Sport
L'UEFA lève sa limite de 30% de public dans les stades
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L'UEFA a levé mercredi la jauge de 30% de spectateurs dans les stades décidée en octobre dernier.
Elle laisse les autorités locales décider d'éventuelles limites, notamment en vue de l'Euro (11 juin-11 juillet).
"Compte tenu du fait que les 55 associations membres de l'UEFA font chacune face à une situation différente dans la gestion de la pandémie, une telle limitation n'est plus requise", explique l'instance après avoir réuni son comité exécutif.
L'organisation maintient néanmoins l'interdiction de stade pour les supporters de l'équipe en déplacement, "jusqu'aux finales des compétitions de clubs", c'est-à-dire de l'Europa League le 26 mai et de la Ligue des champions le 29 mai. "Il sera possible d'avoir des fans des deux équipes aux finales, mais pas de fans d'équipes visiteuses avant les finales", précise un porte-parole.
L'UEFA permet ainsi aux 12 villes-hôtes de l'Euro, réparties dans douze pays, de remplir leurs enceintes si elles le souhaitent. Leurs plans d'accueil devront être remis d'ici le 7 avril à l'instance, qui les validera ou les refusera le 19 avril lors de son prochain comité exécutif.
L'organisation a néanmoins exclu mi-mars que certaines rencontres du tournoi se disputent à huis clos, contraignant donc les autorités locales à promettre d'admettre des spectateurs si elles ne veulent pas voir leurs matches déplacés dans un autre pays.
Cette exigence a été mal reçue en Allemagne, qui doit organiser quatre matches à Munich et interdit depuis mars 2020 la présence de public dans les stades. La Roumanie a en revanche annoncé le 18 mars qu'elle tablait sur une jauge d'au moins 25% du public à l'Arena Nationala de Bucarest.
Le Danemark prévoit de son côté d'accueillir au moins 11'000 spectateurs par match pour les quatre rencontres prévues cet été à Copenhague. Même si le gouvernement se réserve la possibilité de serrer la vis si la situation sanitaire se détériore.
Hockey
Mondial M20: La Suisse doit se mettre dans la peau des gagnants
L'entraîneur de l'équipe nationale suisse des moins de 20 ans, Jan Cadieux, souhaite que ses joueurs pensent comme des gagnants pour créer l'exploit lors du Mondial M20 qui débute le 26 décembre.
Jusqu'ici, les Suisses ont réussi à se hisser quatre fois dans le top 4 lors des précédentes éditions, pour la dernière fois en 2019. Leur seule médaille a été le bronze remporté en 1998, avec entre autres l'actuel sélectionneur de l'équipe de Suisse élite Patrick Fischer en attaque. Le Zougois sera par ailleurs sur place, mais c'est Jan Cadieux, qui a succédé à Marcel Jenni et qui prendra la relève de Fischer à partir de la saison prochaine, qui est responsable pour la première fois des M20.
Six joueurs de National League en défense
Cadieux apprécie beaucoup la présence de Fischer : "C'est un bon signal pour les jeunes, cela leur montre qu'ils sont déjà observés et qu'ils sont importants". Et certains profils ne manqueront pas d'éveiller la curiosité du technicien.
Sur les dix défenseurs convoqués, six ont déjà joué en National League cette saison. Ludvig Johnson a un temps de glace moyen de près de 14 minutes à Fribourg-Gottéron et est un atout en jeu de puissance. Niklas Blessing (Bienne) et Basile Sansonnens (Lausanne) sont également des joueurs réguliers et ont un temps de glace moyen d'environ douze minutes. Nik Lehmann joue également régulièrement avec Langnau. A cela s'ajoute Leon Muggli, qui a été drafté en 2024 par les Washington Capitals en 52e position. Il n'a toutefois pu jouer que deux matchs en AHL avec les Hershey Bears en raison d'une blessure à l'épaule. Mais il est maintenant à nouveau en forme.
Un collectif équilibré
En attaque, Jamiro Reber, qui joue en Suède au HV71 Jönköping, fait partie des leaders. Le joueur offensif suisse le plus prometteur est toutefois Jonah Neuenschwander, âgé de 16 ans seulement, qui a joué 18 fois pour Bienne en National League et obtenu en moyenne plus de 13 minutes de temps de glace. Il a marqué trois buts et donné 3 assists. Neuenschwander était déjà présent au Mondial M20 l'année dernière, tout comme neuf autres joueurs de l'équipe actuelle, dont les deux gardiens Christian Kirsch et Elijah Neuenschwander.
Cadieux voit dans l'équipe un "très bon équilibre, ce qui devrait être notre force", avec la défense comme atout. Devant, il manque peut-être un ou deux joueurs pour faire la différence par rapport aux meilleures nations. "Mais nous avons beaucoup de bons joueurs. Il s'agit maintenant de faire fonctionner le système de jeu et de travailler plus dur que les autres équipes."
"Une chance contre chaque équipe"
Les Suisses, qui se sont envolés pour l'Amérique du Nord dès le 13 décembre pour peaufiner leur préparation à Rochester, effectueront leurs premiers matches à St-Paul, dans la patinoire du Minnesota Wild. Lors de la phase de groupes, les adversaires seront, dans l'ordre, les États-Unis, tenants du titre, la Suède, l'Allemagne et la Slovaquie. Les quatre premiers se qualifieront pour les quarts de finale, ce qui est l'objectif minimal des Suisses.
Sur le papier, l'Allemagne est l'adversaire le plus faible, mais pour Cadieux, chaque match a son importance : "Notre attitude doit être de vouloir battre chaque équipe. Est-ce faisable ? Ce sera difficile, mais tout est possible. Il y a un an, la Lettonie a gagné contre le Canada aux tirs au but. Nous devons avoir encore plus confiance en nous et croire davantage en notre chance contre chaque équipe. Il faut penser comme des gagnants. Pour en être un, il faut apprendre à s'imposer, et on le fait en travaillant au quotidien."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
NBA: Les Knicks matent les Cavaliers pour Noël
Après avoir connu 2 défaites lors de leurs 3 dernières rencontres de NBA, les New York Knicks ont pris le dessus sur les Cleveland Cavaliers 126-124. Jalen Brunson, auteur de 34 points, a été décisif.
Au terme d'une rencontre très serrée, les New-Yorkais sont parvenus à remonter un écart qui est monté jusqu'à 16 point en faveur de Cleveland en début de dernière période. Le meneur des Knicks Jalen Brunson a une nouvelle fois été très prolifique avec 34 points inscrits, le même total que Donovan Mitchell côté Cavaliers.
Solidement arrimés à la 2e place du classement de Conférence Est grâce à leurs 21 victoires en 30 matches, les New-Yorkais sont néanmoins toujours surclassés par les Detroit Pistons, qui comptent eux 24 succès. A la mi-décembre, les Knicks ont remporté la Coupe NBA face aux San Antonio Spurs, également 2e du classement de Conférence Ouest.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Tour de Ski, le feu d'artifice devenu feu de paille
Le Tour de Ski fête ses 20 ans...en format réduit: 2 sites, 6 étapes et un passage intégral en Italie. De cinq destinations à travers l’Europe, le circuit se concentre aujourd’hui sur deux vallées.
Lancé à l’hiver 2006/07, le Tour de Ski imaginé par Jürg Capol et Vegard Ulvang s’est imposé comme un rendez-vous incontournable du calendrier. La semaine la plus dure de l’année, le test ultime de polyvalence et de résistance. En Suisse, elle a gagné une aura particulière grâce aux quatre victoires de Dario Cologna.
Pendant des années, le Tour de Ski a sillonné l'Europe avec plusieurs étapes, des sprints en ville et toujours, pour finir, la montée vers l’Alpe Cermis. Une rampe d’abord décriée, devenue ensuite l’emblème de la compétition.
Répétition olympique
C’est ce final spectaculaire qui maintient encore le Tour en vie. Pour son édition anniversaire, le format est réduit: seulement deux étapes, Dobbiaco et le Val di Fiemme, à une centaine de kilomètres. L’Italie sauve la saison de fond avec six courses, alors que le sport souffre du coût logistique, de la pression du calendrier autour des Fêtes et du manque d’infrastructures d’accueil. Autant de raisons qui ont poussé plusieurs organisateurs à renoncer, y compris Swiss-Ski, pourtant riche d’une longue tradition et d’un vrai engouement pour la discipline.
Cette saison, le Tour de Ski dispose pourtant d’un atout: le sprint dans le Val di Fiemme se dispute sur la nouvelle piste olympique. De quoi inciter les meilleurs à faire le déplacement pour reconnaître une dernière fois le tracé. Parmi les grandes figures du sprint, seule Jonna Sundling, rivale directe de Nadine Fähndrich, a choisi de faire l’impasse pour privilégier l’entraînement.
Klaebo vise un 5e titre
Derrière Fähndrich, Anja Weber a franchi un cap. Quarts, demi-finales, une 10e place en sprint à Davos, un 16e rang sur le 10 km skating: la Zurichoise aligne les prestations solides et marque des points à chaque course. Elle occupe actuellement la 13e place du classement général.
Chez les messieurs, Valerio Grond et Janik Riebli ont montré de belles choses en sprint, mais peinent à trouver de la régularité. Sur les longues distances, l’équipe souffre davantage. Seul Beda Klee évolue actuellement à un niveau olympique, mais il a décidé de renoncer à ce Tour de Ski. Le Norvégien Johannes Hösflot Klaebo n'a qu'un objectif: un cinquième succès qui ferait de lui le seul recordman de l'épreuve. Jusqu'ici, il doit partager les honneurs avec Dario Cologna.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
Un bon bilan romand avec trois clubs dans le top 6
Avec deux tiers du championnat dans les livres d'histoire, l'heure de faire un bilan s'impose. Et trois Romands sur cinq sont dans le top 6.
Le classement est certes bancal, mais on peut clairement voir une tendance. Même si Fribourg n'a plus "que" 16 matches à disputer, contre 19 pour Zoug par exemple.
Dernier avec 28 points, Ajoie est aussi malheureusement que logiquement là où l'attendait. A la 10e place, Bienne n'a pas déjoué les pronostics d'avant-saison qui voyaient les Seelandais se battre pour le play-in. L'équipe dirigée par Martin Filander peine à enchaîner et quand les attaquants étrangers ne carburent pas, c'est tout le club qui tousse. Gaëtan Haas et Fabio Hofer font ce qu'ils peuvent, mais la production des joueurs suisses laisse à désirer. En défense, même si Rodwin Dionicio impressionne offensivement, il doit encore polir son jeu en zone défensive. Avec 41 points, les Biennois sont 11es. Six points séparent Langnau, 9e, d'Ambri, 13e.
Genève: à la recherche de la constance
A Genève, c'est une saison en dents de scie qui met en lumière l'inconstance des Aigles, que ce soit sous la gouvernance de Yorick Treille ou sous celle de Ville Peltonen. Le GSHC est un peu moins prompt à se prendre des gifles, mais le groupe ne transpire pas la sérénité. Comme l'an dernier, le baromètre grenat se situe au niveau du rendement des joueurs étrangers. Si les Finlandais trouvent des solutions, Genève gagne. Dans le cas contraire, les Genevois toussent. Mais les Aigles demeurent à la lutte pour entrer en play-off directement. Ils sont 5es avec 56 points, mais Zurich, 8e, en compte 55.
Auteur de cinq points lors des cinq derniers matches, Marco Miranda a élevé son niveau de jeu ces dernières semaines. Et avec ce scoring made in Switzerland, cela permet d'ôter un peu de pression sur les épaules des importés. "On a laissé quelques points sur la table, notamment contre Langnau à la maison, analyse le Zurichois quand on lui demande de faire un petit bilan de cette saison. On cherche la constance maintenant qu'on a pu stabiliser les choses après les grosses défaites du début de saison. Selon moi, c'est surtout lors des matches à l'extérieur que l'on doit progresser et mieux entrer dans ces parties. Le classement est si serré qu'il va falloir aller chercher les points en janvier."
Lausanne navigue toujours vers le haut
Après deux finales perdues face à Zurich, on se demandait si Lausanne parviendrait à ne pas se morfondre. Mais avec Geoff Ward à la bande, les Lions possèdent un motivateur hors pair capable de tirer le meilleur de ses troupes. Avec Connor Hughes et Kevin Pasche se posait aussi la question du temps de jeu de deux gardiens aptes à assumer une place de titulaire. La défense a mis un peu de temps à se mettre en place après les départs de Glauser et Frick, mais des garçons comme Baragano ou Sansonnens assument de mieux en mieux les responsabilités qui leur incombent. Et avec Niku et Brännström, le LHC possède deux arrières au flair offensif certain. Le Suédois s'est affirmé comme le meilleur défenseur de National League. En 34 matches, il compte 15 buts (!) et 15 assists.
"Si on prend le match contre Genève, on peut clairement faire mieux, on n'a pas joué le derby au début, commente Iñaki Baragano à l'issue de la défaite 7-3 aux Vernets. Physiquement et mentalement, cette fin d'année est difficile. Mais si l'on regarde la saison, je crois que l'on fait plus de points que l'an passé. Seulement le chemin est encore long." L'Yverdonnois revient sur ses performances et cette montée en puissance. "J'ai eu un peu plus de "peine" au début, reconnaît-il. J'ai l'impression de retrouver mon niveau de l'année passée dans un contexte différent. Ici on veut jouer le titre. C'est une bonne pression de jouer chez toi devant tes parents. Avec Brännström, on a eu quelques bons matches et je pense que cela va de mieux en mieux." Troisième avec 65 points et dix unités d'avance sur la barre, le LHC peut voir venir.
Fribourg dauphin de Davos
Juste devant les Vaudois, on retrouve Fribourg qui compte deux points d'avance et un match de plus. A Gottéron, on peut mieux juger l'impact de Roger Rönnberg. Arrivé cet été, une année après l'annonce de son engagement, le Suédois a poursuivi le travail de son prédécesseur Lars Leuenberger, devenu son assistant après avoir pris les rênes de l'équipe à la suite du limogeage de Patrick Emond. Fribourg est structuré défensivement avec les arrivées de Glauser, Kapla, Johnson et Nemeth. Et en plus, Reto Berra effectue une saison digne d'éloges.
Même lorsque la poisse s'en mêle en envoyant à l'infirmerie Sörensen et Wallmark, les Dragons n'ont pas le souffle coupé. Certainement en raison de l'apport des attaquants suisses emmenés par Sandro Schmid. L'international a prolongé pour quatre ans et il semble avoir pris une dimension supplémentaire à St-Léonard. Attilio Biasca, Christoph Bertschy et le presque éternel Julien Sprunger savent aussi amener leur pierre à l'édifice au besoin.
Fribourg va cependant être testé au feu en allant défendre son titre à la Coupe Spengler. Et durant la trêve olympique, il y a fort à parier que des garçons comme Glauser, Schmid et Bertschy seront à Milan. Comment géreront-ils leurs forces pour les play-off? C'est là toute la question.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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