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International

Le pari payant de Brad Binder

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Brad Binder s'est montré intrépide. (© KEYSTONE/EPA/CHRISTIAN BRUNA)

La course de MotoGP du Grand Prix d'Autriche, à Spielberg, a vu la spectaculaire victoire de Brad Binder (KTM). Le Sud-Africain a gagné son pari "fou" de garder ses pneus "slicks" sous la pluie.

La course a été passionnante jusqu'au bout. L'apparition de la pluie en fin d'épreuve a bouleversé la donne. Brad Binder a pris le risque de garder ses pneus "slicks" malgré les gouttes, contrairement à ses concurrents aux avant-postes qui sont tous allés en changer à quatre tours du terme.

Un pari presque insensé, mais payant puisque le Sud-Africain s'est imposé. Mais il n'aurait guère fallu un tour de plus. Il a précédé l'Italien Francesco Bagnaia (2e) et l'Espagnol Jorge Martin (3e), tous deux sur Ducati, d'une dizaine de secondes.

Pointant au 3e rang provisoire peu avant la fin, Valentino Rossi (Yamaha), 42 ans, n'est pas passé loin d'un 200e podium en MotoGP. Las pour lui, le "Dottore" finissait 8e, après avoir lui aussi gardé ses "slicks", juste derrière le Français Fabio Quartararo (7e sur Yamaha), solide leader du Championnat du monde.

La course a aussi été marquée par la chute, sans gravité, de Johann Zarco, qui a perdu la maîtrise de sa machine dans un virage à une dizaine de tours de la fin.

Deuxième au Championnat du monde avant cette course, le Français fait la mauvaise opération du jour et rétrograde au 4e rang.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Poursuite des négociations sur la réforme de la justice

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Le projet de réforme de la justice a donné naissance à un des plus grands mouvements de mobilisation populaire du pays. (© KEYSTONE/EPA/ATEF SAFADI)

Les négociations entre partis de la majorité et de l'opposition sur le projet ultracontroversé de réforme de la justice en Israël se poursuivent mercredi, a indiqué le bureau du Président israélien Isaac Herzog. Une première rencontre a eu lieu la veille.

"Après environ une heure et demie, la rencontre, qui s'est déroulée dans un esprit positif, a pris fin", a annoncé mardi soir le bureau du président dans un communiqué. "Demain, le président Isaac Herzog poursuivra la série de rencontres", a-t-il ajouté.

Cette première "rencontre de dialogue" a eu lieu à la résidence de M. Herzog à Jérusalem entre "les équipes de travail représentant la coalition au pouvoir", ainsi que les formations d'opposition Yesh Atid et Parti de l'unité nationale, selon le communiqué. Yaïr Lapid et Benny Gantz, chefs respectifs de ces deux partis centristes, avaient annoncé lundi être prêts à dialoguer avec la majorité, sous l'égide de M. Herzog.

Peu avant, le Premier ministre Benjamin Netanyahu avait annoncé avoir "décidé d'une pause" dans l'examen du projet controversé de réforme de la justice qui divise le pays, afin de donner "une chance à un vrai dialogue" en vue de l'adoption d'un texte plus consensuel lors de la session parlementaire d'été qui commence le 30 avril.

"Démocratie fragile"

"Nous remercions le Président d'avoir ouvert sa maison au processus de négociation au profit des citoyens d'Israël. Nous l'avons rejoint au nom d'un large public qui a compris à quel point notre démocratie est fragile et vulnérable", a déclaré le parti Yesh Atid sur Twitter.

Le président américain Joe Biden, dont le gouvernement avait salué la "pause" annoncée par M. Netanyahu, a de nouveau plaidé mardi soir pour un abandon du projet. "Ils ne peuvent pas continuer sur cette voie et je pense que je me suis fait comprendre", a dit le président américain en marge d'une visite en Caroline du Nord. "J'espère qu'ils y renonceront", a-t-il encore affirmé plus tard à propos du texte de loi, une fois de retour à Washington. Il a ajouté qu'il ne prévoyait pas d'inviter "à court terme" M. Netanyahu à la Maison Blanche.

La "pause" annoncée par M. Netanyahu après un début de grève générale et l'apparition de tensions au sein de la majorité a été accueillie avec scepticisme par les contestataires ainsi que par plusieurs commentateurs politiques.

"Défaite cuisante"

Pour Nahum Barnea, éditorialiste du quotidien Yediot Aharonot, le Premier ministre "a su transformer avec de jolis mots une défaite cuisante en un match nul". "Quoi qu'il dise ou dira, peu de gens le croient, je crois que la confiance en lui n'est pas grande y compris" à droite, écrit-il.

Porté par un des gouvernements les plus à droite qu'ait connu Israël, le projet de réforme de la justice a donné naissance à un des plus grands mouvements de mobilisation populaire du pays. S'ils ont accepté la médiation de M. Herzog, MM. ont accepté la médiation de M. Herzog, MM. Lapid et Gantz ont aussi mis en garde le gouvernement contre toute duperie.

Faisant allusion au projet de loi sur la composition de la commission chargée de sélectionner les juges, un des volets parmi les plus contestés de la réforme, leurs deux partis ont prévenu dans un communiqué commun qu'ils quitteraient "immédiatement" la table des négociations si ce texte "est mis au programme du Parlement".

Pour le gouvernement, la réforme vise à rééquilibrer les pouvoirs en diminuant les prérogatives de la Cour suprême, que l'exécutif juge politisée, au profit du Parlement. Ses détracteurs estiment au contraire que la réforme risque d'entraîner une dérive illibérale ou autoritaire.

"Cessez-le-feu"

L'annonce de la suspension de l'examen du projet au Parlement a été précédée de longues négociations entre M. Netanyahu et ses partenaires d'extrême droite, notamment le ministre de la Sécurité intérieure, Itamar Ben Gvir, qui, selon la presse, avait menacé de quitter le gouvernement en cas de pause dans la réforme.

Le parti de M. Ben Gvir a annoncé la signature d'un accord entre les deux hommes, accordant au ministre la création d'une "garde nationale" civile sous son autorité, et sur laquelle aucun détail n'a encore été communiqué. "C'est une victoire pour les protestataires mais celui qui a vraiment fait plier Netanyahu et l'a piétiné c'est Itamar Ben Gvir (...), il a obtenu de lui une promesse scandaleuse: la création d'une milice qui sera sous ses ordres", dénonce Yossi Verter, correspondant politique de Haaretz, en première page du quotidien de gauche.

Pour Yohanan Plesner, président de l'Institut israélien pour la démocratie, un centre de réflexion, "il s'agit d'un cessez-le-feu peut-être pour regrouper, réorganiser et ensuite, potentiellement, charger en avant". Plusieurs membres de la coalition au pouvoir assurent que la réforme sera votée à terme.

Un des collectifs à l'origine des manifestations contre la réforme a annoncé la poursuite de la contestation "tant que le coup d'Etat judiciaire n'est pas totalement stoppé". Des manifestations ont eu lieu mardi soir à Tel-Aviv et devant la résidence de M. Herzog à Jérusalem.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Deux montres Rolex Daytona de l'acteur Paul Newman aux enchères

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Paul Newman était un grand amateur de belles montres. Ici l'une de ses Rolex présentée chez Christie's à Genève en 2017 (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

L'acteur américain Paul Newman, mort en 2008, était aussi un amateur de belles montres: deux de ses Rolex Daytona seront vendues aux enchères à New York en juin, a annoncé mardi Sotheby's. La maison de vente table sur un million de dollars pour chacune.

Même à ce prix, on sera très loin de l'adjudication record pour une montre-bracelet vendue aux enchères en octobre 2017 par la maison new-yorkaise Phillips: une autre Rolex Daytona ayant aussi appartenu à Paul Newman et partie à l'époque en quelques minutes pour 17,8 millions de dollars.

L'une des deux montres suisses mises aux enchères le 9 juin par la maison Sotheby's avait été offerte à l'acteur de Hollywood par son épouse d'un demi-siècle, la comédienne américaine Joanne Woodward, lors d'une épreuve des fameuses "24 heures de Daytona", une course automobile d'endurance sur le circuit de Daytona Beach, en Floride.

Estimée entre 500'000 et un million de dollars, le bijou Rolex Daytona au cadran noir et au bracelet en cuir porte l'inscription gravée en majuscules "conduis très lentement", signée "Joanne". L'autre Rolex "Zenith" Daytona, estimée au même prix, modèle presque identique mais avec un cadran blanc et un bracelet en métal, avait été offerte à Newman pour la victoire de son équipe aux "24 heures de Daytona" en 1995.

"Amour éternel"

L'acteur avait alors 70 ans et fut ainsi le pilote automobile le plus âgé à remporter une course, selon un communiqué de Sotheby's. La maison de vente, qui appartient au magnat français, marocain et israélien Patrick Drahi, avait annoncé fin février des enchères en juin de 300 objets ayant appartenu au couple mythique de Hollywood, Joanne Woodward et Paul Newman.

Ils furent mariés à partir de 1958 et jusqu'à la mort, en 2008 d'un cancer du poumon à l'âge de 83 ans, de l'acteur de légende oscarisé pour "La Couleur de l'argent" de Martin Scorcese (1986). Joanne Woodward, âgée de 93 ans, a elle aussi reçu un Oscar, en 1958, pour "Les Trois visages d'Eve".

La maison Sotheby's s'est dit "fière" de mettre en vente ces deux montres Daytona, dont l'horloger suisse de luxe Rolex célèbre cette année les 60 ans, "des modèles portés par la légende de Hollywood et qui raconte l'amour éternel qu'il partageait avec sa femme Joanne et son immense passion pour la course automobile".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Coronavirus

Le Brésil passe le cap des 700'000 morts après trois ans

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La gestion de la crise du Covid au Brésil a été marquée par un grand nombre de polémiques entre les milieux scientifiques notamment et l'ancien président d'extrême droite Jair Bolsonaro, qui a longtemps qualifié le virus de "grippette" (archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/ANDRE COELHO)

Le Brésil a passé mardi le cap des 700'000 morts du Covid-19, a annoncé le ministère de la Santé. Ce trois ans après le premier décès dû à la pandémie qui allait faire du pays latino-américain le deuxième Etat le plus endeuillé au monde.

Le premier décès au Brésil, celui d'une quinquagénaire de Sao Paulo (sud-est), était survenu le 12 mars 2020, marquant le début d'une longue crise sanitaire qui allait submerger les hôpitaux, morgues et cimetières du pays.

Seuls les Etats-Unis ont enregistré un pire bilan, avec 1,1 million de décès, d'après l'Organisation mondiale de la santé (OMS). L'épidémie a fait au moins 6,8 millions de morts dans le monde. La gestion de la crise du Covid au Brésil a été marquée par un grand nombre de polémiques entre les milieux scientifiques notamment et l'ancien président d'extrême droite Jair Bolsonaro.

Celui-ci a longtemps dit que le Covid était une "grippette", préconisé des traitements inefficaces et s'est opposé à la vaccination. Il a refusé de confiner la population au nom de la préservation de la première économie d'Amérique latine, tout en multipliant les bains de foule, le plus souvent sans masque.

Son successeur, Luiz Inacio Lula da Silva, a qualifié Bolsonaro de "génocidaire" et prôné le recours au vaccin, dont il a reçu lui-même une 5e dose devant les caméras en février dernier. "Le vaccin qui est disponible gratuitement dans toutes les unités de santé aurait pu changer la vie des familles qui ont perdu des êtres chers pendant la pandémie", a estimé le ministère de la Santé dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

L'Ecosse s'offre l'Espagne

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L'Espagnol Gavi avec le ballon face au héros du soir écossais Scott McTominay. (© KEYSTONE/EPA/Robert Perry)

Grâce à un doublé de son milieu Scott McTominay, l'Ecosse a pris un départ idéal dans le groupe A des éliminatoires pour l'Euro 2024 en battant l'Espagne (2-0).

Après la victoire samedi contre Chypre (3-0), avec déjà un doublé du milieu de Manchester United, l'Ecosse a six points en deux matches contre trois pour l'Espagne qui avait battu la Norvège sur le même score.

Les coéquipiers de Erling Haaland, blessé, ne comptent qu'une unité après deux matches, n'ayant pu faire mieux que 1-1 en Géorgie un peu plus tôt.

Dans un Hampden Park en fusion, les hommes de Steve Clarke ont démarré les deux périodes en trombe avant de faire le dos rond face à des Espagnols qui ont eu le ballon les trois-quarts du temps.

Dès la 7e minute de jeu, le latéral de Liverpool Andy Robertson a profité d'une glissade de celui de Tottenham, Pedro Porro, pour centrer en retrait et la reprise de McTominay a trompé le gardien de Chelsea, Kepa, pour un but 100% Premier League (1-0, 7e).

Le scénario s'est presque répété à la 6e minute de la seconde période quand Kieran Tierney, parti de son poste de défenseur axial gauche, s'est lancé dans un long rush le long de la ligne de touche pour voir son centre, mal repoussé par Eric Garcia, être repris de volée par McTominay pour doubler la mise (2-0, 51e).

Joselu sur la barre

Plus encourageant encore pour les Ecossais, dans la perspective d'une qualification pour l'Allemagne, l'Espagne a eu très peu d'actions vraiment dangereuses, surtout en seconde période.

Joselu, qui avait fêté sa première sélection à 32 ans par un doublé contre les Norvégiens - il a depuis fêté ses 33 ans lundi- a été moins en réussite avec une tête sur le gardien (20e) avant de trouver la barre quatre minutes plus tard.

A la 28e minute, une tête puissante de Rodri, de peu au-dessus, a aussi fait pousser un énorme soupir de soulagement au public écossais.

Mais en finissant avec un tir en moins (8 contre 9) et autant de tirs cadrés (3) que leurs adversaires, les Espagnols ont montré des limites offensives inquiétantes pour le deuxième match en poste de Luis de la Fuente.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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