Économie
Année solide pour la Promotion économique du canton de Fribourg
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/04/le-canton-de-fribourg-dispose-dune-riche-boite-a-outils-avec-lactivite-de-sa-promotion-economique-sest-rejoui-le-conseiller-detat-olivier-curty-1000x600.jpg&description=Année solide pour la Promotion économique du canton de Fribourg', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
La Promotion économique du canton de Fribourg (PromFR) a connu un "solide" exercice écoulé, malgré l'ampleur des incertitudes. Après deux années à un niveau record, elle a accompagné tout de même 41 projets, contre 45 en 2021 et 54 en 2020.
Le nombre a été réalisé dans le contexte post-pandémique, avec les remous liés à l'éclatement de la guerre en Ukraine et à la crise énergétique qui en a résulté, a indiqué lundi devant la presse à Fribourg Jerry Krattiger, directeur de la PromFR. Les entreprises impliquées ont annoncé la création de près de 600 emplois.
Les investissements portent sur 138 millions de francs ces cinq prochaines années. En outre, les actions de la PromFR ont contribué au renforcement de 1900 emplois existants dans le canton. Bien qu'annoncé à la fin de l'année écoulée, le projet d'implantation de Rolex, à Bulle, n'est pas intégré dans les chiffres.
Dimensions historiques
L'arrivée "historique" du groupe horloger genevois, avec son millier de postes à la clé et son milliard de francs à investir pour 2029, s'inscrit dans la volonté de maintenir des emplois industriels, a noté Jerry Krattiger. "Sans oublier la formation duale qui profitera à des centaines d'apprentis", s'est réjoui le directeur de PromFR.
Le projet se concrétisera véritablement par l’aboutissement des procédures d’aménagement du territoire et de construction, ainsi que la mise en place de sites de production et de formation provisoires. Au-delà, il va accélérer le développement des compétences cantonales dans l'automation, la robotisation et l'industrie 4.0.
Parmi les 41 projets accompagnés, 25 concernent des extensions d'entreprises et 16 de nouvelles implantations. Pour celles-ci, 3 sont suisses et 13 viennent de l'étranger. Par exemple, l'entreprise japonaise Epson s'est installée au Marly Innovation Center, alors que la société brésilienne Carob House s'est établie à Fribourg.
Nouvelle Politique Régionale
Parmi les extensions, il y a les projets d'Immomig, à Guin, ou de Wago Contact, à Domdidier. "Les entreprises fribourgeoises ont fait preuve d'une impressionnante capacité de résilience au cours des dernières années et des derniers mois", a relevé pour sa part le conseiller d'Etat Olivier Curty, en charge de l'économie.
"Le canton de Fribourg poursuit son essor économique avec succès et dynamisme", a résumé Jerry Krattiger. Ce dernier survient après que le Conseil d'Etat a défini, il y a bientôt trois ans, la bioéconomie et l'industrie 4.0 comme axes principaux de la stratégie cantonale de développement économique.
Quinze projets ont aussi été approuvés en 2022, avec des aides de 1,35 million de francs, dans le cadre du programme de mise en ½uvre (PMO) 2020-2023 de la Nouvelle Politique Régionale (NPR). Ils sont répartis dans les projets collaboratifs (9), le programme régions de montagne (3), le tourisme (2) et les nouvelles thématiques (1).
Les travaux pour le PMO 2024-2027 ont débuté par ailleurs, a fait savoir la PromFR. L'industrie et le tourisme restent les deux thèmes prioritaires. Les nouveautés concerneront l’économie locale, le développement durable et la numérisation, qui seront traités comme thèmes transversaux.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le Grec Pierrakakis élu président de l'Eurogroupe
Le ministre grec des finances Kyriakos Pierrakakis a été élu jeudi président de l'Eurogroupe, le cercle des 20 grands argentiers des pays qui partagent l'euro, aux dépens du ministre belge du budget Vincent Van Peteghem.
Le Grec de 42 ans succède à l'Irlandais Paschal Donohoe, qui avait démissionné en novembre pour rejoindre la Banque Mondiale. Il est ministre des Finances depuis mars, après avoir piloté la transformation de l'administration grecque depuis 2019 en tant que ministre de la Gouvernance numérique, puis de l'Éducation.
Dans sa candidature, il avait mis en avant "le pouvoir de la résilience" dont sa génération a fait preuve, après la tourmente des années 2010, lorsque la crise de la dette grecque a failli provoquer l'implosion de la zone euro. Une "crise existentielle" qui a démontré selon lui "le coût de la complaisance, la nécessité des réformes et l'importance de la solidarité européenne".
"La Grèce a parcouru un si long chemin au cours des 10 dernières années", a souligné le président du Conseil européen, Antonio Costa.
Kyriakos Pierrakakis et Vincent Van Peteghem, tous deux membres de partis de droite, s'étaient lancés après la démission surprise de l'Irlandais Paschal Donohoe, qui exerçait la fonction depuis 2020 et avait été réélu il y a quelques mois seulement.
Stature internationale
Cette instance, créée en 1997, coordonne les politiques économiques et budgétaires des 20 pays de la zone euro, bientôt au nombre de 21, la Bulgarie s'apprêtant à adopter la monnaie unique le 1er janvier prochain.
Le président de l'Eurogroupe est chargé de préparer les réunions mensuelles des ministres des Finances de la zone euro et la représente dans différents organismes internationaux (FMI, Banque mondiale, G7 Finances...), ce qui lui procure une stature internationale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / belga / afp
Économie
Fonds propres: la BCE ouvre la voie à une simplification du cadre
La Banque centrale européenne (BCE) a présenté jeudi ses propositions pour simplifier les règles de fonds propres bancaires et éviter des lourdeurs inutiles. L'institut de Francfort a écarté toute volonté d'affaiblir la solidité du secteur.
Ces propositions ont émané d'un groupe de travail piloté par Luis de Guindos, vice-président de la BCE, en réponse aux inquiétudes des banques européennes sur leur compétitivité face à leurs concurrentes américaines, en s'estimant freinées par une réglementation plus complexe. Après la crise financière de 2008, les banques ont dû renforcer leurs réserves de capital pour mieux couvrir leurs engagements risqués et résister aux chocs économiques.
Depuis 2014, la BCE supervise directement plus d'une centaine de grandes banques, dont Deutsche Bank, BNP Paribas et UniCredit, et peut leur imposer des coussins de capital supplémentaires selon leur profil de risque. À l'inverse, aux États-Unis et au Royaume-Uni, les régulateurs avancent désormais vers un assouplissement de certaines règles.
Les banques européennes souhaiteraient libérer du capital pour distribuer du crédit et mieux rémunérer leurs actionnaires. Elles ont reçu récemment le soutien du chancelier allemand Friedrich Merz, qui juge la réglementation européenne "trop rigoureuse". "C'est un mythe", a rétorqué Isabel Schnabel, membre du directoire de la BCE, assurant que "les exigences actuelles ont renforcé, plutôt qu'affaibli, la compétitivité des banques européennes".
Réduire le nombre de coussins de capitaux
Une recommandation phare du rapport vise à réduire le nombre de "coussins de capital" des banques, conçus pour faire face à divers chocs potentiels, dans l'immobilier ou par le biais de placements financiers volatils. "Nous avons plus de dix coussins différents", il s'agit "de passer à deux", a expliqué le banquier central lors d'une conférence téléphonique.
Un coussin dit "libérable" pourrait être utilisé en période de stress, afin d'absorber des pertes sans risquer une faillite. Le second coussin dit "non libérable" remplirait à tout moment les minimas réglementaires et les autorités pourraient le réduire pendant les périodes défavorables.
La BCE propose aussi de renforcer la capacité de certaines obligations bancaires à absorber les pertes, soit les obligations dites "AT1", très surveillées depuis l'effondrement de Credit Suisse en 2023. Lors du rachat de cette banque par sa rivale suisse UBS, la valeur de ces obligations a été réduite à zéro, suscitant la colère de leurs détenteurs.
Une autre recommandation porte sur un régime "dédié, prudent et sensiblement plus simple" pour les petites banques, au nom du principe de "proportionnalité" et en s'inspirant des modèles américain, britannique ou suisse. L'Allemagne y était favorable, compte tenu de son paysage bancaire fragmenté.
Le groupe de travail propose également de simplifier le "test de résistance" bancaire face à divers scénarios défavorables. Mené à l'échelle de l'UE, il doit suivre une méthodologie plus simple et ses résultats doivent davantage servir aux banques visées. Pour la somme de données à fournir régulièrement par les banques à diverses autorités européennes, celles-ci devront les partager entre elles plus largement, pour alléger le fardeau bureaucratique des banques.
La Commission européenne, destinataire de ce lot de recommandations, devra décider si elle les traduit en propositions législatives, en concertation avec le Parlement et le Conseil. Le chantier devrait s'ouvrir l'an prochain. La BCE s'est fixée au long de cet exercice long de près de sept mois des "lignes rouges", a rappelé M. de Guindos.
Les efforts de simplification visent à "préserver la résilience des banques", entendant par là "le niveau de capital des établissements", pour ne pas faire rimer simplification avec dérégulation. Les responsables de la zone euro veulent éviter une dérégulation excessive comme celle des années 1990-2000, qui a conduit à plusieurs crises avant le crash de 2008.
La crise des banques régionales américaines en 2023, attribuée à une supervision insuffisante, constitue pour eux un rappel des risques d'un assouplissement trop large.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
La BNS remanie ses prévisions de croissance et d'inflation
La BNS affine jeudi sa prévision de croissance pour l'année qui s'achève à 1,5%, dans le haut de la fourchette de 1,0% à 1,5% précédemment articulée. L'institut d'émission table en outre toujours sur une hausse du produit intérieur brut (PIB) de 1% l'an prochain.
S'agissant de l'inflation, la pression à moyen terme n'a guère changé depuis septembre, nonobstant des relevés un peu plus faible que prévu ces derniers mois. La BNS campe sur un renchérissement moyen de 0,2% en 2025, mais revoit à 0,3% contre 0,5% celui pour 2026 et à 0,6% contre 0,7% celui pour 2027.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La BNS maintient son taux directeur à 0,0%
La Banque nationale Suisse (BNS) prolonge la pause sur les taux d'intérêt. Le taux directeur reste inchangé à 0,0%. Elle restera active au besoin sur le marché des devises.
Les avoirs à vue détenus par les banques à la BNS se voient appliquer, jusqu'à un seuil défini, le taux directeur de la BNS. Pour la part des avoirs à vue dépassant ce seuil, le taux appliqué continue d'être inférieur de 25 points de base au taux directeur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
-
VaudIl y a 1 jour
Collision frontale mortelle mardi à Ballaigues
-
LausanneIl y a 2 jours
Un président du Tribunal correctionnel de Lausanne est récusé
-
LausanneIl y a 1 jour
Budget vaudois: coupes maintenues pour les hôpitaux régionaux
-
SuisseIl y a 2 jours
Le réseau FM peut continuer d'émettre en Suisse, dit le Parlement
-
SuisseIl y a 2 jours
Les vélos cargos et "longtails" devraient avoir des plaques
-
Suisse RomandeIl y a 2 jours
Valais: 16 loups tués en Valais en moins de deux mois et demi
-
SuisseIl y a 2 jours
Le National valide le budget après 13 heures de débats
-
LausanneIl y a 2 jours
Budget de l'Etat de Vaud: pas touche aux communes


