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Genève

UNIGE: les étudiants ne veulent pas quitter UniMail la nuit

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L'occupation de nuit d'UniMail se prolonge. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les étudiants pro-palestiniens de l'Université de Genève (UNIGE) dormiront encore jeudi soir dans le hall d'UniMail. S'ils ont refusé de mettre fin à leur occupation nocturne, ils ont accepté de rester au sein du conseil scientifique mis en place par le rectorat.

Cette occupation nocturne est jugée "illicite" par l'UNIGE, qui souhaite que les militants soient uniquement présents durant les heures d'ouverture du bâtiment. Elle pose "des questions de sécurité" et n'est "pas conforme à ce que nous attendions", indique Marco Cattaneo, porte-parole de l'UNIGE, contacté jeudi soir par Keystone-ATS. Aucun ultimatum n'a été fixé pour demander le départ des étudiants.

Si l'UNIGE se dit "déçue" sur cette question, elle salue en revanche la décision de la Coordination étudiante pour la Palestine-UNIGE de continuer les discussions au sein du conseil scientifique. Celui-ci vise à examiner du rôle de l'université dans les débats publics en général. Une première rencontre a eu lieu jeudi et a duré trois heures.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Lancement d'une pétition en soutien à l'artiste licenciée par l'OSR

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Une pétition est lancée en soutien à une artiste, licenciée par l'OSR après avoir porté un keffieh à la fin d'une représentation (image d'illustration). (© KEYSTONE/DPA/JENS KALAENE)

Une lettre ouverte, signée par plusieurs personnalités et institutions genevoises, a été lancée jeudi en soutien à une artiste licenciée par l'Orchestre de la Suisse romande (OSR) après avoir porté un keffieh à la fin d'une représentation. Adressée à l'OSR, à la Ville et au canton de Genève, la pétition rassemblait lundi plus de 1600 signatures.

Publiée sur internet, la lettre demande l'annulation du licenciement avec des excuses publiques de la part de l'OSR, comme l'a rapporté lundi la Tribune de Genève. Après être apparue avec un keffieh sur les épaules "en soutien moral à la population civile de Gaza", à la fin d'une représentation le 8 novembre, une artiste engagée ponctuellement par l'OSR avait été licenciée avec effet immédiat, explique la pétition.

Ses auteurs relèvent que l'OSR a envoyé une lettre aux spectateurs, "dont le contenu ne laisse aucun doute sur le motif de licenciement". Le groupe de soutien dénonce "une différence de traitement dans la reconnaissance de la souffrance, affaiblissant la crédibilité de la neutralité invoquée", en référence au fait que l'OSR avait notamment exprimé son soutien à la population ukrainienne.

"Sanctionner un tel geste, c'est confondre solidarité et idéologie", dénonce la pétition. Avant de soutenir que "le caractère apolitique d’une institution ne saurait impliquer la neutralisation des convictions personnelles de celles et ceux qui y travaillent."

Parmi les premiers signataires se trouvent entre autres le directeur du Théâtre du Loup, les co-directrices du Festival international du film sur les droits humains, et le directeur du théâtre de Vidy. La pétition demande aussi que l'artiste soit rémunérée comme le prévoyait son contrat. Son licenciement l'aurait privée des revenus de deux représentations à venir. Et que les instances publiques chargées du financement de l'OSR condamnent cette décision.

Sollicité par Keystone-ATS, l'OSR n'avait pas pu être joint lundi en fin de journée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Explications confuses de la femme qui a tué son mari à Vernier (GE)

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Près de quatre ans après les faits, la femme qui a tué son mari au bord du Rhône à Vernier comparaît devant le Tribunal criminel de Genève (illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Près de quatre ans après les faits, la femme qui a tué son mari près du Rhône, à Vernier, comparaît devant le Tribunal criminel de Genève. Poursuivie pour assassinat, elle a livré lundi des explications confuses, se posant en victime.

"Je vais faire quoi de ma vie, moi? Je n'ai pas voulu tout ça. S'il n'avait pas eu d'arme, je n'aurais jamais fait une chose pareille", a relevé, en larmes, la prévenue. Le soir du 29 décembre 2021, alors que le couple s'est encore disputé, elle suit son mari sur un chemin isolé et lui tire une balle dans le dos. L'homme appelle la police, mais il meurt avant l'arrivée de l'ambulance.

Lundi matin, la quinquagénaire a soutenu que rien n'indiquait, sur le moment, qu'elle avait touché son mari de quinze ans son cadet et originaire de l'Ile Maurice. Un homme toxicomane, alcoolique et menaçant, selon elle, mais qu'elle "aime toujours". Les expertises psychiatriques décrivent une femme jalouse et contrôlante, souffrant d'un "grave trouble mixte de la personnalité paranoïaque et borderline".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Anières vote sur la création d'un réseau de chauffage à distance

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Un projet de chauffage à distance, alimenté par l'eau du lac, est contesté par référendum à Anières (GE). La population se prononcera le 30 novembre. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Anières (GE) vote dimanche 30 novembre sur un crédit de construction de 19,5 millions de francs pour la réalisation d'un réseau de chauffage à distance alimenté par l'eau du lac. Les partisans défendent une réponse durable aux défis énergétiques alors que les référendaires fustigent un projet "inabouti et démesuré".

Porté par l'exécutif de la commune, ce réseau de chauffage permettra de raccorder tous les bâtiments du centre du village, dont l'école, la crèche et la mairie. Les habitations hors du tracé du réseau pourront bénéficier d'une contrepartie financière pour remplacer leur chaudière à gaz ou à mazout par une pompe à chaleur.

L'objectif est de renforcer l'utilisation des énergies renouvelables et d'assurer l'indépendance énergétique d'Anières. L'exécutif défend "une solution pérenne pour l'avenir de la commune". L'eau sera puisée à une profondeur de 37 mètres pour être distribuée par des conduites enterrées dans 39 sous-stations.

Aussi du froid

Tous les bâtiments sur le tracé pourront être raccordés. Mais il n'y a aucune obligation. Selon les autorités communales, 90% des propriétaires ont manifesté leur intérêt pour un raccordement. La pompe à chaleur (PAC), qui est indispensable, doit être installée par le propriétaire, à ses frais. A noter que ce réseau peut aussi rafraîchir les maisons par forte chaleur.

Le crédit de 19,5 millions de francs a été voté en décembre 2024. Selon les autorités, il ne fallait pas attendre davantage, car les autorisations de construire arrivent à échéance en juin 2026. Passé ce délai, il faudra les redéposer avec un risque de nouvelles exigences de la part des services de l'Etat et des surcoûts.

Investissement démesuré

Des membres du PLR ont lancé le référendum estimant que le projet avait été voté dans la précipitation, sans clarifier les risques financiers. Les référendaires dénoncent un investissement total, qui avoisinerait les 25 millions de francs, un montant démesuré pour ne chauffer que le centre du village. Ils affirment également que les coûts de construction et d'entretien sont sous-estimés.

Au-delà de l'aspect financier, les référendaires remettent en cause le bilan écologique de ce réseau de chauffage à distance, sans compter des nuisances considérables pour les habitants du centre du village qui subiront des travaux. Ils s'opposent à un projet inadapté pour le village et proposent d'étudier des alternatives pour réduire la dépendance aux carburants fossiles importés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Genève: une vingtaine de films palestiniens à l'honneur

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A Genève, la 14e édition des rencontres cinématographiques "Palestine: filmer c'est exister" présentera une vingtaine de films du 26 au 30 novembre (image d'archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

A Genève, la 14e édition des rencontres cinématographiques "Palestine: filmer c'est exister" (PFCE) débutera le 26 novembre aux cinémas du Grütli et au Musée d'ethnographie de Genève (MEG), jusqu'au 30 novembre. Au programme, 22 films réalisés entre 1960 et aujourd'hui.

"Depuis 23 mois, partout dans le monde, la société civile descend dans la rue pour montrer sa solidarité avec le peuple palestinien. Elle dénonce l’horreur du génocide à Gaza, le nettoyage ethnique en Cisjordanie et l’impunité d’Israël", soutient le PFCE dans un communiqué. La production cinématographique qui s'est ralentie a poussé le festival à s'intéresser aux films d'il y a trente ans et plus.

Les thèmes évoqués par ces films ont surpris par leur similarité avec ceux d'aujourd'hui, indique le communiqué. "La place des femmes dans la société, la liberté dans l'art de filmer les corps et l'effacement programmé de la culture" s'y retrouvent.

Cinq cinéastes palestiniens viendront présenter leurs films à Genève lors du PFCE. Comme Laila Abbas, réalisatrice de la comédie dramatique "Thank you for banking with us!", qui ouvrira le festival au MEG.

Le festival sera aussi l'occasion de découvrir l'exposition "Je suis palestinienne, j'ai le droit de broder comme les Palestiniennes" de Nur Dasoki, artiste diplômée de la Haute école des arts dramatiques à Genève. Elle "affirme une identité multiple nourrie par l'exil, la transmission et la création", célèbre la résistance culturelle palestinienne et "questionne l'appartenance à travers les fils de la diaspora".

www.palestine-fce.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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