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Économie

Implenia décroche un mandat pour le métro de Toulouse

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Le groupe zurichois sera notamment chargé du percement d'une galerie sous la Ville rose. (archive) (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Le groupe de construction Implenia a remporté avec Demathieu Bard Construction un appel d'offre pour la construction d'une galerie pour la future ligne C du métro de Toulouse.

Le mandat dévolu à l'entreprise zurichoise est devisé à 166 millions d'euros (un peu moins en francs), soit la moitié du total.

Prévu sur 57 mois, le chantier doit relier d'ici fin 2028 Colomiers à Labège et comprend notamment le percement d'un tunnel de près de quatre kilomètres de long en dessous d'une zone urbaine densément peuplée, indique Implenia lundi dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Droits de douane: Trump annonce un accord commercial avec le Japon

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Selon Donald Trump, le Japon va investir 550 millions de dollars aux Etats-Unis (archives). (© KEYSTONE/AP/Mark Schiefelbein)

Le président américain Donald Trump a annoncé mardi avoir conclu un accord commercial avec le Japon. Le premier ministre japonais Shigeru Ishiba s'est cependant montré prudent, relevant qu'il devait encore examiner les détails du texte avant de se prononcer.

"Nous venons juste de conclure un énorme accord commercial avec le Japon", a écrit Donald Trump sur son réseau social Truth Social, le qualifiant de "sans précédent". "Le Japon paiera des droits de douane de 15% aux Etats-Unis", a-t-il indiqué, précisant que cet accord avec Tokyo allait entraîner la création de "centaines de milliers d'emplois".

Il a aussi mentionné des investissements japonais à hauteur de "550 milliards de dollars" sur le sol américain, sans détail si ce n'est que "90% des bénéfices seraient perçus par les Etats-Unis".

"Plus important probablement", selon lui, Tokyo a accepté d'ouvrir le Japon "au commerce des voitures et des pick-up, du riz et d'un certain nombre d'autres produits agricoles et à d'autres choses", là encore sans précisions.

"Mission accomplie"

Le Japon, bien qu'allié-clé des Etats-Unis, est actuellement soumis aux mêmes droits de douane américains de base de 10% que la plupart des nations, ainsi qu'à des surtaxes de 25% sur les voitures et de 50% l'acier et l'aluminium. Et le pays était menacé au 1er août d'un relèvement à 25% des surtaxes généralisées "réciproques". Ces dernières seraient donc ramenées à 15%.

L'annonce de M. Trump intervient alors que le négociateur japonais Ryosei Akazawa effectuait son huitième voyage à Washington, où il a rencontré de hauts responsables américains. "Mission accomplie", s'est-il réjoui sur le réseau social X.

"Nous avons travaillé dur pour garantir ce partenariat mutuellement bénéfique [...] Je suis heureux de réaffirmer notre engagement à approfondir cette alliance de longue date", a abondé dans le même sens le secrétaire américain au trésor Scott Bessent, également sur X.

Dans l'immédiat, le premier ministre japonais s'est montré prudent. "Quant à l'interprétation de l'issue des négociations, je ne pourrai en discuter qu'après avoir examiné attentivement les détails des pourparlers et de l'accord", a indiqué M. Ishiba à la presse à Tokyo.

Automobile soulagée

Sur l'automobile, l'enjeu est de taille: l'économie nippone est dépendante du commerce extérieur et l'automobile représentait l'an dernier presque 30% des exportations du Japon vers les Etats-Unis. Dans l'archipel, l'industrie automobile représente 8% des emplois.

Or, suite aux surtaxes américaines de 25% sur l'automobile, les exportations de voitures japonaises vers les Etats-Unis ont dégringolé d'un quart sur un an en mai et juin.

Selon la télévision japonaise NHK et le journal Asahi Shimbun citant des sources gouvernementales, l'accord conclu prévoit que ces surtaxes soient divisées par deux, s'ajoutant aux droits de douane préexistants de 2,5% pour parvenir à une taxation finale de 15%.

Cette annonce d'un accord intervient peu après des élections sénatoriales qui ont vu la coalition gouvernementale de Shigeru Ishiba perdre sa majorité à la chambre haute. Ce dernier avait assuré vouloir rester en poste pour conclure les négociations commerciales en cours avec les Etats-Unis.

L'UE "demain"

Washington entend imposer à partir du 1er août de massives surtaxes douanières dites "réciproques", initialement prévues au 1er avril puis suspendues, à nombre de ses partenaires commerciaux, à moins que ces derniers ne concluent d'ici là des accords commerciaux avec les Etats-Unis.

Le gouvernement américain a indiqué avoir à cette date conclu quatre accords: outre le Japon, le président américain a aussi annoncé mardi en avoir obtenu un avec les Philippines. Les Etats-Unis se sont par ailleurs déjà entendus avec le Royaume-Uni et le Vietnam.

Lors d'une réception avec des élus républicains, Donald Trump a fait savoir mardi que "l'Europe [venait] demain et, le jour suivant, nous en avons d'autres qui viennent". Plus tôt dans la journée, il avait détaillé les conditions de l'accord-cadre conclu avec Jakarta, ouvrant la voie à un accord final encore à construire.

Les Etats-Unis ont aussi conclu un accord de désescalade avec la Chine, après une montée des tensions commerciales entre les deux premières puissances économiques mondiales dans la foulée de l'annonce des droits de douane "réciproques".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Le bénéfice de Julius Bär torpillé par un correctif et le Brésil

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La banque privée Julius Bär a bénéficié d'importantes entrées d'argent de 7,9 milliards de francs, après 3,7 milliards au premier semestre 2024. (archives) (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le gestionnaire de fortune Julius Bär a vu, comme anticipé, son bénéfice net affecté par un important correctif de valeur et la vente de ses activités au Brésil. Forte d'afflux d'argent nouveau en solide hausse, la direction a confirmé ses perspectives financières.

Entre janvier et juin 2025, le résultat ajusté avant impôts a reculé de 12% à 484 millions, a annoncé l'établissement zurichois mardi dans un communiqué.

Le bénéfice net selon la norme comptable IFRS a quant à lui atteint 295 millions, en chute de 35% sur un an, en raison d'un nouveau correctif de valeur de 130 millions de francs qui est venu éclabousser la société. La banque l'avait expliqué en mai par des défauts sur crédits privés et des positions sur des prêts hypothécaires. La vente de l'activité au Brésil a également pesé à hauteur de 99 millions sur le profit net.

Le rapport ajusté entre les coûts et les revenus - hors coûts exceptionnels - s'est amélioré de 3 points de pourcentage à 68,2%.

Recrutement de conseillers

Fin juin, Julius Bär gérait des avoirs à hauteur de 483 milliards, en baisse de 3% sur un an, alors que les afflux d'argent nouveau ont atteint 7,9 milliards, après 3,7 milliards de francs au premier semestre 2024.

La banque a confirmé ses objectifs. Elle vise des afflux d'argent nouveau en hausse "graduelle" de 4% à 5% pour la période allant de 2026 à 2028, après une croissance moyenne de 2,7% entre 2022 et 2024. Pour ce faire, l'établissement veut poursuivre le recrutement de conseillers clientèle avec un objectif de 150 nouvelles embauches par an.

Le rapport entre les coûts et les revenus, un indicateur clé de rentabilité dans le secteur, doit passer sous 67%, une dégradation par rapport aux moins de 64% visés sur la précédente période 2023-2025, mais une amélioration comparé aux 70,9% enregistrés en 2024. Le rendement ajusté des fonds propres durs (RoceCET1) doit quant à lui être supérieur à 30%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Munich Re: bénéfice net meilleur qu'attendu au deuxième trimestre

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Le réassureur Munich Re a confirmé ses objectifs pour 2025, visant un bénéfice net de 6 milliards d'euros (archives). (© KEYSTONE/EPA/LUKAS BARTH-TUTTAS)

Munich Re, le premier réassureur mondial et concurrent de Swiss Re, a annoncé lundi avoir enregistré un bénéfice supérieur aux attentes au deuxième trimestre, grâce à des pertes moins importantes que prévu dans sa branche de réassurance dommage.

Munich Re, qui assure principalement les compagnies d'assurances contre leurs risques, a fait état d'un bénéfice net de 2,1 milliards d'euros (1,95 milliard de francs) pour la période comprise entre avril et juin.

Ce chiffre est en hausse par rapport à la même période de 2024, où le groupe avait enregistré un bénéfice net d'environ 1,6 milliard d'euros.

Les analystes interrogés par la société de données financières FactSet s'attendaient à ce que le groupe affiche un bénéfice d'environ 1,7 milliard d'euros.

Ce résultat s'explique par "une performance opérationnelle globalement encourageante et des dépenses très faibles liées aux sinistres majeurs dans la branche réassurance dommages", indique Munich Re dans un communiqué de résultat préliminaire.

Les pertes ont également été "bien inférieures aux prévisions moyennes" dans la division pour l'assurance spécialisée mondiale (GSI), couvrant des risques complexes liés aux dommages technologiques, cyberattaques ou projets d'infrastructure, précise le groupe.

Pour Ergo, la filiale qui coiffe l'assurance primaire et la santé-vie, le résultat du deuxième trimestre a été conforme aux attentes avec une "très bonne" performance opérationnelle mais "une accumulation aléatoire de sinistres majeurs individuels".

Munich Re a également souligné que la dépréciation du dollar américain, qui s'est affaibli par rapport aux autres grandes devises à la suite des mesures protectionnistes du président Donald Trump, avait eu un impact négatif sur les résultats.

Le réassureur a confirmé ses objectifs pour 2025, visant un bénéfice net de six milliards d'euros.

Les résultats complets du groupe pour le deuxième trimestre seront publiés le 8 août.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Stéphane Maquaire, ex-patron de Manor, à la tête du Club Med

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Le Club Med compte un établissement en Suisse, à Saint-Moritz (archives). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Un ancien dirigeant de Manor et de Carrefour, Stéphane Maquaire, a été nommé lundi à la tête du Club Med "avec effet immédiat", succédant à Henri Giscard d'Estaing, débarqué après 22 ans de présidence, selon un communiqué du groupe.

Stéphane Maquaire, 51 ans, "prendra la direction du groupe depuis Paris, avec pour mission de poursuivre son développement tout en préservant l'identité et les valeurs françaises de la marque", précise le Club Med dans son communiqué.

"Nous avons choisi un dirigeant disposant d'une solide expérience dans les secteurs de la consommation et d'un parcours international remarquable. Il est idéalement positionné pour accélérer la dynamique du Club Med et écrire le prochain chapitre de cette aventure extraordinaire", déclare Xu Xiaoliang, codirecteur général de Fosun International, président de Fosun Tourism Group et président de Club Med Holding, cité dans le communiqué.

Formé à l'école d'ingénieur des Ponts et Chaussées, Stéphane Maquaire avait quitté début juillet son poste de directeur exécutif de Carrefour Brésil, après presque quatre ans à ce poste et six ans passés en Amérique latine, où il était auparavant président de Carrefour Argentine.

Il avait commencé sa carrière au cabinet de conseil Arthur Andersen, puis avait rejoint le géant de l'immobilier Unibail-Rodamco, avant de bifurquer chez Monoprix et ensuite de diriger le groupe français d'enseignes d'habillement Vivarte.

Puis il était devenu en 2017 directeur général de la chaîne de grands magasins Manor en Suisse, propriété de Maus Frères. Un poste qu'il a occupé pendant deux ans, au cours desquels il avait mené une lourde restucturation du distributeur bâlois.

"Je crois profondément en l'ancrage français de Club Med et bien sûr en ses valeurs", déclare le nouveau patron dans le communiqué, se disant "honoré d'avoir l'opportunité de conduire cette entreprise unique vers son prochain chapitre, dans la continuité de l'héritage remarquable d'Henri Giscard d'Estaing".

Après plusieurs mois de tensions avec Fosun, Henri Giscard d'Estaing, 68 ans, président du Club Med depuis décembre 2002, avait annoncé mercredi avoir été "révoqué de fait", mettant fin à 22 ans de présidence.

Deux nouveaux membres font également leur entrée au conseil d'administration du groupe: Philippe Heim, ex-haut dirigeant de la Société générale puis patron de La Banque postale, et Takuya Yamada, président d'Idera Capital, société qui gère deux Club Med au Japon.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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