Genève
Le marronnier officiel de la Treille annonce le printemps
A Genève, le marronnier officiel de la Treille a fait éclore jeudi sa première feuille. Cet événement, qui est recensé chaque année depuis 1818, marque symboliquement l'arrivée du printemps dans le canton.
La date du 10 mars reste dans la moyenne des observations de ces dernières années où l'apparition de la première feuille a été enregistrée entre un 5 et un 24 mars, indique jeudi Laurent Koelliker, sautier de la République. Une des tâches protocolaires du sautier est précisément de surveiller l'éclosion cette première feuille.
La date du 10 mars 2022 sera inscrite sur le parchemin qui recense toutes les dates d'éclosion de la première feuille. Il s'agit du quatrième marronnier officiel depuis le début de cette tradition. Il a été désigné marronnier officiel en 2016, remplaçant un spécimen trop âgé.
A noter que le marronnier officiel n'est pas l'arbre le plus précoce sur la Treille. En effet, il a un voisin appelé le "marronnier fou" qui a tendance à prendre tous les autres arbres de vitesse en sortant sa première feuille deux à trois semaines plus tôt. Cette précocité est due à sa variété et à sa proximité avec des sources souterraines chaudes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Duel suisse entre 2 clubs en manque de confiance
Genève et Zurich vont se battre pour une place en finale de la Champions League mercredi aux Vernets et mardi prochain lors du retour à Zurich. Une bouffée d'air pour deux clubs qui se cherchent.
Les deux derniers champions de Suisse. Les deux clubs qui ont remporté la Coupe d'Europe. Zurich avait accompli cet exploit en 2009, Genève l'a imité l'an dernier. Sauf que le passé glorieux ne trouve pas d'écho dans le présent. Ou en tous les cas pas depuis le début de l'année 2025.
Les deux clubs ne traversent pas cette saison de la même manière. Genève, piètre 11e de National League, se bagarre actuellement pour une place en play-in, alors que Zurich (4e) tutoie les sommets, même si le champion en titre couche sur quatre défaites lors de ses cinq dernières parties.
En revanche, les deux organisations ont connu un changement d'entraîneur pendant les fêtes de fin d'année. Celui au bout du Léman était attendu. Celui du côté d'Altstetten a surpris bien du monde.
Cadieux et Crawford plus là
A Genève, Jan Cadieux a été remplacé par ses deux assistants Yorick Treille et Rikard Franzen et les résultats ne sont pour l'heure pas à la hauteur des ambitions du club. En sept matches, le duo a engrangé trois victoires pour quatre défaites ou huit points sur 21 possibles. Insuffisant.
Sur les bords de la Limmat, Marco Bayer a dû succéder en catastrophe à Marc Crawford qui s'est retiré pour soigner des problèmes mentaux. En cinq rencontres, les Lions ont récolté quatre points avec une victoire riquiqui à Langnau (1-0) et une défaite aux tirs au but dans le derby face à Kloten alors qu'ils menaient 4-1.
On ne peut donc pas parler de deux clubs en confiance au moment d'aborder cette demi-finale aller de Coupe d'Europe. Mais pourtant, sur la scène européenne, Aigles et Lions se comportent très bien. A croire, notamment pour Genève, que l'air continental redonne du plaisir. "On ne joue pas différemment en Coupe d'Europe qu'en championnat, analyse Simon Le Coultre. Il y a sûrement quelque chose de mental là derrière, mais je ne sais pas l'expliquer."
Trop peu d'entraînements
Le fait d'avoir remplacé le coach principal par ses assistants démontrait bien une envie de ne pas tout bouleverser. "On a gardé pas mal de bases, notamment sur le plan défensif, poursuit Simon Le Coultre. On a changé deux ou trois détails."
Seulement avec un calendrier très rempli, Genève n'a que peu d'opportunités pour s'entraîner. "C'est le vrai problème, estime l'arrière grenat. L'apprentissage se fait en match et c'est différent. Le calendrier n'est pas une excuse, mais c'est plus difficile de trouver des automatismes au niveau des lignes."
Suspendu pour cinq matches en championnat après avoir donné un coup de crosse à un officiel, Sakari Manninen sera sur la glace afin d'aider ses coéquipiers. Cela permettra peut-être aux Aigles d'avoir cette première ligne percutante.
Quant à Simon Le Coultre, il se dit encore à la recherche de sa forme. "Je dois faire la pire saison de ma carrière, conclut-il. Mais je continue de travailler pour inverser cette tendance. Et cela se traduit dans tous les aspects du jeu, pas seulement sur le plan offensif."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Un nouveau refuge à Genève pour les femmes sans abri
L'Armée du Salut a transformé un ancien hôtel situé en Vieille-Ville à Genève en un foyer pour femmes en situation précaire. Le Bel'Espérance offre 30 places à des femmes sans domicile fixe et 21 places à des femmes et des enfants placés par l'Hospice général.
"Cette institution sociale a été progressivement mise en service depuis l'été dernier et elle est désormais complète", a indiqué lundi à Keystone-ATS Markus Häfliger, porte-parole de l'Armée du Salut. En plus de l'hébergement, le Bel'Espérance offre trois repas par jour, l'accès à la blanchisserie et un accompagnement social.
Les communes genevoises financent, dans le cadre de la loi cantonale sur l’aide aux personnes sans abri (LAPSA), le séjour des femmes hébergées dans le foyer. Les placements effectués par l'Hospice général sont pris en charge par le canton.
Le Bel'Espérance renoue ainsi avec ses racines, relève l'Armée du Salut dans un communiqué. En effet, quand l’Armée du Salut a construit ce bâtiment de six étages en 1932, la partie supérieure abritait déjà un Foyer de la femme. Une énorme plaque de pierre sur la façade en témoigne encore aujourd’hui.
Depuis 1996, l’Armée du Salut a géré ce bâtiment comme un hôtel touristique. Grâce aux bénéfices réalisés, l’organisation chrétienne finançait des projets sociaux. L’exploitation commerciale de l’hôtel a cependant pris fin avec la pandémie. L’Armée du Salut a temporairement hébergé des personnes sans abri dans l’hôtel. Des réfugiés ukrainiens ont suivi.
L’Armée du Salut gère également une institution pour hommes à Genève, Le Passage, situé à côté des voies du train près de la gare Cornavin. Ouvert en 2021, ce bâtiment peut accueillir 62 hommes et mineurs non accompagnés.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
La Ville de Genève poursuit la végétalisation de ses parkings
Trois nouveaux projets de végétalisation de cours d'immeubles, actuellement utilisées comme parking, ont été présentés lundi par la Ville de Genève. Depuis 2020, la Muncipalité a ainsi transformé près de 4500 m2 de bitume en surface végétalisée.
"Il y a peu d'espace en Ville de Genève: il faut donc être créatif", a relevé devant la presse Alfonso Gomez, conseiller administratif en charge du Département des finances, de l'environnement et du logement (DFEL). Ses services ont ainsi identifié une centaine de terrains sur le domaine privé de la Ville, qui peuvent être transformés.
Parmi ceux-ci, le square Jean-Jaquet, aux Pâquis. D'une surface de 1850 m2, cette cour comprend actuellement 52 places de parking et cinq arbres. Le projet de végétalisation, qui intègre une récupération des eaux de pluie, prévoit la plantation de 26 arbres, des arbustes et des vivaces afin de créer un îlot de fraicheur pour les habitants.
Les places de stationnement supprimées seront compensées aux mêmes conditions pour les locataires dans des parkings en sous-sol de la gérance immobilière municipale (GIM) à proximité. La Municipalité profite ainsi des synergies entre la GIM et le Service des espaces verts (SEVE) qui sont sous le giron du même département, le DFEL. Le square Jean-Jaquet végétalisé devrait être terminé en été 2026.
Micro-forêt
Un autre projet aux Pâquis est en cours de réalisation. Il s'agit de supprimer, entre la rue de Lausanne et les voies du train, une dizaine de places de parking entre des immeubles en vue de créer une cour arborée. Enfin, au boulevard Carl-Vogt, une micro-forêt de 350 m2 va remplacer 35 places de parking. Les plantations sont prévues en mars prochain.
La Ville de Genève privilégie les végétaux produits dans ses pépinières ou dans les entreprises locales. Parmi les espèces retenues pour ces projets de végétalisation, on retrouve des érables du Japon, des lilas des Indes, des pins sylvestres, des saules et des peupliers. L'objectif étant avant tout de miser sur la diversité.
Ailleurs en ville
Les trois projets présentés lundi s'ajoutent à plusieurs réalisations récentes du SEVE dans des quartiers populaires. Aux Charmilles, dans la zone industrielle, une trentaine d’arbres ainsi qu’une micro-forêt ont été plantés. Aux Grottes, une partie du parking du square Jacob-Spon a été transformé.
Aux Pâquis, une petite cour de la rue Philippe-Plantamour a été réaménagée l’été dernier. Aux Eaux-Vives, les abords de la Mairie ont été végétalisés et la partie haute du parc a été dégrappée pour créer une nouvelle zone de détente. Une micro-forêt a vu le jour à Villereuse. Un crédit de 8,4 millions de francs a été voté pour accélérer la végétalisation de la cité.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Le Chênois, organe officiel des communes des Trois-Chêne, a 110 ans
A Genève, le journal Le Chênois fête cette année ses 110 ans. Tiré à 18'300 exemplaires et distribué dans tous les ménages de Chêne-Bourg, Chêne-Bougeries et Thônex, l'organe officiel des communes des Trois-Chêne sera désormais aussi disponible dans des caissettes à journaux.
L'objectif est d'accroître la visibilité du journal et de le rendre accessible aux personnes ne résidant pas dans les Trois-Chêne, indique la rédaction du Chênois dans un communiqué. Un site internet sera aussi lancé cette année d'anniversaire afin de compléter la présence du média local sur les réseaux sociaux.
Le Chênois a été créé en pleine Première guerre mondiale par les autorités de Chêne-Bougeries. Il visait à informer plus efficacement la population des décisions officielles à une époque où les initiatives se succédaient pour soutenir les hommes mobilisés aux frontières et leurs familles livrées à elles-mêmes.
En 1926, Le Chênois devient l'organe officiel des communes des Trois-Chêne. Il publie les avis officiels, les communiqués des sociétés communales et des chroniques historiques. Durant 68 ans, il ne traitera que des affaires communales sous le seul angle officiel, étant sous la responsabilité directe de l'exécutif.
La nouvelle formule ouverte sur l'extérieur est lancée en 1983. Le Chênois dépend alors des conseils municipaux. En 2003, le journal est confié à une association qui comprend des membres des exécutifs et des conseils municipaux. La rédaction compte un rédacteur en chef, un assistant de direction, un graphiste, une équipe de 5 à 7 journalistes et des partenaires rédactionnels bénévoles.
Le Chênois paraît sept fois par an. La longévité du journal est "remarquable" dans un contexte morose pour la presse romande, relève la rédaction. Elle s'explique en grande partie par le soutien financier de communes chênoises, mais également par la fidélité des annonceurs locaux.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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