International
Les Jeux disent au revoir à Pékin
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Une pincée de Covid, un soupçon de politique, une fine couche de neige, un maigre public et des exploits sportifs à foison: les JO de Pékin se sont achevés dimanche sur le cocktail habituel.
Le président du Comité international olympique (CIO) Thomas Bach a, comme le veut la tradition, "clos" ces 24e JO d'hiver sur un discours de paix, avant que la flamme olympique ne s'éteigne dans la capitale chinoise au terme de cette quinzaine si particulière, sous le régime d'une bulle sanitaire très stricte qui a grandement gâché la fête.
Moins de 100'000 spectateurs
Le public invité par les responsables était bien présent (contrairement à l'été dernier à Tokyo) mais, avec moins de 100'000 spectateurs annoncés par les organisateurs (contre 1 million il y a quatre ans à Pyeongchang) répartis sur treize sites et 109 épreuves, ces JO ont été moroses et souvent silencieux.
La bulle sanitaire a gâché une grande partie du plaisir, avec le port du masque obligatoire, les tests quotidiens et, surtout, les restrictions de déplacement, l'impossibilité pour les sportifs de rester quelques jours une fois leurs épreuves terminées pour encourager leur compatriotes, d'échapper à cette bulle pour rencontrer la population...
Mais, au final, la politique zéro Covid des organisateurs a fonctionné. Certes, quelques sportifs touchés par le Covid-19 ont dû renoncer à leur rêve olympique. Mais, au regard des plus de 60'000 tests quotidiens, soit plus de 1,8 million au total, il n'y eut point de cluster ni d'hécatombe, puisque la population olympique ne comptait pas plus de trois cas positifs sur les dix derniers jours. Et ceux placés à l'isolement n'ont pas semblé en avoir souffert, à l'image de Johannes Boe.
La quinzaine avait aussi commencé par des polémiques sur les droits de l'Homme ou l'absence de neige naturelle, fabriquée à coup de canons à neige.
Milan/Cortina en 2026
Le débat sur les droits de l'Homme n'est venu ni des sportifs, ni des pays comme les Etats-Unis ayant décidé d'un boycott diplomatique, ni des organisations opposées à la tenue de ces JO en Chine, accusée d'atteinte aux droits humains contre la minorité musulmane ouïghour dans la région du Xinjiang.
Aux quelques questions posées sur ce sujet, la porte-parole du Comité d'organisation, Yan Jiarong, a parlé de "mensonges", avant de se faire rappeler à l'ordre par le CIO qui ne veut pas mêler sport et politique, et les organisateurs ont sorti de leur chapeau la skieuse de fond ouïghoure Dinigeer Yilamujiang pour allumer la vasque olympique lors de la cérémonie d'ouverture le 4 février.
Le ciel a aussi éteint la polémique sur la neige puisque, après une semaine passée à regretter les paysages secs, arides et dépourvus de blanc des sites de montagne de Zhangjiakou et de Yanqing, la Sainte neige est finalement tombée au milieu des JO, blanchissant les arrières-plans.
Maintenant, place aux JO suivants avec un retour en Europe, après Rio, Pyeongchang, Tokyo et Pékin, première ville à accueillir les JO d'été (2008) et désormais d'hiver.
Dans quatre ans, la prochaine édition hivernale aura lieu en Italie, avec un duo inédit Milan/Cortina, qui a récupéré le drapeau olympique au cours de la soirée des mains de Thomas Bach, avant l'extinction de la flamme olympique.
Et, dans deux ans, c'est à Paris qu'elle brillera ! Le prochain rendez-vous en 2024 se déroulera dans la capitale française, où les organisateurs promettent des JO d'été festifs.
Le monde olympique en a bien besoin.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
USA: vers un examen de l'historique des réseaux sociaux des touristes étrangers
L'administration Trump veut exiger des visiteurs étrangers exemptés de visas qu'ils fournissent l'historique de leurs activités sur les réseaux sociaux depuis cinq ans, selon un avis publié mercredi dans le Register Federal, le Journal officiel américain.
Cette proposition concerne les ressortissants de pays bénéficiant du programme d'exemption de visa, notamment l'Australie, le Royaume-Uni, la Suisse, la France, l'Allemagne, Israël, le Japon ou encore la Corée du Sud. Le texte sera appliqué d'ici 60 jours sauf contestation en justice, précise l'avis.
Actuellement, les ressortissants de 42 pays peuvent voyager aux États-Unis pendant 90 jours sans visa, à condition d'obtenir au préalable une autorisation de voyage électronique (Esta). L'avis suggère d'ajouter les médias sociaux comme "élément obligatoire de données" pour une demande d'autorisation de séjour.
Outre l'historique des médias sociaux, les services des douanes et de la protection des frontières (CBP) ajouteraient d'autres nouveaux champs de collecte de données. Notamment les numéros de téléphone utilisés au cours des cinq dernières années et les adresses électroniques utilisées au cours des dix dernières.
Ils exigeraient également des demandeurs d'Esta qu'ils fournissent des informations sur les membres de leur famille - notamment noms, numéro de téléphone, date de naissance, lieu de naissance et adresse de résidence.
Coupe du monde en 2026
La proposition intervient alors que les Etats-Unis doivent accueillir, avec le Canada et le Mexique, la Coupe du monde de football en 2026 qui doit attirer des centaines de milliers de supporters du monde entier.
Le mois dernier, l'administration Trump avait sensiblement relevé le prix d'entrée des parcs nationaux pour les touristes étrangers, afin de donner "la priorité aux Américains".
Le secteur touristique américain pâtit déjà depuis plusieurs mois d'un déclin de voyageurs étrangers, refroidis par la politique du président républicain. L'association professionnelle US Travel Association prévoit ainsi une baisse de 6,3% des arrivées de touristes étrangers en 2025 par rapport à l'année 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Wayve s'associe à Nissan dans l'IA et l'autonomie
La jeune pousse britannique Wayve, spécialisée dans les systèmes d'intelligence artificielle (IA) pour véhicules autonomes, a conclu mercredi un accord avec le constructeur japonais Nissan pour déployer pour la première fois ses solutions à une échelle industrielle.
Après avoir dévoilé en septembre un premier prototype, Nissan se prépare à intégrer l'IA de Wayve "sur une large gamme de véhicules" du grand public au premium, en combinant le logiciel du britannique à ses propres systèmes d'aide à la conduite ProPilot.
ProPilot nouvelle génération restera une conduite autonome de niveau 2 (le conducteur doit rester prêt à prendre les commandes) mais permettra au constructeur nippon de faire jeu égal avec l'américain Tesla et de rivaliser avec Waymo (groupe Alphabet) dans la course à la voiture autonome.
Nissan, qui poursuit un douloureux plan de redressement et cherche à renouveler son offre, prévoit de lancer au Japon le premier modèle équipé durant l'exercice 2027.
Les systèmes d'assistance de Nissan prenaient déjà en charge la conduite sur plusieurs voies et la conduite mains libres sur autoroute, mais l'IA de Wayve leur permettra de s'adapter aux rues plus étroites des métropoles japonaises.
Celle-ci, en digérant les données des capteurs du véhicule (caméras, radars...), appréhende directement l'environnement réel au lieu de s'appuyer sur des itinéraires pré-cartographiés.
Ce qui permettra dans le cas des véhicules Nissan d'"assurer le freinage d'urgence automatique et surveiller votre conduite pour prévenir une inattention", explique à l'AFP le directeur général de Wayve Alex Kendall.
Il rappelle que cet accord n'est "pas exclusif", le britannique ayant vocation à fournir son modèle IA à d'autres constructeurs. Il est le partenaire d'Uber pour le déploiement de robotaxis au Royaume-Uni.
Le réseau labyrinthique des villes nippones représente un terrain de déploiement propice, poursuit Alex Kendall. "On ne peut pas se contenter de concevoir la conduite autonome pour les villes du désert avec leurs rues quadrillées, à l'instar de l'Arizona où elle a vu le jour", insiste-t-il.
Déjà testé dans 500 villes du monde, le système de Wayve "n'a pas besoin de cartes haute définition et peut donc se déplacer dans des endroits inconnus", et tirer les leçons des spécificités locales (signalisation, usages de conduite...), précise-t-il.
Par ailleurs, dans un archipel aux vastes zones rurales et à la population vieillissante, "le gouvernement japonais perçoit les véhicules autonomes comme un moyen efficace de soutenir cette population âgée" grâce à une conduite plus accessible et "sûre", ajoute M. Kendall.
Après le Japon, Nissan compte généraliser le nouveau système aux Etats-Unis -son premier marché- puis dans le reste du monde selon les contraintes réglementaires.
Des services de taxis autonomes sont déjà en circulation aux Etats-Unis et surtout en Chine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Le Haut-Commissariat aux droits de l'homme a coupé 300 postes
Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme "est en mode de survie". Environ 300 postes ont été coupés, a affirmé mercredi à la presse à Genève son chef Volker Türk.
"Du travail indispensable a dû être éliminé, notamment sur la Colombie, la République démocratique du Congo (RDC), la Birmanie, la Tunisie et d'autres pays", a-t-il insisté. A l'inverse, l'Autrichien déplore les ressources grandissantes des mouvements opposés aux droits de l'homme.
Ce montant a atteint 1,2 milliard de dollars de 2019 à 2023 en Europe, selon une ONG européenne. Mais les rejets des droits humains sont eux-mêmes "rejetés" dans de nombreux pays par des manifestations, ajoute le haut commissaire.
Il demande aux parties aux conflits dans la bande de Gaza, en RDC et entre la Thaïlande et le Cambodge d'appliquer les accords pour protéger dans les faits les populations. En Ukraine, le nombre de civils tués a augmenté d'un quart par rapport à l'année dernière, affirme-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Diwali intègre le patrimoine culturel immatériel de l'Unesco
La fête indienne des lumières, Diwali, a rejoint mercredi la liste du patrimoine culturel immatériel de l'Unesco. Cette annonce a été saluée par New Delhi, qui y voit la reconnaissance de "l'âme de (sa) civilisation".
Diwali, aussi connue sous le nom de Deepavali, est une des fêtes les plus importantes de l'hindouisme, mais aussi du sikhisme et du jaïnisme. Elle est célébrée par des millions de personnes à travers le monde et symbolise le triomphe du bien sur le mal et a lieu pendant cinq jours autour de la nouvelle lune en octobre ou novembre.
L'Inde est alors illuminée de feux d'artifice, lampes, bougies et pétards, au prix, en général, d'une pollution atmosphérique particulièrement toxique.
L'Unesco a annoncé son inscription au patrimoine culturel immatériel mercredi sur les réseaux sociaux. Le Premier ministre indien Narendra Modi a salué la reconnaissance de cette fête "fortement liée à notre culture et notre philosophie", qui constitue "l'âme de notre civilisation", selon un communiqué partagé sur les réseaux sociaux.
Cette inscription au patrimoine culturel immatériel "contribuera à renforcer encore davantage la popularité de cette fête à travers le monde", a-t-il ajouté.
Le Comité intergouvernemental de l'Unesco pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel est réuni à New Delhi de mardi à jeudi et examine des dizaines de candidatures provenant de 78 pays. L'objectif est de "mettre en avant la diversité des traditions et (d'encourager) les pays et les communautés à prendre des mesures pour les sauvegarder et les pérenniser", explique l'Unesco sur son site internet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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