Vaud
Equipe Tudor: une année après, c'est du concret
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/04/fabian-cancellara-espere-que-les-coureurs-de-son-equipe-tudor-sauront-sillustrer-sur-les-routes-romandes-1000x600.jpg&description=Equipe Tudor: une année après, c'est du concret', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Dans l'effervescence d'une veille de Tour de Romandie, l'équipe Tudor n'est pas la dernière à se réjouir de disputer une épreuve World Tour dans son propre pays. Quel chemin parcouru en une année !
26 avril 2022, une conférence de presse, un brin énigmatique, est convoquée près du stade de la Tuilière à Lausanne avec l'annonce d'un nouveau projet helvétique juste avant le départ du prologue du Tour de Romandie. C'est ce jour-là que Fabian Cancellara annonce la création de l'équipe Tudor Pro Cycling, née sur les fondations de la Swiss Racing Academy.
Une année plus tard, le projet n'est pas une chimère. L'équipe est parfaitement structurée et compte déjà trois victoires depuis le début de la saison. "Le Tour de Romandie et le Tour de Suisse, ce sont un peu le Tour de France pour nous", se réjouit Fabian Cancellara, le président de l'équipe.
Nouveau rôle pour Reichenbach
Au départ à Port-Valais ce mardi, Tudor alignera quatre coureurs suisses avec Tom Bohli, Yannis Voisard, Joel Suter et Sébastien Reichenbach. Ce dernier se retrouve dans un rôle bien différent pour sa huitième boucle romande.
"C'est sûr, je venais toujours pour travailler pour mes leaders. Cette fois-ci, on compte sur moi. Je viens pour viser une place au classement général. J'ai vraiment envie de remplir plus qu'un rôle de capitaine de route. Je ne veux pas être déçu en arrivant dimanche à Genève", relève le Valaisan, à l'ambition retrouvée à 33 ans. Il visera en premier un exploit sur la route de Thyon 2000 samedi lors de l'étape-reine.
Cancellara, qui n'aime pas tirer la couverture à lui dans l'aventure Tudor, attend de ses coureurs qu'ils réussissent une belle performance collective. "Je veux simplement qu'ils fassent le maximum. L'esprit collectif est primordial. Il faut oser." La formation helvétique du Pro Team, le deuxième échelon de l'UCI après le World Tour, pourrait déjà frapper mardi lors du prologue avec Tom Bohli, deuxième du prologue du Tour de Romandie en 2018 à Fribourg et 3e en 2019 à Neuchâtel.
L'atout Jan Christen
Une deuxième formation helvétique sera de la partie: pour la quatrième année de suite, une équipe de Swiss Cycling disputera en effet le Tour de Romandie. Cette sélection formée de jeunes coureurs permettra au prodige Jan Christen (18 ans) de faire ses débuts au niveau du World Tour.
Champion de Suisse junior dans toutes les disciplines (route, vtt, cyclocross), Christen est un talent pur, qui attire les regards dans un cyclisme où les jeunes sont de plus en plus performants comme le montrent les succès de Tadej Pogacar ou Remco Evenepoel ainsi que l'émergence de l'Irlandais Ben Healy.
"Jan Christen est un coureur ambitieux qui ne néglige aucun détail, précise Mathias Frank, directeur sportif adjoint de l'équipe Swiss Cycling. Mais il reste humble." L'Argovien, qui vient de boucler Liège - Bastogne - Liège M23 à la 8e place, va donc se frotter pour la première fois à l'élite mondiale dans la plus haute catégorie.
Prudence
"C'est la première fois que je disputerai une course avec les oreillettes. Je vais m'y lancer prudemment et essayer de profiter de chaque ouverture", confie le futur coéquipier de Pogacar chez UAE Emirates, avec qui il a signé un contrat jusqu'en 2027, à la veille du départ de la boucle romande.
Comme à chacune de ses participations, l'équipe Swiss Cycling est appelée à faire le spectacle, à animer la course. Outre Christen, elle sera formée par Dario Lillo, Jonathan Bögli, Jan Sommer, Antoine Debons, Antoine Aebi et Jan Stöckli.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Le budget 2026 de Montreux dans le rouge pour 4,5 millions
Le budget 2026 de la commune de Montreux (VD) affiche un déficit de 4,5 millions sur une enveloppe globale de plus de 200 millions de francs. Des changements structurels au sein de l'administration et la nouvelle péréquation financière cantonale justifient une augmentation des charges de fonctionnement tout en maintenant un déficit constant, indique vendredi sa Municipalité.
Le déficit du budget 2025 était de 4,2 millions de francs. Les charges de fonctionnement atteignent 204 millions (+18,3% par rapport à 2025), principalement en raison de la réorganisation de la péréquation et des contributions intercommunales. Les recettes, elles, s’élèvent à près de 200 millions (+18,6 %), portées notamment par des revenus exceptionnels, dont un legs de 3,8 millions destiné à un fonds spécifique, précise la Ville dans son communiqué.
Les recettes fiscales demeurent stables à environ 103 millions de francs, tandis que le revenu du patrimoine progresse à 11,6 millions, "reflet d’une optimisation de la gestion des biens communaux", selon la Municipalité.
Malgré le résultat négatif, le budget 2026 conserve une marge d'autofinancement positive de 1,2 million, "signe d'une gestion prudente et responsable", selon la Municipalité.
Sur le plan économique, la Ville maintient ses investissements essentiels et "poursuit une politique budgétaire équilibrée, centrée sur la qualité des prestations à la population et la maîtrise des coûts". La fin prochaine du projet de rénovation du Centre de congrès (2m2c) marquera une étape-clé, en offrant un outil modernisé au service du développement économique et culturel de Montreux, soulignent encore les autorités communales.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Baukultur Festival: célébrer la transformation du bâti à Lausanne
A l'occasion de ses 150 ans, la revue Tracés - espazium lance un nouveau festival tout public dédié à la culture du bâti. Intitulé Baukultur Festival - "Tout se transforme!", l'événement investira Plateforme 10 à Lausanne du 12 au 16 novembre. Sept installations et sept expositions y exploreront la transformation de la matière et du patrimoine avec des techniques innovantes ou traditionnelles.
En Suisse, environ 5000 bâtiments sont démolis chaque année et 80% des déchets proviennent du secteur de la construction. Face à ce constat et en partenariat avec le Mudac, le Baukultur Festival met en lumière des pistes concrètes pour construire autrement et transformer l'existant au lieu de démolir et reconstruire.
Le 12 novembre, le public pourra assister à des démonstrations de construction utilisant des techniques anciennes (pisé, chaux) et innovantes (terre compactée, mycélium). Il pourra observer et participer à certaines étapes, telles qu'extinction de la chaux vive, pisé, pressage de blocs de terre crue.
Un pavillon en dalles de béton recomposées, conçu par le laboratoire SXL de l’EPFL, sera monté en direct. Le 15 novembre dans l'après-midi, place sera faite aux visites guidées et démonstrations.
Transformations et reconversions
Dans la galerie Signal-L, sept expositions présenteront des projets de transformation développés par des architectes, chercheurs et étudiants de la HES Fribourg et de l'EPFL: rivières remises à ciel ouvert, bureaux convertis en logements, infrastructures routières devenues parcs urbains.
La revue Tracés elle présentera une dizaine de reconversions exemplaires récemment réalisées en Suisse: une usine transformée en crèche, un silo en hôtel ou encore un entrepôt de vin en logements. "La preuve que rien ne se perd, tout se transforme", concluent les organisateurs.
Issu de la Déclaration de Davos (2018), le concept de Baukultur/Culture du bâti réunit l'ensemble des acteurs de l'environnement construit: architectes, ingénieurs, urbanistes, paysagistes, entreprises, chercheurs et spécialistes du patrimoine.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Stationnements vélo abrités et sécurisés dès 2026
Dès janvier 2026, Lausanne sera la première ville de Suisse à déployer le service de Vélobox pour sa population. Sur souscription d'un abonnement, il sera possible de profiter de places de stationnement vélo protégées des intempéries et du vol à proximité du domicile. Ces abris seront fermés et sécurisés.
"Ce déploiement dans toute la ville fait suite au succès du projet pilote débuté en 2024 dans le quartier France-Maupas. Il a pour objectif de lever un frein à l'adoption du vélo: le manque de places de stationnement sécurisées à domicile", écrit vendredi la Ville dans un communiqué. Ce projet s'inscrit dans sa politique volontariste en faveur de la mobilité active et contribue aux objectifs de son Plan climat, ajoute-t-elle.
"L'offre Vélobox répond à un besoin croissant de la population. Trop de Lausannoises et Lausannois renoncent ou sont freinés dans leur envie de pratiquer le vélo faute de solution de stationnement sécurisé près de chez eux. Avec les Vélobox, nous levons cet obstacle", explique Florence Germond, municipale en charge de la mobilité, citée dans le communiqué.
Accessible aux habitants vivant à moins de 200 mètres d'un Vélobox, deux formules d'abonnement seront proposées, semestrielle à 50 francs ou annuelle à 100 francs, est-il détaillé.
L'installation des Vélobox se fera en plusieurs étapes. La première série sera mise en service en janvier 2026 avec environ 200 places à disposition. Au total, 1048 places de stationnement vélo seront ensuite déployées d'ici fin 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Le Nord Vaudois publie son premier numéro
Le paysage médiatique romand compte un nouveau titre: Le Nord Vaudois. L'hebdomadaire, né après la faillite du quotidien La Région, a dévoilé vendredi son premier numéro en présence d'une centaine d'invités au Grand-Hôtel des Bains à Yverdon.
Lui-même Yverdonnois, le conseiller d'Etat Vassilis Venizelos a souhaité "longue vie" au titre, dans lequel il a dit espérer trouver des informations "sans fard, ancrées dans le terrain, variées à l'image de la région."
Le syndic Pierre Dessemontet s'est, lui aussi, réjoui de l'arrivée d'un journal qui comble "le vide béant" laissé après la disparition de La Région en juillet dernier.
Pour Sébastien Hersant, patron du groupe ESH Médias auquel appartient le nouveau titre, Le Nord Vaudois aura à coeur de "faire vivre et rayonner une région", qui regroupe plus de 70 communes et un bassin de population de 100'000 personnes.
Hebdomadaire
Le titre sera distribué tous les vendredis aux abonnés et en version tout-ménage une fois par mois, avec un tirage de 50'000 exemplaires.
Hors tout-ménage, le tirage dépendra des abonnés. Sans en dévoiler le nombre actuel, le rédacteur en chef Jean-Philippe Pressl-Wenger indique que les objectifs fixés pour la fin de l'année ont d'ores et déjà été dépassés. "Nous partons sur une bonne base", se réjouit-il, interrogé par Keystone-ATS.
Déjà à la tête de La Région, il dirige une rédaction composée de deux journalistes et plusieurs pigistes (textes et photos), dont la plupart travaillaient aussi pour l'ancien quotidien. L'équipe est complétée par deux commerciaux.
La Nord Vaudois comprend deux cahiers. Le premier est consacré à l'actualité régionale sous toutes ses facettes, le deuxième au sport et à divers services à la population. Son objectif est d'accompagner les lecteurs tout au long de la semaine: "Nous voulons un journal qui reste sur la table du salon", illustre Jean-Philippe Pressl-Wenger.
Collaborations
Pour son lancement, Le Nord Vaudois fait 40 pages, une longueur qui sera toutefois réduite par la suite. Entre meurtre à Sainte-Croix, élections communales à Yverdon, festival de court-métrage, régulation du loup ou encore marché aux truffes, ce premier numéro aborde tous types de sujets.
Les lecteurs peuvent aussi y retrouver deux interviews: celle du duo de chanteuses Marzella avant son dernier concert en commun à l'Amalgame, et celle d'Adrian Ursea, entraîneur d'Yverdon Sport avant le match contre Neuchâtel Xamax.
En main d'ESH Médias, Le Nord Vaudois reprend la maquette des autres principaux titres du groupe, à savoir Le Nouvelliste, ArcInfo ou La Côte. Des collaborations et partages d'articles entre ces journaux sont aussi prévus.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
VaudIl y a 1 jour
La Municipalité d'Yverdon veut un nouvel hôpital à Y-Parc
-
SuisseIl y a 3 jours
Le dossier électronique du patient prend un nouveau départ
-
SuisseIl y a 1 jour
Un médecin ne peut plus pratiquer seul dans le canton de Schwyz
-
SuisseIl y a 3 jours
Le dossier électronique du patient prend un nouveau départ
-
Suisse RomandeIl y a 3 jours
Alain Berset docteur honoris causa de l'Université de Fribourg
-
GenèveIl y a 2 jours
Le personnel de la RTS en première ligne contre l'initiative SSR
-
SuisseIl y a 3 jours
Télétravail: un grand retour au bureau tout relatif
-
ÉconomieIl y a 2 jours
La Cour suprême se penche sur les droits de douane massifs de Trump


