Suisse
Gerhard Pfister espère des gains électoraux dans les grands cantons
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Le Centre se présentera pour la première fois aux élections fédérales à l'automne prochain sous son nouveau nom. Le président du parti, Gerhard Pfister, voit un potentiel de croissance avant tout dans les cantons du Plateau.
Lors de l'apéritif des rois du Centre Suisse, vendredi à Berne, M. Pfister a présenté aux médias ses objectifs pour l'année électorale. Il n'a toutefois pas voulu fixer un pourcentage fixe de voix à atteindre pour le parti, né de la fusion du PDC et du PBD.
Si le Centre parvient à mobiliser son électorat de base et à mobiliser de nouveaux électeurs, il s'approchera du résultat arithmétique de la fusion, voire le dépassera, a déclaré Gerhard Pfister. En 2019, le PDC et le PBD avaient réalisé des scores de respectivement 11,4 et 2,4%. En les additionnant, le parti fusionné se rapprocherait du résultat des Verts, mais resterait derrière le PLR et le PS.
Selon M. Pfister, qui brigue lui-même un sixième mandat au National, les semaines précédant les élections seront décisives pour la mobilisation et le succès électoral. Il s'attend à des gains notamment dans les grands cantons du Plateau. Dans ces régions, le nouveau nom a facilité l'accès au parti.
Bonne dynamique
Les récents scrutins législatifs, comme les élections communales zurichoises, ont confirmé le potentiel du Centre, estime son président. Le parti y a gagné de nouveaux électeurs et électrices. Les succès remportés lors des élections au Conseil d'Etat témoignent également de la bonne forme de la formation.
Dans le même temps, il s'agit de ne pas perdre de terrain dans les régions d'origine du PDC, a souligné le président du parti, se disant convaincu d'y parvenir. Le PDC s'est rebaptisé "Le Centre" dans les 26 cantons suisses, mais porte encore un double nom à Obwald et Uri. Aucun mouvement de départ n'a eu lieu dans les cantons d'origine de la formation après ce changement, précise M. Pfister.
Le fait que de nombreux membres actuels du Parlement souhaitent à nouveau se présenter constitue un avantage, a par ailleurs souligné Gerhard Pfister. Mais le Centre doit aussi pouvoir envoyer de nouvelles personnalités à Berne. Grâce à des listes largement diversifiées, cet objectif "suit très bien son cours", a-t-il déclaré dans une interview vidéo accordée à Keystone-ATS.
L'importance d'un centre fort
Les sondages montrent un besoin croissant de renforcer les partis du centre, a poursuivi le Zougois. Selon une enquête de l'institut Sotomo, trois électeurs sur quatre du Centre sont d'accord avec son orientation, soit la deuxième valeur la plus élevée de tous les partis. Seulement 13% considèrent son orientation comme étant trop à gauche et 12% comme trop à droite.
Selon M. Pfister, des solutions équilibrées, comme la réforme de l'AVS, acceptée de justesse dans les urnes en septembre, ou la loi Covid-19, qui a passé deux fois l'épreuve des urnes, n'auraient pas été possibles sans le parti du centre. "Cela montre l'importance de notre parti".
Le parti de jeunes du Centre se développe également avec succès. Son président, Marc Rüdisüli, a exigé, lors de l'apéritif des rois, un nouveau mandat de négociation avec l'Union européenne, encore avant les élections, qui auront lieu dans environ dix mois. Les relations entre Berne et Bruxelles doivent être stabilisées.
En réponse à la question d'un journaliste, M. Pfister a précisé que l'adoption d'un tel mandat de négociation dans les mois à venir est une revendication du parti de jeunes. Mais le parti national est également d'avis que la phase exploratoire doit bien se terminer un jour.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Personne ne décroche la bonne combinaison à l'Eurodreams
Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Eurodreams jeudi soir. Pour gagner une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans, il fallait jouer les six numéros 8, 9, 11, 13, 37 et 39, ainsi que le numéro "dream" 4, a indiqué la Loterie romande.
Eurodreams est proposé dans huit pays européens. En Suisse, le jeu est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique. Le tirage est effectué les lundis et jeudis soir.
https://jeux.loro.ch/games/eurodreams
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
La jeune piétonne percutée à Orbe (VD) est décédée
La jeune piétonne ukrainienne qui avait été victime d'un accident mardi à Orbe (VD) est décédée des suites de ses blessures au CHUV, à Lausanne, indique jeudi la police cantonale vaudoise. Elle avait 13 ans.
Après être descendue d'un bus à l'arrêt le Devin sur la route d'Arnex, elle l'avait contourné par l'arrière afin de traverser la route. Pour une raison que l’enquête devra déterminer, elle avait alors été heurtée par un automobiliste circulant en sens inverse. Grièvement blessée, elle avait été héliportée à l'hôpital.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Un culte protestant francophone diffusé en Eurovision depuis Jussy
Comme chaque année le 25 décembre pour Noël, un culte protestant francophone a été diffusé en Eurovision. Cette année, c'est celui du temple de Jussy, dans le canton de Genève, qui a été choisi.
La célébration a été retransmise jeudi à 10h00 en France sur France 2, dans le cadre de l’émission Présence Protestante, en Suisse sur RTS 1 et en Belgique sur La Une.
Vanessa Trüb, pasteure de la paroisse de Jussy, hôte de cette captation vidéo, a présidé ce culte pendant près d'une heure. Ce culte de Noël, centré sur les valeurs de la liberté, a allié chants traditionnels et composition originale, accompagnés au violon, à la guitare et à l’orgue.
L’an dernier, c’était déjà depuis la Suisse que le culte de Noël avait été retransmis, du village de Vers-l'Eglise, dans les alpes vaudoises.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Les liens étroits entre mode et cinéma à la Cinémathèque suisse
Depuis ses débuts, le septième art entretient une relation étroite avec la mode. La Cinémathèque suisse, à Lausanne, y consacre un large cycle, avec une quarantaine de films des années 1930 à aujourd'hui.
Une soirée spéciale est proposée le 14 janvier autour de la projection de "Prêt-à-porter" de Robert Altman (1994). Cette satire du monde de la mode fait défiler des stars du cinéma (Julia Roberts, Kim Basinger, Lauren Bacall, Sophia Loren), des couturiers et des top models. La séance sera présentée par Marco Costantini, directeur du mudac, qui consacre actuellement deux expositions à la mode et au textile.
Le cycle proprement dit démarre dès le 1er janvier avec "Vacances romaines" (1953) de William Wyler. Audrey Hebburn, alors quasiment inconnue, est habillée avec les créations de la costumière Edith Head, qui sera récompensée par un oscar pour ce film.
Dans "Morocco" (1930) de Josef von Sternberg, Marlene Dietrich crève l'écran parée des vêtements iconiques dessinés par Travis Banton. "Falbalas" (1944) de Jacques Becker, avec Micheline Presle, décrit la vie d'un grand atelier de couture à Paris sous l'Occupation.
Sur grand écran, les costumes reflètent les codes vestimentaires d'une époque, réinventent les habits du passé et imaginent ceux du futur. Ils élèvent parfois actrices et acteurs au rang d’icônes.
Modernité de Katharine Hepburn
Dans "L'impossible Monsieur Bébé" (1938) d'Howard Hawks, Katharine Hepburn, héritière excentrique, incarne un modèle de femme émancipée, dont témoigne la modernité des costumes créés pour elle par Howard Greer. Dans "Annie Hall" (1977), de Woody Allen, Diane Keaton a choisi elle-même des tenues masculines, créant un look androgyne avec pantalon taille haute, chemise blanche et cravate.
Les grandes maisons de couture s'invitent volontiers à l'écran: Coco Chanel contribue aux costumes de la "Règle du jeu" (1939) de Jean Renoir. Marlene Dietrich porte des tenues Christian Dior dans "Le Grand Alibi" (1949) d'Alfred Hitchcock. Certaines stars entretiennent une relation particulière avec un couturier, comme Audrey Hepburn avec Givenchy ou Catherine Deneuve avec Yves Saint Laurent, qui l'habille dans "Belle de jour" (1967) de Luis Buñuel.
Brando en perfecto
La mode est aussi un vecteur d’identité et de narration. Le cinéma illustre ainsi les mutations de la société, comme dans "L'équipée sauvage" (1954) où Marlon Brando se glisse dans la peau d'un motard. Les vêtements de Brigitte Bardot, dans "Et Dieu... créa la femme" (1956) de Roger Vadim, influenceront la mode de la seconde partie des années 1950.
En prélude à certaines projections, la Cinémathèque propose de brefs avant-programmes composés de petites pépites issues des archives de l’institution. Ces films restaurés traitent de la mode en Suisse, à l’image de sujets du Ciné-Journal ou de courts-métrages muets.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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