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International

Un trio suisse à l'assaut des médailles

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Manuela Schaer rêve de briller en finale du 800 m en fauteuil roulant. (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Pour sa dernière course sur piste, l'athlète en fauteuil roulant Manuela Schär s'est qualifiée avec brio pour la finale du 400 m aux Jeux paralympiques de Paris.

Manuela Schär, qui a déjà remporté l'or sur la double distance au Stade de France, a gagné sa série dans la catégorie T54. Elle a même réalisé le deuxième meilleur temps de toutes les athlètes en compétition. Alexandra Helbling et Licia Mussinelli ont en revanche nettement manqué la qualification pour la finale, prévue ce jeudi soir à 19h35.

Peu avant, Catherine Debrunner tentera, elle aussi, de décrocher une médaille sur le tour de piste dans la catégorie T53, ce qui serait sa cinquième à Paris.

Avec Marcel Hug, la Suisse dispose même d'un troisième atout dans sa manche. Troisième des séries, le détenteur du record du monde du 800 m vise le triplé paralympique après ses succès de Rio en 2016 et à Tokyo en 2021. A Paris, il attend encore sa septième médaille d'or paralympique après l'argent obtenu sur 5000 puis 1500 m.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Les députés britanniques dépénalisent l'IVG hors délai

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Les députés britanniques ont aboli mardi les poursuites pénales à l'encontre des femmes recourant à une interruption de grossesse hors délai. (image symbolique) (© KEYSTONE/AP/Kin Cheung)

Les députés britanniques ont aboli mardi les poursuites pénales à l'encontre des femmes recourant à une interruption de grossesse hors délai, en adoptant un amendement déposé par une députée après plusieurs cas qui ont choqué l'opinion ces dernières années.

Ce changement, qui sera valable en Angleterre et au Pays de Galles, a été approuvé par une large majorité à la chambre des Communes, avec 379 voix pour et 137 voix contre.

Il était soutenu par une cinquantaine d'organisations, dont le principal syndicat de médecins BMA, des associations de défense des droits des femmes et des cliniques pratiquant l'avortement.

Actuellement, les femmes peuvent être jugées et emprisonnées si elles mettent fin à leur grossesse après 24 semaines ou sans approbation médicale.

L'histoire de Nicola Packer, une Britannique de 45 ans innocentée en mai à l'issue d'un procès éprouvant, a récemment mis ce sujet en lumière.

Cette femme avait découvert sa grossesse en novembre 2020, pendant la pandémie de Covid-19, et s'était fait prescrire des médicaments abortifs à prendre à domicile, pensant être enceinte de six semaines. Mais elle était en réalité enceinte d'environ 26 semaines, bien au-delà de la limite légale pour une IVG.

Après avoir accouché chez elle d'un foetus mort dans des conditions traumatisantes et s'être fait opérer en urgence à l'hôpital, Nicola Packer a été dénoncée à la police qui l'a placée en garde à vue, avant d'être poursuivie.

Aujourd'hui encore, "des femmes sont arrêtées sur leur lit d'hôpital, amenées à la police et soumises à des enquêtes pénales lorsqu'elles sont soupçonnées d'avoir mis fin à leur grossesse", s'était indignée auprès de l'AFP avant le vote la députée travailliste Tonia Antoniazzi, à l'origine de cet amendement.

Une fois le texte définitivement adopté par le Parlement, plus aucune femme ne pourra être poursuivie, quel que soit l'avancement de sa grossesse.

Selon une loi datant de 1861, l'avortement est une infraction pénale en Angleterre et au Pays de Galles, et peut entraîner une peine d'emprisonnement pouvant en théorie aller jusqu'à la perpétuité.

"Adoptée à l'origine par un parlement exclusivement masculin élu par des hommes uniquement, cette loi victorienne est de plus en plus utilisée contre les femmes et les filles vulnérables", a déclaré Tonia Antoniazzi en défendant son amendement mardi à la chambre des Communes.

Six femmes jugées en trois ans

La loi sur l'avortement de 1967 a introduit des exceptions pour légaliser l'IVG sous certaines conditions: avant 23 semaines et six jours de grossesse, et sous l'égide d'un professionnel de santé.

Après ce délai, cette procédure n'est autorisée que si la vie de la mère est en danger, ou s'il existe un risque important que l'enfant naisse avec un handicap grave.

L'amendement adopté mardi ne change pas la durée légale pour procéder à une IVG, et toute personne aidant une femme à avorter hors délai ou hors cadre médical resterait passible de poursuites.

Six femmes ont été jugées en Angleterre ces trois dernières années pour avoir mis fin ou tenté de mettre fin à leur grossesse en dehors du cadre autorisé.

Tonia Antoniazzi a déclaré mardi sur la BBC que la police avait enquêté sur "plus de cent femmes soupçonnées d'avortement illégal ces cinq dernières années, y compris des femmes qui ont subi des fausses couches naturelles" ou ont accouché d'enfants morts-nés.

Avant le vote, le groupe anti-avortement Society for the Protection of Unborn Children, avait qualifié cette proposition de "plus grande menace pour les enfants à naître depuis des décennies".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Gregor Kobel et Dortmund commencent par un 0-0

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Gregor Kobel a réalisé une parade décisive face à Fluminense. (© KEYSTONE/AP/Frank Franklin II)

Gregor Kobel et le Borussia Dortmund n'ont pas réussi à s'imposer pour leur entrée en lice au Mondial des clubs. Ils ont fait match nul 0-0 face aux Brésiliens de Fluminense mardi dans le New Jersey.

Finaliste de la Ligue des champions en 2023, Dortmund n'a même pas dominé cette partie contre le club basé à Rio de Janeiro. Fluminense s'est ainsi procuré la plus grosse occasion du match à la 69e minute et a forcé Gregor Kobel à sortir le grand jeu.

Le Zurichois, qui est resté aux Etats-Unis après la tournée américaine de l'équipe de Suisse, a réalisé une double parade de grande classe sur un corner brésilien. Il a d'abord repoussé une frappe d'Everaldo avant de se relever pour détourner la tentative à bout portant de Nonato, qui s'était jeté sur le rebond.

Ce sauvetage a permis au Borussia d'obtenir le point du nul à East Rutherford, à l'ouest de New York, dans le stade qui accueillera la finale de la Coupe du monde l'été prochain. La deuxième rencontre de ce groupe F entre les Sud-Africains des Mamelodi Sundowns et les Sud-Coréens d'Ulsan est prévue dans la nuit de mardi à mercredi à Orlando, en Floride.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Bencic avec Zverev lors d'un double mixte royal à l'US Open

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Belinda Bencic devrait faire la paire avec Alexander Zverev à New York (archives). (© KEYSTONE/EPA/JOHN G. MABANGLO)

Belinda Bencic fera la paire avec Alexander Zverev en double mixte à l'US Open. De nombreuses autres stars seront associées lors de ce tournoi qui se déroulera durant la semaine dédiée aux qualifs.

La Suissesse et l'Allemand, tous deux champions olympiques de Tokyo en 2021, figurent dans la liste des duos annoncés mardi par les organisateurs. Le numéro 1 mondial Jannik Sinner jouera avec Emma Navarro, tandis que la numéro 1 mondiale Aryna Sabalenka s'alignera avec Grigor Dimitrov.

Parmi les autres paires prestigieuses, on retrouve Olga Danilovic et Novak Djokovic, Iga Swiatek et Casper Ruud, Naomi Osaka et Nick Kyrgios ou encore Emma Raducanu et Carlos Alcaraz

Contrairement aux années précédentes où le tournoi de double mixte, nettement moins suivi que les matches de simple, se déroulait durant la dernière semaine de l'US Open, l'épreuve aura cette fois lieu sur deux jours, les 19 et 20 août, au début de la semaine des qualifications.

Seules 8 qualifiées

Parmi les seize équipes dévoilées mardi sur le site du dernier Grand Chelem de la saison, on compte neuf des dix premières joueuses mondiales et autant de membres du top 10 masculin, seuls Coco Gauff (WTA 2) chez les dames et Holger Rune (ATP 9) chez les messieurs manquant à l'appel.

Si seize équipes se sont inscrites, seules les huit mieux classées à la date du 28 juillet intégreront directement le tableau final (le classement combiné en simple fait foi). Les huit places restantes seront attribuées via des invitations. La paire qui l'emportera se partagera 1 million de dollars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Accord significatif entre la Norvège et la Suisse sur le CO2

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Le navire de transport de CO2 Northern Pathfinder de Northern Lights est amarré à Oslo. (© KEYSTONE/EPA/STIAN LYSBERG SOLUM)

La Suisse et la Norvège ont signé un accord bilatéral renforçant leur coopération en matière de captage et stockage du carbone (CSC) et de retrait du CO2 de l'atmosphère. C'est une "avancée significative" dans la mise en oeuvre de l’Accord de Paris, annonce le DETEC.

L'accord a été paraphé mardi lors de la visite en Norvège du chef du Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication (DETEC) Albert Rösti, à l'occasion du lancement par Oslo du projet Longship.

Ce dernier, du nom anglais des bateaux vikings, consiste à capter du CO2 sur une cimenterie et plus tard une usine d'incinération, à le transporter par bateau vers un terminal de la côte ouest puis à l'injecter et le séquestrer sous les fonds marins.

A ce jour, la technologie du CSC est jugée importante pour enrayer le réchauffement climatique mais elle peine à trouver un modèle économique viable.

"Opportunité pour l'économie"

Le projet a bénéficié d'un important soutien financier de l'État norvégien qui va prendre à sa charge 22 milliards de couronnes (près de 2 milliards d'euros) sur un coût total estimé à 34 milliards pour la mise en place des installations et leur exploitation sur les dix premières années.

Lors d'une conférence de presse, le ministre norvégien de l'Énergie, Terje Aasland, a salué "une avancée majeure" pour le CSC en Europe.

Du point de vue suisse, l'accord établit un cadre juridique pour le transport transfrontalier et le stockage permanent du dioxyde de carbone (CO2), notamment, précise le DETEC.

"Le stockage de CO2 sera important pour la Suisse sur la voie de la neutralité carbone. Cette technologie complète nos instruments actuels de décarbonation. Je me réjouis donc de cet accord avec la Norvège. Il renforce l’innovation et constitue une opportunité pour l’économie", a déclaré Albert Rösti.

A peine un an après la signature de la déclaration d’intention, des entreprises privées norvégiennes et suisses ont lancé des activités-pilotes. Plus d’une douzaine d’entreprises et de parties prenantes ont annoncé mardi des accords commerciaux portant sur le transfert de retraits de CO2 dans les deux sens entre les deux pays – une première mondiale dans le cadre de l’article 6 de l’Accord de Paris.

Les "transferts de retraits" font référence à l'idée de remplacer les retraits d'espèces, qui génèrent des émissions de CO2, par des transferts électroniques ou d'autres méthodes de paiement sans espèces.

Ces activités-pilotes sont symboliques en volume, mais visent à déterminer de quelle manière le retrait du CO2 et son stockage transfrontalier peuvent être intégrés dans la politique climatique internationale, lit-on plus loin dans le communiqué. Il s'agit d'"une étape pionnière".

Buts communs

La Norvège et la Suisse ont toutes deux des objectifs climatiques ambitieux et considèrent ces techniques de captage et d'élimination comme des outils essentiels pour atteindre les émissions nettes nulles.

Côté captage, et au-delà de l'accord avec la Suisse, des installations seront officiellement inaugurées mercredi sur une cimenterie de l'allemand Heidelberg Materials à Brevik, dans le sud-est du pays.

Elles doivent permettre d'empêcher 400'000 tonnes de CO2 de s'échapper dans l'atmosphère chaque année.

A compter de 2029, l'usine d'incinération des déchets Hafslund Celsio près d'Oslo devrait elle aussi capter 350'000 tonnes de CO2 annuellement.

Liquéfié, le dioxyde de carbone sera acheminé par bateau vers le terminal d'Øygarden, près de Bergen, où il sera injecté dans un tuyau pour être entreposé, à 110 kilomètres au large, dans un aquifère salin à 2600 mètres sous les fonds marins.

Technologie coûteuse et complexe

La solution du CCS est soutenue notamment par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), notamment pour réduire l'empreinte d'industries difficiles à décarboner telles que les cimenteries, responsables à elles seules de 7% des émissions mondiales de CO2.

Mais cette technologie reste complexe et coûteuse.

Sans aide financière, il est aujourd'hui plus rentable pour les industriels d'acheter des "permis de polluer" sur le marché européen des quotas d'émissions (ETS) que de payer pour capter, transporter et stocker leur CO2.

"Deux choses doivent se produire: il faut une hausse progressive du prix de l'ETS afin de refléter correctement le coût réel de l'utilisation du carbone (...) et notre industrie doit vraiment s'employer à faire baisser les coûts technologiques grâce à l'innovation", a indiqué Tim Heijn, le directeur de Northern Lights, une coentreprise formée par Equinor, Shell et TotalEnergies.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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