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International

Friedrich signe un deuxième doublé, Vogt 11e

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Michael Vogt et son équipage ont terminé au 11e rang en bob à quatre (© KEYSTONE/AP/Dmitri Lovetsky)

Francesco Friedrich est entré dimanche dans la légende du bobsleigh.

Déjà titré en bob à deux aux JO de Pékin, le pilote allemand a décroché l'or en bob à quatre. Meilleur Suisse, Michael Vogt s'est classé au 11e rang.

Egalement sacré à deux reprises quatre ans plus tôt, Francesco Friedrich (31 ans) est le premier pilote de l'histoire à signer deux doublés olympiques. Il s'est imposé dimanche avec une marge de 0''37 sur son compatriote Johannes Lochner. L'équipage canadien de Justin Kripps a conquis le bronze, privant ainsi l'Allemagne du triplé.

Les bobs suisses n'ont comme prévu pas brillé en bob à quatre. Le Schwytzois Michael Vogt et ses coéquipiers Luca Rolli, Cyril Bieri et Sandro Michel ont certes gagné un rang lors de la quatrième manche pour prendre la 11e place. Mais ils échouent à 0''52 du top 8, et à près de deux secondes du podium.

"Il y a une marge infime entre laisser glisser ses patins et en garder le contrôle pour tenir la ligne parfaite", a souligné Michael Vogt (24 ans), qui avait obtenu une belle 4e place en bob à deux. "Ca a super bien fonctionné en bob à deux, mais malheureusement pas comme on l'espérait en bob à quatre".

Friedli loin du compte

Deuxième pilote helvétique engagé dans ces Jeux, Simon Friedli a subi un cuisant échec ce week-end. Décevant 18e en bob à deux, le Soleurois (30 ans) a pris la 24e place en bob à quatre, manquant ainsi la qualification pour la quatrième manche. Il a perdu 4''12 sur Francesco Friedrich, en trois descentes...

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Ralentissement des créations d'emploi en mai aux Etats-Unis

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La première économie mondiale a créé 139'000 emplois le mois dernier, moins qu'en avril mais plus que ce qui était envisagé par les acteurs de la finance. (archives) (© KEYSTONE/EPA/ETIENNE LAURENT)

Les Etats-Unis sont restés proches du plein-emploi en mai, avec un taux de chômage à 4,2%, même si le marché du travail s'est montré un peu moins vigoureux, selon des données officielles publiées vendredi.

La première économie mondiale a créé 139'000 emplois le mois dernier, moins qu'en avril (147'000, chiffre nettement révisé à la baisse), mais plus que ce qui était envisagé par les acteurs de la finance (autour de 125'000, selon le consensus publié par MarketWatch).

"L'emploi a continué à progresser dans les domaines de la santé, des loisirs et de l'hôtellerie-restauration, ainsi que dans les services sociaux. L'Etat fédéral a continué à perdre des emplois", a rapporté le ministère du Travail.

Depuis son retour au pouvoir en janvier, le président Donald Trump s'emploie à réduire la taille de l'administration.

Celle-ci compte 22'000 emplois en moins en mai et 59'000 depuis janvier, sur une masse salariale de près de 3 millions incluant les services postaux.

Les analystes s'attendent à voir le marché du travail continuer à ralentir avec les nouveaux droits de douane de l'exécutif américain, qui déstabilisent des pans de l'économie.

"Nous n'avons pas encore vu tout l'impact des droits de douane. Et nous ne le verrons probablement pas avant plusieurs mois", a déclaré à l'AFP, avant la publication, Dan North, économiste chez Allianz Trade North America.

Il estime que l'effet est d'autant moins linéaire que la politique douanière est "erratique".

Mercredi, un essoufflement des créations d'emploi dans le secteur privé, rapporté par l'indicateur ADP, avait fait sortir de ses gonds Donald Trump, qui avait une nouvelle fois appelé la Réserve fédérale (Fed) à baisser les taux d'intérêt "maintenant" pour donner un coup de fouet à l'économie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

Le concert de Black Sabbath en juillet sera diffusé en ligne

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Il s'agira du premier concert du groupe en vingt ans, et du dernier pour Ozzy Osbourne. (© KEYSTONE/EPA MTI/BALAZS MOHAI)

Le dernier concert du chanteur de heavy metal Ozzy Osbourne avec son groupe Black Sabbath le 5 juillet à Birmingham, dont les tickets se sont arrachés en 16 minutes, sera diffusé en ligne, a annoncé le groupe vendredi.

Le show, prévu dans le stade de football d'Aston Villa, réunira également les groupes Metallica, Guns N'Roses, Tool et Slayer.

Ozzy, qui a révélé en 2020 être atteint de la maladie de Parkinson, retrouvera Tony Iommi, Geezer Butler et Bill Ward pour un concert baptisé "Back To The Beginning" dans la ville du centre de l'Angleterre où le groupe a été fondé en 1968.

Il s'agira du premier concert du groupe en vingt ans, et du dernier pour Ozzy Osbourne.

Les fans qui n'ont pas pu acheter de billet pourront se consoler avec la retransmission du show en ligne, qui se fera toutefois avec deux heures de décalage.

Pour cela, ils peuvent depuis 14h00 GMT (16h00 en Suisse) ce vendredi acheter des tickets en ligne, d'un prix de 24,99 livres (environ 27,80 francs).

Demande massive

"Nous avons reçu une demande massive de la part de fans du monde entier qui n'ont pas pu obtenir de place. Ils se sont rués sur les réseaux sociaux, nous suppliant de diffuser le concert en direct. Comme c'est un événement historique, nous ne pouvions pas les laisser tomber", a déclaré Sharon Osbourne, épouse du chanteur, citée dans le communiqué du groupe.

L'intégralité des bénéfices du concert sera reversée à plusieurs associations, dont Cure Parkinson's et l'hôpital pour enfants de Birmingham.

Véritable légende du genre, Black Sabbath a vendu plus de 75 millions d'albums dans le monde et est considéré comme l'un des pionniers du heavy metal.

Pour Ozzy Osbourne, ce concert marquera la fin de sa carrière scénique, a confirmé son épouse à la BBC: "C'est son point final", a-t-elle déclaré.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Le réassureur Munich Re quitte plusieurs alliances climatiques

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Le géant allemand de la réassurance Munich Re a annoncé son retrait de plusieurs grandes alliances climatiques, dont la "Net-Zero Asset Owner Alliance" initiée par l'ONU. (archives) (© KEYSTONE/EPA/LUKAS BARTH-TUTTAS)

Le géant allemand de la réassurance Munich Re a annoncé vendredi son retrait de plusieurs grandes alliances climatiques, dont la "Net-Zero Asset Owner Alliance" initiée par l'ONU, nouvelle illustration des difficultés rencontrées par la finance dite durable.

Outre la Net Zero Asset Owner Alliance, le munichois s'est retiré de la "Net Zero Asset Managers Initiative" (NZAMI), regroupant des gestionnaires d'actifs comme Amundi, de la "Climate Action 100+", dont les membres sont des investisseurs institutionnels agissant sur des entreprises émettrices de gaz à effet de serre, et enfin de l'"Institutional Investors Group on Climate Change", qui compte des centaines de membres en Europe, selon un communiqué.

Le réassureur invoque une "insécurité juridique" et des "exigences contradictoires" pouvant découler de "cadres juridiques et réglementaires" hétérogènes dans le monde, ce qui rend difficile l'évaluation des initiatives privées d'investisseurs pour le climat.

Il déplore également des "obligations de transparence" climatiques devenues trop complexes pour un impact jugé insuffisant sur la protection du climat.

Contacté par l'AFP, Munich Re n'a pas souhaité expliquer davantage sa décision.

Munich Re ne renonce pas à la protection du climat, toujours perçue comme une "priorité urgente", et poursuit son engagement en faveur des objectifs de l'Accord de Paris de 2015, visant à limiter le réchauffement à moins de 2°C.

Mais la société "est convaincue qu'elle pourra poursuivre ses objectifs climatiques de manière plus ciblée et efficace en agissant seule, tout en évitant des obligations de reporting non imposées par la réglementation ainsi que les incertitudes juridiques", énonce le communiqué.

Elle affirme avoir déjà atteint ou dépassé ses objectifs intermédiaires sur le climat fixés pour 2025, et promet de nouveaux engagements d'ici la fin de l'année.

La finance durable traverse une zone de turbulences, entre désintérêt croissant, accusations d'écoblanchiment et pressions politiques qui ont augmenté depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche.

Symbole du repli, le géant BlackRock a quitté début janvier l'alliance NZAMI, qui a aussitôt gelé ses activités.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Avec la lapidation de Satan, le hajj touche à sa fin

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Le hajj consiste en une série de rites menés sur plusieurs jours. (© KEYSTONE/EPA/STRINGER)

Des centaines de milliers de fidèles musulmans ont accompli vendredi en Arabie saoudite le dernier grand rituel du pèlerinage annuel, la lapidation de Satan. Cela marque le début de l'Aïd al-Adha.

Depuis l'aube, plus de 1,6 million de pèlerins réunis dans l'ouest du royaume se sont relayés sur un site dans la vallée de Mina, près de La Mecque, pour jeter des cailloux sur une grande stèle en béton symbolisant le diable.

Le hajj, qui consiste en une série de rites menés sur plusieurs jours, souvent en extérieur, s'est déroulé, cette année encore, sous une chaleur écrasante, avec une température de 42 degrés prévue vendredi.

Après avoir accompli le rituel, une fidèle égyptienne, vêtue d'un voile blanc, s'arrête pour essuyer la sueur coulant sur son front. "Je ne peux pas parler, la chaleur me tue", dit-elle à l'AFP.

Un peu plus loin, un pèlerin soudanais d'une cinquantaine d'années raconte avoir marché 20 kilomètres sous un soleil de plomb pour arriver sur le site. "Je suis heureux, mais je n'ai plus d'énergie", affirme-t-il.

Drames

Le rituel de la lapidation a viré plusieurs fois au drame, notamment en 2015 lorsqu'une bousculade gigantesque a fait 2300 morts, la pire tragédie de l'histoire du grand pèlerinage musulman.

Depuis, le lieu a été aménagé avec des couloirs en béton et des ponts pour assurer la fluidité des mouvements de foules.

L'immense complexe, appelé Jamarat, "opère à pleine capacité, accueillant jusqu'à 300'000 pèlerins par heure", a indiqué l'agence de presse saoudienne SPA.

"Nous sommes entrés et, en cinq minutes, nous avons terminé la lapidation du diable", a raconté Wael Ahmed Abdelkader, un Egyptien de 34 ans.

Howakita, une fidèle venue de Guinée, s'est réjouie de célébrer l'Aïd al-Adha, la fête du sacrifice, à La Mecque. "Lorsque j'ai lancé les pierres, j'étais vraiment fière."

Pour éviter une répétition du drame de l'an dernier, lorsque 1301 personnes avaient péri sous des températures ayant atteint 51,8 degrés, les autorités ont dit avoir pris de nouvelles mesures pour limiter les risques liés à la chaleur. Elles ont aussi renforcé les contrôles pour lutter contre les pèlerins clandestins.

Selon les autorités, 83% des 1301 pèlerins décédés en 2024 n'avaient pas de permis officiel, payant et octroyé selon des quotas, qui leur aurait permis d'entrer dans des bus ou des tentes climatisés.

Le nombre de fidèles accueillis cette année est le plus bas depuis plus de trois décennies, sans compter les années 2020 à 2022 où des restrictions avaient été imposées en raison la pandémie du Covid.

L'année dernière, 1,8 million de musulmans avaient participé au hajj, selon les chiffres officiels.

Dernier tour de la Kaaba

Jeudi, les fidèles ont prié sur le mont Arafat, étape phare du hajj. Malgré une température culminant à 45 degrés, certains pèlerins n'ont pas hésité à gravir la colline.

Les pèlerins ont ensuite passé la nuit à la belle étoile à Muzdalifah, à mi-chemin entre Arafat et Mina, où ils ont ramassé des cailloux afin de procéder à la "lapidation du diable".

Après avoir jeté les cailloux, les fidèles retournent à La Mecque, la ville la plus sacrée de l'islam, pour un dernier tour de la Kaaba, structure cubique noire au coeur de la Grande Mosquée vers laquelle les musulmans du monde entier se tournent pour prier, marquant la fin du grand pèlerinage.

L'Aïd al-Adha est célébré en souvenir du sacrifice qu'avait failli accomplir Abraham en voulant immoler son fils sur ordre de Dieu, avant que l'ange Gabriel ne lui propose in extremis de tuer un mouton à sa place, selon la tradition.

A cette occasion, les musulmans égorgent une bête, en général un mouton, et offrent une partie de la viande aux nécessiteux.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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