International
Descente de Val Gardena: Hintermann 3e, Bennett s'impose
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Niels Hintermann a pris la 3e place de la descente de Val Gardena. Le Zurichois de 26 ans n'a été battu que par l'Américain Bryce Bennett et l'Autrichien Otmar Striedinger.
La Suisse s'attendait à voir Beat Feuz sur la boîte, elle a eu Niels Hintermann. De plus en plus en confiance, le Zurichois de 26 ans s'affirme de plus en plus comme le numéro deux suisse en descente compte tenu des absences de Carlo Janka et Mauro Caviezel. Excellent 7e à Beaver Creek, Hintermann avait validé son ticket pour les JO aux Etats-Unis. En Italie, il a obtenu le deuxième podium de sa carrière après son improbable victoire dans le combiné de Wengen en 2017.
Solide tout au long de la piste, très rapide sur le bas, Hintermann a aussi parfaitement su profiter de son petit numéro de dossard (le 6). Mais deux hommes se sont montrés meilleurs que le Zurichois: Bryce Bennett et Otmar Striedinger, parti avec le numéro un.
Bryce Bennett a perpétué la tradition nord-américaine dans le Haut-Adige. On se souvient des trois victoires de son compatriote Steven Nyman (2006, 2012 et 2014) et de celles des Canadiens Manuel Osborne-Paradis (2009) et Erik Guay (2014).
Parmi les ténors de la discipline, seul Beat Feuz a plus ou moins tenu son rang. Mais après six podiums consécutifs en descente, sept si l'on compte sa médaille de bronze aux Mondiaux de Cortina, le Bernois a dû se contenter de la 5e place à 0''47. Mais les rivaux autrichiens de Feuz, Vincent Kriechmayr et Matthias Mayer, ont perdu des plumes. Le champion du monde en titre a terminé au 10e rang, alors que le double champion olympique n'a pris que la 12e place.
Alors qu'il comptait 0''20 de bonus avant le Ciaslat, "Kugelblitz" a cédé du temps dans cette partie atypique qui semble davantage taillée pour les athlètes de skicross.
Mais le plus frustré de cette course est à n'en pas douter Aleksander Aamodt Kilde. Grand favori de cette épreuve sur la Saslong, le quadruple vainqueur (2x en descente et 2x en Super-G) a commis une erreur avant d'entrer dans le Ciaslat alors qu'il possédait près de 0''90 au pointage intermédiaire avant le mythique passage.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Tirage au sort de l'US Open: Masarova pas gâtée
Les Suissesses ont connu des fortunes diverses lors du tirage au sort de l'US Open. Rebeka Masarova affrontera Aryna Sabalenka, no 1 mondiale, alors que Belinda Bencic jouera contre une qualifiée.
Rebeka Masarova (WTA 109) aura de la peine à atteindre le 2e tour à Flushing Meadows, ce qu'elle avait réussi en 2021 et 2023. La Bâloise, de retour sous la bannière suisse, sera aux prises avec la tenante du titre, la Bélarusse Aryna Sabalenka, contre qui elle n'aura au moins rien à perdre. Leur dernier duel, en juin sur herbe à Berlin, avait permis à la numéro 1 mondiale de s'imposer 6-2 7-6.
Belinda Bencic (WTA 18) aura une entame de tournoi a priori plus simple. La championne olympique de Tokyo 2021 affrontera une qualifiée. Sa première rivale tête de série pourrait être la Russe Ludmilla Samsonova (WTA 19) au 3e tour.
Des espoirs
Viktorija Golubic (WTA 77) et Jil Teichmann (WTA 85) peuvent envisager de franchir le 1er tour. La Zurichoise sera opposée à la Française Loïs Boisson (WTA 46), demi-finaliste à Roland-Garros, qui est surtout performante sur terre battue. A 32 ans, Golubic espère enfin se qualifier pour le 2e tour à l'occasion de son 8e US Open. Quant à la Seelandaise, elle jouera contre l'Américaine Caty McNally (WTA 103), qui est connue plus comme spécialiste de double.
Aucun Suisse ne figure dans le tableau principal, mais l'un ou l'autre pourrait y être admis via les qualifications. Parmi les favoris, Jannik Sinner a hérité du tirage le plus favorable. L'Italien pourrait affronter Jack Draper en quart de finale puis Alexander Zverev dans le dernier carré.
Le tournoi sera pour la première fois lancé un dimanche. Pas moins de 90 millions de dollars de prix seront décernés, ce qui constitue un record et une hausse de 20% par rapport à 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le train reste plus cher que l'avion pour les trajets européens
Voyager en train plutôt qu'en avion à travers l'Europe est plus cher dans 54% des cas, selon une étude publiée jeudi par Greenpeace Europe.
L'ONG a analysé 109 trajets transfrontaliers et 33 trajets au sein d'un même pays. Pour tous, l'itinéraire en train était "raisonnablement" praticable, soit dans la journée, soit en train de nuit.
Le train est jusqu'à 26 fois plus cher que l'avion, selon les comparaisons réalisées par Greenpeace, qui cite le cas extrême d'un trajet Barcelone - Londres réservé un mois à l'avance: 389 euros pour le train contre 14,99 euros pour l'avion.
"Il est clair que les gens sont encouragés à prendre l'avion pour voyager en Europe, même lorsqu'il existe une liaison ferroviaire raisonnable", avance l'ONG environnementale.
La France est le pays où les voyages ferroviaires transfrontaliers sont les plus chers par rapport aux vols, où "95% de tous les itinéraires étaient plus chers en train au moins 6 jours sur 9", selon ce même rapport.
Les trains de nuit constituent, selon l'ONG, "la meilleure option pour les trajets longue distance respectueux du climat", même s'ils sont "généralement plus chers" que les vols à bas coût.
Péages ferroviaires en cause
Greenpeace souhaite que le transport ferroviaire soit "systématiquement moins cher sur tous les itinéraires à travers l'Europe", et dénonce le fait que le kérosène ne soit pas taxé alors que "les opérateurs ferroviaires sont soumis à des taxes sur l'énergie, à la TVA et à des redevances élevées d'accès aux voies dans de nombreux pays".
Ces redevances, ou péages ferroviaires, sont "la principale raison de la différence de prix entre avion et train", explique François Guénard, associé en charge du secteur ferroviaire chez Roland Berger.
"L'infrastructure ferroviaire coûte très cher à entretenir, et une partie de ces financements se fait par les péages" développe le spécialiste.
Pour lui, une des solutions pour améliorer l'offre de trains en Europe serait d'"adapter petit à petit les infrastructures pour que les trains puissent circuler aisément entre plusieurs pays", notamment unifier l'écartement des rails ou les courants d'alimentation.
À l'échelle nationale, les liaisons en train sont moins chères que celles en avion pour "70% d'entre elles" selon Greenpeace.
Le train est l'un des modes de transport les moins émetteurs en CO2 par passager-kilomètre contrairement à l'avion qui est le plus polluant.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Un nouveau milieu de terrain arrive au LS
Nicky Beloko (25 ans) revient en Suisse après un court passage en MLS. Le milieu de terrain s'est engagé libre avec le Lausanne-Sport, a annoncé Austin FC.
Beloko avait signé dans le club texan au début de la fenêtre des transferts. Il était déjà arrivé libre de Lucerne. Il n'a toutefois jamais été aligné avec Austin et a demandé à rentrer en Suisse, ce que le club a accepté. La franchise de MLS a négocié 15% sur un éventuel futur transfert de Beloko, a-t-elle indiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Face à une dette élevée, Orior tranche dans le vif
Face à des résultats semestriels en baisse et une dette élevée, le groupe alimentaire Orior va trancher dans le vif pour se redresser. Des mesures qui risquent d'entrainer la suppression de 90 postes au sein de la firme grisonne.
Le groupe zurichois veut dorénavant se focaliser sur le marché suisse et une sélection d'activités à l'international. La direction étudie "toutes les options stratégiques" pour sa filiale belge Culinor Food Group, y compris une vente. La direction espère trouver un acquéreur d'ici le premier trimestre 2026, a indiqué jeudi la directrice générale Monika Friedli-Walser.
Si aucun acquéreur n'est trouvé, les activités de Culinor seront intégrées plus étroitement dans la maison-mère. Le directeur financier Sacha Gerber n'a pas voulu articuler de prix de vente, mais selon les experts de la Banque cantonale de Zurich, il pourrait se situer entre 50 et 100 millions de francs.
Culinor avait été acquis en 2016 et produit des plats préparés pour le commerce de détail et la restauration à destination de plusieurs pays européens, mais pas pour la Suisse. Orior ne détaille pas les ventes de Culinor, mais ses activités à l'international ont reculé de 4% à 94,5 millions de francs au premier semestre. Selon Orior, les synergies visées depuis le rachat de Culinor "n'ont pas pu être réalisées".
L'allemand Gesa, filiale du fabricant de jus de fruits Biotta, doit au contraire être renforcé. Les activités de restauration dans les aéroports européens doivent également être développées et la participation dans le fabricant italien de pâtes Gaetarelli consolidée.
La Suisse n'est pas épargnée par les mesure de restructuration. La marque de charcuterie grisonne Albert Spiess, jugée "insuffisamment rentable depuis un certain temps" et souffrant de la hausse du prix de la viande, doit être fusionnée avec son homologue tessinois Rapelli.
La production à Schiers, dans le canton des Grisons, doit être réduite et le magasin de Landquart fermé. Cette restructuration pourrait se traduire par la suppression de 90 des 130 emplois à Schiers, a averti la patronne d'Orior.
Couplé à des ventes immobilières, le groupe compte ainsi réduire en 18 mois son endettement d'un montant en millions à deux chiffres, sans plus de précision. Actuellement, la dette de l'entreprise se situe à 173,3 millions, un niveau jugé "insatisfaisant" par la société. Les résultats doivent être améliorés et la structure de la société subir une cure d'amincissement.
Perspectives ajustées
Le chiffre d'affaires net de la société zurichoise a reculé de 2,9% sur un an à 304,9 millions de francs au premier semestre, tandis que le résultat brut d'exploitation (Ebitda) a chuté de 28,7% à 16,3 millions. La marge afférente s'est quant à elle contractée de 1,9 point à 5,4%.
Le bénéfice net s'est établi à 1,3 million, un plongeon de 78,9% comparé au premier semestre 2024, a parallèlement détaillé Orior.
Alors que les ventes et le profit net ont dépassé les attentes des analystes interrogés par l'agence AWP, l'Ebitda est inférieur aux 17,1 millions anticipés par le marché.
La direction a précisé ses perspectives financières pour l'ensemble de l'année, tablant désormais sur un repli des ventes organiques entre -2% et -4%, contre -4% à -6% précédemment attendu. La marge Ebitda doit pour sa part s'établir entre 5,9% et 6,3% (6% à 6,4% auparavant).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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