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International

Norris s'impose devant Piastri, Bortoleto 8e

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Lando Norris a maîtrisé son sujet dimanche à Spielberg (© KEYSTONE/AP/Darko Bandic)

Lando Norris (McLaren) a remporté dimanche le GP d'Autriche de Formule 1.

Le Britannique a devancé son coéquipier australien Oscar Piastri, qui conserve ainsi la tête du classement des pilotes. Gabriel Bortoleto (Sauber-Ferrari), 8e, a inscrit ses premiers points dans la catégorie-reine du sport automobile.

Parti en pole, Lando Norris s'est imposé avec autorité dans la 11e des 24 manches du championnat du monde de Formule 1, disputée par une forte chaleur au Red Bull Ring. Le vice-champion du monde a devancé de 2''695 Oscar Piastri, dont la marge au championnat n'est plus que de 15 points. Troisième, le Monégasque Charles Leclerc (Ferrari) a concédé près de 20 secondes.

Week-end faste également pour les pilotes de l'écurie suisse Sauber-Ferrari. Le "rookie" brésilien Gabriel Bortoleto, présent pour la première fois en Q3 samedi (8e sur la grille), a confirmé en course en marquant 4 points. Son coéquipier allemand Nico Hülkenberg a terminé juste derrière lui, permettant à Sauber d'afficher désormais 26 points à son compteur 2025.

Verstappen abandonne

Quadruple champion du monde en titre, Max Verstappen (Red Bull) a quant à lui été contraint à l'abandon dès le premier tour après un accrochage avec Andrea Kimi Antonelli. Le Néerlandais, 7e sur la grille, été percuté par l'arrière au virage 3 par le rookie italien dont les roues se sont bloquées au freinage et qui est parti en dérapage, ne pouvant rien faire pour éviter la collision.

Verstappen perd ainsi encore du terrain au classement des pilotes, dont il conserve la 3e place mais à désormais 61 longueurs de Piastri. Alors qu'il avait décroché les cinq dernières pole positions en Autriche, le Néerlandais avait déjà déçu samedi sur les terres de son écurie. Ses chances de conserver sa couronne semblent désormais bien minces.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump veut que la question de Gaza soit réglée la semaine prochaine

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Israël et le Hamas s'accusent mutuellement d'enrayer les négociations sur une trêve à Gaza lancées le 6 juillet à Doha par l'intermédiaire du Qatar. (© KEYSTONE/EPA/ABIR SULTAN)

Le président américain Donald Trump a dit dimanche espérer que la question de la bande de Gaza soit "réglée" la semaine prochaine. Les tractations entre Israël et le Hamas palestinien pour parvenir à un cessez-le-feu piétinent ces derniers jours.

Les deux camps s'accusent mutuellement d'enrayer les négociations lancées le 6 juillet à Doha par l'intermédiaire du Qatar, de l'Egypte et des Etats-Unis, pour mettre fin à 21 mois de guerre déclenchée par l'attaque du mouvement islamiste palestinien en Israël le 7 octobre 2023.

"Sur Gaza, nous discutons et nous espérons que ce sera réglé la semaine prochaine", a dit M. Trump dimanche soir, réitérant ses déclarations optimistes du 4 juillet.

Une source palestinienne avait affirmé samedi que les négociations en vue d'une trêve rencontraient "des obstacles" et que le Hamas rejetait "totalement" un plan d'Israël prévoyant le maintien de ses forces "sur plus de 40% de la superficie de Gaza".

"Déplacement forcé"

Selon cette source, l'objectif d'Israël est "d'entasser des centaines de milliers de déplacés" dans le sud de Gaza, "en préparation d'un déplacement forcé de la population vers l'Egypte ou d'autres pays".

Une deuxième source palestinienne a néanmoins fait état de "progrès" sur les questions liées à l'entrée de l'aide humanitaire et l'échange d'otages israéliens contre des prisonniers palestiniens.

"Israël a démontré sa volonté de faire preuve de flexibilité dans les négociations", a rétorqué un responsable israélien, en accusant le Hamas de chercher "à saboter les négociations".

Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a réaffirmé ces derniers jours les objectifs d'Israël: libérer les otages, désarmer le Hamas et le chasser de Gaza, où le mouvement islamiste a pris le pouvoir en 2007.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Les Etats-Unis vont envoyer des systèmes Patriot à l'Ukraine

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Le président ukrainien Volodymyr Zelensky réclame plus d'armes de défense antiaérienne (archives). (© KEYSTONE/DPA/JENS BÜTTNER)

Les États-Unis vont envoyer des systèmes de défense antiaérienne Patriot à l'Ukraine pour l'aider à répondre aux frappes russes, a annoncé dimanche le président américain Donald Trump, alors que sa relation avec son homologue russe Vladimir Poutine s'est dégradée.

"Nous leur enverrons des Patriots, dont ils ont désespérément besoin", a déclaré Donald Trump, deux semaines après que Washington a annoncé la suspension de certaines livraisons d'armes à Kiev. "Je n'ai pas encore décidé du nombre, mais ils vont en avoir, parce qu'ils ont besoin de protection", a-t-il ajouté.

La livraison d'armes fera partie d'un accord impliquant l'OTAN, qui paiera les États-Unis pour des armes qu'elle enverra à l'Ukraine, selon M. Trump. "Nous allons, en fait, leur envoyer divers équipements militaires très sophistiqués et ils vont nous les payer à 100%", a déclaré Donald Trump.

"Déçu" par Poutine

Le président américain a répété qu'il était "déçu" par son homologue russe, pointant les intenses frappes russes qui ont continué à s'abattre sur l'Ukraine, sans cessez-le-feu en vue. "Poutine a vraiment surpris beaucoup de gens. Il parle gentiment et, ensuite, il bombarde tout le monde le soir", a déclaré M. Trump, visiblement mécontent.

Donald Trump avait au début de son mandat tenté de convaincre Vladimir Poutine de négocier sur la fin du conflit.

L'émissaire américain Keith Kellogg doit entamer une nouvelle visite en Ukraine lundi.

Donald Trump a également précisé qu'il rencontrerait le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, lundi, date à laquelle il a annoncé précédemment avoir "une déclaration importante à faire sur la Russie".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Visite d'Etat de Trump au Royaume-Uni fixée du 17 au 19 septembre

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Donald Trump, à droite sur le cliché, avait été invité par une lettre du roi Charles III, que lui avait remise le premier ministre britannique Keir Starmer, à gauche, en février dernier (archives). (© KEYSTONE/AP/Carl Court)

La visite d'Etat du président américain Donald Trump au Royaume-Uni a été fixée du 17 au 19 septembre, a annoncé lundi le palais de Buckingham. C'est la première fois qu'un chef d'Etat est invité deux fois par Londres pour une visite d'Etat.

Le locataire de la Maison-Blanche et son épouse Melania seront accueillis par le roi Charles III, chef d'Etat britannique, et la reine Camilla, au château de Windsor près de Londres.

Donald Trump avait été invité par une lettre du souverain que lui avait remise le premier ministre Keir Starmer en février dernier. L'invitation avait été qualifiée quelques minutes plus tard d'"immense honneur" par le président américain.

Accueilli par la reine

Lors de son premier mandat, Donald Trump avait été reçu en 2019 par la reine Elizabeth II, qui lui avait fait les honneurs de Buckingham Palace et avait présidé un banquet en son honneur.

Contrairement au président français Emmanuel Macron qui a pu s'exprimer devant le Parlement britannique lors de sa récente visite d'Etat, il n'est pas prévu que Donald Trump s'adresse devant la chambre des Communes à Westminster, en raison d'un problème de calendrier.

En effet, la chambre basse du Parlement britannique ne siègera pas au moment de la visite du président américain pour cause de pause parlementaire liée aux congrès de rentrée des partis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Cole Palmer crucifie le PSG

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Cole Palmer: le grand homme de la finale. (© KEYSTONE/AP/Adam Hunger)

Ce fut le match de trop pour le PSG ! A bout de souffle, les Parisiens n’ont pas justifié leur statut de grandissime favori de la finale du mondial des clubs face à Chelsea.

A New York sous les yeux de Donald Trump, les Londoniens se sont imposés 3-0 face aux vainqueurs de la Ligue des Champions pour couronner une saison aussi magnifique que celle du PSG. Victorieux de la Conference League et quatrième de la Premier League, Chelsea a forcé la décision avant la pause grâce au pied gauche de Cole Palmer.

Auteur des deux premiers buts aux 22e et 30e, le no 10 de Chelsea a offert le 3-0 à Joao Pedro à la 43e pour tuer tout suspense dans cette finale. Cole Palmer a exploité à merveille les insuffisances des Parisiens, coupables notamment de trop de laxisme dans leur repli défensif. L’autre héros dans le camp des vainqueurs se nomme Robert Sanchez. Le portier espagnol a réussi les arrêts qu’il fallait pour interdire tout espoir de remontada aux Parisiens.

Même si cette première édition de ce mondial des clubs à 32 équipes a été marquée par les exploits de Fluminense, demi-finaliste après avoir notamment éliminé l’Inter, et d’Al-Hilal, "tombeur" de Manchester City en huitième de finale, elle a livré un le verdict attendu avec une finale 100 % européenne entre deux des formations les plus argentées au monde. Chelsea mérite amplement ce sacre planétaire qui annonce son grand retour à la table des grands avec des performances fort abouties tant en demi-finale face à Fluminense qu’en finale. Et dire que les Londoniens n’étaient pas passé très loin au mois d’août d’une élimination en barrage de la Conference League contre le Servette FC...

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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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