Suisse
Logitech vise jusqu'à 4,7 milliards de recettes d'ici 2025/26
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Logitech confirme ses objectifs pour l'exercice en cours. Le fabricant valdo-californien de périphériques informatiques vise des revenus entre 4,53 et 4,71 milliards de dollars (4,04 et 4,20 milliards de francs) pour 2025/26.
Cela représenterait une évolution entre -1% et +3% des recettes sur un an et une croissance à taux de change constants entre 1% et 5%, indique le groupe dans un communiqué, en préambule de sa journée des investisseurs. Le résultat opérationnel (non Gaap) est attendu entre 720 et 780 millions de dollars.
A long terme, Logitech ambitionne d'atteindre une croissance entre 7 et 10%, pour une marge brute (non Gaap) d'au moins 40% et une marge opérationnelle (non Gaap) dans une fourchette de 15-18%.
La feuille de route pour l'exercice 2024/25 est reconduite. Elle implique des revenus entre 4,54 et 4,57 milliards de dollars (progression de 1-5% en rythme annuel ou +6,2 à +7,1% à taux de change constants). Le résultat opérationnel non-Gaap est toujours escompté entre 755 et 770 millions.
La société veut par ailleurs racheter pour 2 milliards de dollars d'actions dans les trois prochaines années.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
L'argent monte, en proie à une forte volatilité
L'once d'argent repart à la hausse mardi, le marché restant préoccupé par une réduction des exportations de ce métal par la Chine, après avoir subi sa plus forte chute de l'année lundi.
Vers 10H25 GMT (11H25 HEC) l'once d'argent gagnait 3,23% à 74,47 dollars.
La veille, la séance avait été mouvementée pour le métal argenté qui a atteint son record à 84,0075 dollars l'once avant de chuter fortement dans la journée, plombé par une correction brutale de marché.
Les mouvements de marché sont renforcés par la période des fêtes de fin d'année, propice à une volatilité plus élevée, "compte tenu de la liquidité moindre" sur le marché, expliquent les analystes de Société Générale.
De plus, le marché se focalise sur l'imposition imminente de restrictions à l'exportation d'argent par la Chine, selon ces analystes, qui précisent que celles-ci passeront au 1er janvier "à un système de licences strictement contrôlé".
Or, "la Chine fournit entre 60 et 70% de l'argent raffiné au niveau mondial; cette mesure sévère devrait donc resserrer fortement l'offre de métal raffiné, réduisant potentiellement les exportations d'argent de la Chine jusqu'à 30%" estiment-ils.
Le cours est également porté structurellement par la demande industrielle croissante d'argent pour le photovoltaïque, les véhicules électriques et les centres de données utilisés par le secteur de l'intelligence artificielle.
Mais la très forte progression du cours en 2025, qui a grimpé de plus de 150%, fait craindre à certains analystes la possibilité de ventes importantes du métal, notamment d'argenterie, pouvant faire chuter les cours.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Suisse
Les ventes de Noël attendues en hausse cette année
Les commerçants suisses ont profité d'une période des fêtes de fin d'année positive, certains enregistrant une solide croissance des ventes malgré la prudence affichée des consommateurs.
Pour les grands magasins Manor, les ventes de Noël ont légèrement dépassé celles de l'année précédente, a indiqué une porte-parole à l'agence AWP, sans dévoiler de chiffres. L'enseigne de vêtements PKZ a quant à elle fait état d'un chiffre d'affaires en hausse de 5% sur un an, notamment grâce à la solide activité des magasins zurichois.
Dans la grande distribution, Migros a évoqué des ventes "particulièrement réussies" lors de Noël et son concurrent Coop a parlé d'"une évolution continuellement positive" lors de cette période, sans également dévoiler de détails financiers.
La Poste a quant à elle distribué 23 millions de colis entre le Black Friday, fin novembre et Noël, un volume supérieur de 3,1% à la même période de l'année précédente. Le pic d'activité a été enregistré le 2 décembre. Ce jour-là, les employés du géant jaune ont traité 1,3 million de paquets, un chiffre jamais atteint auparavant en une seule journée.
Les perspectives sont cependant plus moroses. Selon l'institut d'études de marché management tools research, un bon tiers de la population en Suisse souhaite réduire son budget ménage et dépenser moins dans quasi tous les domaines de la vie courante, et cela particulièrement en Suisse romande et au Tessin.
A l'aube de 2026, la moitié de la population s'inquiète ainsi pour son budget. Ainsi, 30% des personnes interrogées ont déjà procédé à des ajustements budgétaires pour joindre les deux bouts, alors que 17% trouvent que la période est difficile et 4% parlent même de crise. Le reste de la population se montre davantage optimiste: 42% des sondés estiment que leur situation économique est bonne, et 6% très bonne.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Lausanne
Plus de 250 rats de l'EPFL sont partis à l'adoption depuis 2022
L'EPFL se montre satisfaite du programme d'adoption de rats de laboratoire par des particuliers qu'elle mène avec la Protection suisse des animaux (PSA). Pas moins de 254 rongeurs ont ainsi pu quitter ses murs pour trouver un foyer depuis le début du projet en avril 2022.
"Pour nous, le bilan est favorable. Les chercheurs sont contents de pouvoir donner ces animaux à l'adoption plutôt que de devoir les euthanasier", relève Alexandre Widmer, responsable du projet "rehoming" (ou réinsertion) de l'EPFL à Keystone-ATS. "On arrive à donner tous les rats éligibles. Bien que cela reste un petit nombre, c'est positif", a-t-il ajouté.
En 2024, 644 rats de laboratoire ont été utilisés par l'EPFL. Parmi ceux-ci, 45 ont pu être adoptés, tandis que 599 ont pris part à des expériences. Ces derniers seront tous euthanasiés à terme. "Il faut comprendre que l'euthanasie de l'animal pour prélever des tissus fait partie intégrante de l'expérience", explique Alexandre Widmer.
Limitations
Même sans ce paramètre, les rats ayant pris part à des expériences scientifiques ne pourraient pas être donnés à l'adoption. Les autorités cantonales imposent en effet que seuls les rats non génétiquement modifiés et n'ayant pas subi d'expérimentation puissent être placés dans un foyer.
Les rats concernés par l'adoption sont donc pour la majorité des femelles qui ont donné naissance à des petits, destinés à l'expérimentation. En effet, les rats auxquels l'EPFL a recours proviennent soit de ses propres élevages, soit d'élevages professionnels à l'étranger, pour la plupart en France, en Allemagne et en Italie.
Dans le cas de commande à l'étranger, l'institution reçoit généralement des femelles portantes, âgées de 5 à 10 mois. Quelque temps après avoir mis bas, elles pourront partir à l'adoption, pour autant que l'élevage d'où elles proviennent ait donné son accord.
"Avant, on n'aurait pas eu d'autre choix pour elles que l'euthanasie. Mais maintenant, on les garde quelque temps chez nous, jusqu'à ce qu'on en ait assez pour faire un don à la PSA", poursuit Alexandre Widmer. Lors du dernier don du 18 décembre, 12 rats ont été remis à la PSA.
Phase de réadaptation
Après avoir réceptionné les rongeurs dans des caisses de transport à l'EPFL, la PSA les transfère directement à l'une de ses sections. "Il s'agit généralement du club des amis des rats", précise la PSA à Keystone-ATS. "C'est ensuite à cette section qu'il revient d'habituer l'animal à la vie en dehors du laboratoire et de le placer chez des particuliers", ajoute-t-elle.
Les rats restent une trentaine de jours au refuge avant de pouvoir être adoptés. "Ils doivent s'adapter à vivre dans des cages plus grandes et à une nourriture moins standardisée, comportant notamment des légumes et des graines", relève Alexandre Widmer. L'EPFL prend en charge la moitié des coûts de réadaptation et la PSA l'autre moitié.
"En général nous avons des retours positifs des refuges, car ces rats sont souvent plus dociles et plus habitués à être manipulés que d'autres", se réjouit Alexandre Widmer. Ni l'EPFL, ni la PSA ne disposent de chiffres précis ou de données sur les profils des adoptants.
Rats, lapins et même cheval
Le projet de rehoming a démarré à la fin 2018, grâce au dialogue entre la PSA et l'Université de Zurich. A l'origine, il concernait exclusivement les rats, indique la PSA sur son site internet. L'EPFL a suivi en 2022, puis les universités de Bâle et Berne en 2023. Jusqu'en août 2025, "plus de 1000 animaux ont été accueillis et placés avec succès, dont plus de 750 rats, 260 souris, 22 lapins, 26 chiens et un cheval", peut-on y lire.
"Si tout se passe bien, l'Université de Genève devrait également participer au projet de rehoming en 2026", a encore précisé la PSA.
A noter que si un nombre croissant d'universités participent au projet, le nombre de rats utilisés dans des expériences a tendance à diminuer. A l'EPFL en tout cas, leur nombre est passé de 1306 en 2022, à 734 en 2023 et à 644 en 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Un nouveau procureur général à Fribourg dès le 1er janvier
L'année 2026 marquera dans le canton de Fribourg l'entrée en fonction d'un nouveau procureur général du Ministère public. Elu en mai, Raphaël Bourquin, 54 ans, succédera dès ce jeudi à Fabien Gasser, 51 ans, titulaire du poste depuis quinze ans, la durée maximale.
Les députés avaient dû trancher à l'époque entre deux candidats internes au Ministère public fribourgeois affiliés au Centre. Raphaël Bourquin, procureur général-adjoint depuis 2016, l'avait emporté avec 65 voix, contre 42 voix à son concurrent Marc Bugnon, procureur, âgé pour sa part de 60 ans.
Arrivant au terme de trois mandats de cinq ans, Fabien Gasser ne pouvait plus se représenter. En quittant son poste, il a déploré dans une interview parue dans La Liberté le problème posé par la sous-dotation des effectifs du pouvoir judiciaire à Fribourg.
Fabien Gasser prendra sa nouvelle fonction de procureur général suppléant de la Confédération le 1er février. Le futur ancien procureur général "espère sincèrement" pouvoir y apporter quelque chose au niveau de la poursuite pénale en Suisse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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