 2024.

De janvier à septembre, le bénéfice consolidé a progressé de 5,3% sur un an à 105 millions de francs, en dépit d'un "environnement de taux extrêmement mouvementé", écrit jeudi Valiant dans un communiqué. Le résultat opérationnel a grimpé de 5% à 177,7 millions. Les produits d'exploitation ont, eux, totalisé 417,4 millions, soit une hausse de 2,6%.

Les récentes baisses de taux par la Banque nationale suisse (BNS) ont entraîné un repli du résultat brut des opérations d'intérêts de 3,4% à 307,4 millions. Le résultat net s'est contracté de 1,3% à 298,6 millions. Dans le même temps, la charge d'intérêts a bondi de 47,7% à 217,3 millions, dû notamment au fait que la banque a effectué "une baisse des taux d'intérêts inférieure à celle de la BNS".

Le résultat des opérations de commissions et des prestations de services a de son côté progressé de 10,4% à 68 millions. Le produit des commissions sur les titres et les opérations de placement s'est enrobé de 9,7%, soutenu par l'évolution positive des avoirs en dépôt. Les autres prestations de service ont gagné 9,6%.

Le résultat des opérations de négoce a fortement augmenté de 32,1% à 40,2 millions, en raison d'une hausse des revenus des opérations de change à terme. Les autres résultats ordinaires sont ressortis en net repli de 11,6%, dû à une diminution des produits des participations.

Dans l'ensemble, les charges d'exploitation ont augmenté de 1,4% à 223,8 millions, en raison d'investissements dans la numérisation notamment.

Valiant a par ailleurs renforcé ses réserves pour risques bancaires généraux de 16 millions au troisième trimestre. Son ratio de fonds propres s'inscrit à 16,1%. Les prêts à la clientèle ont progressé de 1,7% à 30,2 milliards. Les fonds de la clientèle ont eux aussi légèrement augmenté de 0,9% à 22,4 milliards. Le total du bilan atteint 36,8 milliards (+1,9%).

Au chapitre des perspectives, Valiant anticipe pour l'année en cours un bénéfice consolidé "plus élevé". L'an passé, ce dernier s'était élevé à 144,3 millions. A moyen terme, dans le cadre de sa stratégie 2025-2029, le groupe bancaire vise une amélioration de sa rentabilité et à poursuivre sa croissance.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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