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Économie

Partners Group devient le plus gros actionnaire de Breitling

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Le gestionnaire d'actifs Partners Group augmente vendredi sa participation au nom de ses clients dans l'horloger Breitling. (archives) (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Le gestionnaire d'actifs Partners Group augmente vendredi sa participation au nom de ses clients dans l'horloger Breitling. Son cofondateur, Alfred Gantner, deviendra le président du conseil d'administration de l'entreprise soleuroise.

La transaction fera de la société zougoise le plus gros actionnaire de la marque de garde-temps fondée en 1884. Le fonds de capital-investissement CVC, qui détient la majorité des parts actuellement, restera investi aux côtés de Partners Group. Breitling continuera d'être dirigée par son directeur général Georges Kern et l'équipe en place.

Ni l'ampleur ni le montant de la participation n'est précisé dans le communiqué paru vendredi.

Alfred Gantner, cité dans le document, souligne qu'après "une transformation fondamentale ces cinq dernières années", Breitling "est en mesure de développer son activité et de devenir l'un des leaders mondiaux de l'industrie horlogère".

Le directeur général de la marque, Georges Kern, se dit lui "ravi que Breitling reste une entreprise privée et indépendante". Selon lui, l'entreprise est bien positionnée, étant "un partenaire privilégié des détaillants dans le monde". "Nous cherchons la continuité et la stabilité dans ces partenariats établis". L'horloger de luxe renforce sa présence "sur les marchés clés en croissance" et élargit sa collection pour attirer "une base de clients diversifiée".

En 2021, le zougois avait déjà acquis "une part minoritaire significative" de la firme indépendante basée à Granges. Le journal Le Temps rapportait à l'époque les calculs de la Handelszeitung, soit un investissement de 712 millions de francs pour une part estimée à 25% selon Bloomberg.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Les exportations suisses encore plombées par les taxes douanières

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Les produits chimiques et pharmaceutiques ont affiché en mai une baisse des envois à l'étranger de 18,5% à 11,07 milliards de francs (archives). (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le commerce extérieur de la Suisse continue de subir de plein fouet les effets des droits de douane décrétés par Washington sur les marchandises helvétiques. Les exportations ont une nouvelle fois lourdement chuté en mai, en particulier dans la chimie et la pharma.

Malgré l'évolution contrastée des importations et des exportations, la balance commerciale a bouclé le mois sous revue sur excédent de 1,98 milliard de francs, un montant toutefois en net repli au regard des 5,43 milliards affichés en avril et au plus bas depuis décembre 2023, ressort-il des chiffres dévoilés jeudi par l'Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières (OFDF). Les exportations ont chuté de 13,6% en termes nominaux (-10,2% en termes réels) au regard du mois précédent à 21 milliards, alors que les importations ont progressé de 0,8% (+0,5%) à 19,02 milliards.

En avril, les livraisons vers l'étranger avaient déjà plongé de 9,2%. Le repli observé en mai a touché une large palette de produits, neuf groupes de marchandises sur onze subissant des reculs. A l'image du mois d'avril, les produits chimiques et pharmaceutiques ont représenté le principal instigateur de la baisse.

Après un 1er trimestre dynamique, leurs envois ont dégringolé de près de deux cinquièmes (-18,5%) à 11,07 milliards. Les exportations de l'industrie horlogère ont aussi essuyé un lourd revers (-21,1%) à 2 milliards, tout comme celles du secteur des instruments de précision (-10,5%) à 1,35 milliard.

Deuxième branche exportatrice de la Suisse derrière la pharmacie et chimie, l'industrie des machines et de l'électronique a quant à elle vu ses envois continuer de stagner à 2,69 milliards de francs. Ceux de la bijouterie et de la joaillerie ont en revanche décollé de 16,9% à 1,14 milliard.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

UBS demeure vulnérable, malgré des fonds propres suffisants

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La BNS soutient les mesures proposées par le Conseil fédéral dans le cadre de la réglementation too big to fail, qui touche UBS (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Plus de deux ans après la reprise en urgence de Credit Suisse, UBS remplit les exigences en matière de fonds propres pour les banques systémiques, mais demeure cependant vulnérable à d'éventuelles dépréciations sur ses participations, avertit jeudi la BNS.

Dans le cadre réglementaire actuel, les ratios de fonds propres de la maison mère UBS surévaluent la résilience réelle de cette dernière, met en garde la Banque nationale suisse (BNS) dans son rapport de stabilité financière.

Il s'agit d'une lacune, affirme l'institut d'émission, qu'il est "important de combler" en mettant en oeuvre les mesures supplémentaires présentées la semaine dernière par le Conseil fédéral.

Le potentiel de pertes d'UBS demeure "substantiel" d'après les différents scénarios de crise échafaudés par la BNS.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Cité Gestion recrute John Plassard comme associé

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La banque privée genevoise Cité Gestion a recruté John Plassard, le spécialiste en placements de Mirabaud Banque (illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La banque privée genevoise Cité Gestion a recruté John Plassard, le spécialiste en placements de Mirabaud Banque. L'expert des marchés financiers prendra ses nouvelles fonctions d'associé de l'établissement le 14 juillet.

John Plassard sera responsable de l'allocation stratégique auprès de Cité Gestion, dont le rachat a été annoncé mi-février par son homologue zurichoise EFG International. "Je souhaitais relever un nouveau challenge après avoir travaillé pendant treize ans pour Mirabaud Banque, et le courant est bien passé avec le directeur général de Cité Gestion, Guy Barbey", a indiqué John Plassard.

EFG International avait annoncé mi-février l'acquisition de Cité Gestion, l'opération devant être bouclée au deuxième semestre. Cette transaction doit permettre à la banque genevoise "d'accélérer sa croissance", a souligné M. Plassard, qui a précédemment oeuvré pour le français Exane et Louis Capital Market (LCM) avant de rejoindre Mirabaud Banque.

Fondée en 2009, Cité Gestion compte 9,5 milliards de francs sous gestion et supervision ainsi que 150 salariés. Implantée à Genève, Lausanne et Zurich, elle se dédie "exclusivement à la gestion de patrimoines privés pour des clients suisses et internationaux", explique-t-elle sur son portail Internet.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Pas de baisse des taux d'intérêt de la Fed en vue

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Le statu quo attendu de la Fed devrait alimenter la frustration du président américain Donald Trump, qui réclame une forte détente des taux directeurs. (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

La Réserve fédérale (Fed) américaine devrait laisser ses taux directeurs inchangés pour la quatrième fois de suite mercredi, en adepte de l'immobilité prudente face au terrain glissant des droits de douane et des crises géopolitiques.

Le comité de politique monétaire de la banque centrale des Etats-Unis (FOMC) rendra sa décision à 14H00 (18H00 GMT) et son président, Jerome Powell, tiendra 30 minutes plus tard sa traditionnelle conférence de presse.

Le FOMC "a entamé sa réunion à 09H00, comme prévu", pour sa deuxième journée, a déclaré mercredi un porte-parole de l'institution financière.

Il s'agit de la quatrième réunion de la Fed depuis le retour au pouvoir de Donald Trump en janvier.

Les trois précédentes se sont conclues par un statu quo sur les taux, situés depuis décembre entre 4,25% et 4,50%.

La même issue est attendue mercredi.

Cela devrait alimenter la frustration du président américain, qui réclame sur tous les tons une forte détente des taux directeurs afin de réduire les coûts d'emprunt des particuliers et des entreprises.

Le président Trump affirme que l'inflation est "sous contrôle" et qu'il faudrait baisser les taux "carrément d'un point" de pourcentage.

Les banques centrales bougent généralement plus lentement leurs taux, d'un quart de point à la fois.

Surtout, les responsables de la Fed ont montré qu'ils tenaient à rester crédibles en matière de lutte contre l'inflation, et que le principal risque était pour l'heure celui d'un déraillement des prix du fait des nouveaux droits de douane.

Depuis son retour à la Maison-Blanche, M. Trump a imposé au moins 10% de surtaxe sur la plupart des produits importés aux Etats-Unis et menace d'aller plus loin.

"Trump a en quelque sorte raison quand il dit qu'il n'y a pas d'impact sur les prix à la consommation", a déclaré à l'AFP Dan North, économiste chez Allianz Trade North America. Mais, enchaîne-t-il, "c'est parce que cela prend quelques mois" avant que les vagues des droits de douane percutent les consommateurs.

"A moins que ces droits de douane ne soient retirés demain (...) l'inflation va repartir, ce que la Fed veut à tout prix éviter", selon M. North.

Prévisions actualisées

"En plus, l'économie américaine ne supplie pas la Fed de réduire les taux. Les consommateurs continuent à dépenser, le marché du travail crée encore des emplois, même s'il ralentit un peu", souligne M. North, qui s'attend au mieux à une baisse de taux lors de la dernière réunion de l'année, en décembre.

En l'absence de suspense quant à la décision de mercredi, "tout le monde regardera si une majorité (des responsables de la Fed) est toujours en faveur d'au moins une baisse cette année", pointe la banque BBVA dans une note.

Ceux-ci envisageaient jusqu'alors deux baisses de taux en 2025.

Les investisseurs guetteront aussi l'actualisation des prévisions de la Réserve fédérale pour la première économie mondiale.

Va-t-elle abaisser comme en mars ses prévisions pour la croissance, l'inflation et le chômage? Ou considère-t-elle que les États-Unis seront plus étanches que redouté au choc des droits de douane?

Le consommateur - moteur de l'économie américaine - semble en tout cas plus attentif à son porte-monnaie. Un indicateur publié mardi montre que les ventes au détail (dans les magasins, les restaurants, chez les concessionnaires) ont reflué de 0,9% en mai.

L'escalade militaire au Moyen-Orient brouille davantage le tableau. La modération de l'inflation dont se félicite M. Trump est largement due à la baisse des cours du pétrole. Le conflit menace de le faire flamber.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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