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Économie

Dormakaba lance un lourd programme de restructuration

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Selon Dormakaba, ces mesures auront un impact sur jusqu'à 1800 postes, sur les 16'000 que compte l'entreprise au niveau mondial, le groupe prévoyant de supprimer 800 équivalents temps plein. (KEYSTONE/Christian Beutler) (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Le spécialiste des accès sécurisés Dormakaba a lancé un important programme de restructuration afin d'économiser jusqu'à 170 millions de francs par an d'ici 2025/2026. Quelque 800 emplois à temps plein vont être supprimés.

La société zurichoise veut notamment réorganiser sa production au niveau mondial et réduire le nombre de fournisseurs, a-t-elle indiqué lundi dans un communiqué.

Avec ces mesures, le groupe basé à Rümlang veut s'assurer d'atteindre ses objectifs à moyen terme. Ces derniers prévoient une croissance organique annuelle de 3% à 5% dès l'année prochaine, une marge opérationnelle brute (Ebitda) de 16% à 18% et un rendement des capitaux (Roce) supérieur à 30% à partir de 2025/2026.

Le programme de restructuration doit être achevé à la fin de l'exercice décalé 2025/2026. Il se traduira par des coûts supplémentaires de 225 millions, ainsi que 100 millions de dépenses d'investissement en 2023/2024.

Selon Dormakaba, ces mesures auront un impact sur jusqu'à 1800 postes, sur les 16'000 que compte l'entreprise au niveau mondial, le groupe prévoyant de supprimer 800 équivalents temps plein.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Trump pour une action en justice contre le président de la Fed

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Donald Trump (ici avec Jerome Powell) s'était fendu fin juillet d'une visite surprise du chantier de rénovation du siège de l'institution à Washington, qu'il juge trop coûteux (archives). (© KEYSTONE/AP/Julia Demaree Nikhinson)

Le président américain Donald Trump a menacé mardi d'autoriser une "action en justice majeure" contre le président de la Réserve fédérale (Fed) Jerome Powell. Il est mécontent des décisions de la banque centrale et du coût de la rénovation de son siège.

"J'envisage d'autoriser une action en justice majeure contre Powell en raison du travail horrible et manifestement incompétent qu'il a accompli dans la gestion" du chantier de rénovation de la Fed à Washington, a-t-il écrit sur Truth Social.

M. Trump met depuis des semaines en scène son impatience croissante face à la Fed. Il traite d'"abruti" M. Powell, qu'il a nommé à sa tête durant son premier mandat, appelle les autres banquiers centraux à le renverser et fait régulièrement mine de vouloir l'éjecter.

Il s'est même fendu fin juillet d'une visite surprise du chantier de rénovation du siège de l'institution à Washington, qu'il juge trop coûteux. L'épisode a donné lieu à une scène largement diffusée dans les médias: Donald Trump et Jerome Powell côte à côte, avec des casques de chantier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Le chômage reste au plus haut depuis quatre ans au Royaume-Uni

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"Dans l'ensemble, ces derniers chiffres indiquent un ralentissement continu" du secteur de l'emploi, estime Liz McKeown, directrice des statistiques économiques de l'ONS, qui souligne que le nombre de salariés a diminué dans le pays lors de 10 des 12 derniers mois, notamment dans l'hôtellerie. (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

Le taux de chômage est resté stable au Royaume-Uni, à 4,7% lors des trois mois achevés en juin, son niveau le plus élevé depuis quatre ans, sur un marché du travail qui se refroidit, selon l'Office national des statistiques (ONS) mardi.

"Dans l'ensemble, ces derniers chiffres indiquent un ralentissement continu" du secteur de l'emploi, estime Liz McKeown, directrice des statistiques économiques de l'ONS, qui souligne que le nombre de salariés a diminué dans le pays lors de 10 des 12 derniers mois, notamment dans l'hôtellerie et de la vente au détail.

"Les offres d'emploi, elles aussi, ont continué à diminuer, également en raison de la baisse des opportunités dans ces secteurs", ajoute-t-elle.

La croissance des salaires de base est restée stable et celle des salaires incluant les primes a légèrement ralenti, souligne aussi l'ONS.

Pour Richard Carter, analyste chez Quilter Cheviot, les données de l'ONS plaident plutôt en faveur d'"une nouvelle baisse des taux" d'intérêt de la Banque d'Angleterre (BoE) "d'ici la fin de l'année".

"La Banque d'Angleterre est face à un équilibre délicat. L'inflation reste à 3,6 % (en juin), alimentée par les coûts du logement et des transports, mais les signes de faiblesse sur le marché du travail deviennent de plus en plus difficiles à ignorer", estime-t-il.

La BoE vient tout juste d'abaisser son taux directeur à 4%, à l'issue d'un vote serré, pour soutenir une économie à la peine --le PIB a reculé deux mois d'affilée en avril et en mai. Elle a appelé à la prudence pour la suite.

"Il est encore trop tôt pour dire s'il y aura une réduction en novembre", estime Susannah Streeter, analyste chez Hargreaves Lansdown, qui juge décembre "un peu plus probable".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

L'inflation américaine stable en juillet

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L'indice des prix à la consommation a progressé au même rythme qu'en juin (+2,7% sur un an), contenu par la baisse du coût du pétrole (- 9,5% sur un an). (© KEYSTONE/EPA/SARAH YENESEL)

L'inflation a été stable en juillet aux Etats-Unis, selon l'indice CPI publié mardi, alors que les marchés s'attendaient à une accélération en raison des nouveaux droits de douane.

L'indice des prix à la consommation a progressé au même rythme qu'en juin (+2,7% sur un an), contenu par la baisse du coût du pétrole (- 9,5% sur un an).

Sur un mois, l'indice s'affiche même en ralentissement, à +0,2% après +0,3% en juin, dans la lignée des attentes des analystes, selon le consensus publié par MarketWatch.

Hors prix volatils de l'énergie et de l'alimentation, l'indice marque en revanche une nette accélération à +3,1% sur un an, ce qui reste toutefois là encore conforme aux attentes.

La publication intervient dans un contexte sensible.

La majorité des économistes s'attendent à voir l'inflation accélérer aux Etats-Unis au fur et à mesure qu'entrent en vigueur les droits de douane mis en place par le président Donald Trump depuis son retour au pouvoir en janvier.

Les données officielles ont toutefois encore peu déraillé, faisant dire au chef de l'Etat qu'il n'y a pas d'inflation et donc aucune raison pour la banque centrale des Etats-Unis (Réserve fédérale, Fed) de ne pas baisser ses taux.

Le service de statistiques à l'origine de l'indice CPI, le Bureau des statistiques de l'emploi (BLS), est en outre secoué par les interventions directes du président.

Donald Trump a nommé lundi E.J. Antoni, un économiste d'un centre de réflexion très conservateur, à la tête du BLS, près de deux semaines après en avoir limogé sa cheffe, juste après la publication de chiffres de l'emploi montrant que celui-ci s'est nettement dégradé au printemps.

"Notre économie est florissante et E.J. veillera à ce que les chiffres publiés soient HONNÊTES et JUSTES", selon un message du président.

Chargé des questions économiques à la Heritage Foundation, connue pour ses positions très conservatrices, E.J. Antoni a publié sur le site de ce centre de réflexion plusieurs articles favorables à la politique du président républicain.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Après l'UE, Berne vise le pétrole russe avec de nouvelles sanctions

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La manne pétrolière de la Russie permet de financer la guerre en Ukraine (illustration). (© KEYSTONE/EPA/MAXIM SHIPENKOV)

La Suisse renforce ses sanctions contre la Russie dans le contexte de la guerre en Ukraine. Les mesures visent la manne pétrolière russe. L'Union européenne (UE) a approuvé ce même paquet de sanctions, le 18e depuis le début de la guerre, à la mi-juillet.

Au total, 14 nouvelles personnes physiques et 41 nouvelles entreprises et entités se retrouvent sous le coup des sanctions, a indiqué mardi le Département fédéral de l'économie (DEFR) dans un communiqué. Il s'agit notamment d'entreprises russes et internationales gérant des navires de la flotte fantôme, de négociants de pétrole brut russe et de fournisseurs du complexe militaro-industriel russe, y compris dans des pays tiers.

En outre, 105 nouveaux navires sont soumis à de vastes interdictions d'achat et de vente, ainsi que de recours à des services maritimes. Ce sont avant tout des tankers faisant partie de la flotte fantôme russe. Par ailleurs, le prix plafond du pétrole brut russe est abaissé à 47,60 dollars.

Les mesures entrent en vigueur mardi à 23h00, à l'exception du prix plafond.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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