International
Loïc Gasch doit renoncer aux Européens
Loïc Gasch ne prendra pas part aux Championnats d'Europe à Munich. Le recordman de Suisse du saut en hauteur doit soigner sa cheville.
C'est sur son compte Instagram que le Vaudois a transmis la mauvaise nouvelle: "J'ai pris la difficile décision de renoncer aux Championnats d'Europe et de mettre un terme à ma saison afin de laisser le temps à ma cheville de se soigner."
Le Sainte-Crix a donné quelques détails: "Cette douleur est arrivée quelques jours avant les Championnats du monde aux Etats-Unis et depuis j'ai tout mis en oeuvre afin de répondre présent du côté de Munich, malheureusement cela n'a pas suffi."
Un jour avant son 28e anniversaire, le Vaudois subit donc un nouveau coup d'arrêt, même s'il se dit satisfait de sa saison avec notamment sa médaille d'argent obtenue à Belgrade lors des Mondiaux en salle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Près de 70 pays ont signé le traité pour protéger la haute mer
Près de 70 pays ont signé mercredi le traité historique de protection de la haute mer. Cela laisse entrevoir une entrée en vigueur dès 2025 pour mettre à l'abri des écosystèmes marins vitaux pour l'humanité.
Etats-Unis, Australie, Royaume-Uni, France, Allemagne, Chili, Chine, Costa Rica, Mexique, Norvège, Fidji: 67 pays, plus l'UE en tant qu'organisation, ont signé le traité dès l'ouverture des signatures, selon l'ONU.
"C'est le début d'un nouveau chapitre lors duquel la communauté internationale devra prendre des actions audacieuses", a réagi Nichola Clark, de l'ONG Pew Charitable Trusts.
Après une ultime négociation marathon en mars, le texte a été formellement adopté par consensus le 19 juin, même si la Russie a pris "ses distances". La haute mer commence là où s'arrêtent les zones économiques exclusives (ZEE) des Etats, à un maximum de 200 milles nautiques (370 km) des côtes et n'est donc sous la juridiction d'aucun Etat.
Moitié de la Terre
Même si elle représente près de la moitié de la planète et plus de 60% des océans, elle a longtemps été ignorée dans le combat environnemental. Le traité y prévoit la création d'aires marines protégées.
Aujourd'hui, 1% de la haute mer fait l'objet de mesures de conservation. Mais en décembre à Montréal, l'ensemble des Etats de la planète s'est engagé lors de la COP15 sur la biodiversité à protéger, d'ici à 2030, 30% des terres et des océans de la planète.
Pour y parvenir, le nouveau traité est capital, mais tout dépendra de sa date d'entrée en vigueur, 120 jours après la 60e ratification, un processus plus ou moins long selon les pays.
"La course aux ratifications commence et nous appelons les pays à être ambitieux, à ratifier le traité pour s'assurer qu'il entre en vigueur en 2025", au moment de la prochaine conférence de l'ONU sur l'océan en France, a déclaré Mads Christensen, patron par intérim de Greenpeace International. "Nous avons moins de sept ans pour protéger 30% des océans, il n'y a pas de temps à perdre".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Enquête ouverte pour menaces de mort réitérées contre Sarkozy
Une enquête pour menaces de mort réitérées à l'encontre de l'ancien président français Nicolas Sarkozy et de son fils Jean a été ouverte mercredi, a indiqué le parquet de Paris. Nicolas Sarkozy, 68 ans, promeut actuellement son dernier livre "Le temps des combats".
"Nous avons été avisés d'une plainte déposée ce matin au commissariat du XVIe arrondissement de Paris", a précisé le parquet. Selon Actu17, la plainte dénonce un coup de fil menaçant passé dimanche dernier à la soeur de Nicolas Sarkozy. Un inconnu lui aurait dit "souhaiter la mort de Nicolas et Jean Sarkozy, le plus tôt possible. Qu'ils meurent".
Le parquet n'a pas confirmé la teneur des propos menaçants. L'ancien chef de l'Etat doit être jugé en novembre en appel dans le dossier Bygmalion, puis en première instance au début 2025 sur le coeur des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle 2007.
Il pourrait également prochainement être mis en examen dans un nouveau dossier, soupçonné d'avoir avalisé des manoeuvres frauduleuses entreprises par plusieurs protagonistes pour le disculper dans l'affaire dite du financement libyen.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Reprise d'une prison vénézuélienne sous la coupe d'un gang
Onze mille membres des forces de l'ordre, des dizaines de blindés: les autorités ont mis le paquet pour reprendre mercredi le contrôle de la plus célèbre prison du Venezuela, Tocoron. Le pénitencier était entièrement sous la coupe du gang criminel Tren de Aragua.
La prison va être complètement vidée et les 2500 prisonniers transférés dans d'autres établissements. Selon une enquête d'une journaliste, la police jusqu'ici restait à l'extérieur et la gestion de la prison était entre les mains de la bande qui rackettait les prisonniers, mais offrait des services peu habituels avec piscine, zoo, salles de paris et terrains de sport, comme l'ont confirmé plusieurs femmes de détenues.
Dans un communiqué, le gouvernement vénézuélien s'est félicité de l'opération "couronnée de succès" et du "contrôle absolu du pénitencier de Tocoron".
Les forces de l'ordre ont investi la prison vers 07h00 du matin, lançant "des grenades" et tirant des coups de feu, selon des témoignages de femmes qui étaient à l'intérieur mais aussi d'habitants du village de Tocoron, qui jouxte la prison.
Des évasions
Il n'y a pas eu de réponse des détenus. L'opération a duré une vingtaine de minutes. Pour le moment, il n'était pas possible d'obtenir un bilan officiel.
Plusieurs détenus ont profité de la confusion pour s'échapper. Le sort du chef du Tren de Aragua, Hector Guerrero Flores dit "Niño guerrero" (enfant guerrier), n'est pas connu.
Le Tren de Aragua, qui compterait quelque 5000 membres, est apparu en 2014, opérant dans des activités mafieuses "classiques": enlèvements, braquages, drogue, prostitution, extorsion. Il a étendu son emprise à d'autres activités, certaines légales, mais aussi à l'orpaillage et l'exploitation minière illégale dans tout le Venezuela et au moins huit autres pays d'Amérique latine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La Pologne ne fournit plus d'armes à l'Ukraine
La Pologne a averti mercredi qu'elle ne fournissait plus d'armement à l'Ukraine. L'annonce a été faite quelques heures après que Varsovie a convoqué "d'urgence" l'ambassadeur ukrainien pour protester contre les propos du président Volodymyr Zelensky à l'ONU.
"Nous ne transférons plus aucun armement à l'Ukraine, car nous nous armons nous-mêmes avec les armes les plus modernes", a indiqué le premier ministre polonais Mateusz Morawiecki, interrogé par la télévision privée Polsat News sur le soutien militaire et humanitaire de la Pologne à l'Ukraine malgré le conflit sur les céréales.
Le premier ministre n'a pas précisé quand la Pologne, qui est des plus grands fournisseurs d'armes à l'Ukraine, avait cessé d'en fournir, ni cela avait un lien avec le conflit sur les céréales.
"Nous nous concentrons principalement sur la modernisation et l'armement rapide de l'armée polonaise, afin qu'elle devienne l'une des armées terrestres les plus puissantes d'Europe, et ce dans un délai très court", a-t-il expliqué.
Il a également précisé que le centre militaire situé dans la ville de Rzeszow, dans le sud-est du pays, par lequel passe le matériel occidental à destination de l'Ukraine, fonctionnait normalement.
"Certains pays feignent la solidarité"
Ces déclarations interviennent quelques heures après une convocation "d'urgence" par Varsovie de l'ambassadeur d'Ukraine pour protester contre les propos du président Volodymyr Zelensky à l'ONU. Mardi, le président ukrainien avait dénoncé que "certains pays feignent la solidarité [avec l'Ukraine, ndlr] en soutenant indirectement la Russie".
Le vice-ministre polonais des affaires étrangères, qui a reçu le diplomate ukrainien, a dénoncé cette "thèse fausse à l'égard de la Pologne et particulièrement injustifiée concernant la Pologne qui soutient l'Ukraine depuis les premiers jours de la guerre", selon le communiqué du ministère.
Les tensions entre Varsovie et Kiev, provoquées par le conflit sur les céréales ukrainiennes dont la Pologne a interdit les importations pour protéger les intérêts de ses agriculteurs, se sont renforcées ces derniers jours.
L'annonce par Bruxelles vendredi de la fin de l'interdiction d'importer des céréales ukrainiennes, prononcée en mai par cinq Etats de l'UE, a enflammé les esprits, provoquant des embargos unilatéraux auxquels Kiev a répliqué lundi en annonçant porter plainte devant l'Organisation mondiale du commerce (OMC).
Le premier ministre polonais a averti mercredi qu'il élargirait la liste des produits ukrainiens interdits d'importation si Kiev devait intensifier le conflit sur un embargo sur les céréales.
La diplomatie ukrainienne a réagi rapidement en appelant la Pologne à "mettre l'émotion de côté" et à adopter une approche "constructive" dans cette dispute sur les exportations de céréales.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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