Sport
Pas de 5e succès consécutif pour Lara Gut-Behrami
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Lara Gut-Behrami n'a pas réussi à signer un 5e succès de rang en Coupe du monde à l'occasion de la 2e descente de Crans-Montana. 3e, la Tessinoise a été battue par Marta Bassino et Federica Brignone.
Lara Gut-Behrami n'est donc pas imbattable. Victorieuse des quatre dernières courses auxquelles elle a participé, la skieuse de Comano a trouvé plus forte qu'elle samedi matin à Crans.
La leader de la Coupe du monde espérait un peu plus de froid la nuit pour durcir un peu la piste et c'est ce qui s'est passé, mais cela n'a pas suffi. Parce que les Italiennes, revanchardes, étaient en mission. Cette 3e place (à 1''11) correspond malgré tout au 87e podium en Coupe du monde pour la championne olympique de Super-G.
La bonne opération
Au classement de la discipline, "LGB" fait tout de même une excellente opération puisqu'elle prend le dossard rouge de leader de la descente avec 369 points. Soit 19 de plus que Sofia Goggia, out pour le reste de la saison.
Au général, les points récoltés permettent à la Luganaise de compter désormais une marge de 165 longueurs sur Mikaela Shiffrin. Elle aura la possibilité d'accentuer son avance dimanche à l'occasion du Super-G, sa discipline de prédilection. Là, elle doit lutter avec Cornelia Hütter sur laquelle elle ne possède que dix points d'avance. Pour l'anecdote, Lara Gut-Behrami pourrait être la première skieuse à remporter le grand globe ainsi que ceux de la descente, du Super-G et du géant.
Mais samedi, Marta Bassino a confirmé l'amour des Italiennes pour la piste du Mont Lachaux. Cinquième la veille, la géantiste a mis tout le monde d'accord pour décrocher sa première victoire en descente, la 7e en Coupe du monde. Sur l'entier du tracé, contrairement à vendredi où la ligne d'arrivée avait été relevée pour ne pas mettre la santé des athlètes en danger, la Piémontaise a été parfaite. Seule sa compatriote Federica Brignone a pu rester dans la même seconde.
Nufer rentre dans le rang
Pour les Suissesses, hormis Lara Gut-Behrami, c'est un peu un dur retour à la réalité. Deuxième vendredi, Jasmine Flury est clairement rentrée dans le rang. La Grisonne n'a jamais trouvé le bon rythme pour se retrouver 19e. Les quatre autres athlètes suisses du top 30 (Gisin, Nufer, Durrer et Jenal) sont au-delà de la 20e place.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Donnarumma et Sommer, deux gardiens en état de grâce
Si le PSG et l'Inter Milan se retrouvent en finale de la Ligue des champions, ils le doivent pour beaucoup à leur gardien.
L'Italien Gianluigi Donnarumma et le Bâlois Yann Sommer auront encore un rôle primordial à jouer samedi à Munich.
"Cela sera aussi une finale de gardiens", pronostique pour la Gazzetta dello Sport l'ancien portier emblématique de l'Italie, Gianluigi Buffon, passé par le PSG. "Ce sont les deux meilleurs gardiens d'Europe, Donnarumma est le meilleur dans l'absolu, mais Sommer fait preuve d'une incroyable constance à haut niveau."
Donnarumma a chassé les doutes
Comme souvent depuis son arrivée au PSG en 2021, "Gigio" Donnarumma a connu cette saison bien des hauts mais aussi quelques bas, à cause des lacunes dans son jeu au pied et ses sorties aériennes.
Il a été relégué sur le banc contre le Bayern Munich en phase de ligue à cause d'un mauvais match face à Arsenal (défaite 2-0). Il a ensuite été rendu responsable de la défaite en 8e de finale aller face à Liverpool (1-0 au Parc des Princes) en ne stoppant pas la seule frappe des Reds.
Mais depuis, sans doute comme jamais depuis qu'il est parisien, l'ancien Milanais, du haut de son 1m96, a enchaîné les prestations de haute volée. Il a livré l'un de ses meilleurs matches avec le PSG au retour à Liverpool, où il a été décisif lors de la séance de tirs au but (4-1 tab).
Donnarumma, 26 ans, a ensuite été décisif face à Aston Villa, en quarts de finale, et à Arsenal, en demi-finale. Comme si affronter des clubs anglais lui avait rappelé cet Euro 2021 remporté avec la Nazionale à Wembley, avec à la clef le trophée de meilleur joueur du tournoi.
L'Italien rassure désormais pleinement ses coéquipiers et les supporters en répondant présent lors des grands rendez-vous, à rebours des années précédentes. "Il prend et montre sa valeur dans le but, affiche son potentiel. Il faut toujours un grand gardien pour gagner et c'est ce qu'il est", a appuyé son capitaine Marquinhos à propos de "Gigio".
Pour Achraf Hakimi, "c'est l'un des meilleurs gardiens du monde". En fin de contrat en 2026, il n'a toujours pas prolongé au PSG, malgré ses envies clairement assumées de rester à Paris. L'entraîneur du PSG, Luis Enrique, est peu disert devant la presse à son sujet.
Sommer, 36 printemps et toujours vert
Qu'il est loin le temps où les tifosi interistes faisaient la fine bouche et redoutaient le pire à son arrivée pour remplacer Andre Onana, parti à Manchester United. Pour sa deuxième saison en Serie A, Yann Sommer a certes encaissé plus de buts que l'an dernier (32 contre 19 en 2023/24, 13 "clean-sheets" contre 19).
Mais le Bâlois de 36 ans a joué un rôle plus déterminant avec son leadership lorsque sa défense tanguait et en réalisant des arrêts spectaculaires, notamment contre le Barça lors de cette demi-finale retour au scénario renversant (4-3 ap).
Alors que l'Inter venait de voir son avance de deux buts disparaître en six minutes, l'ancien portier de l'équipe de Suisse lui a évité le pire avec un total de sept arrêts, dont deux parades spectaculaires devant Eric Garcia et Lamine Yamal qui vont longtemps hanter les joueurs catalans.
Malgré son déficit de taille (1m83), "sa contribution aux succès de l'Inter lors des deux dernières saisons est énorme", juge Buffon.
Fidèle à son tempérament, Sommer qui va retrouver l'Allianz-Arena où il a évolué six mois en 2023 avec le Bayern Munich, garde les pieds sur terre et ne s'emballe pas. "Ce groupe mérite de jouer cette finale, mais cela serait faux de résumer ce match à un duel entre Donnarumma et moi", a-t-il prévenu.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Le PSG en favori face à l'Inter ?
Le PSG espère vivre la plus grande soirée de son histoire en remportant enfin la Ligue des champions samedi.
Les Parisiens affrontent l'Inter Milan de Yann Sommer à Munich (21h00), 32 ans après le seul sacre suprême d'un club français.
Marseille reste pour le moment l'unique vainqueur de la C1 dans les annales du football national, bien plus dominant en sélection qu'en club. L'effervescence est immense dans la capitale, prête à célébrer ses héros lors d'une parade dimanche sur les Champs-Elysées, en cas de victoire. La Tour Eiffel s'illuminera à chaque but parisien et le Parc des Princes sera rempli de supporters devant d'immenses écrans.
Chez les amateurs de sport, jusqu'aux travées de Roland-Garros garnies de maillots du PSG, la finale est sur toutes les lèvres et les bars parisiens devraient être bondés samedi soir. Un dispositif "massif" de "5400" policiers et gendarmes sera par ailleurs déployé à Paris et dans son agglomération pour prévenir tout débordement.
Passé par tant de frustrantes éliminations depuis une décennie, le PSG avait annoncé vouloir changer et il est en passe de le prouver une bonne fois pour toutes. Son équipe jeune et sans stars, depuis le départ l'été dernier de Kylian Mbappé au Real Madrid, a dépassé toutes les attentes.
A commencer par celles du président du club Nasser Al-Khelaïfi. Lui qui avait clamé son obsession de gagner la Ligue des champions dès son arrivée à la tête du PSG en 2011 a changé de discours il y a deux ans, conscient qu'un changement de paradigme devait d'abord avoir lieu. Et qu'il faudrait du temps.
Le PSG favori ?
Mais après une saison en montagnes russes, le PSG a franchi une à une les étapes pour se hisser jusqu'en finale, la deuxième de son histoire après celle de 2020, perdue 1-0 contre le Bayern Munich sans supporters, en temps de pandémie.
Le public s'est peu à peu pris d'affection pour cet effectif constitué de joueurs expérimentés (Ousmane Dembélé en lice pour le Ballon d'Or, Marquinhos, Fabian Ruiz, Achraf Hakimi) encadrant des jeunes talents qui ont très vite grandi (Désiré Doué, Bradley Barcola, Joao Neves, Willian Pacho).
L'attente est d'autant plus fiévreuse que l'équipe emmenée par Luis Enrique est donnée légèrement favorite par les observateurs, les bookmakers ainsi que... les intelligences artificielles. Le "super ordinateur" du très sérieux statisticien du sport Opta a simulé 10'000 résultats basés sur le parcours des deux équipes, et Paris l'a emporté dans 53,6% des cas.
Le style de jeu du PSG, fait de possession de balle et de pressing haut, est plus flamboyant que celui de l'Inter Milan, tout en verticalité. Après un début de saison chaotique et la menace d'une élimination en phase de ligue, le club parisien a impressionné. Il a éliminé le cador Liverpool (0-1, 1-0, 4-1 aux tirs au but), avant de contenir Aston Villa (3-1, 2-3) et de faire preuve de maturité pour passer l'obstacle Arsenal (1-0, 2-1).
Le match samedi à l'Allianz Arena s'annonce très intense puisque l'Inter Milan non plus n'a pas l'habitude de subir. Et une statistique inouïe plaide pour un match plein de suspense: l'équipe italienne n'a été menée que durant 16 minutes et 38 secondes sur la totalité de la C1, un véritable tour de force.
Contre le FC Barcelone en demi-finale (3-3, 4-3 ap), bâti sur des principes proches de ceux du PSG, l'Inter Milan a fait le dos rond - avec par ailleurs un Yann Sommer décisif au but - et a marqué sept fois, souvent à des moments inattendus. L'avertissement ne pourrait pas être plus clair.
Pression
"Il faudra un grand Inter pour gagner ce match", espère l'entraîneur italien Simone Inzaghi. "Il y aura des moments difficiles dans cette finale, mais ce groupe a la qualité et l'état d'esprit pour les surpasser", selon lui.
De son côté, Luis Enrique a promis: "C'est l'une des meilleures finales de Ligue des champions de ces dernières années, mais nous serons à la hauteur de l'Inter". Il a prévenu: "Ça n'arrive pas souvent, dans la carrière d'un joueur ou d'un entraîneur, de jouer ce genre de match. Il faut savoir gérer la forte pression".
C'est justement l'une des réussites de l'Espagnol jusque-là: avoir su préparer ses hommes pour les grands rendez-vous, sans les jambes tremblantes qui ont souvent été fatales au club, au cours des "remontadas" de 2017, 2019 et 2022.
Le capitaine Marquinhos est le seul joueur restant de l'effectif à avoir vécu tous ces traumatismes, auquel l'intéressé ajoute le rendez-vous manqué de 2020: "J'ai déjà perdu une finale, je sais comme cela fait mal", raconte le Brésilien. "Il y en a qui viennent d'arriver, ils ne savent pas comment ça a été difficile d'arriver jusque-là. Les déceptions donnent de l'expérience, ce sont des cicatrices qui restent dans la carrière d'un joueur".
Une finale perdue, cet Inter Milan en a aussi connu une il y a deux ans contre Manchester City (1-0). "Comme nous, le PSG a perdu une finale récemment", a rappelé Simone Inzaghi. Cette fois, l'une des deux équipes repartira avec la Coupe aux grandes oreilles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Alcaraz malmené par Dzumhur mais passe en 8es
Le tenant du titre Carlos Alcaraz s'est qualifié vendredi pour les huitièmes de finale de Roland-Garros. Mais il a dû jouer une quatrième manche pour battre le Bosnien Damir Dzumhur (ATP 69) en 3h14.
L'Espagnol, numéro 2 mondial s'est imposé 6-1 6-3 4-6 6-4 et retrouvera au prochain tour le puissant Américain Ben Shelton (ATP 13), demi-finaliste à l'Open d'Australie en janvier, qu'il a déjà battu lors de leurs deux confrontations.
Après un premier set à sens unique sur le court Philippe-Chatrier, le Bosnien de 33 ans s'est ensuite bien repris avec le soutien du public, désireux d'étirer sa soirée dans une température estivale, et un Alcaraz multipliant soudainement les fautes directes.
S'il n'a pas su convertir les deux balles de break qu'il s'est procurées dans la deuxième manche, Dzumhur a enfin saisi sa chance dans la suivante, remportée sur sa deuxième balle de set.
En difficulté
Breaké d'entrée de quatrième set et dominé dans l'échange, Alcaraz, jusqu'alors impassible, a commencé à montrer des signes d'agacement, gesticulant en direction de son clan et renvoyant du pied une balle de l'autre côté du court sous les huées du public.
Le Murcien de 22 ans a alors enfin sonné la révolte, haussant son niveau de jeu sur les points importants pour refaire son retard et remporter le match sans une cinquième manche énergivore dans l'optique de la conservation de son titre, une performance qui n'est plus arrivée depuis Rafael Nadal (2019, 2020).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
La Suisse s'incline lourdement en France
L'équipe de Suisse a encaissé une lourde défaite en France vendredi. Battues 4-0, les joueuses de Pia Sundhage sont proches d'une relégation en Ligue B de la Ligue des nations féminine.
A Nancy, la messe était dite après 19 minutes. Des erreurs individuelles ont largement précipité la défaite des Suissesses face à une équipe de France qui n'a pas eu à forcer son talent pour prendre le large.
Le choix de Sundhage de titulariser Livia Peng au poste de gardienne à la place d'Elvira Herzog, en difficulté lors du dernier rassemblement, ne s'est pas avéré payant. La gardienne du Werder Brême a mis ses coéquipières dans l'embarras en ratant un dribble devant Clara Mateo (11e). A 33 jours du début de l'Euro, la sélectionneuse n'a toujours pas trouvé sa portière titulaire.
Une faute de marquage sur un corner - même si la qualité de la reprise de volée d'Elisa De Almeida doit être soulignée (16e) - et un repli défensif insuffisant de Julia Stierli, qui a profité à Sandy Baltimore (19e), ont suivi l'erreur initiale de Peng.
Crnogorcevic blessée
Les trois changements initiés par Sundhage à la pause n'ont pas vraiment inversé la tendance, même si la Suisse a fait preuve de davantage d'assurance en deuxième période. Cela n'a pas empêché la France d'inscrire un quatrième but, au terme d'un mouvement de haute qualité (56e, Geyoro).
La sortie sur blessure d'Ana-Maria Crnogorcevic, remplacée par Alisha Lehmann à la 78e, est venue conclure la soirée bien compliquée des Suissesses, qui ne comptent toujours que deux points après cinq matches de Ligue des nations. Une victoire mardi à Sion face à la Norvège, leur adversaire lors du match d'ouverture de l'Euro le 2 juillet à Bâle, est impérative pour espérer se maintenir dans l'élite européenne.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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