International
Bagnaia s'impose devant Quartararo à Jerez
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Francesco Bagnaia (Ducati) a remporté le Grand Prix d'Espagne dimanche à Jerez, décrochant ainsi sa cinquième victoire en MotoGP.
L'Italien de 25 ans a devancé le Français Fabio Quartararo (Yamaha), qui prend seul la tête au classement du championnat du monde.
Eliminé lors du GP d'ouverture au Qatar, victime d'une lourde chute lors des qualifications à Portimao il y a huit jours, Francesco Bagnaia a enfin lancé sa saison ce week-end. Auteur d'un nouveau record du circuit samedi, il a cueilli son premier succès 2022 en s'imposant avec 0''285 d'avance sur Fabio Quartararo.
"C'était une course très difficile. Pecco (réd: Bagnaia) est très bien parti. J'ai essayé de le doubler dans le 1er tour mais il était super rapide. Je pensais que mon rythme était incroyable, mais ça n'a pas suffi", a expliqué Fabio Quartararo, tenant du titre, qui a décroché dimanche son troisième podium de la saison.
L'Espagnol Aleix Espargaro (Aprilia) complète le podium en Andalousie où son compatriote Alex Rins (Suzuki), coleader du championnat avant cette sixième course de la saison, a fini hors des points. Aleix Espargaro, qui a terminé à plus de 10'' de Bagnaia, est désormais 2e du général à 7 points de Quartararo.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Infox sur Brigitte Macron transgenre: pourvoi en cassation
Brigitte Macron, l'épouse du président français, s'est pourvue en cassation après la relaxe prononcée jeudi par la cour d'appel de Paris à l'encontre de deux femmes. Elles avaient propagé la rumeur selon laquelle elle était une femme transgenre.
Le frère de Brigitte Macron s'est également pourvu en cassation, a précisé à l'AFP l'avocat de la Première dame, Me Jean Ennochi, confirmant une information de franceinfo. L'infox au sujet de Mme Macron était devenue virale jusqu'aux Etats-Unis.
Les deux prévenues, Natacha Rey et Amandine Roy, ont été relaxées concernant 18 articles mis en cause par Brigitte Macron et son frère. Seul un passage faisant référence à un détournement de mineur entrait dans le champs d'application de la loi sur la presse mais la cour a également prononcé une relaxe, cette fois au bénéfice de la bonne foi.
En première instance, en septembre, Natacha Rey et Amandine Roy avaient été reconnues coupables et condamnées à une amende de 500 euros avec sursis, ainsi qu'à payer un total de 8000 euros de dommages et intérêts à Brigitte Macron, et 5000 euros à son frère Jean-Michel Trogneux, tous deux parties civiles au procès.
Longue "interview"
Au coeur de cette affaire, une infox resurgissant régulièrement sur les réseaux sociaux depuis la première élection d'Emmanuel Macron en 2017, selon laquelle Brigitte Macron, née Trogneux, n'aurait jamais existé, mais que son frère Jean-Michel aurait pris cette identité après avoir changé de sexe.
Les deux femmes avaient largement contribué à la faire connaître en 2021, via une longue "interview" de plus de quatre heures où la première, la "médium" Amandine Roy, interrogeait sur sa chaîne YouTube la seconde, Natacha Rey, "journaliste indépendante autodidacte" sur la découverte de cette "tromperie", "escroquerie", de ce "mensonge d'Etat".
Dans l'entretien diffusé sur YouTube, les deux femmes diffusaient des photos de Brigitte Macron et de sa famille, évoquaient des interventions chirurgicales qu'elle aurait subies, prétendant qu'elle ne serait pas la mère de ses trois enfants et donnaient des informations personnelles sur son frère.
La fausse information s'était exportée - notamment et encore récemment aux Etats-Unis, où elle est devenue virale dans les milieux d'extrême droite, en pleine campagne présidentielle. Plusieurs femmes politiques dans le monde ont déjà fait les frais d'infox à caractère transphobe, comme l'ex-Première dame des Etats-Unis Michelle Obama, l'ex-vice-présidente américaine Kamala Harris ou l'ancienne Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Droits de douane: l'UE veut négocier mais s'impatiente face à Trump
L'Union européenne espère un accord avec les Etats-Unis après les nouvelles menaces de Donald Trump d'imposer le 1er août des droits de douane de 30%, mais la patience s'amenuise, indique lundi le négociateur en chef de l'UE et des ministres européens du Commerce.
"J'ai l'intention de m'entretenir à nouveau avec mes homologues américains dans le courant de la journée, car je ne peux pas m'imaginer en rester là sans effort véritable", a déclaré le commissaire européen chargé du Commerce Maros Sefcovic.
Mais, a-t-il ajouté, "nous devons nous préparer à toutes les éventualités, y compris, si nécessaire, à des contre-mesures proportionnées et bien calibrées pour rétablir l'équilibre de notre relation transatlantique".
La décision du président américain, annoncée dans une lettre rendue publique samedi, a jeté un froid alors que les négociations commerciales étaient toujours en cours entre Bruxelles et Washington, avant la date butoir du 1er août.
"Changer de méthode"
"L'incertitude actuelle causée par des droits de douane injustifiés ne peut pas durer indéfiniment", a souligné M. Sefcovic.
"Évidemment, la situation depuis samedi doit nous amener à changer de méthode", a renchéri lundi à Bruxelles le ministre français chargé du Commerce extérieur Laurent Saint-Martin, avant une réunion des ministres de l'UE. Et il ne faut avoir "aucun tabou", a-t-il martelé, y compris en annonçant dès lundi de premières représailles.
"Nous voulons un accord, mais il y a un vieux dicton qui dit: +si tu veux la paix, tu dois te préparer à la guerre+", a déclaré de son côté le ministre danois des Affaires étrangères, Lars Lokke Rasmussen, dont le pays assure actuellement la présidence tournante de l'UE.
La présidente de la Commission européenne - qui négocie au nom des Etats membres de l'UE -, Ursula von der Leyen, a choisi pour le moment de temporiser, sous pression notamment de pays, comme l'Allemagne, dont les ventes vers les Etats-Unis représentent la part la plus importante du total des exportations de l'UE.
Elle a annoncé dimanche que l'Union européenne n'allait pas riposter pour l'instant aux droits de douane américains sur l'acier et l'aluminium, dans l'espoir d'obtenir un accord qui s'avérerait moins douloureux.
"Nous avons toujours été très clairs sur le fait que nous préférons une solution négociée. Cela reste le cas et nous utiliserons le temps dont nous disposons maintenant jusqu'au 1er août", a déclaré Mme von der Leyen.
Des diplomates ont néanmoins souligné qu'un paquet de mesures de représailles supplémentaires serait présenté aux ministres lundi, mesures qui pourraient être mises en oeuvre si Donald Trump optait effectivement pour des taxes de 30% sur les importations en provenance de l'Union européenne.
100 milliards d'euros
L'UE a déjà menacé en mai d'imposer des droits de douane sur des produits américains d'une valeur d'environ 100 milliards d'euros comprenant des automobiles et des avions, si les négociations échouaient - quand bien même un diplomate a laissé entendre que la liste finale avait été réduite à une valeur de 72 milliards.
Les pays européens essayent de rester unis dans cette affaire, bien que leurs économies ne soient pas exposées de la même façon aux foudres douanières du président américain.
Emmanuel Macron a exhorté samedi la Commission européenne à "défendre résolument les intérêts européens" et à "accélérer la préparation de contre-mesures crédibles".
Le chancelier allemand Friedrich Merz s'est dit dimanche d'accord avec le président français, précisant avoir discuté avec lui, avec Mme von der Leyen et Donald Trump ces derniers jours. Il assure vouloir s'impliquer "intensivement" pour tenter d'arriver à une solution.
La Première ministre italienne Giorgia Meloni a quant à elle mis en garde dimanche contre la perspective d'une "guerre commerciale" au sein du monde occidental.
"L'Europe dispose de la puissance économique et financière nécessaire pour affirmer sa position et parvenir à un accord équitable et de bon sens. L'Italie fera sa part. Comme toujours", a-t-elle dit dans un communiqué, tandis que son opposition l'accuse de manquer de fermeté face à Washington.
Depuis son retour à la présidence des Etats-Unis en janvier, Donald Trump a imposé des droits de douane fluctuants et généralisés à ses alliés et ses concurrents, perturbant les marchés financiers et alimentant les craintes d'un ralentissement économique mondial.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Chine: les exportations dopées en juin par la trêve commerciale
Les exportations chinoises ont bondi en juin, selon des données officielles publiées lundi, dépassant les prévisions des économistes après la conclusion par Washington et Pékin d'une trêve pour réduire leurs tensions commerciales.
D'après les douanes chinoises, les exportations ont grimpé de 5,8% sur un an le mois dernier, dépassant les prévisions d'économistes sondés par l'agence Bloomberg, qui tablaient sur une hausse de 5%. Les importations ont également grimpé de 1,1%, là encore au-delà des anticipations du marché (+0,3%).
Des chiffres cruciaux pour Pékin: les exportations chinoises, qui ont atteint des niveaux records l'an dernier, font office de moteur pour une économie nationale en perte de vitesse.
L'Etat-Parti chinois peine en effet à maintenir ses niveaux de croissance passés depuis la fin de la pandémie, en raison d'une longue crise du secteur immobilier, d'une consommation intérieure chroniquement faible et d'un chômage élevé chez les jeunes.
La guerre commerciale avec les Etats-Unis déclenchée au début de l'année par le président américain Donald Trump a aggravé la situation. Mais le mois dernier, Washington et Pékin se sont accordés sur le cadre d'un accord lors de discussions à Londres, sans pour autant régler les différends persistant.
Conséquence de cette précaire trêve, les exportations chinoises à destination des Etats-Unis ont augmenté de 32,4% en juin par rapport au mois précédent: le géant asiatique a expédié quelque 38,2 milliards de dollars de marchandises vers les Etats-Unis le mois dernier, contre 28,8 milliards de dollars en mai.
"La croissance de la valeur des exportations a rebondi quelque peu le mois dernier, à la faveur de la trêve commerciale entre les Etats-Unis et la Chine", observe Zichun Huang de Capital Economics.
"Mais les droits de douane (américains) vont probablement rester élevés et les fabricants chinois font face à des contraintes croissantes quant à leur capacité à accroître rapidement leur part de marché au niveau mondial en cassant les prix", explique Mme Huang, qui s'attend à un ralentissement de la croissance des exportations.
Incertitude
Pour Zhiwei Zhang, de Pinpoint Asset Management, ces chiffres témoignent de la dynamique engagée par les entreprises chinoises pour accélérer le rythme des cargaisons à destination des Etats-Unis en prévision de futurs droits de douane rétablis après la fin de la pause actuelle.
"La vigueur des exportations contribue en partie à compenser la faiblesse de la demande intérieure et devrait permettre de maintenir la croissance du PIB autour de l'objectif gouvernemental de 5% au deuxième trimestre", analyse l'économiste.
Mais "les perspectives pour le second semestre de l'année restent incertaines", ajoute-t-il.
Pékin "espère que les Etats-Unis continueront de travailler avec la Chine dans la même direction", a cependant déclaré lundi le responsable des douanes chinoises, Wang Lingjun, lors d'une conférence de presse diffusée par la télévision publique CCTV.
"Le chantage et la coercition ne mènent nulle part. Le dialogue et la coopération sont la bonne voie à suivre", a-t-il ajouté.
Dans leur ensemble, les experts estiment que l'économie chinoise va croître de plus de 5% au deuxième trimestre 2025, portée par les exportations. Le niveau du Produit intérieur brut (PIB) pour la période doit être dévoilé mardi.
Toutefois, ils estiment aussi que la guerre commerciale pourrait conduire à un ralentissement aigu lors du deuxième semestre.
Témoignant d'une conjoncture toujours maussade, les prix à la consommation en Chine ont à peine augmenté en juin après quatre mois de baisse, tandis que l'indice des prix à la production a reculé le mois dernier à son rythme le plus élevé (3,6%) depuis près de deux ans, selon le Bureau national des statistiques.
De nombreux économistes soutiennent que la Chine devrait se tourner vers un modèle de croissance se fondant davantage sur sa demande intérieure que sur ses leviers habituels que sont l'investissement dans les infrastructures, la production et les exportations.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Les étudiants sud-coréens mettent fin à 17 mois de grève
Environ 8300 étudiants en médecine en Corée du Sud vont retourner en cours après 17 mois de grève, a annoncé lundi l'Association médicale coréenne. Ce mouvement s'opposait à l'augmentation du nombre de places en faculté.
Le système de santé sud-coréen s'était retrouvé plongé dans le chaos début 2024, quand le président de l'époque, Yoon Suk Yeol, avait décidé d'augmenter fortement le nombre d'admis en faculté de médecine, évoquant la nécessité de disposer de plus de médecins pour faire face au vieillissement de la population.
Cette mesure avait provoqué un tollé chez les étudiants et les jeunes médecins, les premiers boycottant les cours et les seconds cessant massivement le travail dans les hôpitaux.
Les grévistes soutenaient que la réforme allait provoquer une dégradation de la qualité de l'enseignement médical et des soins. Le projet était en revanche largement soutenu par l'opinion publique, beaucoup accusant les médecins de chercher avant tout à préserver leur rémunération élevée et leur statut social privilégié.
Le gouvernement avait finalement fait marche arrière en mars dernier, après la suspension de M. Yoon pour sa désastreuse tentative d'imposer la loi martiale.
Un système de santé sous tension
"Les étudiants ont accepté de retourner à l'école", a fait savoir lundi l'Association médicale coréenne, sans préciser quand exactement.
L'Association des étudiants en médecine coréens a pour sa part expliqué dans un communiqué que ses adhérents avaient pris cette décision de crainte de causer "l'effondrement des fondations du système médical" du pays.
Le nouveau président sud-coréen, Lee Jae Myung, élu en juin, avait promis au cours de sa campagne de résoudre ce conflit.
La majorité des quelque 12.000 jeunes médecins qui s'étaient mis en grève l'an dernier refusent toutefois toujours de reprendre le travail.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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