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Suisse

Des différences de prix notables sont observées pour le carburant

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Le comparateur de prix lancé par le TCS il y a deux semaines a enregistré des écarts de prix allant jusqu'à 48 centimes par litre pour le sans plomb 95 et 47 centimes pour le diesel. (archives) (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Touring Club Suisse (TCS) relève des différences de prix notables pour le carburant au niveau des stations-services helvétiques, deux semaines après le lancement d'un comparateur de tarifs participatif.

La plateforme, nourrie par les données des utilisateurs, a enregistré des écarts de prix allant jusqu'à 48 centimes par litre pour le sans plomb 95 et 47 centimes pour le diesel, indique lundi un communiqué.

"Il faut toutefois rappeler que le prix à la pompe est influencé par plusieurs critères, comme, par exemple, l'emplacement de la station (ville ou campagne, autoroute, zone frontalière, régions isolées), le loyer du terrain où elle est située, le niveau salarial dans la région en question ou encore les frais de transport pour acheminer les carburants vers cette station", souligne TCS.

Le comparateur du TCS recense plus de 3000 stations-services, ce qui représente un taux de couverture de 90%, affirme l'association.

TCS rappelle cependant qu'un détour pour bénéficier de prix plus avantageux à la pompe n'est pas toujours rentable. Ainsi un prix inférieur de 5 centimes par litre n'en vaut la peine que pour un détour d'environ 5 km (10 km pour l'aller-retour) et pour un plein d'au moins 50 litres.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Genève

Rösti: partir de Genève sans rien sur le plastique "pas acceptable"

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Le conseiller fédéral Albert Rösti n'exclut pas le scénario d'un vote à Genève si celui-ci peut aboutir à un accord international ambitieux contre la pollution plastique. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le conseiller fédéral Albert Rösti estime qu'une absence de résultat dans les pourparlers de Genève serait "une fin grave" et "inacceptable". Jeudi à la mi-journée, il a dit "avoir meilleur espoir" que la veille et il attend un nouveau texte dans l'après-midi.

"A la fin, ce sont les grands pays, les grands producteurs qui vont être décisifs", a admis à la presse le conseiller fédéral. Il a multiplié les rencontres depuis son arrivée à Genève mercredi soir, plusieurs dizaines.

Il a trouvé son homologue américain "constructif", même si les divergences sont importantes. Il a aussi participé à une discussion dans un groupe restreint avec Washington d'un côté et des Etats comme le Canada, la Norvège, l'Islande, l'Australie ou encore la Nouvelle-Zélande.

Jeudi matin, il a ensuite vu les responsables européens et les représentants de Greenpeace et du WWF, tous sur la même approche que la Suisse, "pour unir les messages". Depuis dix jours, plusieurs chiffres ont circulé sur le nombre de pays qui participent. Il s'établissait mercredi à 185, a dit à Keystone-ATS un responsable onusien.

Mercredi également, le président des négociations Luis Vayas Valdivieso avait présenté un nouveau projet de texte largement rejeté par la plupart des pays. Celui-ci "n'était pas du tout ambitieux" et ne reflétait pas "les exigences de la Suisse", insiste M. Rösti.

Vote pas exclu par la Suisse

La Suisse veut désormais un texte recentré sur trois grandes questions. Une amélioration de la production, sans objectif de réduction, une diminution ou au moins une surveillance des produits plastiques problématiques et un mécanisme de financement pour les pays en développement doivent figurer dans un accord, selon elle.

"C'est dans l'intérêt" de tous les pays, estime le conseiller fédéral. Et il ajoute que les détails pourront être réglés plus tard. Le plus important est de convaincre les pays critiques au moins "de ne pas freiner" un effort contre la pollution plastique. Or, les pays pétroliers ont jusqu'à présent bloqué toute avancée sur la question de la production.

Selon M. Rösti, la question d'un vote n'est pas taboue. "On aimerait plutôt un consensus, ce serait le meilleur résultat", affirme-t-il. "Si on doit voter, c'est un scénario dont il faut discuter. On n'exclut aucun scénario parce que c'est important de régler ce problème", insiste-t-il.

La Suisse est en concurrence avec Nairobi pour accueillir le secrétariat d'un futur accord. "Mais ce n'est pas le moment d'en discuter", a également répété le conseiller fédéral.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Partners Group vend CapeOmega un exploitant de méthaniers

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CapeOmega possède une flotte de dix méthaniers de gaz naturel liquéfié (GNL) (archives). (© KEYSTONE/EPA NTB/FREDRIK VARFJELL)

Le gestionnaire d'actifs zougois Parners Group, a cédé, au nom de ses clients, sa participation majoritaire dans le norvégien CapeOmega à son compatriote Ocean Yield et à des véhicules d'investissement du fonds d'investissement américain KKR.

"La transaction constitue une sortie réussie pour Partners Group", qui ne précise aucun montant dans son communiqué paru jeudi.

Le zougois s'était emparé de CapeOmega en 2019, quand il s'agissait d'un "propriétaire d'infrastructures énergétiques maritimes" et l'a transformé en "une plateforme maritime qui possède une flotte de dix méthaniers de gaz naturel liquéfié (GNL)". La demande de GNL devrait croître de 40% au cours des cinq prochaines années, selon Partners Group.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Initiative sur le Mormont: la droite et l'économie prônent le refus

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L'initiative "Sauvons le Mormont", lancée en 2022 dans la foulée de la ZAD, demande de protéger la célèbre colline via la Constitution vaudoise et d'y interdire toute exploitation (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

La droite et l'économie vaudoises appellent à refuser l'initiative "Sauvons le Mormont", soumis à votation le 28 septembre prochain. Elles soutiennent au contraire le contre-projet direct du Conseil d'Etat, privilégiant l'économie circulaire et les circuits courts.

Le comité de campagne "Non à l'initiative extrême sur le Mormont - Oui à l'économie circulaire" a présenté ses arguments jeudi à Echallens lors d'une conférence de presse. Sous la houlette de la Fédération vaudoise des entrepreneurs (FVE), ce sont le conseiller aux Etats Pascal Broulis (PLR/VD), les conseillers nationaux Yvan Pahud (UDC/VD) et Céline Weber ( Vert'lib/VD) ainsi que que le député et chef de groupe PLR Nicoals Suter qui ont lancé la campagne.

L'initiative "Sauvons le Mormont", lancée en 2022 dans la foulée de la ZAD, demande de protéger la célèbre colline via la Constitution vaudoise et d'y interdire toute exploitation.

"Aujourd'hui, notre économie a plus que jamais besoin de prévisibilité. Cette initiative menace des emplois et amène de l'incertitude", a déclaré Pascal Broulis. Selon le comité du "non", cette initiative menacerait par ricochet "10'000 emplois du secteur et les plus de 30'000 emplois de la construction du canton".

"Allier économie et écologie"

Il rappelle aussi que la Suisse consomme environ cinq millions de tonnes de ciment chaque année, dont 86% fournis par les cimenteries suisses, le reste étant importé. "Métro, tram, infrastructures scolaires ou hospitalières: il y a un réel besoin de ciment dans le canton de Vaud", clame-t-il.

"Le Tribunal fédéral a d'ailleurs reconnu la carrière du Mormont d'intérêt national, car elle alimente la Suisse romande. Si l'initiative était acceptée, cela impliquerait une importation de matériaux avoisinant 40% des besoins vaudois, soit l'équivalent de 60'000 passages de camions supplémentaires en provenance de l'étranger avec leur cortège de nuisances", argumente-t-il.

"Chaque année, 200'000 tonnes de déchets (boues, farines animales, pneus, huiles, solvants, etc) sont valorisées pour produire du ciment. Sans cimenterie, leur avenir est incertain. La chaleur du four est récupérée pour chauffer 2000 ménages dans les villages voisins. Cette énergie locale et propre serait également perdue si l'initiative passe", notent encore les responsables du "non".

Le comité plaide dès lors pour le contre-projet direct du Conseil d'Etat. "Grâce à ce dernier, nous pourrons allier économie et écologie, pour plus de durabilité. Un signal clair aux entreprises et à la recherche sur la voie à suivre", affirme Céline Weber.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

La Confédération s'efforce de rendre ses textes plus accessibles

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La Confédération souhaite que ses textes soient accessibles à un maximum de personnes (illustration). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Les textes de l'administration fédérale doivent pouvoir être lus par le plus de personnes possible, y compris celles en situation de handicap. La Confédération célèbre la première année du Centre de compétences pour la langue facile à lire, chargé des traductions.

Cette initiative de la Confédération vise à favoriser l'inclusion des personnes ayant des difficultés de lecture en traduisant en langue facile à lire des informations de l'administration fédérale, a rappelé jeudi le Département fédéral de l'intérieur (DFI) dans un communiqué. Il s'agit par exemple d'éviter les mots difficiles, les passifs ou les négations, de renoncer au sens figuré ou encore d'utiliser des exemples.

Les textes traduits en langue facile concernent directement les personnes en situation de handicap ou contribuent à renforcer leur participation à la vie de la société. On trouve des explications sur le dossier électronique du patient, l'initiative sur l'inclusion, la curatelle de portée générale ou encore sur les dangers naturels, illustre le DFI.

Et de relever que ces textes sont aussi destinés aux personnes ayant des compétences de lecture limitées, par exemple les personnes allophones ou atteintes de troubles cognitifs. En Suisse, 22% de la population est concernée.

Plusieurs programmes prioritaires

Rattaché au service linguistique du DFI, le centre de compétences compte trois spécialistes de la traduction et de la langue facile à lire française, allemande et italienne. Il collabore avec des acteurs suisses spécialisés dans le domaine du facile à lire, notamment avec les universités, et suit les développements technologiques et de la recherche en la matière. Il évalue également les possibilités qu'offre l'intelligence artificielle pour simplifier des textes.

L'initiative s'inscrit dans le cadre de la politique du handicap 2023-2026 du Conseil fédéral. Par le biais de plusieurs programmes prioritaires pour favoriser l'inclusion des personnes en situation de handicap, le but est de permettre des améliorations dans le monde du travail et du logement ainsi qu'une meilleure accessibilité des prestations numériques de la Confédération.

Toutes les personnes concernées doivent pouvoir "participer pleinement, en toute autonomie et sur un pied d'égalité à la vie publique, économique et sociale", écrit le DFI.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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