Économie
Croissance tous azimuts pour Valiant sur 9 mois
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Le groupe bancaire Valiant a dégagé une solide performance sur les neuf premiers mois de l'année, quasiment conforme aux projections du marché. L'établissement bernois a, dans la foulé, confirmé ses objectifs de croissance pour l'ensemble de 2022.
Entre janvier et fin septembre, le produit d'exploitation s'est bonifié de 4,1% sur un an à 329,9 millions de francs, alors que les charges ont également enflé de 6,1% à 202,5 millions, a détaillé Valiant mardi dans un communiqué.
La société a dégagé un résultat d'exploitation de 111,95 millions pendant la période sous revue (+3%), tandis que le bénéfice net s'est hissé à 92,5 millions (+4,4%).
Ces résultats sont globalement conformes aux prévisions des deux analystes interrogés par l'agence AWP, les recettes atteignant cependant de justesse la fourchette basse des estimations.
La banque a également fait état d'une augmentation de 3,8% à 28,3 milliards des prêts à la clientèle, tandis que les dépôts ont crû de 0,5% à 22,2 milliards.
La direction a confirmé progresser avec son programme de réduction des coûts, qui vise des économies annuelles de 12 à 15 millions de francs à partir de 2024. L'amélioration de la rentabilité avance également "comme prévu", a indiqué Valiant, ajoutant que 17 des 23 succursales prévues ont été fermées.
Parallèlement, la banque a ouvert de nouvelles filiales, l'objectif étant d'ici 2024 d'ouvrir 14 nouvelles représentations, créant ainsi 170 emplois à temps plein.
Pour l'ensemble de l'exercice en cours, Valiant a confirmé son ambition de dégager un bénéfice "légèrement" supérieur à celui de l'année précédente, sans plus de précision.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Le sommet annuel des Brics sous tension après les menaces de Trump
Le sommet annuel des Brics a repris sous tension lundi à Rio de Janeiro, après les menaces de Donald Trump d'imposer des droits de douane supplémentaires aux pays qui "s'alignent avec les politiques anti-américaines" prônées selon lui par ce bloc de pays émergents.
Sans citer nommément les Etats-Unis, ce groupe qui comprend notamment le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud avait exprimé dimanche ses "sérieuses préoccupations" face à l'"augmentation de mesures douanières et non-douanières unilatérales qui faussent le commerce".
De telles mesures "affectent les perspectives de développement économique mondial", avaient insisté les Brics, qui représentent près de la moitié de la population mondiale et 40% du PIB de la planète, dans leur déclaration conjointe.
La réaction du président américain ne s'est pas fait attendre.
"Tout pays s'alignant sur les politiques anti-américaines des Brics se verra appliquer un droit de douane SUPPLEMENTAIRE de 10%. Il n'y aura pas d'exception à cette politique", a-t-il écrit quelques heures plus tard sur sa plateforme Truth Social.
Lettres envoyées
M. Trump a également annoncé que les premières lettres menaçant de droits de douane exorbitants les pays récalcitrants à conclure un accord commercial avec Washington seront envoyées lundi.
Le ministre américain du Trésor Scott Bessent avait auparavant affirmé que faute d'accord dans les prochains jours, les surtaxes - pouvant atteindre 50% - entreraient en vigueur le 1er août.
Les droits de douane annoncés début avril avaient été rapidement suspendus par les Etats-Unis, le temps de négocier avec leurs partenaires commerciaux.
Pékin refuse la "confrontation"
En réponse à la menace de Donald Trump visant les Brics, Pékin a affirmé lundi que le bloc ne cherchait pas "la confrontation" au sujet des droits de douane.
La Chine est la puissance dominante des Brics et son président Xi Jinping est le grand absent du sommet à Rio.
"La Chine a toujours affirmé sa position selon laquelle les guerres commerciales et tarifaires ne font pas de gagnants et que le protectionnisme ne permet pas d'avancer", a déclaré Mao Ning, porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
Les Brics "prônent l'ouverture, l'inclusion et la coopération gagnant-gagnant", a-t-elle ajouté.
La Chine est engagée dans des négociations avec Washington pour parvenir à un accord commercial. À ce jour, seuls le Royaume-Uni et le Vietnam ont réussi à conclure un pacte commercial avec les États-Unis.
Créé pour rééquilibrer l'ordre mondial au bénéfice du "Sud global" face à l'Occident, le groupe des Brics s'est élargi depuis 2023 avec l'Arabie saoudite, l'Egypte, les Émirats arabes unis, l'Éthiopie, l'Iran puis l'Indonésie.
Visé par un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour crime de guerre présumé en Ukraine, le président Vladimir Poutine n'a pas fait le déplacement à Rio, mais a célébré en visioconférence "l'autorité et l'influence" du groupe des pays émergents.
À Rio, les débats du deuxième et dernier jour du sommet des Brics portent notamment sur le changement climatique, un sujet essentiel pour le Brésil, qui accueillera la Conférence de l'ONU sur le climat COP30 en novembre, dans la ville amazonienne de Belem.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Atterrissage forcé en Allemagne pour un vol Swiss
Le vol LX1413 de Swiss, qui reliait Belgrade (Serbie) à Zurich, a dû atterrir précipitamment à l'aéroport de Friedrichshafen en Allemagne lundi. Des messages d'alertes dans le cockpit ainsi que de la fumée dans la partie arrière de la cabine ont justifié ce choix.
L'équipage a suivi les procédures prévues dans ce type de situation et dérouté l'avion, un Airbus A220-300, vers l'aéroport le plus proche, indique Swiss dans un communiqué.
L'avion a atterri sans incident et les passagers ont pu quitter l'appareil une fois immobilisé. Du personnel médical a été dépêché sur place et un service de bus a été mis en place pour ramener les passagers à Zurich.
Swiss indique encore que la cause exacte de l'incident fait actuellement l’objet d’une enquête et qu'une de ses équipes se rendait à Friedrichshafen pour soutenir au mieux les passagers, l’équipage et les autorités sur place.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
La reconstruction du pont détruit dans le val Maggia (TI) a débuté
Le pont de Visletto dans le val Maggia (TI), détruit lors des intempéries de juin 2024, sera reconstruit d'ici la fin de l'automne 2026. Le nouvel ouvrage est synonyme de "force et de renaissance", a déclaré le directeur des travaux publics tessinois Claudio Zali.
Afin de faire avancer la construction, toutes les procédures nécessaires ont été accélérées, a expliqué lundi Claudio Zali lors d'une conférence de presse aux abords du chantier, ce qui a permis de réduire le temps de planification du nouveau pont.
Le pont de Visletto est une "artère de circulation" importante, a déclaré la présidente de la commune de Cevio, Wanda Dadò. La construction du nouveau pont permet de refermer une plaie. L'ouvrage est aussi un "symbole de la résistance" de la vallée.
La construction se déroulera en trois phases, a détaillé Fabiano Martini, responsable du secteur opérationnel au sein du département des constructions. La première phase consistera à poser les nouvelles fondations du pont, puis, à partir de février 2026, le montage des principales structures du pont.
La dernière phase consistera à poser le revêtement routier et à installer des lampadaires. Le nouveau pont devrait être terminé en novembre 2026.
Sécurité contre les dangers naturels
La construction coûte environ 8,5 millions de francs et remplace le pont provisoire de Visletto construit par l'armée l'été dernier. Le nouvel ouvrage doit offrir une "sécurité maximale" face aux dangers naturels, selon le département tessinois des travaux publics et de l'environnement.
La circulation sur le pont provisoire de Visletto est soumise à de nombreuses restrictions: les véhicules ne peuvent pas peser plus de 32 tonnes ni rouler à plus de 20 kilomètres à l'heure. De plus, la circulation se fait sur une seule voie.
35 membres du bataillon d'intervention d'aide en cas de catastrophe avaient construit un pont de remplacement sur la Maggia en juillet dernier, après les terribles intempéries de la nuit du 29 au 30 juin 2024.
Le pont d'origine avait été emporté par la Maggia en crue. Plusieurs vallées latérales étaient ensuite devenues temporairement inaccessibles par voie terrestre. Sept personnes ont perdu la vie lors des intempéries dans le Val Maggia et une personne est toujours portée disparue.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Procès des effondrements à Marseille: prison ferme prononcée
Au procès des effondrements mortels de la rue d'Aubagne à Marseille en 2018, qui avaient fait huit victimes, trois des copropriétaires poursuivis ont été condamnés lundi à de la prison ferme. L'un des condamnés est un élu régional.
Xavier Cachard, élu au conseil régional Provence-Alpes-Côte d'Azur, a été condamné à quatre ans de prison dont deux ferme à effectuer sous bracelet électronique. De même que Gilbert Ardilly, l'un des propriétaires de l'appartement du 1er étage du 65 rue d'Aubagne où vivait une famille comorienne avec un enfant de huit ans.
Sébastien Ardilly, son fils, a été condamné à trois ans de prison dont un an ferme, là aussi sous bracelet électronique, et sa mère Martine à trois ans de prison avec sursis intégral. Les deux parents étaient absents lors de l'audience.
"Le tribunal retient que vous étiez personnellement informés des désordres graves" au numéro 65 de la rue d'Aubagne et que "vous avez fait preuve d'une indifférence totale en exécutant pas les travaux" nécessaires, a commencé le président Pascal Gand, s'adressant à Sébastien Ardilly.
"Ces fautes ont causé de façon indirecte et certaine la mort d'Ouloume Saïd Hassani", une mère comorienne démunie qui vivait dans cet appartement du centre-ville de Marseille avec ses deux fils, qui ont eux survécu et étaient présent dans la salle.
Malaise en direct
Pendant que le magistrat énumérait ces fautes - travaux non réalisés dans le plancher, le plafond, fils électriques apparents, punaises de lit - Sébastien Ardilly a fait un malaise et l'audience a du être suspendue une quarantaine de minutes le temps que les pompiers lui prodiguent des soins.
Dans une salle bondée du tribunal judiciaire de Marseille, le président avait auparavant commencé par relaxer six prévenus, trois copropriétaires du numéro 65 de la rue d'Aubagne et le bailleur social et deux de ses anciens dirigeants qui géraient le numéro 63 inoccupé.
"Plus jamais"
Avant le début du jugement, plusieurs dizaines proches des huit victimes et militants se sont rassemblés. Il faut "que ce drame là ne se reproduise plus jamais" et que "la peur change de camp au niveau du logement aujourd'hui", a plaidé Anissa, de l'assemblée des délogés, rappelant qu'il y avait encore quelque 200 signalements d'immeubles en péril chaque mois à Marseille.
Six semaines de débats à l'automne avaient permis d'établir que les effondrements le 5 novembre 2018 des numéros 63 (vide) et 65 étaient inéluctables vu l'état du bâti. Mais aucune mise à l'abri des locataires du 65 n'avait été décidée et les travaux entrepris s'étaient avérés inefficaces voire contreproductifs.
Problèmes structurels
Au final, 16 personnes morales et physiques ont été jugées pour différents délits, notamment homicide involontaire par violation manifestement délibérée d'une obligation de sécurité, un délit punissable de cinq ans de prison maximum, et soumission de personnes vulnérables dont au moins un mineur à des conditions d'hébergement indigne, des faits qui peuvent valoir jusqu'à dix ans d'emprisonnement.
Le procureur, Michel Sastre, avait suivi les parties civiles sur ce point, estimant que les copropriétaires avaient bien "connaissance des problèmes structurels de l'immeuble", mais avaient "joué la montre" pour "dépenser le plus tard et le moins possible".
Il avait même requis à l'encontre de Xavier Cachard, qui avait au moment des faits la double casquette de propriétaire et avocat du syndic, la peine la plus lourde: cinq ans de prison dont trois ferme.
Des peines significatives avaient aussi été réclamées contre Richard Carta, l'expert-architecte (trois ans de prison dont deux ferme) et Julien Ruas (trois ans de prison), seul élu municipal poursuivi dans cette affaire qui avait jeté une lumière crue sur l'inaction de l'équipe de Jean-Claude Gaudin, dont le parti perdra la mairie deux ans plus tard face à une coalition gauche-écologistes-société civile.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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