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Suisse

Demande de brevets: la Suisse en tête du classement par habitants

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Les cantons de Zurich et de Vaud se démarquent particulièrement grâce à des "écosystèmes d'innovation" qui gravitent autour des grandes entreprises et des hautes écoles, selon l'OEB. (Image d'archives) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

La Suisse est le pays qui a déposé le plus de demandes de brevets par habitant auprès de l'Office européen des brevets (OEB) en 2023. En chiffres absolus, la Confédération se trouve à la 3e place en Europe et la 7e dans le monde, selon un rapport publié mardi.

Au total, 9'410 demandes adressées à l'OEB émanaient d'entreprises ou de particuliers suisses. Le pays arrive à la première place du classement des demandes par habitant, avec 1085 demandes par million d'habitants. C'est plus que le double de la Suède, arrivée 2e avec 495 dépôts par million d'habitants. Cette valeur est considérée comme "un indicateur essentiel de la force d'innovation d'un pays", selon l'OEB.

L'Office précise à Keystone-ATS que les demandes suisses proviennent d'un grand nombre d'entreprises issues de secteurs très divers. C'est un signe que la Suisse dispose d'un "portefeuille technologique largement diversifié", porté "par un mélange avantageux" de grandes entreprises leaders au niveau mondial, de PME innovantes et de hautes écoles fortement orientées vers la recherche.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Les prolasteiniens mettent fin à

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Suite à un accord avec l'Université de Lausanne, les étudiants propalestiniens ont mis fin mercredi à leur occupation dans le bâtiment Géopolis (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le dialogue entre l'Université de Lausanne (UNIL) et le collectif pro-palestinien a abouti à un accord. L'occupation du bâtiment Géopolis a pris fin.

La poursuite du dialogue a pu aboutir à un accord, écrit l'UNIL mercredi dans un communiquée. En réponse aux revendications du collectif, la direction s'engage à créer une cellule d’experts. Elle évaluera les collaborations avec des instituts scientifiques en contexte de conflit armé sous l’angle de l’éthique, de l’intégrité scientifique, du droit international et de la liberté académique.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Début d'année positif pour la Poste malgré un environnement volatil

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Le volume de lettres a baissé de 5,6% au premier trimestre (image symbolique). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

La Poste a réalisé un bon premier trimestre. Le bénéfice consolidé a presque doublé pour atteindre 84 millions de francs. Le résultat d’exploitation (EBIT) s’inscrit à 87 millions, soit 17 millions de plus par rapport à la même période de l’exercice précédent.

Après les replis des deux dernières années, la Poste se réjouit de l'amélioration de son résultat trimestriel. En début d'année, les problèmes connus ont toutefois persisté. Le volume de lettres a baissé de 5,6%, celui des colis de 6,2% et les versements au guichet ont diminué de 13%, détaille mercredi le géant jaune dans un communiqué.

Le chiffre d'affaires a pour sa part augmenté de 151 millions pour atteindre 1,92 milliard de francs.

Malgré les résultats financiers globalement positifs, les conditions cadres restent difficiles pour la Poste. En raison de la situation incertaine du secteur logistique et du secteur financier, l'entreprise ne peut pas formuler de prévision pour l'ensemble de l'exercice.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Fenaco voit ses recettes diminuer en 2023

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L'an dernier, Fenaco a réalisé un chiffre d'affaires de 7,54 milliards de francs, contre 8,06 milliards en 2022 (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La coopérative de distribution agricole Fenaco a vu ses revenus diminuer en 2023. Le groupe bernois, qui détient notamment et les détaillants Volg et Landi, met en avant une situation du marché difficile, avec une demande en baisse, alliée à des coûts en forte hausse.

L'an dernier, la société a réalisé un chiffre d'affaires de 7,54 milliards de francs, contre 8,06 milliards en 2022. Outre les coûts, elle a dû faire face "à la volatilité des marchés des matières premières, à un printemps pluvieux pour les magasins Landi, ainsi qu'à des récoltes en deçà de la moyenne", explique-t-elle.

Fenaco parle d'"un retour à la normale" et souligne que ce chiffre reste néanmoins le deuxième plus haut jamais atteint depuis sa création il y a 30 ans. Alors que les prix ont entraîné une baisse des recettes dans les domaines d'activité Agro et Energie, les secteurs Industrie alimentaire et Commerce de détail ont connu "une évolution réjouissante", constate la coopérative.

Le secteur Solutions pour les bâtiments, qui englobe notamment les réseaux valorisant l'énergie photovoltaïque, a pour sa part progressé de plus de 30%.

Le résultat d'exploitation (Ebit) a lui aussi souffert pour des raisons liées aux coûts, s'élevant à 107 millions de francs, contre 138,4 millions l'année précédente.

En raison d'une situation globalement stable, le taux de fonds propre a pour sa part progressé de façon significative pour atteindre 63,1% (59,5% en 2022), dépassant ainsi pour la première fois la barre de 60% visée.

En 2023, année de ses 30 ans, Fenaco a pu redistribuer 37,1 millions de francs (contre 35,9 millions en 2022) aux Landi et à leurs membres, les agriculteurs suisses. Ce montant, qui correspond à environ un tiers du résultat d'exploitation, constitue un record historique, met en avant la coopérative.

Pour l'exercice en cours, elle table sur des revenus au niveau de ceux de l'an dernier, notant que s'agissant des coûts, "il se peut que la situation reste tendue". L'Ebit et le résultat d'entreprise pourraient s'améliorer légèrement par rapport à 2023, selon elle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Le "stalking" doit être inscrit dans le code pénal

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Le "stalking", aussi par des moyens numériques, doit être inscrit dans le code pénal, estime le Conseil fédéral (illustration). (© KEYSTONE/dpa/Bernd Weißbrod)

Le "stalking" ou harcèlement obsessionnel doit figurer dans le code pénal. Le Conseil fédéral soutient mercredi un projet du Parlement en ce sens. Mais il met en garde contre des attentes trop élevées.

Le harcèlement obsessionnel est un comportement par lequel une personne traque, importune ou menace une autre personne et l'entrave ainsi dans la libre détermination de sa façon de vivre. Il existe déjà des moyens civils et pénaux pour faire face à ce comportement, raison pour laquelle le Conseil fédéral s'était jusqu'ici prononcé contre l'inscription d'une norme spécifique.

Ce dernier dit désormais reconnaître le besoin, lit-on dans un communiqué. La commission des affaires juridiques du Conseil national a élaboré un projet de loi.

Le Conseil fédéral prévient toutefois qu'il ne faut pas nourrir des attentes trop élevées. Il restera difficile de déterminer à partir de quel stade une personne se trouve entravée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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