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Climat

Une centaine de paddleurs secourus après des vents violents à Rio

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Les paddleurs ont été surpris par la violence du vent sur la célèbre baie de Copacabana. (image symbolique) (© KEYSTONE/EPA EFE/ANTONIO LACERDA)

Une centaine de pratiquants du paddle ont dû être secourus en mer vendredi au Brésil après avoir été surpris par des vents violents sur la célèbre plage de Copacabana, à Rio de Janeiro, ont annoncé les pompiers.

Aucun blessé grave n'a été recensé, les pompiers faisant seulement état de "sept personnes soignées par l'équipe médicale, pour de simples égratignures".

Plus de peur que de mal pour ces baigneurs montés sur leurs planches de paddle tôt le matin, pour assister au lever du soleil.

Un grand nombre d'entre eux ont dérivé vers les rochers situés au niveau du fort militaire de Copacabana, à l'une des extrémités de la plage.

"Jamais vu"

"Cela fait plus d'un an qu'on organise ces sorties (au lever du soleil) et on n'a jamais vu un vent aussi fort", a déclaré à l'AFP Daniel Andrade, un instructeur de paddle.

"On a été surpris car ces rafales n'avaient pas été prévues par la météo", a-t-il ajouté.

"Des motos aquatiques ont été utilisées pour secourir des personnes qui sont tombées dans la mer ou qui n'arrivaient pas à revenir" vers le sable sur leurs planches, ont expliqué les pompiers dans un communiqué.

"Certaines personnes ont eu des égratignures en tentant de grimper sur les rochers du fort de Copacabana" pour rentrer sur la terre ferme, ont-ils précisé.

La plage iconique de Copacabana est un des hauts lieux du tourisme à Rio.

Près du fort militaire, les eaux sont habituellement calmes et prisées par les nageurs et les paddleurs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Des dangers naturels en hausse en Suisse à cause du climat

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Katrin Schneeberger, directrice de l'Office fédéral de l'environnement, a déclaré dans le "SonntagsBlick" que les dangers naturels devenaient plus fréquents et plus intenses. (Photo d'archives) (© Keystone/PETER KLAUNZER)

La directrice de l'Office fédéral de l'environnement (OFEV) lance un avertissement sur les risques liés au climat en Suisse. "Les dangers naturels deviennent plus fréquents et plus intenses et la Suisse devient plus vulnérable à cause de la densité de sa population".

Le dégel du pergélisol est un problème majeur qui rend les montagnes moins stables, avec pour conséquence des éboulements et des glissements de terrain plus fréquents, indique Katrin Schneeberger dans un entretien diffusé dimanche par le SonntagsBlick. Le réchauffement climatique ne concerne pas seulement les Alpes, mais aussi le Plateau, les villes et les agglomérations, "en bref, nous tous", ajoute-t-elle.

Les surfaces bétonnées des villes ne peuvent pas absorber l'eau en cas de fortes pluies, ce qui explique environ la moitié des dommages causés par les inondations, poursuit la directrice de l'OFEV.

Programme Adapt+

Elle relève en outre que les zones urbaines ne se rafraîchissent pratiquement plus pendant la nuit, ce qui nuit à la santé de la population. "Personnellement, je ne suis pas une grande fan des climatiseurs. On peut déjà faire beaucoup en matière de rafraîchissement avec des stores et des rideaux".

Pour promouvoir l'adaptation au réchauffement climatique, l'OFEV a lancé le programme Adapt+. Il permet de tester des revêtements routiers rafraîchissants ou de planter des arbres résistants au changement climatique afin de protéger les habitations, les routes et les voies ferrées des glissements de terrain, explique Mme Schneeberger.

La demande est très forte, précise la responsable, ajoutant qu'à moyen terme, elle sera probablement supérieure au montant disponible.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Climat

Inondations au Texas: "Jamais rien vu de tel" dit Trump sur le site

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En visite dans le Texas ravagé par des inondations, Donald Trump s'en est pris à l'opposition démocrate "qui ne veut faire que critiquer". (© KEYSTONE/AP/Jacquelyn Martin)

Le président américain Donald Trump s'est rendu vendredi au Texas pour observer les dégâts provoqués par des inondations qui ont fait au moins 120 morts. La polémique enfle sur la réponse des autorités locales et fédérales est pointée du doigt.

Le centre du Texas a été frappé le 4 juillet, jour de fête nationale aux Etats-Unis, par des pluies diluviennes qui ont provoqué des crues subites, surprenant de nombreux habitants dans leur sommeil.

Arbres déracinés, tracteur renversé et débris en tous genres: le président américain et son épouse Melania ont pu constater la dévastation, une semaine tout juste après la catastrophe. "Je n'ai jamais rien vu de tel", a déclaré ensuite le président américain lors d'une table ronde avec les autorités locales.

"La dévastation est dure à croire", a-t-il ajouté, citant "des arbres centenaires qui ont simplement été arrachés du sol". Au total, au moins 120 décès liés aux inondations ont été recensés tandis que les autorités comptent toujours plus de 170 disparus.

Le comté de Kerr est le plus durement touché avec 96 morts, dont 36 enfants. Un camp de vacances chrétien pour filles, situé dans la localité de Hunt, sur les rives du fleuve Guadalupe, a payé un lourd tribut: 27 enfants et moniteurs ont péri dans la catastrophe.

Ressources fédérales

La visite du président américain intervient alors que les questions se font plus pressantes sur la gestion de la crise par les autorités locales et sur l'impact des coupes budgétaires, voulues par le président américain, sur les systèmes d'alerte et de secours.

Interrogé peu après la catastrophe pour savoir s'il avait toujours l'intention de supprimer progressivement l'agence fédérale de gestion des urgences (FEMA), Donald Trump a répondu que ce n'était pas le moment d'en parler.

Le dirigeant républicain, qui avait précédemment déclaré qu'en cas de catastrophe, les secours devaient être gérés au niveau des Etats, a par ailleurs signé rapidement une déclaration de catastrophe afin de fournir au Texas des ressources fédérales. La réponse immédiate à la catastrophe de la part de l'Etat fédéral "a été rapide et efficace", a insisté jeudi sur le réseau social X la ministre de la sécurité intérieure, Kristi Noem.

Mais la chaîne CNN affirme que les opérations de secours de la FEMA ont été retardées par des obstacles bureaucratiques après une nouvelle règle adoptée par la ministre visant à réduire les dépenses.

Système d'alerte

Lors de la table ronde, Donald Trump a dénoncé l'opposition démocrate "qui ne veut faire que critiquer", mais aussi certaines questions de la presse, qualifiant même une journaliste présente de "malfaisante". "Tout le monde dans cette salle a fait un boulot incroyable et les gens le savent", a-t-il ajouté.

Le shérif du comté de Kerr, Larry Leitha, a dit, quant à lui, avoir été alerté vendredi "autour de 4 ou 5 heures du matin" par des appels au service de secours.

Selon la chaîne télévisée texane KSAT, un pompier local a requis à 04h22 l'envoi d'alertes "code rouge", un message d'urgence sur les téléphones des habitants de Hunt, la localité la plus touchée, tandis que les eaux du fleuve Guadalupe, alimentées par des pluies diluviennes, montaient dangereusement.

Or d'après ce média local affilié à CNN et ABC, le bureau du shérif aurait demandé au pompier d'attendre, le temps d'obtenir l'autorisation d'un supérieur.

Poursuite des recherches

Les alertes "code rouge" auraient été transmises au moins 90 minutes plus tard, vers 06h00 du matin et le message a mis jusqu'à six heures pour parvenir à certains résidents de Hunt, selon KSAT.

Interrogées à plusieurs reprises cette semaine à ce sujet, les autorités locales ont botté en touche. Donald Trump a lui assuré vendredi que "le gouverneur et tout le monde" travaillaient désormais à concevoir un meilleur système d'alerte. "Ils vont trouver quelque chose", a-t-il affirmé.

Plus de 2000 sauveteurs, policiers et des équipes cynophiles, appuyés par des hélicoptères, fouillent la zone sans relâche depuis sept jours pour tenter de localiser les disparus, même si les chances de les retrouver vivants sont désormais infimes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Directeur de Festi'neuch: "A aucun moment, j'ai eu envie de partir"

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Antonin Rousseau, directeur de Festi'neuch, ne peut pas encore articuler de chiffres sur l'ampleur des dégâts, à la suite de l'orage et de l'évacuation du 15 juin. (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

Antonin Rousseau n'a eu envie à aucun moment de quitter la direction de Festi'neuch, à la suite des moments très difficiles liés à l'orage du 15 juin. Le festival veut gagner en rapidité lors d'une évacuation. L'ampleur des dégâts n'est toujours pas chiffrable.

"Je vais chaque jour un peu mieux. Je me sens d'attaque pour préparer une nouvelle édition", a déclaré à Keystone-ATS Antonin Rousseau, en poste depuis 2001 comme programmateur et depuis 2013 comme directeur. Tant que je ne ressens pas de lassitude, je vais continuer".

L'événement a renforcé la cohésion de l'équipe, même si plusieurs personnes ont souffert d'un état de choc et de sidération. Elles ont pu faire appel aux psychologues et travailleurs sociaux mis à disposition.

La violence du phénomène météorologique, avec des vents à plus de 140 km/h, et la rapidité à laquelle la situation a tourné, "nous a surpris. Nous voulons à l'avenir pouvoir être encore plus rapides dans l'évacuation et la communication", a ajouté Antonin Rousseau. Le but est de rendre le festival encore plus sûr.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Climat

Montreux: réfection de paravalanches dans le secteur Verraux-Jaman

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Des ouvrages paravalanches dans le secteur Verraux-Jaman vont être renouvelés (photo d'illustration). (© KEYSTONE/RENE RITLER)

Des travaux de réfection des ouvrages paravalanches dans le secteur Verraux-Jaman vont démarrer la semaine prochaine au-dessus de Montreux (VD). Ce chantier, estimé à 2,3 millions de francs, vise à sécuriser la rivière de la Baye de Montreux et à prévenir les risques de crues torrentielles.

Les travaux concernent notamment la réfection de structures métalliques, filets et claies paravalanches, indique jeudi la commune de Montreux dans un communiqué. Comme le site est inaccessible par la route, le matériel sera acheminé par camion jusqu'au col de Jaman, puis transporté par hélicoptère dans la région du Merdasson.

Ces différents ouvrages ont été endommagés au fil des années par les intempéries. Leur remise en état est devenue "indispensable", poursuit le communiqué. A noter que ce projet bénéficie de subventions cantonales et fédérales couvrant 70% des coûts.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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