Vaud
Groupe Minoteries reprend la société E. Zwicky
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Le meunier vaudois Groupe Minoteries (GMSA) va racheter au 1er juin 2025 la société thurgovienne E. Zwicky. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé.
Groupe Minoteries (GMSA) va reprendre les quelque 85 collaborateurs de E. Zwicky et poursuivra l'exploitation du site de Müllheim-Wigoltingen, indique jeudi dans un communiqué le groupe basé à Granges-près-Marnand.
"Les discussions d'intégration se sont faites assez naturellement tant nos deux entreprises se complètent bien", a souligné la conseillère nationale genevoise Céline Amaudruz, présidente du conseil d'administration de GMSA, citée dans le communiqué.
La société E. Zwicky est "le plus grand moulin spécialisé de Suisse dans les aliments sains et naturels à base de céréales, de légumineuses, de graines et de semences", poursuit le communiqué. Elle a été fondée en 1892.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Culture
Le Canton et Yverdon renforcent leur soutien au festival Castrum
L'Etat de Vaud et la Ville d'Yverdon-les-Bains ont signé une nouvelle convention de subventionnement tripartite avec l'association organisatrice du festival des arts de la rue Castrum. D'une durée de quatre ans, elle fixe la subvention cantonale annuelle à 80'000 francs et celle de la Ville progressivement de 263'000 francs en 2025 à 300'000 francs en 2028.
L'enveloppe de subvention totale prévue se monte ainsi à plus de 1,4 million. Le document signé récemment "fixe des objectifs visant à consolider l'offre artistique, améliorer les infrastructures et l'accueil du public ainsi qu'assurer la stabilité et la professionnalisation des équipes d'organisation", indique jeudi la Ville d'Yverdon dans sa lettre d'information hebdomadaire.
"Ce soutien souligne l'engagement profond des signataires en faveur de la scène culturelle yverdonnoise et leur volonté d'assurer la continuité et la solidité de cette manifestation emblématique", explique-t-elle. Ville et Canton saluent une programmation "ambitieuse, inclusive, innovante et principalement gratuite rayonnant dans toute la Suisse romande".
La dernière convention, signée pour trois ans en 2021, fixait la subvention cantonale annuelle à 70'000 francs et celle de la Ville à 170'000 francs. L'édition 2025 vient de se terminer le week-end dernier sur un "bilan très réjouissant", avec quelque 40 projets pluridisciplinaires et pas moins de 115 artistes sur treize lieux de la cité thermale. La prochaine édition, la 26e, se tiendra du 6 au 9 août 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Initiative sur le Mormont: la droite et l'économie prônent le refus
La droite et l'économie vaudoises appellent à refuser l'initiative "Sauvons le Mormont", soumis à votation le 28 septembre prochain. Elles soutiennent au contraire le contre-projet direct du Conseil d'Etat, privilégiant l'économie circulaire et les circuits courts.
Le comité de campagne "Non à l'initiative extrême sur le Mormont - Oui à l'économie circulaire" a présenté ses arguments jeudi à Echallens lors d'une conférence de presse. Sous la houlette de la Fédération vaudoise des entrepreneurs (FVE), ce sont le conseiller aux Etats Pascal Broulis (PLR/VD), les conseillers nationaux Yvan Pahud (UDC/VD) et Céline Weber ( Vert'lib/VD) ainsi que que le député et chef de groupe PLR Nicoals Suter qui ont lancé la campagne.
L'initiative "Sauvons le Mormont", lancée en 2022 dans la foulée de la ZAD, demande de protéger la célèbre colline via la Constitution vaudoise et d'y interdire toute exploitation.
"Aujourd'hui, notre économie a plus que jamais besoin de prévisibilité. Cette initiative menace des emplois et amène de l'incertitude", a déclaré Pascal Broulis. Selon le comité du "non", cette initiative menacerait par ricochet "10'000 emplois du secteur et les plus de 30'000 emplois de la construction du canton".
"Allier économie et écologie"
Il rappelle aussi que la Suisse consomme environ cinq millions de tonnes de ciment chaque année, dont 86% fournis par les cimenteries suisses, le reste étant importé. "Métro, tram, infrastructures scolaires ou hospitalières: il y a un réel besoin de ciment dans le canton de Vaud", clame-t-il.
"Le Tribunal fédéral a d'ailleurs reconnu la carrière du Mormont d'intérêt national, car elle alimente la Suisse romande. Si l'initiative était acceptée, cela impliquerait une importation de matériaux avoisinant 40% des besoins vaudois, soit l'équivalent de 60'000 passages de camions supplémentaires en provenance de l'étranger avec leur cortège de nuisances", argumente-t-il.
"Chaque année, 200'000 tonnes de déchets (boues, farines animales, pneus, huiles, solvants, etc) sont valorisées pour produire du ciment. Sans cimenterie, leur avenir est incertain. La chaleur du four est récupérée pour chauffer 2000 ménages dans les villages voisins. Cette énergie locale et propre serait également perdue si l'initiative passe", notent encore les responsables du "non".
Le comité plaide dès lors pour le contre-projet direct du Conseil d'Etat. "Grâce à ce dernier, nous pourrons allier économie et écologie, pour plus de durabilité. Un signal clair aux entreprises et à la recherche sur la voie à suivre", affirme Céline Weber.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Projet de construction étrillé à Grandson (VD)
Le Tribunal fédéral donne un coup d'arrêt à un projet de zone industrielle aux confins de la commune de Grandson (VD). Le permis de construction est annulé et les autorités communales sont invitées à revoir le plan d'affectation qui est totalement dépassé.
D'une surface de 10'000 mètres carrés, la parcelle se situe au lieu-dit "Pérosset", à proximité d'un hameau accueillant des activités artisanales depuis plus de 200 ans. Elle fait partie d'un couloir à faune et est recensée à l'Inventaire suisse des sites construits (ISOS), tout comme le hameau.
Classée en zone industrielle selon le plan d'affectation (PA) datant de 1982, le terrain a été promis-vendu en 2020 à une société qui projette d'y construire 3 halles industrielles, 6 garages, 1 local technique et 64 places de parc.
Pro Natura, sa section vaudoise et la commune voisine de Fiez ont fait opposition contre le permis de construire délivré par Grandson en 2022. Après avoir été déboutée par le canton, l'association environnementale a saisi le Tribunal fédéral.
Plan d'affectation dépassé
Dans un arrêt publié jeudi, la 1ère Cour de droit public critique la position du Tribunal cantonal. Bien que le plan d'affectation date d'il y a quelque 40 ans et que les circonstances aient largement changé depuis son adoption, cette instance n'a pas jugé nécessaire de procéder à un contrôle préalable avant de donner son blanc-seing au permis de construire.
Pour les juges fédéraux au contraire, la planification d'une petite zone industrielle, isolée, située à 3 km de Grandson et cernée de toutes parts par une vaste zone agricole, apparaît "incongrue". Même à l'époque, elle contrevenait aux principes de séparation du territoire bâti et non bâti. Et la proximité d'industries historiques à Péroset ne pouvait pas justifier sa présence.
Sans se prononcer sur les aspects environnementaux soulevés par Pro Natura, le Tribunal fédéral invite la commune à examiner soigneusement l'existence de valeurs naturelles importantes lors de la révision de la planification qui devra être menée. (arrêt 1C_121/2024 du 25 juillet 2025)
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Vaud: de nouvelles autorisations de tir vont être demandées
Le canton de Vaud va demander de nouvelles autorisations de tir de régulation du loup. Le conseiller d'Etat en charge de ce dossier Vassilis Venizelos l'a annoncé jeudi dans une interview accordée au Temps. L'objectif principal reste le loup mâle reproducteur M351, de la meute du Mont-Tendre, qui court toujours malgré plusieurs tentatives de régulation.
"Nous allons continuer à déployer nos actions. Cela passe notamment par deux nouvelles décisions. D'abord, nous avons renouvelé la demande de régulation réactive, après le tir de début août. Ensuite, une nouvelle demande pour une régulation proactive sur toute la meute du Mont-Tendre dès septembre est en cours", affirme le ministre de l'environnement dans les colonnes du journal.
De là à éradiquer toute la meute du Mont-Tendre? "L'objectif principal reste d'atteindre M351, et de faire baisser les prédations. Selon l'évolution de la meute et de la situation, nous adapterons nos opérations, toujours en respectant le cadre fédéral", répond M. Venizelos.
"Mais je l'ai dit, nous n'allons pas passer le Jura à la sulfateuse. La régulation est un levier que nous utilisons, mais il n'est pas le seul. Nos décisions dépendent de ce qu'on observe sur le terrain et non des pressions politiques", ajoute-t-il.
Vaud travaille avec des chasseurs
Il dit sinon regretter que la Confédération se soit désengagée des mesures de protection. "Les conditions de régulation ont été assouplies. Je souhaiterais qu'elle mette la même énergie dans le soutien à la protection des troupeaux". Il rappelle aussi que le canton de Vaud travaille avec quelque 40 chasseurs, formés spécifiquement à la régulation du loup et au tir de nuit.
Ces décisions interviennent alors que de nombreux bergers et éleveurs demandaient de nouveaux tirs sur la meute vaudoise. Les attaques du loup se sont multipliées, dans le Jura cet été. Rien que pour le mois de juillet et le mois d'août jusqu'ici, le loup a tué au moins 30 animaux de rente (jeunes bovins, veaux, ovins, caprin), selon le dernier décompte des prédations du canton.
A l'écoute des critiques
Le conseiller d'Etat écologiste est aussi revenu sur la plainte déposée à la suite d'une menace de mort à son encontre. "Je ne peux pas tolérer qu'on menace ma famille. On m'a dit: 'Je vais te foutre le feu, je sais où t'habites'. On ne sait jamais comment une personne en colère et en détresse peut réagir. J'ai porté plainte pour mettre fin aux menaces", explique-t-il.
Il dit aussi maintenir constamment le dialogue sur ce "sujet hautement émotionnel". "La porte de mon bureau est toujours ouverte. Je vais sur le terrain rencontrer les acteurs, non seulement les éleveurs, mais aussi les ONG, les communes, les bergers, et j’ai des échanges hebdomadaires avec eux. Je le fais sur tous les dossiers, même complexes et sensibles, en écoutant la critique", dit-il.
Il se défend en outre des accusations de "vaines promesses" et "demi-mesures" récemment lancées par l'Association romande pour la régulation des grands prédateurs (ARRGP). "Je refuse qu'on dise que l'Etat ne fait rien. Nous sommes très actifs et beaucoup de ressources sont mobilisées".
"L'an dernier, les gardes-faune ont passé pas moins de 7000 heures sur la gestion du loup. Ça a un impact sur d'autres missions, notamment la protection d’autres espèces, comme le grand tétras ou la bécasse", souligne encore Vassilis Venizelos.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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