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Suisse

Le CERN clôt sa coopération avec la Russie et la Biélorussie

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Comme leurs collègues bélarusses, les scientifiques d'instituts russes sont désormais exclus du CERN (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Comme annoncé, l'accord de coopération de l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN) avec la Russie et la Biélorussie prend fin ce samedi. Cette décision est une conséquence de l'incursion militaire russe en Ukraine.

En réaction à la tentative d'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, les 24 pays membres du CERN avaient décidé en décembre 2023 de mettre fin à la coopération avec la Russie et son allié bélarusse.

Cette mesure entre en vigueur le 30 novembre pour Moscou et est déjà en vigueur depuis le 27 juin pour Minsk. Les deux pays étaient liés au CERN par des accords de cinq ans, et l'organisation a décidé de les résilier à leur échéance.

Actuellement, moins de 350 scientifiques sont rattachés à un institut russe concerné par cette décision, et la plupart n'habitent pas à Genève, a indiqué le CERN à Keystone-ATS. Les relations avec des scientifiques russes rattachés au CERN dans le cadre d'autres accords avec des institutions non russes seront poursuivies.

Le manque de scientifiques issus d'instituts en Russie se fera sentir, a ajouté Arnaud Marsollier, porte-parole du CERN. Mais l'organisation sera en mesure de le compenser. La Russie n'a en effet jamais été un pays membre, mais a bénéficié d'un statut spécial en tant qu'Etat observateur. Elle n'a donc pas contribué au budget annuel et n'a pas non plus eu le droit de prendre des décisions.

Quant au nombre de scientifiques issus de Biélorussie, il a toujours été faible. Une quinzaine de chercheurs bélarusses ont ainsi été exclus à fin juin.

Avec environ 3000 collaborateurs et un budget annuel (2023) de 1,3 milliard de francs, le CERN est le plus grand centre de recherche au monde dans le domaine de la physique des particules. Quelque 17'000 scientifiques invités de 110 nations travaillent sur des expériences, la plupart toutefois dans des laboratoires d'autres instituts et dans d'autres pays.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Quelles sont les habitudes alimentaires des ados à midi ?

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Selon l'enquête de la FRC, 82% des ados achètent leur repas chez Migros, Coop, Aldi ou Lidl, avant de se rendre en boulangerie ou dans des Fast Food. (© FRC)

La Fédération Romande des consommateurs (FRC) a cherché à savoir quelles sont les habitudes alimentaires des jeunes à la pause de midi. L'enquête menée auprès de 78 jeunes scolarisés en Suisse Romande révèle que les choix des ados sont liés à plusieurs contraintes, comme le budget ou la distance entre l'établissement scolaire et le domicile.

Quelles sont les habitudes alimentaires des jeunes entre midi et deux ? C’est la question que s’est posée la Fédération Romande des consommateurs qui a réalisé une enquête auprès de 78 jeunes de 12 à 16 ans scolarisés dans les cantons de Vaud, Genève, Neuchâtel, Fribourg et Jura.

Le sondage révèle que la moitié des ados mangent à l’extérieur, plusieurs fois par semaines et surtout dans les supermarchés : 82% des ados achètent leur repas chez Migros, Coop, Aldi ou Lidl, avant de se rendre en boulangerie ou dans des Fast Food. Pourquoi les supermarchés ont-ils la cote auprès des jeunes ? La réponse de Rebecca Eggenberger responsable alimentation à la FRC.

Rebecca Eggenberger Responsable alimentation à la Fédération romande des consommateurs

A noter que le sandwich accompagné d’une boisson sucrée s’inscrit comme « menu » numéro 1 chez les ados. Suivi par la tranche de pizza le taco et le kebab.

Le sondage révèle aussi que la présence d’une cantine dans l’établissement scolaire et la distance entre l’école et le domicile influent directement sur leurs habitudes alimentaires, ainsi que la densité de l’offre à proximité des écoles. Autre contrainte : le budget. Deux tiers des adolescents reçoivent moins de 10 frs pour leur repas de midi et 80% d’entre-deux se tournent vers les supermarchés. Autre facteur qui influence leur choix : la dimension sociale, qui passe avant l’envie de varier les choix et la perception que la nourriture est moins bonne à la cantine qu’ailleurs.

Rebecca Eggenberger Responsable alimentation à la Fédération romande des consommateurs

L’enquête a également montré que les jeunes scolarisés dans les grandes villes comme Lausanne sont davantage exposés à la publicité des enseignes comme Mc Donald’s que ceux des plus petites localités. Contrairement à ceux qui vivent dans les petites localités, ceux qui vivent dans des plus grandes villes comme Lausanne ont davantage de choix mais sont davantage exposés à la malbouffe.

Rebecca Eggenberger Responsable alimentation à la Fédération romande des consommateurs

L'enquête de Rebecca Eggenberger et Sandra Imsand "Le midi des adolescents, entre mythes et réalités" est à retrouver sur le site de site de la FRC.

 

 

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Suisse

Des véhicules détruits par les flammes dans un parking à Thônex

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Le feu a provoqué un fort dégagement de fumée (cliché du Service d'incendie et de secours de Genève) (© Service d'incendie et de secours de Genève)

Un incendie dans un parking souterrain a détruit trois voitures et plusieurs scooters lundi soir à Thônex (GE). Deux personnes incommodées par la fumée ont été transportées en ambulance aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG).

Le feu, signalé à 20h54, a provoqué un fort dégagement de fumée, a indiqué Service d'incendie et de secours de Genève (SIS) dans un communiqué diffusé lundi en fin de soirée. Il a été maîtrisé vers 21h58, notamment grâce à l'intervention d'un robot d'extinction.

Au total, 19 personnes ont été examinées par les équipes médicales déployées sur place.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Le budget de la Ville de Genève a été voté

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La Ville de Genève, ici avec son maire Alfonso Gomez, a trouvé un budget pour 2026 (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le budget de la Ville de Genève est sous toit. Après 18 heures de débats entamés samedi, le Conseil municipal a adopté lundi soir un budget déficitaire de 69,9 millions de francs en réintroduisant les mécanismes salariaux.

Le gel de ces mécanismes avait suscité la colère des employés de la Ville et entraîné une grève jeudi dernier. Cette mesure décriée a toutefois été enterrée lundi soir et le budget a été voté par une majorité du législatif, composée des socialistes, des Vert-e-s, du groupe Ensemble à gauche-Union populaire et du MCG.

"Sur proposition du Conseil administratif, l'ensemble des mécanismes salariaux a été réintroduit, pour un montant de 5,9 millions et l'indexation a été réévaluée à 0,1%", annonce la Ville de Genève dans un communiqué.

Elle précise que la prime d'ancienneté pourra être convertie en jours de congé, sur base volontaire, générant une économie estimée à 1,2 million.

Eviter le pire

Une économie supplémentaire de 3,6 millions a été trouvée via une réévaluation des amortissements et des primes de l’assurance dommages liée aux bâtiments, ainsi qu'une réduction des charges de fonctionnement de l'administration.

"Les ajustements réalisés par le Conseil administratif et le Conseil municipal ont permis de trouver une majorité pour voter le budget", relève Alfonso Gomez, le maire de Genève, en charge des finances.

Cité dans un communiqué, il ajoute que "l'enjeu a consisté à éviter à tout prix de soumettre la Ville au régime des douzièmes provisionnels. Cette situation aurait aggravé lourdement le déficit, rendant plus difficile encore le retour à l'équilibre d’ici 2033."

Plusieurs moutures

Le Conseil administratif de la Ville de Genève avait proposé un premier projet de budget le 24 septembre, lequel prévoyait un déficit de 62,1 millions. Mi-octobre toutefois, les partis de droite et du centre avaient refusé l'entrée en matière et contraint l'exécutif à présenter un nouveau budget.

Un second projet avait été dévoilé le 12 novembre avec un déficit de 69,3 millions, intégrant la suspension des mécanismes salariaux.

Avec les ajustements trouvés et votés lundi soir, le budget 2026 présente finalement un déficit de 69,9 millions pour des charges de 1,4 milliard.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Personne ne décroche la bonne combinaison à l'Eurodreams

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Proposé en Suisse et dans sept autres pays européens, le jeu Eurodreams offre un gain principal sous forme d'une rente mensuelle de 22'222 francs pour une durée de 30 ans. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Eurodreams lundi soir. Pour gagner une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans, il fallait jouer les six numéros 3, 8, 12, 18, 19 et 27, ainsi que le numéro "dream" 3, a indiqué la Loterie romande.

Eurodreams est proposé dans huit pays européens. En Suisse, le jeu est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique. Le tirage est effectué les lundis et jeudis soir.

https://jeux.loro.ch/games/eurodreams

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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