Suisse
Les mises en circulation sont reparties en marche arrière en 2022
Le nombre de nouvelles immatriculations s'est contracté l'an dernier de près de 8%, annihilant le timide rétablissement de 2021, pour représenter 322'387 véhicules. Les voitures de tourisme constituaient les trois quarts de ce total.
Les difficultés d'approvisionnement des constructeurs liées à la guerre en Ukraine, grand pourvoyeur notamment de faisceaux de câbles, ont contribué à élargir à nouveau le fossé entre le niveau actuel et celui d'avant la pandémie. Le recul par rapport à 2019 dépassant désormais les 20%, selon le décompte publié mardi par l'Office fédéral de la statistique (OFS).
Au niveau des tendances, les motorisations purement électriques ont poursuivi leur essor en 2022, gagnant 4,4 points de pourcentage pour représenter désormais une part de marché de 17,7%. Les hybrides rechargeables en revanche ont égaré un gros point de pourcentage à 7,8%. Le total cumulé de 25,4% représente ainsi à peine plus de la moitié de la feuille de route dressée sous la houlette de la Confédération pour la promotion des véhicules rechargeables à l'horizon 2025.
Nonobstant un nouveau recul à 37,6%, les voitures à essence représentent toujours la plus grande catégorie de motorisation, devant les hybrides non rechargeables (25,3%). Les combustions diesel ont fondu de près de deux points de pourcentage à 11,6%.
Si les utilitaires de plus de 3,5 tonnes n'ont reculé que de 2,4%, leurs homologues plus légers ont dévissé de près de 15%.
Le constat est identique pour les deux-roues motorisés, en recul de 13,6% à 48'799 motocycles. Les statisticiens fédéraux rappellent toutefois que l'exercice 2021 avait pour cette catégorie particulière représenté une exception.
Fin décembre, près de 6,4 millions de véhicules routiers motorisés étaient immatriculés en Suisse.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
La cagnotte de 47,92 millions est tombée à l’Euro Millions
Une personne a trouvé la combinaison gagnante du tirage de l’Euro Millions de mardi. Elle remporte au total 47,92 millions de francs. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 2, 8, 17, 28 et 35 et les étoiles 7 et 9.
Lors du prochain tirage vendredi, 17 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande. Cette loterie transnationale est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse et le Liechtenstein.
https://jeux.loro.ch/games/euromillions
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Huit montres de Michael Schumacher vendues aux enchères
La maison de vente aux enchères Christie's a mis en vente à Genève huit montres de luxe ayant appartenu au pilote allemand de Formule 1 Michael Schumacher. La mieux vendue a été cédée à 1,2 million de francs, auxquels il faut ajouter 20 à 26% pour la maison de vente.
C'est une relativement bonne affaire; la montre a changé de mains à l'extrémité inférieure du prix estimé, a indiqué la maison Christie's. Fabriqué par la manufacture F. P. Journe, il s'agissait d'un cadeau de Noël de Jean Todt, chef de l'équipe Ferrari à l'époque.
Au total, les huit montres de la légende de la Formule 1 ont été vendues pour un peu moins de 4 millions de francs, précise Christie's. Aucune information n'a été communiquée sur les acheteurs.
Parmi les joyaux mis aux enchères figurait une pièce spécialement fabriquée pour M. Schumacher, avec un cadran de la couleur rouge de Ferrari et les symboles des sept titres de champion du monde remportés par le pilote allemand au cours de sa carrière.
La vente aux enchères proposait au total 164 pièces, qui ont été adjugées pour environ 22,8 millions de francs. La vente aurait dû avoir lieu dès lundi, mais elle a été reportée en raison d'une panne informatique qui a affecté le site web, empêchant les clients d'enchérir en ligne chez Christie's.
Michael Schumacher vit avec sa famille à Gland (VD), au bord du lac Léman. Il n'est plus apparu en public depuis un grave accident de ski en 2013. La famille ne donne aucune indication sur son état de santé. M. Schumacher était un collectionneur passionné de montres.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / dpa
Lausanne
Molteni ne jouera plus en équipe de Suisse
Westher Molteni met fin à sa carrière internationale en 3x3, a-t-il annoncé mardi soir sur son compte Facebook.
Le Tessinois, pionnier de la discipline en Suisse, ne fait pas partie du quatuor retenu par Swiss Basketball pour le Tournoi de Qualification Olympique qui débute jeudi à Debrecen.
"Qu'aurais-je pu faire de plus? RIEN", écrit Westher Molteni dans une lettre ouverte publiée sur sa page Facebook. Le Tessinois de 37 ans se dit notamment déçu de ne pas connaître les raisons de sa non-sélection pour ce TQO, qui représente la dernière opportunité pour la Suisse de décrocher un ticket pour les Jeux de Paris.
"Quand je pense aux sacrifices que j'ai faits pour atteindre cet objectif de portée nationale, avoir refusé des contrats en basket à cinq car la saison de 3x3 dure dix mois, ne voir mes enfants que cinq jours durant l'été parce que nous devions rapporter des points à la Suisse pour pouvoir participer à un TQO, créer et promouvoir des tournois en Suisse et à l'étranger, ce n'est pas juste d'avoir été traité de la sorte", écrit-il.
Westher Molteni ne blâme ni les joueurs, ni le personnel de la Fédération. Il critique "le mécanisme mis en place dans notre pays, qui permet aux joueurs de décider si et quand ils veulent se sacrifier pour un but commun (...) et si et quand ils veulent s'entraîner dans l'optique des Jeux olympiques", souligne-t-il, regrettant que le mérite n'ait pas suffisamment d'importance dans le processus de sélection.
Cette décision est définitive, souligne le Tessinois. Il ne changera pas d'avis, même si la Suisse devait obtenir dimanche prochain le droit de participer au tournoi olympique de 3x3. Mais "je crois sincèrement que la Suisse a une vraie opportunité d'obtenir l'un des trois derniers tickets pour les Jeux, et j'ai bon espoir qu'elle y parvienne", écrit-il encore.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Vetropack à Saint-Prex fermera bel et bien ses portes
En dépit des propositions mises sur la table par les représentants du personnel, le site Vetropack de St-Prex, n'était plus rentable, ont soutenu ses responsables lors d'une conférence de presse mardi.
"Nous avons eu de nombreux entretiens avec les personnes concernées, ainsi que les pouvoirs politiques, tout cela afin de nous faire une idée aussi claire que possible pour voir si l'usine pouvait continuer à fonctionner. Toutefois, même après un examen approfondi et détaillé nous ne voyons plus de possibilité de continuer l'exploitation de manière rentable, et nous avons décidé de l'arrêter d'ici fin août", a déclaré le directeur général de Vetropack Johann Reiter, devant les médias réunis à St-Prex.
Le CEO a précisé que 182 emplois seraient supprimés par étapes, dont 50% d'ici fin août. "Les premiers licenciements auront lieu ces prochains jours", a-t-il précisé. Seuls garderont leur poste, une douzaine d'employés, environ, du secteur du recyclage.
Selon le responsable, le souhait des employés d'adopter une technologie de fusion de verre par oxy-combustion connectée à un générateur d'oxygène, n'était pas rentable, requérant à elle seule un investissement de 60 millions de francs.
La décision de Vetropack déçoit et même étonne le syndicat Unia, dont une délégation du personnel était présente lors de la conférence de presse.
Unia s'est aussi dite "offensée par le manque de respect avec lequel les employés avaient été traités". "Ceux-ci ont appris par la presse ce matin, ce qu'il allait advenir du site, alors qu'il avait été convenu que les travailleurs seraient informés en premier", a dénoncé la syndicaliste d'Unia, Nicole Vassalli.
"En outre, durant les négociations nous n'avons ni pu rencontrer le CEO du groupe, ni le président du Conseil d'administration Claude Cornaz", a-t-elle souligné.
M. Reiter a regretté le manque de communication avec le comité du personnel. "Nous sommes cotés en bourse, nous avons donc dû informer les médias vers 08h00. Auparavant, la responsable des ressources humaines a essayé de joindre le représentant du comité du personnel", a-t-il justifié.
Le canton de Vaud déplore cette fermeture
"C'est dur et amer. Nous regrettons vraiment les suppressions et cela n'a rien à voir avec les performances des travailleurs. Nous voulons leur offrir le plus de soutien possible. Un plan social prévoyant des mesures d'assistance sera mis en place prochainement", a assuré le CEO de Vetropack.
La situation est extrêmement regrettable pour le Conseil d’Etat vaudois, qui avait lancé une task-force pour sauver la verrerie de St-Prex.
Le Canton a annoncé que ces préoccupations seront abordées lors d'une rencontre sous forme de table ronde avec des entrepreneurs et représentants de l’industrie vaudoise organisée par le Service de la promotion de l'économie et de l'innovation (SPEI) dans les jours à venir.
Lena Vulliamy avec Keystone ats / awp
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