International
Les malheurs d'Irene Cadurisch et du relais suisse
Les Suissesses ont abandonné dès la fin du premier tronçon sur le relais 4x6 km des JO Pékin. Irene Cadurisch a dû recevoir des soins en raison de problèmes de circulation sanguine.
Cadurisch avait été en grande difficulté dès le départ, sortant en 20e et dernière position après la première séance de tir (2 fautes). Elle a également peiné sur la piste, avant de jeter l'éponge sans même pouvoir transmettre le témoin.
La Grisonne disputait sa seule compétition de ces JO. Après son abandon, elle était consciente mais le team médical sous la conduite de Patrick Noack l'a prise en charge. Son état a été qualifié de "stable" en milieu de matinée.
Les autres relayeuses (Amy Baserga, Selina Gasparin et Lena Häcki) n'ont ainsi évidemment pas pu s'aligner. Il y a quatre ans à Pyeongchang, les Suissesses s'étaient classées 6es.
Le titre est revenue aux Suédoises. Linn Persson, Mona Brorsson, Hanna Oeberg et Elvira Oeberg ont devancé d'une dizaine de secondes la Russie sous pavillon neutre. L'Allemagne a pris le bronze. Il s'agit pour Elvira Oeberg de sa troisième médaille à ces JO, la première en or.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Le Groenland prêt à des liens plus étroits avec les Etats-Unis
Le Premier ministre du Groenland Mute Egede a déclaré lundi que le territoire autonome danois était disposé à avoir des relations plus étroites avec les USA. Notamment pour ce qui concerne les régions où se trouvent des ressources minérales inexploitées.
M. Egede a ajouté qu'il recherchait des "opportunités de coopération avec (Donald) Trump".
Le président élu américain, qui prendra ses fonctions le 20 janvier, a provoqué un séisme la semaine dernière lorsqu'il a refusé d'exclure une intervention militaire pour placer le canal de Panama et le Groenland sous contrôle américain.
Le vice-président élu J.D. Vance a pour sa part déclaré à la chaîne Fox News que les Etats-Unis n'avaient pas besoin d'utiliser la force militaire, en relevant qu'ils avaient déjà des troupes au Groenland. Les Etats-Unis possèdent en effet une base militaire dans le nord-ouest du Groenland.
"Faire des affaires"
Lors d'une conférence de presse, le Premier ministre du Groenland Mute Egede a déclaré que le territoire était ouvert à des liens plus étroits avec les Etats-Unis, selon la chaîne publique groenlandaise KNR.
"Nous devons faire des affaires avec les Etats-Unis. Nous avons commencé à entamer un dialogue et à chercher des opportunités de coopération avec Trump", a souligné M. Egede.
Le territoire a "ses portes ouvertes en matière d'exploitation minière. Il en sera de même dans les années à venir. Nous devons commercer avec les Etats-Unis", a-t-il insisté.
Mais "à ses propres conditions"
Le territoire, qui aspire à son indépendance du Danemark, attise les convoitises pour ses ressources naturelles - bien que la prospection pétrolière et l'exploitation de l'uranium y soient interdites - et pour son importance géostratégique - ce qui explique pourquoi les Etats-Unis y ont une base militaire.
Donald Trump avait pour la première fois dit qu'il voulait acheter le Groenland en 2019 lors de son premier mandat présidentiel, une proposition qui a été rejetée avec détermination par le Groenland et le Danemark.
Au cours d'une visite au Danemark la semaine dernière, M. Egede a jugé que le territoire "entrait dans une nouvelle ère, une nouvelle ère où le Groenland est au centre du monde".
Il a stipulé que le Groenland continuerait à coopérer avec les Etats-Unis, tout en soulignant que ce serait à ses propres conditions et que c'était "le peuple groenlandais qui décidait de son avenir".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Biden clame que "l'Amérique domine la compétition internationale"
Joe Biden a affirmé lundi que, grâce au travail de son administration ces quatre dernières années, les Etats-Unis faisaient actuellement la course en tête dans la "compétition internationale".
"L'Amérique est plus forte, nos alliances sont plus fortes, nos adversaires et concurrents sont plus faibles", a déclaré le président américain sortant lors d'un discours sur son bilan diplomatique au département d'Etat, à une semaine de laisser la place à Donald Trump.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Kiev pas en position de force avant d'éventuelles négociations
L'Ukraine n'est pas aujourd'hui dans la position de force nécessaire avant l'ouverture d'éventuelles négociations de paix avec la Russie, a averti lundi le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte.
"L'Ukraine n'en est pas là, parce qu'ils (les Ukrainiens) ne peuvent pas en ce moment négocier depuis une position de force", a déclaré le responsable néerlandais lors d'une intervention devant le Parlement européen à Bruxelles.
Et, a-t-il ajouté, "nous devons faire plus pour s'assurer que, en changeant la trajectoire de ce conflit, ils seront en mesure d'atteindre cette position de force".
Donner des moyens à Kiev
Mark Rutte insiste depuis son arrivée début octobre à la tête de l'Otan pour donner à l'Ukraine les moyens, notamment militaires, d'être en position de force face à la Russie, dans le cas où des négociations de paix devaient s'ouvrir.
Le président élu américain Donald Trump, qui entre en fonctions lundi prochain, a lui promis pendant sa campagne électorale de mettre un terme à ce conflit entre l'Ukraine et la Russie en moins de 24 heures. Il s'est depuis donné davantage de temps, mais des discussions pourraient néanmoins s'ouvrir rapidement, à la faveur notamment d'une rencontre entre lui et le président russe Vladimir Poutine.
Ce dernier est "ouvert au contact" avec Donald Trump sans conditions préalables, a annoncé vendredi le Kremlin, saluant la volonté du président élu américain de "résoudre les problèmes par le dialogue".
Dépenser plus pour la défense
M. Rutte a également appelé les Européens à dépenser plus pour leur défense, face à la menace russe, bien au-delà du niveau actuel, y compris en réduisant une "petite fraction" des dépenses sociales en Europe.
Les 32 pays de l'Otan se sont engagés en 2014 à consacrer au moins 2% de leur Produit intérieur brut à leurs dépenses militaires, mais seuls 23 d'entre eux ont atteint cet objectif l'an dernier.
Ou "commencer à apprendre le russe"
Le chef de l'Otan s'est refusé à fixer un nouvel objectif mais a rappelé que le niveau de 2% était "loin d'être suffisant". "Nous sommes en sécurité maintenant, mais pas dans quatre ou cinq ans", a-t-il averti.
"Donc, si vous ne le faites pas, commencez à apprendre le russe ou partez en Nouvelle-Zélande", a-t-il ironisé devant les eurodéputés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Guerre à Gaza: ministre israélien des finances contre tout accord
Le ministre israélien d'extrême droite Bezalel Smotrich s'est fermement opposé, lundi, à tout accord qui mettrait fin à la guerre dans la bande de Gaza. Cela à l'heure où une trêve entre Israël et le Hamas palestinien semble à portée de main.
Face aux rumeurs de l'imminence d'un accord de cessez-le-feu qui permettrait également la libération des otages retenus dans le territoire palestinien, M. Smotrich a dit qu'il ne soutiendrait pas un "accord de reddition qui inclurait la libération d'hyper-terroristes, l'arrêt de la guerre, et la perte de ce qui a été acquis au prix de beaucoup de sang versé et de l'abandon d'un grand nombre d'otages".
Les négociations indirectes visant à libérer les 94 otages retenus à Gaza, dont 34 sont morts selon l'armée, et à conclure un accord de trêve avec le mouvement islamiste palestinien Hamas, se sont intensifiées ces derniers jours.
"Proches d'un accord"
"Nous sommes proches d'un accord et nous pouvons y parvenir cette semaine", a dit lundi le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche Jake Sullivan, en référence aux discussions sur un cessez-le-feu à Gaza.
"Je ne fais pas de promesse ou de prédiction, mais c'est à portée de main", a-t-il dit à propos d'un accord qui s'accompagnerait d'une libération des otages détenus dans la bande de Gaza.
"Les positions se sont rapprochées de manière très importante sur les points les plus importants", a ajouté Jake Sullivan, le principal conseiller du président démocrate Joe Biden en matière diplomatique.
Il a mentionné en particulier la question des "échanges de prisonniers", celle du "positionnement des forces armées israéliennes pendant le retrait de la bande de Gaza", et "les détails sur la manière d'augmenter l'aide humanitaire une fois que les armes se seront tues".
Rien depuis novembre 2023
En dépit d'efforts diplomatiques intenses menés sous l'égide du Qatar, de l'Egypte et des Etats-Unis, aucune trêve n'a pu être conclue depuis celle d'une semaine intervenue fin novembre 2023, qui avait vu la libération d'une centaine d'otages.
Des négociations avaient déjà eu lieu à Doha en décembre, mais le Hamas et Israël s'étaient accusés mutuellement de les enrayer.
Selon les commentateurs israéliens, un accord serait désormais à portée de main, notamment en raison de la décision du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, d'ignorer les pressions de ses ministres d'extrême-droite, membres de sa coalition, renforcée début novembre par le ralliement du parti de centre-droit de Gideon Saar.
"Les négociations progressent"
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a indiqué lundi qu'Israël travaillait "dur" en vue d'une trêve accompagnée de la libération des otages.
"Israël souhaite réellement libérer les otages et travaille dur pour parvenir à un accord. Les négociations progressent", a-t-il assuré lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue danois, Lars Løkke Rasmussen.
Un haut responsable palestinien proche du Hamas a également évoqué des "progrès significatifs" dans les pourparlers.
"Le cycle actuel de négociations est le plus sérieux et le plus approfondi et a permis de réaliser des progrès significatifs", a-t-il affirmé à l'AFP sous couvert d'anonymat. Il a précisé que le projet d'accord était en cours de finalisation afin d'établir les détails du nombre d'otages qui seraient libérés en échange de prisonniers palestiniens incarcérés par Israël.
Les discussions incluent aussi la question de l'aide humanitaire à destination de Gaza, a-t-il ajouté.
Discussion Netanyahu-Biden
Dimanche, Netanyahu a discuté avec le président américain, Joe Biden, des "progrès" dans les négociations.
"Le Premier ministre a discuté avec le président américain des progrès dans les négociations pour la libération de nos otages et l'a informé du mandat qu'il a donné à l'équipe de négociation à Doha, visant à faire avancer la libération des otages", a indiqué son bureau dans un communiqué.
A l'approche de l'investiture de Donald Trump le 20 janvier, Joe Biden avait fait état jeudi de "réels progrès" dans les négociations. De son côté, Donald Trump a récemment promis "l'enfer" à la région si les otages n'étaient pas libérés avant son retour au pouvoir.
La guerre à Gaza a été déclenchée par l'attaque menée par le Hamas le 7 octobre 2023, qui a entraîné la mort de 1210 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles israéliennes. Ce jour-là, 251 personnes ont également été enlevées.
Plus de 46'500 personnes, essentiellement des civils, ont été tuées dans la campagne militaire israélienne de représailles à Gaza, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.
Israël fait 50 nouveaux morts
Lundi, une série de frappes israéliennes ont fait plus de 50 morts dans la ville de Gaza, dans le nord du territoire palestinien, ont annoncé les secouristes locaux.
Selon le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, ces frappes ont visé la plus grande ville du territoire tout au long de la journée, touchant "des écoles, des maisons et même des rassemblements".
"Il n'y a pas de place dans les hôpitaux pour accueillir les blessés", a déclaré Mahmoud Bassal à l'AFP.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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