Suisse
Faibles majorités pour l'initiative biodiversité et la réforme LPP
Si les Suisses avaient dû voter aujourd'hui, ils auraient dit oui du bout des lèvres à l'initiative biodiversité et n'auraient donné qu'une majorité relative à la réforme de la LPP, selon un sondage SSR. Mais la formation de l'opinion n'est qu'à un stade peu avancé.
A cinq semaines des votations du 22 septembre, 51% des personnes interrogées auraient voté en faveur de l'initiative biodiversité. Elles auraient dit non à 43%, indique le sondage de l'institut gfs.bern publié vendredi. La réforme du 2e pilier ne recueille quant à elle qu'une majorité relative de 49% de oui, contre 39% de non.
Pour les deux objets, la formation de l'opinion est peu avancée, selon les auteurs de l'étude. C'est en particulier le cas pour la réforme de la LPP, où seuls 44% des sondés expriment des intentions de vote fermes et 12% sont encore totalement indécis. Des changements sont à attendre au cours de la campagne.
L'enquête a été réalisée entre le 29 juillet et le 12 août auprès de 12'332 titulaires du droit de vote. La marge d’erreur est de +/- 2.8 points de pourcentage.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Nord vaudois: inauguration d'une nouvelle centrale d'ambulances
Le Centre de secours et d'urgences du Nord vaudois et de la Broye (CSU-nvb) a inauguré jeudi sa nouvelle centrale d'ambulances à Yverdon-les-Bains (VD), proche de l'entrée d'autoroute Yverdon-Sud. Avec ses cinq bases stratégiques intercantonales, ses 120 collaborateurs et ses 9500 missions annuelles, ce centre s'affirme comme le plus grand service d'ambulances de Suisse romande.
La cérémonie s'est déroulée en présence de la conseillère d'Etat en charge de la santé, Rebecca Ruiz, et de son homologue fribourgeois, Philippe Demierre, selon un communiqué. Le CSU-nvb couvre un bassin de population de 185'000 habitants, est-il précisé.
La nouvelle base d'Yverdon-les-Bains devient désormais le siège principal du CSU-nvb. Il peut accueillir sous le même toit les équipes d'ambulances du dispositif cantonal des urgences préhospitalières ainsi que toute l'équipe administrative du service.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Beaucoup moins d'événements au Palladium à cause du bruit
La Ville de Genève doit réduire drastiquement l'utilisation de la salle du Palladium en raison des nuisances sonores causées lors de concerts, de spectacles ou de soirées festives. Cette mesure fait suite à une décision du Service de l'air, du bruit et des rayonnements non ionisants (SABRA) du canton.
Les résultats des mesures de bruit mettent en évidence des nuisances importantes pour les habitants des immeubles voisins récemment construits, indique jeudi la Ville de Genève dans un communiqué. Ces analyses ont été menées entre juillet et novembre 2023 suite à des plaintes des riverains.
D'une capacité de 1300 personnes, la salle du Palladium pourra accueillir un seul événement sonorisé par mois sans limite d'heure, avec un niveau sonore maximal de 93 décibels, ce qui correspond à une simple sono. Un festival, comprenant deux soirées, sera aussi autorisé une fois par année, avec un niveau supérieur à 93 décibels.
La Municipalité avait proposé une autre solution au SABRA, soit une location quotidienne des lieux, sauf le dimanche, pour des événements sonorisés se terminant à 21h00 avec un niveau sonore fixé à 93 décibels. Cette proposition a été refusée par le SABRA. La Ville de Genève "s'étonne de cette fermeté, qui tranche avec une position plus conciliante s'agissant du trafic routier".
Le Palladium est très sollicité, notamment par des associations culturelles, qui y organisent des soirées caritatives ou festives. Il existe actuellement peu d'alternative pour organiser de telles manifestations. Une étude sera menée prochainement sur l'ensemble du bâtiment afin de déterminer l'ampleur d'une future rénovation et une mise aux normes. En attendant, il devra mettre la sourdine.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Pas de WC non genrés dans les établissements publics vaudois
Les toilettes femmes et hommes resteront séparées dans les établissements publics vaudois pouvant accueillir plus de 20 personnes. Le Conseil d'Etat renonce à supprimer cette obligation, qui empêche l'installation de WC non genrés dans les bistrots et restaurants.
C'est un postulat du député Vassilis Venizelos, avant qu'il n'entre au Conseil d'Etat, qui avait demandé en 2021 de revoir le règlement d'exécution de la loi sur les auberges et les débits de boissons. L'écologiste argumentait notamment que des toilettes non genrées seraient "plus inclusives" et faciliteraient la vie des personnes intersexes et transgenres. De tels WC permettraient aussi aux restaurateurs de gagner de la place.
Afin d'abroger cette obligation d'avoir des toilettes séparées, le Conseil d'Etat explique avoir mené des consultations auprès de nombreux acteurs. Il en est toutefois ressorti "qu'aucun consensus ne semble possible sur cette thématique", écrit le gouvernement vaudois dans son rapport, publié jeudi.
Solutions de compromis, en vain
Des propositions de compromis ont été faites. Comme par exemple de maintenir, pour des raisons de sécurité, des sanitaires séparés dans les discothèques et établissements fermant après minuit. Il a aussi été proposé de contraindre tous les établissements souhaitant des WC mixtes de se pourvoir de cabines fermées du sol au plafond, y compris la porte.
"Malgré les propositions de compromis, les positions en faveur ou en défaveur de l'introduction de toilettes non genrées dans les établissements publics vaudois demeurent figées et irréconciliables", regrette le Conseil d'Etat. Il explique qu'il doit renoncer à la modification du cadre réglementaire et ne peut répondre favorablement au postulat de M. Venizelos.
Ailleurs en Suisse, plusieurs initiatives politiques visant à instaurer des WC non genrés ont abouti ces dernières années. La Ville de Zurich a par exemple introduit des toilettes non genrées dans les écoles. Le canton de Lucerne a, lui, autorisé l'installation de toilettes unisexes dans les restaurants.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Une annonce de cybermenace toutes les 8 minutes et demie en Suisse
La Suisse connaît une hausse des cybermenaces. Depuis sa création en début d'année, l'Office fédéral de la cybersécurité (OFCS) a reçu en moyenne une annonce toutes les huit minutes et demie. Il a constaté une très forte augmentation des tentatives d'escroquerie.
Durant les six premiers mois de cette année, 34'789 incidents ont été enregistrés, a indiqué jeudi l'OFCS lors de la publication de son rapport semestriel. Cela correspond à presque deux fois plus d'annonces que celles enregistrées l'année passée, sur la même période.
Comme les années précédentes, les cas de fraude, d'hameçonnage et de pourriels (spams) continuent de dominer le classement des cyberincidents. Le nombre de tentatives d'escroquerie a pris l'ascenseur, avec 23'104 cas signalés. Cela constitue deux tiers de toutes les annonces.
Le phénomène des faux appels téléphoniques émanant prétendument des autorités est particulièrement frappant, selon l'OFCS. Une hausse significative des cas a également été observée en ce qui concerne les courriels d'hameçonnage.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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