International
Yates remporte la 9e étape en solitaire, O'Connor toujours en rouge
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Adam Yates a réalisé un joli coup sur la Vuelta en s'imposant en solitaire lors de la 9e étape entre Motril et Grenade. Il se replace au général, toujours dominé par l'Australien Ben O'Connor.
Seulement 27e à 9'27 du maillot rouge avant l'étape, le coureur d'UAE, devenu le seul leader de son équipe après l'abandon de Joao Almeida, positif au covid, a assumé son nouveau rôle en profitant de la première étape de montagne pour tenter sa chance dans une échappée.
Parti avec 25 autres coureurs après seulement une vingtaine de kilomètres, et aidé dans un premier temps de ses coéquipiers Marc Soler et Jay Vine, Yates a pris le large dans l'ascension de l'Alto de Hazallanas, larguant le Français David Gaudu, le dernier à le suivre dans les pentes les plus ardues.
Carapaz se replace
Près de 58 kilomètres et une nouvelle ascension de l'Alto de Hazallanas plus tard, il a franchi la ligne d'arrivée en solitaire, avec 1'39 d'avance sur l'Equatorien Richard Carapaz, lui aussi auteur d'une sacrée étape après avoir remonté seul tous les échappés, hormis le Britannique.
A présent 7e au général, à 5'30 du leader O'Connor, Yates se réaffirme comme un concurrent sérieux pour la victoire finale, à la veille d'une journée de repos bienvenue avant de nouvelles excursions en montagne.
Dans une étape très animée avec trois ascensions au programme, l'Australien Ben O'Connor, qui avait perdu près d'une minute la veille sur Primoz Roglic, a tenu le choc, et conserve le maillot rouge en prenant la troisième place de l'étape.
Le Slovène, triple vainqueur de la Vuelta (2019, 2020, 2021), a réussi à limiter la casse dans la descente vers Grenade, reprenant Enric Mas et David Gaudu, même s'il a perdu près de quatre minutes sur Yates et Carapaz, qui remonte lui à la 3e place au général.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Affaire Epstein: les députés votent la publication de documents
La Chambre américaine des représentants a voté mardi à la quasi unanimité en faveur de la publication du dossier d'enquête des autorités sur le criminel sexuel Jeffrey Epstein, malgré les pressions de Donald Trump sur sa majorité pour ne pas organiser ce vote.
Face aux défections dans son camp, le président avait fait volte-face dimanche et déclaré soutenir cette proposition de loi qui se dirige à présent vers le Sénat, sans certitude cependant qu'un vote n'y soit même organisé par le chef républicain de la majorité.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Un tribunal américain annule le redécoupage électoral du Texas
Un tribunal fédéral américain a suspendu mardi la nouvelle carte électorale du Texas qui devrait permettre aux républicains de remporter cinq sièges de plus à la Chambre des représentants lors des élections de mi-mandat dans un an.
Saisi par des électeurs qui considéraient ce redécoupage électoral adopté en août comme "discriminatoire" envers les minorités, le tribunal a suspendu la loi et ordonné aux autorités d'utiliser pour le scrutin de mi-mandat en novembre 2026 la même carte que pour les élections de 2022 et 2024. "Il existe des preuves significatives que le Texas a tracé la carte de 2025 sur des bases raciales", a-t-il conclu.
Les républicains devraient faire appel de cette décision.
La nouvelle carte électorale du Texas a été définitivement adoptée en août par le Parlement de ce vaste Etat conservateur du Sud. Le président Donald Trump avait publiquement fait pression sur les responsables républicains pour effectuer ce redécoupage, qui vise à préserver sa majorité actuelle étriquée au Congrès au-delà des prochaines élections législatives.
Des secteurs à majorité latino ou afro-américaine, où la candidate démocrate Kamala Harris l'avait emporté lors de la présidentielle de 2024, ont ainsi été fragmentés et rattachés à des circonscriptions acquises à la droite pour diluer le vote démocrate et permettre aux républicains de glaner jusqu'à cinq sièges supplémentaires au Congrès.
En réaction, les démocrates ont fait approuver en novembre par référendum un texte destiné à leur donner cinq sièges supplémentaires en Californie (ouest), Etat le plus peuplé du pays, qu'ils dominent largement.
Les républicains de Californie, appuyés par le ministère de la Justice de l'administration Trump, contestent en justice ce nouveau découpage.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Trump défend Mohammed ben Salmane sur l'assassinat de Khashoggi
En plus d'offrir à "MBS" une spectaculaire réhabilitation diplomatique, Donald Trump a défendu avec vigueur mardi le prince héritier saoudien concernant l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi en 2018.
"Vous parlez d'une personne extrêmement controversée. Beaucoup de gens n'aimaient pas ce monsieur dont vous parlez. Que vous l'aimiez ou pas, des choses se sont produites", a lancé le républicain de 79 ans en réponse à une question sur l'ancien chroniqueur du Washington Post.
Mohammed ben Salmane "n'était au courant de rien", a affirmé Donald Trump, qui s'en est pris violemment à la journaliste de la chaîne ABC qui posait la question. Il l'a accusée de chercher à "embarrasser" celui qu'il qualifie de "très bon ami".
Reçu avec une garde à cheval, des coups de canon et un survol d'avions de combat F-15 et F-35, le dirigeant de facto du royaume saoudien a aussi eu droit aux louages du président américain, dans le Bureau ovale, pour son bilan "incroyable en matière de droits humains."
Résidant aux Etats-Unis, critique du pouvoir saoudien après en avoir été proche, Jamal Khasshoggi a été tué dans le consulat saoudien à Istanbul par des agents venus d'Arabie saoudite.
Son corps, démembré, n'a jamais été retrouvé. Les services secrets américains ont pointé une responsabilité directe de Mohammed ben Salmane, ce qui a quasiment gelé, pendant un temps, la relation entre les deux alliés.
"Énorme erreur"
"C'est douloureux et c'est une énorme erreur et nous faisons de notre mieux pour que cela n'arrive pas à nouveau", a dit mardi le prince héritier saoudien, surnommé MBS.
Alors que son prédécesseur démocrate Joe Biden voulait le traiter en "paria", le président américain l'a reçu avec plus d'égards que tout autre dirigeant venu à la Maison Blanche depuis son retour au pouvoir en janvier.
Le prince gouverne le royaume, mais son père, le roi Salmane, reste le souverain en titre. La Maison Blanche lui réserve pourtant un accueil digne d'un chef d'Etat, dîner de gala compris.
Le républicain de 79 ans a tenu à montrer à son invité une galerie de portraits d'anciens présidents américains, dans laquelle Joe Biden est remplacé par une machine à signer, dans une référence moqueuse au déclin mental supposé de l'ancien président.
L'affaire Khashoggi a relégué au second plan les autres dossiers de la visite.
Nucléaire, Israël
Donald Trump a confirmé que les deux pays discutaient de la conclusion d'un accord-cadre sur le nucléaire civil, et il a promis d'accéder à la demande saoudienne d'avions de combat F-35.
Il espère en retour que l'Arabie saoudite rejoindra les accords d'Abraham, son grand projet de normalisation des liens entre les pays arabes et Israël.
Le dirigeant saoudien a temporisé: "Nous souhaitons faire partie des accords d'Abraham. Mais nous voulons également nous assurer que la voie vers une solution à deux Etats est clairement tracée", alors qu'Israël refuse toute création d'un Etat palestinien.
"Nous allons y travailler afin de nous assurer que nous pouvons créer les conditions propices dès que possible pour y parvenir", a déclaré Mohammd ben Salmane.
Il n'est toutefois pas venu les mains vides à Washington. Le prince héritier a promis de porter à 1000 milliards de dollars, contre 600 auparavant, le montant des futurs investissements saoudiens aux Etats-Unis, comme Donald Trump le réclamait avec insistance.
Conflits d'intérêts
Le président américain a aussi assuré mardi que les deux pays s'étaient entendus sur un partenariat de défense.
Mohammed ben Salmane veut des garanties américaines renforcées, à l'instar du Qatar qui, après avoir subi des frappes israéliennes, a obtenu un engagement américain à le protéger en cas de nouvelle attaque.
Comme souvent depuis le début du second mandat Trump, les relations diplomatiques se doublent de contacts familiaux et de liens financiers. Les fils du président et son gendre, Jared Kushner, qui joue un rôle informel de médiation au Moyen-Orient, sont en affaires avec l'Arabie saoudite.
Donald Trump a toutefois nié tout conflit d'intérêts: "Je n'ai rien à voir avec les affaires de ma famille. J'ai quitté cela".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Naufrage dans la Manche: un réseau de passeurs lourdement condamné
Huit hommes, désormais reconnus comme "passeurs", ont été lourdement condamnés mardi à Paris pour avoir tenté de faire entrer clandestinement des migrants au Royaume-Uni. La traversée de la Manche avait tourné au drame en 2023, avec un naufrage et sept morts.
Déjà en détention pour certains depuis plus d'un an et demi, ces huit Afghans et Kurdes irakiens âgés de 23 à 45 ans ont écopé de trois à quinze ans de prison ferme selon leur rôle dans ce réseau de passeurs, essentiellement pour homicides involontaires et aide à l'entrée et au séjour irrégulier en bande organisée.
Dans ce drame qui a fauché sept candidats afghans à l'exil, la présidente du tribunal a en revanche relaxé le neuvième prévenu, un ressortissant soudanais originaire du Darfour en reconnaissant à ce rescapé du naufrage sa qualité de victime, lui qui comparaissait dans le même box que ses passeurs car soupçonné d'avoir piloté l'embarcation de fortune.
Les huit autres prévenus ont mené une activité "particulièrement lucrative" et "profité de la grande vulnérabilité (des migrants) pour monnayer des passages dans des conditions dangereuses", a déclaré mardi la présidente du tribunal, suivant les réquisitions du parquet, qui avait réclamé la semaine dernière des peines exemplaires pour des passeurs "aveuglés par leur volonté d'enrichissement".
Risque de récidive
"Vous avez tous, pour ceux qui sont déclarés coupables d'homicides involontaires, créé les conditions conduisant aux décès des personnes qui se sont noyées avant l'arrivée des secours et exposé les autres à un risque imminent de mort", a ajouté la juge.
L'affaire, un des pires drames survenus dans la Manche depuis l'explosion en 2018 de ces traversées en "small boats", remonte à la nuit du 11 au 12 août 2023, lorsqu'un pneumatique surchargé avec 67 personnes à bord quitte la plage de la Huchette, près de Calais.
Le bateau chavire en haute mer et les passagers, pour certains équipés de bouées faites de chambres à air, se retrouvent à l'eau. Bilan: sept morts et soixante personnes prises en charge par les secours maritimes français et britanniques.
Le procès a permis de déterminer "les responsabilités de chacun" dans ce réseau formé "d'une alliance de plusieurs branches", l'une irako-kurde chargée de la logistique, l'autre afghane chargée du recrutement des candidats à l'exil, a expliqué la magistrate.
La juge a justifié les peines particulièrement lourdes pour les deux Kurdes irakiens par leur "absence de remise en question" et le risque de "réitération des faits" pour ces hommes déjà condamnés comme passeurs et en situation de récidive.
Elle a ainsi condamné Tariq H. à 12 ans de prison et Idriss K. à 15 ans de réclusion.
Trouver "cette vie meilleure"
Les deux prévenus afghans pour lesquels la qualification d'homicides involontaires n'a pas été retenue ont écopé de 3 et 4 ans de prison. Les autres ont été condamnés à 7, 8 et 9 ans d'emprisonnement.
Le sort d'Ibrahim A., rescapé soudanais de 31 ans, a fait l'objet d'une appréciation particulière. A-t-il tenu la barre du bateau ? Le tribunal n'a pas pu l'établir formellement. "Vous êtes avant tout un candidat au départ et comme les autres passagers, vous auriez pu perdre la vie", lui a dit la présidente en lui annonçant sa relaxe totale.
Son avocat Raphaël Kempf s'est félicité auprès de l'AFP, à l'issue de l'audience, de cette décision "après deux ans et trois mois de prison".
"Rappelons qu'il a fui un génocide ou un nettoyage ethnique au Darfour (...) et qu'il a eu un parcours migratoire absolument terrible", a-t-il ajouté, indiquant que la relaxe allait lui permettre de solliciter le statut de réfugié en France.
Ibrahim A. est le seul, dans le box, contre lequel une interdiction définitive du territoire français n'a pas été demandée.
Avant qu'il ne quitte la salle du tribunal, encore menotté, la présidente a pris le temps de s'adresser à lui. "Le tribunal forme le voeu que vous trouviez en France cette vie meilleure à laquelle vous aspiriez en montant dans ce bateau", a lancé la juge en direction d'Ibrahim A., en détention depuis le 16 août 2023. Dans le box, il s'est rassis de soulagement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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