Suisse
Marlen Reusser confie ses craintes et sa souffrance
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Marlen Reusser, dont la dernière course remonte au 19 mai, ne cache pas ses émotions et ses craintes dans le documentaire que SRF lui a consacré mardi soir.
La Bernoise, atteinte dans sa santé, ne sait pas quand elle pourra reprendre la compétition ni si elle pourra à nouveau viser la victoire. "Ca me fout en l'air", confie-t-elle.
Le grand rêve d'un sacre olympique à Paris ou d'un triomphe aux Mondiaux à domicile à Zurich s'est envolé pour la coureuse de 32 ans. En 2024, elle voulait être "la meilleure version d'elle-même". Mais des infections des voies respiratoires et une grave chute fin mars au Tour des Flandres ont conduit au scenario du pire.
Lors de cette chute, la vice-championne olympique 2021 s'est fracturé la mâchoire, les deux conduits auditifs et huit dents. Mais ces blessures ont été surmontées étonnamment rapidement, et elle a pu renouer avec la compétition en mai. Avec à la clé des performances remarquables en Espagne.
Les ennuis et les abandons se sont toutefois enchaînés ensuite. En juin, elle a dû renoncer au Tour de Suisse, dont elle avait gagné l'édition 2023. Pendant quatre semaines, elle a souffert de températures élevées et n'a pas pu s'entraîner sur son vélo. Et elle a finalement déclaré forfait pour les Jeux olympiques puis pour les Championnats du monde à Zurich.
Syndrome post-covidien
Marlen Reusser souffre d'un syndrome post-covidien, et doit déjà lutter contre des symptômes accrus et de la fièvre lors d'efforts relativement faibles. Il n'est donc toujours pas question pour elle de s'entraîner de manière performante.
Il y a des phases "où je vais tellement mal que je ne peux rien faire" et d'autres "où j'étais dans un état semi-comateux dans mon lit et j'étais dans un entre-deux dans ma tête", explique une Reusser visiblement en proie à ses émotions dans le documentaire de la SRF "Über Gold, Pech und Leidenschaft".
Parfois, la Bernoise ressent aussi de l'énergie et parvient à faire des projets. "Mais dès que je veux les réaliser, ça me fout en l'air". Elle est "en ce moment chroniquement malade", avoue-t-elle.
La santé, la seule préoccupation
"J'ai besoin de beaucoup de patience. Il y a des gens qui ne se rétablissent pas", souligne Reusser, qui estime avoir été trop arrogante de penser que cela s'arrangerait tranquillement pour elle. "Maintenant, j'ai beaucoup plus d'humilité. Je ne peux pas être sûre de me rétablir. C'est une perspective particulière, dans laquelle je ne veux pas m'engager trop fermement."
A la fin du documentaire de SRF, Marlen Reusser déclare avoir "la saison prochaine en tête, mais pas dans les mains. J'ai appris cela entre-temps. Ce n'est pas moi qui décide, mais on décide pour moi". Les championnats du monde, les Jeux olympiques, presque toute la saison, "j'ai dû tout laisser tomber. Je n'ai pu ni m'entraîner ni faire quoi que ce soit d'autre. L'accent est maintenant beaucoup plus clairement mis sur ma santé et sur ma remise en forme."
Marlen Reusser ne sait pas quand elle pourra aborder les prochaines étapes de son retour, si ce sera une question de semaines ou de mois. Pour la triple championne d'Europe et médaillée mondiale du contre-la-montre, il y a d'ailleurs encore d'autres choses à régler, notamment la question de son employeur. Son contrat avec l'équipe SD Worx, qu'elle a rejointe en 2022, expire à la fin de cette année. Mais c'est pour l'heure le cadet de ses soucis.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
La Ville de Vevey ouvre un hébergement d'urgence temporaire
En raison de l'absence actuelle d'hébergement d'urgence dans l'Est vaudois, et en attendant la mise en oeuvre d'une solution pérenne, la Ville de Vevey met en place une structure d'accueil temporaire dans l'abri civil du Panorama. Quatre dortoirs offrant 24 lits, une salle commune, des douches et des WC seront ouverts aux personnes sans-abri dès lundi.
La région est dépourvue d'hébergement d'urgence pour les personnes sans-abri depuis mai 2025. Une task force composée de représentants de la Ville de Vevey, de la Direction générale vaudoise de la cohésion sociale (DGCS) et de Caritas Vaud s'est constituée pour trouver des locaux adaptés et exploitables sur le long terme.
En parallèle de la recherche d'une solution durable, le Service de la cohésion sociale veveysan a saisi l'opportunité offerte par la reprise de la construction de sécurité du Panorama en mains communales afin de permettre à celles et ceux qui en ont besoin de passer la nuit dans un lieu chauffé et sécurisé, explique vendredi la ville dans un communiqué.
De 21h00 à 08h30
Baptisé "Le Lien - Vevey", en référence à sa mission de trait d'union entre les personnes sans-abri de l'Est vaudois et les actrices et acteurs spécialisés du réseau social, cet abri sera ouvert tous les jours de 21h00 à 08h30.
Ce dispositif transitoire continuera sa mission d'accueil jusqu'à ce qu'une solution pérenne soit mise sur pied. Celle-ci reste une priorité pour la Municipalité et la task force cantonale, est-il souligné.
Le Service veveysan de la cohésion sociale s'appuie sur un partenaire privé pour la gestion de cette structure provisoire. Dans un premier temps, les frais de mise à disposition des locaux et de l'exploitation sont assumés par la Ville de Vevey, avec le soutien du Canton de Vaud, explique encore le communiqué.
Pour rappel, le centre d'hébergement d'urgence de Caritas Vaud à Vevey, "Le Hublot", avait fermé ses portes en mai dernier pour une durée indéterminée. Ouvert en 2009, il avait permis d'offrir chaque année plusieurs milliers de nuitées à des personnes sans-abri.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
L'ex-président irakien Barham Saleh nommé à la tête du HCR
L'ex-président irakien Barham Saleh, une personnalité kurde, a été nommé à la tête du HCR, l'agence de l'ONU pour les réfugiés, a indiqué vendredi à l'AFP une source onusienne, souhaitant garder l'anonymat.
Il va succéder en janvier à l'Italien Filippo Grandi. Le HCR, comme beaucoup d'autres organisations, fait face à des coupes dans l'aide internationale, et a été contraint de supprimer plus d'un quart de ses effectifs depuis le début de l'année, soit près de 5000 collaborateurs.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Hausse des frais et disponibilité en baisse après la fusion CS-UBS
La fusion entre les deux plus grandes banques du pays Credit Suisse et UBS a érodé la compétitivité dans certains segments de marché. Le Conseil fédéral ne constate pourtant "aucun effet négatif généralisé sur la concurrence", selon un rapport publié vendredi.
Une étude de BAK Economics réalisée sur mandat du Secrétariat à l'économie (Seco) montre que la fusion UBS-CS a érodé la compétitivité dans certains domaines, précise le document. La fusion s'est en effet traduite par une diminution de la concurrence dans les crédits aux entreprises d'un montant important, les financements syndiqués structurés, les émissions d'emprunts en francs suisses et la conservation globale de titres.
"Aucun effet négatif généralisé n'a pu cependant être constaté sur les prix, les marges ou les positions de négociation; plus précisément, les effets observés ne peuvent être mis sur le compte de la fusion de manière univoque", écrit le Conseil fédéral.
Le gouvernement estime toutefois nécessaire d'adapter les procédures de contrôle des concentrations. Cela vaut en premier lieu pour la procédure applicable lorsque l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) se substitue à la Commission de la concurrence (Comco) dans le cadre de fusions bancaires. Le Conseil fédéral examinera dans quelle mesure la coopération entre les deux organes de surveillance peut être améliorée dans le cadre de l'entraide administrative.
Le Conseil fédéral juge inopportune l'introduction de l'instrument de l'enquête sectorielle dans le droit suisse de la concurrence, dont l'examen a été expressément souhaité par le Conseil national. Cela augmenterait la charge administrative et l'insécurité juridique pour les entreprises.
Le rapport publié vendredi fait suite au postulat 23.3444 "Fusion UBS-CS. Évaluation de l'importance du point de vue du droit de la concurrence et de l'économie nationale" déposé le 4 avril 2023.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Les sapins de Noël coûteront un peu plus cher cette année
Les consommateurs suisses devront débourser davantage pour acheter un sapin de Noël cultivé en territoire helvétique. Le salut ne viendra pas des sapins étrangers, dont la hausse des prix devrait être plus soutenue encore.
Pour la première fois depuis plus de dix ans, le prix des sapins de Noël suisses augmente légèrement. La hausse devrait toutefois être "modérée", a assuré Philipp Gut, directeur de l'association IG Suisse Christbaum, auprès de l'agence AWP. Cette hausse doit être contenue entre 1 et 2% et au pire ne pas dépasser 5%.
Une augmentation plus vive est attendue pour les conifères produits à l'étranger, par exemple au Danemark qui a connu des gelées et où la surproduction s'est normalisée. L'offre sera donc limitée et les prix devraient grimper en conséquence. L'inflation plus importante dans l'Union européenne qu'en Suisse devrait aussi peser.
Du côté de la grande distribution, Coop s'attend à des prix stables pour les petits spécimens mais à un renchérissement des grands modèles, en raison des coûts de transport et de logistique plus élevés. Chez Migros, les prix varient selon les régions.
Sur internet pas plus de 150 cm
Le géant orange assure s'approvisionner à 90% en Suisse, quand son concurrent bâlois indique ne proposer que des résineux estampillés à la croix blanche. Sa filiale Jumbo se fournit à 85% dans le pays. Aldi propose des sapins Nordmann cultivés dans l'Union européenne.
Commerçants et faîtière évoquent une demande stable pour les arbres de Noël. L'attrait pour des résineux d'origine suisse devrait donc se poursuivre.
Le commerce en ligne des sapins de Noël joue quant à lui encore un rôle mineur dans les ventes de fin d'année. Les producteurs traditionnels sont encore peu présents sur ce segment, a constaté Philipp Gut. Les clients sont en effet attachés à pouvoir voir et toucher le produit avant de l'acquérir. Et l'achat fait encore partie des réjouissances de l'Avent.
Aldi, Migros et Coop ne proposent que des conifères en magasin. Seule Jumbo, filiale de Coop, permet de commander des arbres de 150 centimètres de haut. Landi, aux mains de Fenaco, propose des événements festifs autour de la vente de sapins.
cg/ls/sc/ck/rr
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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