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"Impossible" d'être numéro 1 mondial en fin d'année, selon Sinner

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Jannik Sinner face à la presse à Paris (© KEYSTONE/EPA/Teresa Suarez)

Jannik Sinner (ATP 2) pense qu'il lui sera "impossible" de finir l'année en tant que numéro 1 mondial. L'Italien a été détrôné en septembre par l'Espagnol Carlos Alcaraz.

"C'est impossible. Honnêtement, je n'y pense pas pour le moment, ça sera un objectif pour l'année prochaine", a déclaré l'Italien en conférence de presse avant son entrée en lice au Masters 1000 de Paris. Avec moins de 1000 points de retard, Sinner peut théoriquement doubler Alcaraz s'il remporte le tournoi parisien et que l'Espagnol est rapidement éliminé.

Mais il devra ensuite défendre 1500 points au Masters de Turin, qu'il avait remporté en 2024 là où son rival s'était fait éliminer dès les phases de poules. L'issue du duel pour la place au sommet de la hiérarchie mondiale "n'est pas entre mes mains", a soutenu Sinner.

"Si je regarde ma saison dans son ensemble, nous avons accompli des choses incroyables et mon seul souhait est de terminer l'année de la meilleure manière possible", a conclu le quadruple lauréat de tournois du Grand Chelem, vainqueur de l'Open d'Australie en janvier et de Wimbledon en juillet. Même s'il n'a "pas eu beaucoup de temps pour récupérer" de la finale de l'ATP 500 de Vienne, gagnée dimanche malgré des crampes au troisième set, Sinner a assuré se sentir bien physiquement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Municipales à Paris: "union historique" à gauche derrière Grégoire

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Emmanuel Grégoire (à gauche de Nicolas Sarkozy sur la photo) sera le candidat de la gauche unifiée aux Municipales de Paris. (© KEYSTONE/EPA AFP POOL/LUDOVIC MARIN / POOL)

Du jamais vu à Paris: socialistes, écologistes et communistes partiront unis au premier tour des municipales, derrière le socialiste Emmanuel Grégoire, selon un accord arraché au terme de négociations délicates.

"C'est un moment historique", a salué mercredi soir Emmanuel Grégoire, ex-premier adjoint de la maire sortante, Anne Hidalgo, qui mènera la liste d'union le 15 mars 2026 au côté des chefs de file des écologistes David Belliard et des communistes Ian Brossat.

Leur soutien "m'honore et m'oblige pour la bataille à venir", a déclaré le député de Paris dans un communiqué.

Si socialistes et écologistes gouvernent ensemble la capitale depuis 2001, ils n'avaient encore jamais mené campagne commune dès le premier tour. Mais face à la droite offensive de Rachida Dati, cette solution était réclamée sur le terrain.

L'accord a été approuvé dans la soirée par le conseil fédéral des socialistes parisiens, à 85%, et par plus de 70% des militants écologistes de la capitale, dont le vote était décisif.

David Belliard a salué sur Instagram "un vote de responsabilité, pour faire gagner l'écologie sociale et populaire" face à "une droite trumpiste, anti-pauvres, affairiste et climatosceptique", incarnée selon lui par la candidate LR Rachida Dati.

Selon l'accord consulté par l'AFP, les partenaires s'engagent "à tout faire pour qu'il n'y ait qu'une seule liste de gauche au second tour", excluant toute alliance avec le candidat Horizons soutenu par Renaissance Pierre-Yves Bournazel.

Mais sans fermer explicitement la porte aux Insoumis menés par Sophia Chikirou, même si Emmanuel Grégoire a répété qu'il ne discuterait pas avec LFI, au premier comme au second tour.

"Un effet vote utile"

Initialement annoncée pour octobre, cette alliance, qui associe également le parti de Raphaël Glucksmann Place publique et L'Après (ex-LFI), est le fruit de plus de trois mois de tractations serrées.

"Avec cette liste d'union il y aura un effet vote utile. Ca va forcément ouvrir une dynamique", espère une source à gauche.

Mais l'accord a un coût pour le PS qui dirige la capitale depuis 25 ans. "C'est difficile et parfois douloureux car cela implique que certains sortent des listes", glisse une source socialiste.

Les discussions achoppaient notamment sur la place des écologistes en lice pour le Conseil de Paris dans un contexte de changement de mode de scrutin.

Selon l'accord, 36 écologistes seraient éligibles contre 28 élus actuellement.

Source de profondes crispations chez les militants socialistes, les écologistes ont également obtenu que David Belliard soit tête de liste dans le XIe arrondissement, où fut élu Léon Blum et où l'est l'actuelle maire socialiste, Anne Hidalgo. Une troisième mairie verte en plus de celles du XIIe et du XIVe qu'ils administrent déjà.

Revendiquant leur rôle central dans la transformation de l'espace public, de l'essor des pistes cyclables aux "rues aux écoles", les écologistes conditionnaient leur retrait à l'obtention de concessions significatives.

Parmi les "marqueurs communs" figurent la revalorisation du périscolaire, un service de garde d'enfant universel, l'objectif de 40% de logement public (dont 30% de logement social), ou encore la poursuite de la piétonnisation et du verdissement de la ville.

Ainsi que la gratuité des bus proposée par David Belliard. Parmi les points de divergence, l'avenir du Parc des Princes.

"Guère d'autre choix"

"Au final, l'accord est assez favorable pour les Ecologistes, et ne l'aurait peut-être pas été à ce point dans une négociation de second tour", analyse Anne-France Taiclet, enseignante chercheuse en sciences politiques à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

"Les écologistes parisiens n'avaient guère d'autre choix, d'autant que le parti de Marine Tondelier est en difficulté dans plusieurs villes. Mais le PS a aussi besoin des écologistes pour essayer de concurrencer LFI dans les quartiers où vivent des jeunes et des diplômés de gauche qui ne veulent pas voter socialiste", décrypte la chercheuse pour l'AFP.

A l'instar de Paris, la plupart des grandes villes dirigées par la gauche ont franchi le pas d'une alliance rose-verte dès le premier tour.

Le jeu politique parisien est plus ouvert que jamais. Samedi, un sondage Ipsos pour Le Parisien créditait de 32% des voix au premier tour la gauche unie, hors LFI, derrière Emmanuel Grégoire, talonnée par Rachida Dati (27%), soutenue par le MoDem.

Pierre-Yves Bournazel est lui estimé à 14%, contre 13% pour Sophia Chikirou (LFI).

A l'extrême droite, la liste du RN de Thierry Mariani est créditée de 7%, ex-aequo avec celle de Sarah Knafo, candidate potentielle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Tour d'Espagne: le menu 2026 s'annonce très copieux

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Jonas Vingegaard voudra défendre son titre sur la Vuelta (© KEYSTONE/EPA EFE/JAVIER LIZON)

Un départ inédit de Monaco et une arrivée finale à Grenade avec dans l'intervalle une orgie de cols le long de la Méditerrannée. La 81e Vuelta (22 août-13 septembre) promet un menu très copieux.

La précédente édition du Tour d'Espagne s'était déroulée pour l'essentiel dans le nord de l'Espagne avant de se terminer dans le chaos à Madrid avec une dernière étape qui n'avait pas pu aller à son terme à cause de manifestations propalestiniennes. Jonas Vingegaard avait été obligé de fêter sa victoire sur un parking d'hôtel lors d'une cérémonie improvisée par les coureurs.

Pour l'édition 2026, les organisateurs espèrent que le changement de nom, de nationalité et de structure de l'équipe Israel Premier Tech, qui s'appelle désormais NSN Cycling, permettra d'éviter de tels débordements, tout comme lors du Tour de France d'ailleurs qui partira de Barcelone en juillet.

Final grandiose

Le parcours n'a rien à voir avec celui de 2025 puisque, après deux premières étapes au départ de Monaco (dont un contre-la-montre individuel le premier jour) et une troisième étape en France entre Gruissan et Font-Romeu, le peloton longera la mer Méditerranée pour se diriger vers l'Andalousie et un final grandiose à Grenade devant le palais de l'Alhambra, un des plus beaux édifices au monde.

Le chemin pour y aller est particulièrement ardu avec pas moins de quatre étapes de moyenne montagne et six de montagne pour un dénivelé total absolument démentiel de 58'156 m, bien plus que le Giro ou le Tour de France, les deux autres grands Tours.

"Ce sera l'une des éditions les plus exigeantes de l'histoire", prévient Javier Guillen, le directeur de la Vuelta. Il espère attirer avec ce parcours la crème des grimpeurs. A commencer par Tadej Pogacar, même si le Slovène, contrairement à son compatriote Primoz Roglic en lice pour une cinquième victoire record, n'a pas évoqué le Tour d'Espagne en dévoilant samedi dernier son calendrier pour 2026.

Une étape reine à 5000 m de dénivelé positif

Les choses sérieuses commencent dès la troisième étape vers Font-Romeu avant la première grande étape de montagne le lendemain à Andorre. "Nous allons ensuite visiter des cols emblématiques de la Vuelta dont Valdelinares, Calar Alto, le massif de La Pandera et l'Alto de Aitana", a détaillé Javier Guillen.

L'étape reine est programmée à la veille de l'arrivée finale avec une journée à plus de 5000 m de dénivelé positif pour atteindre le sommet du Collado del Alguacil au bout d'une pente de 8,3 kilomètres à 9,8% de moyenne. Les chances des sprinteurs seront réduites à la portion congrue. Les rouleurs, ainsi que les coureurs de classement général, auront deux contre-la-montre à se mettre sous la dent, le premier jour à Monaco sur 9 km et le second lors de la 18e étape, 32 km dans les vignobles de Cadix.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Ultimatum de Lula pour la signature de l'accord Mercosur-UE

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Luiz Inacio Lula da Silva a choisi de mettre la pression sur l'UE (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANDRE BORGES)

Le président brésilien Lula a déclaré mercredi que si l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Mercosur n'était pas signé "maintenant", il ne le sera pas sous sa présidence. Le président brésilien doit rester encore un an au pouvoir.

"Si on ne le fait pas maintenant, le Brésil ne signera plus l'accord tant que je serai président", a affirmé Luiz Inacio Lula da Silva lors d'une réunion ministérielle à Brasilia.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, espérait parapher ce traité lors du sommet du Mercosur samedi, dans la ville brésilienne de Foz do Iguaçu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'Espagne va mettre en place un réseau d'"abris climatiques"

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Face aux canicules, l'Espagne entend se doter d'abris climatiques, à l'instar de celui installé au Centre des beaux-arts de Madrid en août dernier. (archives) (© KEYSTONE/EPA EFE/CHEMA MOYA)

Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a annoncé mercredi la mise en place d'un réseau national d'"abris climatiques" pour aider la population à se protéger lors des fortes vagues de chaleur, son pays faisant face à des températures de plus en plus élevées.

L'Espagne est en première ligne du dérèglement climatique en Europe, avec ces dernières années des épisodes de canicule plus longs en été et des cas de pluies torrentielles à l'automne, des phénomènes générés par la hausse des gaz à effet de serre engendrée par l'activité humaine.

"Certains étés, on ne parle plus de vagues de chaleur, mais plutôt d'une seule et même vague qui dure", a affirmé M. Sánchez lors d'une conférence sur le climat à Madrid, décrivant une "nouvelle normalité" avec "des sécheresses dévastatrices", plus fréquentes et plus intenses.

"Par conséquent, avant l'été prochain, nous lancerons un réseau national d'abris climatiques", a-t-il annoncé, disant vouloir notamment "mettre les bâtiments publics à disposition" de la population.

"Nous faciliterons également le financement pour la création de ces abris climatiques dans les quartiers les plus vulnérables, où la chaleur (...) est la plus forte", a précisé le dirigeant socialiste, sans fournir toutefois de chiffres.

Le Premier ministre espagnol a ajouté que le gouvernement central de gauche à Madrid entendait "se coordonner" avec les autorités des régions espagnoles qui ont déjà mis en place des "abris climatiques", comme au Pays basque (nord) et en Catalogne (nord-est).

En Espagne, pays très décentralisé, les régions sont compétentes pour gérer les situations d'urgence, y compris climatiques.

A l'heure actuelle, Barcelone, la capitale de la Catalogne, est l'une des rares grandes villes à déjà disposer d'abris climatiques, la plupart aménagés dans des bibliothèques, écoles et autres bâtiments publics climatisés.

Scientifiques inquiets

L'Espagne a connu en 2025 son été le plus chaud jamais enregistré, avec une température moyenne de 24,2°C, d'après l'agence météorologique nationale Aemet.

Entre le 16 mai et le 30 septembre, 3832 décès pouvant être attribués à la chaleur ont été recensés dans le pays, selon le ministère de la Santé.

Bien que coutumière des températures élevées, l'Espagne est depuis plusieurs années confrontée à des épisodes de chaleur de plus en plus nombreux et rapprochés, parfois en dehors des mois d'été, ce qui inquiète les scientifiques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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