Économie
En nette hausse, UBS signe un troisième trimestre probant
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UBS n'a pas ressenti le traditionnel coup de mou saisonnier de l'été. Le numéro un bancaire helvétique a vu ses recettes, sa rentabilité opérationnelle et son bénéfice augmenter au troisième trimestre, dépassant les attentes des analystes interrogés par AWP.
Le bénéfice net s'est fixé à 2,28 milliards de dollars, en hausse de 8,9% sur un an, selon les indications fournies mardi par la grande banque.
Les recettes ont gonflé de 2,2% à 9,13 milliards de dollars, tandis que les charges d'exploitation ont reculé de 1,5% à 6,26 milliards. Le bénéfice avant impôts a bondi de plus de 11% à 2,87 milliards, porté par les principales divisions.
Entre juillet et septembre, les entrées nettes d'argent générateur de commissions se sont élevées à 19 milliards de dollars, pour une masse sous gestion totale de 4432 milliards.
Au troisième trimestre, le groupe a procédé à la dissolution de 14 millions de dollars pour risque de défaillance de crédit.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La condamnation d'un ex-trader d'UBS annulée à Londres
La Cour suprême britannique a annulé mercredi la condamnation des anciens traders Tom Hayes, passé par UBS et Citigroup, et Carlo Palombo, passé par Barclays, qui avaient écopé de peines de prison pour avoir manipulé les taux interbancaires Libor et Euribor.
La plus haute juridiction britannique reconnaît qu'il "existait de nombreux éléments de preuve" contre M. Hayes mais pointe "les directives du juge" qui n'ont pas permis à leurs avocats de se défendre convenablement devant le jury ce qui "a rendu le procès inéquitable".
Dans le cas de M. Palombo "les directives données au jury ne sont pas aussi critiquables" mais comportaient plusieurs "erreurs et ambiguïtés" qui font que sa condamnation "est également injustifiée et doit être annulée", selon un résumé de la décision envoyé à la presse par la Cour suprême.
L'agence britannique de lutte contre la criminalité financière (SFO), qui menait les poursuites, a décidé mercredi d'arrêter la procédure, ayant "déterminé qu'il ne serait pas dans l'intérêt public que nous demandions un nouveau procès" à ce stade, selon un communiqué séparé.
M. Hayes, ancien trader des banques UBS et Citigroup, avait été reconnu coupable par un jury du tribunal de Southwark en août 2015 et initialement condamné à 14 ans de prison. Il avait vu sa peine réduite à 11 ans en appel et avait bénéficié d'une libération anticipée en 2021.
La SFO l'accusait d'avoir orchestré de septembre 2006 à septembre 2010 un système de collusion avec des traders des deux banques suisse et américaine, mais aussi avec ceux d'autres établissements, afin d'influencer à leur avantage le niveau du Libor.
Pour se défendre, l'ex-courtier avait expliqué à l'époque que la manipulation du taux était "monnaie courante" dans l'industrie financière. Ses avocats avaient aussi fait valoir qu'il souffrait du syndrome d'Asperger, un trouble autistique.
Le dossier de M. Hayes était examiné aux côtés de celui d'un ancien trader de Barclays, Carlo Palombo, condamné en 2019 à 4 ans de prison pour manipulation de l'Euribor, l'équivalent en euro du Libor.
La Commission de révision des affaires pénales britannique avait à nouveau porté l'affaire devant la Cour d'appel après une décision de la justice américaine en 2022 annulant des condamnations similaires visant d'autres traders. Mais la Cour d'appel avait maintenu les condamnations l'an dernier.
Le Libor, "London Interbank Offered Rate", a longtemps été un taux interbancaire de référence dans le monde de la finance, ayant une incidence sur une masse énorme de produits financiers. Controversé après de nombreux scandales, il a été définitivement aboli en octobre dernier.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Amende réduite pour Credit Suisse dans le cartel des devises
La Cour de justice de l'UE a réduit l'amende à l'encontre de Credit Suisse, à 28,9 millions d'euros contre 83,2 millions auparavant, tout en confirmant sa participation à une entente dans le secteur des opérations de change au comptant.
"Si Credit Suisse a effectivement participé à l'entente, la Commission n'a cependant pas correctement déterminé la valeur de remplacement de la valeur de ses ventes pour fixer le montant de l'amende sanctionnant cette infraction", justifie l'institution basée au Luxembourg, dans un communiqué publié vendredi. Les données utilisées par la Commission "étaient moins complètes et fiables que celles proposées à cette fin par Credit Suisse lors de la procédure administrative".
L'affaire remonte au début des années 2010. À l'issue d'une enquête, la Commission européenne a révélé qu'entre 2011 et 2012 que certains traders chargés des opérations de change au comptant (Forex), travaillant pour différentes banques, avaient échangé des informations sensibles sur un forum professionnel de discussion en ligne appelé Sterling Lads. "Ces échanges d'informations ont permis aux traders de prendre des décisions en connaissance de cause quant à l'opportunité de vendre ou d'acheter ces devises et au moment auquel procéder à de telles opérations", rappelle le document.
Par ces comportements, cinq établissements, à savoir Credit Suisse, Barclays, HSBC, Royal Bank of Scotland (RBS) et UBS, "ont réduit leur incertitude dans ce secteur et ont ainsi faussé la libre concurrence". La Commission a adopté une décision de transaction à l'égard des quatre dernières citées ayant coopéré avec elle lors de l'enquête et octroyé une immunité conditionnelle d'amende à UBS. La banque aux deux voiles n'ayant pas coopéré, la Commission lui a infligé une amende de 83,2 millions d'euros.
S'estimant lésées, UBS Group, qui a repris Credit Suisse Group, UBS AG, repreneur de Credit Suisse AG, et Credit Suisse Securities (Europe) Ltd, ont contesté la décision devant le Tribunal de l'Union européenne. Celui-ci a rejeté la demande visant à faire annuler la décision de la Commission, mais annulé partiellement la décision attaquée et réduit par conséquent le montant de l'amende.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La BNS attendue dans le rouge au premier semestre, anticipe UBS
La Banque nationale suisse (BNS) devrait enregistrer une perte semestrielle à deux chiffres, en raison de la faiblesse du dollar face au franc, selon les experts d'UBS. L'institut d'émission pourrait s'abstenir de toute distribution aux cantons et à la Confédération.
La gardienne du franc devrait subir une perte de 17 à 27 milliards de francs au deuxième trimestre, estiment les économistes Alessandro Bee et Florian Germanier d'UBS Suisse, après un bénéfice de presque 7 milliards sur les trois premiers mois de l'année. Il en résulterait un débours de 10 à 20 milliards de francs de janvier à fin juin. La BNS publiera ses résultats le 31 juillet.
La perte d'avril à juin est attribuée à l'affaiblissement du billet vert par rapport au franc. Ce dernier s'est nettement apprécié au cours de la période, de 2% face à l'euro, d'environ 6% face au yen et de près de 10% face au dollar. Les mouvements de change devraient avoir entraîné une perte de plus de 40 milliards de francs, dont 30 milliards rien que sur les seuls placements en dollars. La BNS détient environ 300 milliards de francs de titres américains.
Si le prix de l'or a grimpé de 5% au cours de ces trois mois, la BNS ne devrait pas en avoir profité en raison de la dévaluation du dollar. Une "perte importante de 4,5 milliards de francs" est anticipée par la banque aux trois clés.
L'institut d'émission devrait avoir eu la main plus heureuse sur les marchés actions, qui se sont repris après avoir été secoués par l'annonce des droits de douane américains. Le marché actions mondial a crû de 9% environ, ce qui signifie un bénéfice de 15 milliards de francs pour le portefeuille actions de la BNS, évalué à 180 milliards.
Le portefeuille d'emprunts devrait enregistrer un gain de 5 milliards environ. Les revenus récurrents, comme les dividendes et les produits d'intérêts, devraient contribuer à hauteur de 4 milliards.
Distributions incertaines
Les distributions restent elles "incertaines", selon les économistes. Si les réserves en la matière atteignent 12,9 milliards de francs au titre de 2024, elles devraient être dévolues aux réserves monétaires, de sorte que la BNS devra au moins "neutraliser la perte du premier semestre" en deuxième partie d'année pour pouvoir procéder à un versement l'an prochain.
UBS souligne qu'en raison de la volatilité des marchés financiers, il lui est impossible de se prononcer sur la possibilité d'un versement à venir l'année prochaine.
En 2024, la Banque nationale suisse a réalisé un bénéfice de 80,7 milliards de francs, après une perte de 3,2 milliards l'année précédente, lui permettant de verser un milliard de francs à la Confédération et deux milliards aux cantons.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Droits de douane: Trump annonce un accord commercial avec le Japon
Le président américain Donald Trump a annoncé la conclusion d'un accord commercial avec le Japon, avec un allègement significatif pour les automobiles nippones. Aucun compromis n'a encore été trouvé avec la Suisse, l'UE ou le Canada. La date-butoir est le 1er août.
"Nous venons juste de conclure un énorme accord commercial avec le Japon", a indiqué mardi Donald Trump sur son réseau social Truth Social, le qualifiant de "sans précédent". "Le Japon paiera des droits de douane réciproques de 15% aux Etats-Unis", a-t-il indiqué, bien en deçà de la surtaxe de 25% dont l'archipel était menacé au 1er août.
Le Japon, bien qu'allié-clé des Etats-Unis, est actuellement soumis aux mêmes droits de douane américains de base de 10% que la plupart des nations, ainsi qu'à des surtaxes de 25% sur les voitures et de 50% sur l'acier et l'aluminium.
Cet accord avec Tokyo va entraîner la création de "centaines de milliers d'emplois", a assuré M. Trump, mentionnant des investissements japonais à hauteur de "550 milliards de dollars" sur le sol américain, sans détail si ce n'est que "90% des bénéfices seraient perçus par les Etats-Unis".
"Mission accomplie"
"Nous pensons que c'est une grande réussite d'avoir pu obtenir la plus grande réduction [des surtaxes] parmi les pays ayant un excédent commercial avec les États-Unis", s'est félicité le premier ministre japonais Shigeru Ishiba.
L'annonce intervient alors que le négociateur Ryosei Akazawa effectuait son huitième voyage à Washington. "Mission accomplie", s'est-il réjoui sur le réseau social X.
Selon M. Trump, le Japon a accepté de s'ouvrir "au commerce des voitures et des pick-ups, du riz et d'un certain nombre d'autres produits agricoles" venant des Etats-Unis.
Sur l'automobile, l'enjeu était de taille: l'automobile représentait l'an dernier presque 30% des exportations du Japon vers les Etats-Unis. Dans l'archipel, l'industrie automobile représente 8% des emplois. Or, suite aux surtaxes de 25% imposées depuis avril sur l'automobile, les exportations de voitures japonaises vers les Etats-Unis ont dégringolé d'un quart sur un an en mai et en juin.
Envolée de la bourse
Selon M. Ishiba, l'accord conclu prévoit que ces surtaxes soient divisées par deux et s'ajoutent aux droits de douane préexistants de 2,5% pour parvenir à une taxation finale de 15%.
Suite à ces informations, l'action Toyota s'envolait de plus de 14% à la bourse de Tokyo vers 05h30 (heure en Suisse). "Je me félicite vivement que cette étape majeure ait été franchie et dissipe l'incertitude qui préoccupait les entreprises privées", a réagi Tatsuo Yasunaga, président du conseil du commerce extérieur réunissant les firmes exportatrices nippones.
Mais "sur la base des informations disponibles, il est difficile d'évaluer clairement l'impact [...] Nous souhaitons que le tableau général soit clarifié au plus vite", a-t-il prévenu.
Gonfler les importations de riz était ces derniers mois un tabou pour Tokyo, qui assurait défendre les intérêts des agriculteurs locaux. "Nous avons poursuivi les négociations pour parvenir à un accord répondant à l'intérêt national du Japon et des États-Unis" et "rien n'impose des sacrifices à nos agriculteurs", a affirmé mercredi M. Ishiba.
Le Japon importe actuellement jusqu'à 770'000 tonnes de riz exemptés de droits de douane et pourrait importer davantage de céréales américaines dans cette limite - au détriment d'autres origines -, a-t-il expliqué.
Acier et aluminium toujours taxés
En revanche, les surtaxes américaines de 50% sur l'acier et l'aluminium ne sont pas concernées par l'accord, pas davantage que les dépenses de défense du Japon dont M. Trump réclame le renforcement, a précisé Ryosei Akazawa.
Washington entend imposer à partir du 1er août de massives surtaxes dites "réciproques", initialement prévues au 1er avril puis suspendues, à nombre de ses partenaires commerciaux, à moins que ces derniers ne concluent d'ici là des accords avec les Etats-Unis.
Le gouvernement américain compte pour l'heure quatre de ces accords à son actif: outre le Japon, le président américain a annoncé mardi en avoir conclu un avec les Philippines. Les Etats-Unis se sont par ailleurs déjà entendus avec le Royaume-Uni et le Vietnam.
Et M. Trump a détaillé mardi les conditions d'un accord-cadre conclu avec Jakarta, ouvrant la voie à un accord final encore à construire.
"L'Europe viendra demain et, le jour suivant, nous en avons d'autres qui viennent", a même assuré Donald Trump mardi devant des sénateurs républicains.
M. Trump a décrété des droits de douane de 30% sur toutes les importations venant de l'UE et du Mexique à compter du 1er août. Le Canada encourt 35% de surtaxe et le Brésil 50%.
Les Etats-Unis se sont par ailleurs entendus sur une désescalade avec la Chine, après une montée des tensions commerciales entre les deux premières puissances économiques mondiales.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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