Économie
Zone euro: le taux de chômage se maintient au plus bas en avril

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Le taux de chômage de la zone euro est resté stable en avril par rapport à mars à 6,8% de la population active, son plus bas niveau historique, a annoncé mercredi Eurostat.
Depuis décembre, cet indicateur est au plus bas depuis que l'office européen des statistiques a commencé à compiler cette série en avril 1998. Pour l'ensemble de l'UE, le taux de chômage s'est maintenu à 6,2% en avril, également un plancher historique.
Le marché du travail a profité du fort rebond de l'économie européenne entamé au printemps 2021, après la récession liée à la pandémie de Covid-19.
La guerre en Ukraine, qui commence déjà à pénaliser l'activité, jette une ombre sur les perspectives des prochains mois, les perspectives de croissance en Europe ayant été revues drastiquement à la baisse tandis que l'inflation s'envole. Mais les conséquences ne sont pas encore visibles sur les chiffres de l'emploi.
Bruxelles a abaissé en mai de 1,3 point sa prévision de croissance du produit intérieur brut (PIB) pour la zone euro en 2022, à 2,7%, et augmenté de 3,5 points sa prévision d'inflation, à 6,1%, par rapport aux chiffres annoncés le 10 février avant le déclenchement de l'offensive russe.
Sur un an, en avril, taux de chômage a baissé de 1,4 point dans la zone euro et de 1,3 point dans l'UE.
L'amélioration a été encore plus marquée chez les jeunes. Le taux de chômage des moins de 25 ans a chuté de 4,7 points par rapport à avril 2021 dans la zone euro pour atteindre 13,9%, le même taux que dans l'UE.
Quelque 13,26 millions d'hommes et de femmes restaient cependant sans emploi parmi les 27 pays membres, dont 11,18 millions dans les 19 pays partageant la monnaie unique.
Dans l'UE, les taux de chômage les plus élevés en avril ont été enregistrés en Espagne (13,3%), en Grèce (12,7%) et en Italie (8,4%).
En France, 7,2% de la population active était au chômage, selon les données harmonisées d'Eurostat.
La République tchèque (2,4%), l'Allemagne (3%) et la Pologne (3%) affichaient les taux de personnes sans emploi les plus faibles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
L'émiratie Adnoc fait une offre à 18,7 milliards sur Santos
Une filiale de la compagnie d'Etat émiratie Adnoc a fait une offre sur l'intégralité du groupe énergétique australien Santos le valorisant à 18,7 milliards de dollars américains (15,2 milliards de francs), ont annoncé les deux groupes lundi.
Santos, qui a des activités en Australie, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, au Timor oriental et aux Etats-Unis, est un fournisseur majeur de gaz naturel liquéfié en Australie et en Asie.
Le groupe australien a indiqué que son conseil d'administration avait l'intention "de recommander à l'unanimité que les actionnaires de Santos votent en faveur de la transaction" si les deux parties peuvent se mettre d'accord sur les termes de l'opération.
Le groupe émirati Abu Dhabi National Oil Company (Adnoc) a fait une offre de 5,76 dollars par action Santos, soit 18,72 milliards de dollars pour l'ensemble de la société.
Ce prix par action est supérieur de 28% au niveau de clôture de Santos vendredi.
Il s'agit d'une offre "finale, non contraignante" de la compagnie émiratie, qui avait fait en mars deux offres plus basses et restées confidentielles, a déclaré Santos.
Le titre du groupe australien gagnait 12% à la Bourse australienne ASX en début d'après-midi.
La société énergétique nationale d'Abou Dhabi a présenté son offre par le biais d'un consortium mené par sa filiale XRG.
Les autres membres du consortium incluent Abu Dhabi Development Holding Company et la société internationale d'investissement Carlyle.
L'année dernière, Santos et son rival australien Woodside Energy avaient mené des négociations visant à former l'un des plus grands exportateurs de gaz naturel au monde, avant de les abandonner.
XRG a indiqué dans un communiqué vouloir s'appuyer sur l'expérience de Santos "pour renforcer la sécurité énergétique nationale et internationale". "La transaction proposée est en ligne avec la stratégie et l'ambition de XRG de construire une entreprise mondiale intégrée leader dans le secteur du gaz et du GNL," a-t-il déclaré.
Cible
Santos est une cible d'acquisition potentielle depuis plus de deux ans, selon un rapport de E&P Financial Group grâce à des prix de l'énergie mondiaux plus élevés et au fait que certains projets d'investissement majeurs du groupe australien sont à présent réalisés.
La société de conseil financier s'attend à ce que l'offre de Santos accroisse l'intérêt pour les actifs de gaz naturel liquéfié, après que des médias ont rapporté que la compagnie pétrolière nationale d'Abou Dhabi convoite également des opérations de GNL et de gaz de BP.
Santos a précisé que la "proposition indicative" du groupe d'Abou Dhabi était encore soumise à des vérifications, à un accord sur les termes, et à l'approbation des autorités réglementaires d'Australie, de Papouasie-Nouvelle-Guinée et des Etats-Unis.
Les Emirats sont le 7e producteur mondial de pétrole, devant l'Iran et le Koweït et au 15e rang mondial pour le gaz naturel. Sa compagnie nationale a entamé une diversification à l'étranger avec une série d'acquisitions ces dernières années.
Le consortium a indiqué vouloir maintenir le siège de Santos à Adelaide.
Il a affirmé qu'il prévoyait d'investir dans l'activité de gaz et de gaz naturel liquéfié de Santos afin de fournir "des solutions fiables et abordables" aux clients en Australie, dans la région Asie-Pacifique et au-delà".
XRG a ajouté qu'il veillerait à ce que Santos investisse dans des projets de captage et de stockage du carbone, des carburants à faible émission de carbone et "d'autres initiatives de décarbonation".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Crash du Boeing 787 d'Air India: deuxième boîte noire retrouvée
La deuxième boîte noire du Boeing 787 d'Air India qui s'est écrasé jeudi à Ahmedabad, dans le nord-ouest de l'Inde, a été retrouvée dimanche, ont annoncé les autorités indiennes. La première avait été récupérée vendredi.
"La boîte noire (Cockpit voice recorder", qui enregistre les discussions dans le cockpit a été trouvée, a annoncé dans un communiqué Dr P. K. Mishra, le principal sécrétaire du Premier ministre indien Narendra Modi, dans un communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Crash du Boeing 787 d'Air India: le bilan passe à 279 morts
Le bilan provisoire de l'accident du Boeing 787 d'Air India, qui s'est écrasé jeudi après son décollage d'Ahmedabad, dans le nord-ouest de l'Inde, à destination de Londres, est passé à 279, a-t-on appris samedi de source policière.
Un total de 279 corps ou morceaux de corps ont été acheminés à l'hôpital de la ville depuis la catastrophe, a indiqué sous couvert d'anonymat cette source à l'AFP.
Le précédent bilan faisait état de 265 victimes, passagers et membres d'équipage de l'avion ou victimes tuées au sol par sa chute.
Le vol 171 d'Air India s'est écrasé jeudi moins d'une minute après son décollage à 13h39 à destination de l'aéroport londonien de Gatwick, selon l'aviation civile indienne.
Appel de détresse
Il avait émis un appel de détresse presque aussitôt après avoir quitté le sol, avant de percuter un quartier résidentiel d'Ahmedabad situé au-delà de l'aéroport, dont une résidence de médecins et d'étudiants d'un hôpital voisin.
Selon l'aviation civile indienne, le Boeing 787 avait embarqué 230 passagers - 169 Indiens, 53 Britanniques, 7 Portugais et un Canadien - et douze membres d'équipage.
Un seul survivant
Seul un des passagers assis à l'avant de l'appareil a miraculeusement survécu au crash et a pu s'extirper de ses débris, blessé.
Le ministre indien de l'Intérieur Amit Shah a indiqué que le bilan définitif de la catastrophe, l'une des plus meurtrières dans le monde depuis 2000, serait rendu public une fois réalisées toutes les identifications ADN des victimes.
Les enquêteurs ont récupéré vendredi une des deux boîtes noires de l'avion, l'enregistreur des données de vol, et continuaient samedi à fouiller le site pour retrouver la seconde, l'enregistreur des conversations du cockpit.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Les marchés bousculés par l'escalade militaire Iran-Israël
Les cours du pétrole bondissent, l'or flirte avec son record et les actions reculent vendredi, après l'escalade des tensions géopolitiques au Moyen Orient provoquée par plusieurs frappes aériennes d'Israël contre des infrastructures nucléaires et militaires en Iran.
L'Iran figurant parmi les dix plus grands producteurs de pétrole au monde, "un conflit dans le Golfe pourrait perturber le trafic dans l'une des principales voies maritimes mondiales et interrompre l'approvisionnement en pétrole d'une région à l'origine d'environ un quart de la production mondiale", explique Ricardo Evangelista, analyste financier d'ActivTrades.
Face au risque de voir l'offre de pétrole baisser, les prix s'envolaient. Après avoir bondi de plus de 12% dans la nuit, le cours du baril de WTI nord-américain progressait toujours fortement de 7,23% à 73,29 dollars vers 13H40 GMT. Le baril de Brent de la mer du Nord grimpait quant à lui de 7,22% à 74,37 dollars.
Sur le marché des changes, le dollar, monnaie dans laquelle est libellée le pétrole, avançait de 0,70% face à la monnaie unique à 1,1505 euro pour un dollar. La devise israélienne chutait elle de 0,93% face au dollar à 4,1584 shekels pour un dollar.
Face aux vives tensions géopolitiques entre l'Iran et Israël, les valeurs dites "refuge" sont recherchées par les investisseurs.
La première d'entre elles, l'or, grimpait ainsi de 1,71% à 3443 dollars l'once (31,1 grammes). Il évoluait proche de son dernier record de 3.500 dollars l'once, atteint en avril dernier.
En revanche, les marchés d'actions s'enfonçaient.
A Wall Street, dans les premiers échanges, vers 13H40 GMT, le Dow Jones perdait 1,13%, l'indice Nasdaq lâchait 1,08% et l'indice élargi S&P 500 se contractait de 0,88%.
Sur le Vieux continent, Paris lâchait 0,96%, Francfort 1,11%, Milan 1,23%, Londres 0,20% et Zurich 1,24%. En Asie, Hong Kong a abandonné 0,57%, Shenzhen 1,10% et Shanghai 0,75%. Tokyo a terminé en repli de 0,89%, Séoul de 0,87% et Taipei de 0,96%.
"L'attention se porte désormais sur la forme que pourraient prendre les représailles de l'Iran", commente Jim Reid, économiste de Deutsche Bank.
"Déclaration de guerre"
Le ministère iranien des Affaires étrangères a qualifié l'attaque de "déclaration de guerre" et appelé le Conseil de sécurité de l'ONU à réagir. Les forces armées de Téhéran ont averti qu'elles n'auraient "pas de limites" dans leur riposte.
Le président américain Donald Trump a lui exhorté vendredi Téhéran à "conclure un accord avant qu'il ne reste plus rien", prévenant que les "prochaines attaques" seraient "encore plus brutales".
"Cette situation pourrait potentiellement dégénérer en guerre ouverte, avec des conséquences imprévisibles pour la région du Golfe", estime Ricardo Evangelista.
De nouvelles explosions ont été entendues à la mi-journée en Iran, selon des médias locaux qui font état d'une nouvelle frappe sur le centre d'enrichissement d'uranium de Natanz (centre), et d'un incendie à l'aéroport de Tabriz (nord-ouest).
"Une forte réplique de Téhéran contre Israël "pourrait redéfinir les scénarios macroéconomiques pour le reste de l'année" et un emballement de la confrontation aurait "des implications mondiales", a réagi Stephen Innes, de SPI Asset Management.
"Quoi qu'il en soit, beaucoup d'investisseurs préféreront probablement réduire leur exposition au risque avant un weekend qui s'annonce potentiellement très volatil sur le plan géopolitique", estime Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank.
Côté obligataire, les rendements des emprunts d'État restaient stables, insensibles à l'incertitude. Vers 13H40 GMT, le taux d'intérêt à dix ans américain atteignait 4,38%, contre 4,36% la veille en clôture. Son équivalent allemand, référence en Europe, atteignait 2,49%, contre 2,47%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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