Vaud
Groupe Minoteries externalise son site de stockage
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Le meunier industriel vaudois Groupe Minoteries a annoncé jeudi l'externalisation de l'activité de stockage de son site de Safenwil (AG) dès le 1er septembre. Les activités seront reprises par une entreprise de logistique, tandis que le site sera loué.
La décision a été prise "dans le but de simplifier notre structure", indique jeudi le groupe basé à Granges-près-Marnand dans un communiqué. Trois collaborateurs sont touchés par cette décision: "ils seront accompagnés dans leur réorientation et des propositions seront faites au sein du groupe ou auprès des partenaires", poursuit le communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Vaud
Le Canton de Vaud souhaite classer la rive nord du lac de Bret
Pour mieux protéger ses milieux naturels remarquables, la rive nord du lac de Bret sur la commune de Puidoux doit être classée. C'est la volonté du canton de Vaud qui veut aussi préciser les règles d'usage pour le public.
Le lac de Bret fait une cinquantaine d'hectares de surface. Il se situe à une altitude de 674 mètres, entre la Tour de Gourze et le Mont-Pèlerin. Sa capacité en eau a été augmentée à deux reprises en 1875 et 1918 au moyen d’un barrage, rappelle mercredi l'Etat de Vaud dans un communiqué.
Après avoir été utilisé par la Ville de Lausanne comme source d'énergie pour son funiculaire (l'ancienne "Ficelle" reliant la gare à Ouchy), il sert aujourd'hui de réserve d'eau de boisson pour l'agglomération Lausanne-Morges, est-il précisé.
Assurer un équilibre durable
"Lieu de détente et de loisirs apprécié de la population vaudoise, le lac de Bret est également un site remarquable pour ses valeurs naturelles et paysagères ainsi que pour les espèces qu'il abrite, notamment autour de sa rive nord. Par sa décision de classement du site, le Canton souhaite assurer un équilibre durable entre protection des milieux naturels et loisirs en plein air", écrit-il.
Inscrit à l'Inventaire des monuments naturels et des sites du canton de Vaud depuis 1983, le lac de Bret est reconnu comme réserve cantonale de faune depuis 1992. Sa rive nord, en particulier, est considérée comme un "territoire d'intérêt biologique prioritaire dans le réseau écologique vaudois", ayant été retenue comme bas marais d'importance régionale dans l'inventaire cantonal en cours.
Le plan d'eau présente une végétation caractéristique des lacs et étangs, particulièrement bien développée au nord du lac dans la zone peu profonde. Cette zone attire de nombreux oiseaux nicheurs ou hivernants, explique le Canton.
Des milieux diversifiés allant de la végétation immergée à la roselière en passant par les plantes à feuilles flottantes de la nupharaie s'y sont développés. La végétation des rives du nord du lac de Bret constitue la seule vraie roselière de Lavaux et un relais incontestable entre les sites majeurs des Grangettes, au bord du Léman, et de la rive sud du lac de Neuchâtel, souligne-t-il.
Toujours ouvert au public
Le lac de Bret est parallèlement une destination récréative très appréciée (pêche, bateaux, paddles, etc). Il est ainsi soumis à des "dérangements croissants" empêchant les animaux, en particulier les oiseaux, de trouver la quiétude nécessaire à leur reproduction et à leur repos et dégradant la végétation immergée et des rives.
La législation actuelle n'étant pas suffisante pour protéger les milieux naturels présents dans le secteur nord du lac de Bret, la décision de classement précise les règles d'usage pour le public.
Objectif: maintenir et améliorer la diversité ainsi que la qualité biologique et paysagère du site, préserver les ressources hydriques, assurer le calme et la tranquillité et enfin permettre au public de profiter du site et d'en découvrir la richesse biologique dans les limites fixées par les dispositions des secteurs de protection.
Ce projet de classement est soumis à enquête publique un mois, dès mercredi et jusqu'au 19 décembre.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Ligne CFF Cossonay- Eclépens interrompue en raison d'un sanglier
Le trafic ferroviaire sur la ligne Cossonay/Penthalaz - Eclépens (VD) a été brièvement interrompu mardi soir à la suite d'une collision avec un sanglier vers 19h45. Les trains ont pu à nouveau circuler trois quarts d'heure plus tard, a indiqué la compagnie sur son site internet.
Les lignes TGV, IC5, IR57, R1, R2, R3 et R4 ont été concernées, selon le portail CFF. La compagnie n'exclut pas des retards et d'éventuelles suppressions au-delà de 20h30. Elle conseille aux voyageurs de consulter l'horaire en ligne pour leur déplacement.
Durant la durée de la perturbation, les voyageurs entre Genève-Aéroport, Genève, Morges, Lausanne et Bienne, Soleure ont circulé via Berne.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Réforme de la loi sur l'énergie: risque sérieux d'un référendum
Le Grand Conseil vaudois a entamé mardi le deuxième débat sur l'importante réforme de la loi sur l'énergie, sans pouvoir le terminer. Les discussions ont à nouveau été longues, disputées et âpres. Un important compromis de la gauche a été refusé par la droite sur l'assainissement des petits bâtiments. Dépitée, la gauche radicale songe à lancer un référendum.
Il avait fallu cinq séances pour arriver à bout de la première lecture de cette révision de la loi sur l'énergie (LVLEne) proposée par le Conseil d'Etat, ses 80 articles et les plus de 90 amendements proposés, eux, par la Commission de l'environnement et de l'énergie. Le deuxième débat a duré toute l'après-midi pour n'arriver qu'au fameux article 32 sur les bâtiments énergivores, déjà très longuement discuté en premier débat.
Pour mémoire, le projet gouvernemental avait décidé de différencier petits et grands propriétaires en matière de délais accordés pour assainir ces "passoires énergétiques". La commission a, elle, aménagé les délais des bâtiments concernés, soit classés F et G selon le Certificat énergétique cantonal des bâtiments (CECB).
Concrètement, la commission proposait d'abolir les délais d'assainissement pour les bâtiments de moins de 750 m2 (petits propriétaires) afin d'obtenir la note D. Pour les bâtiments de plus de 750 m2 (grands propriétaires), le délai a été rallongé de cinq ans (à 2040) pour ceux appartenant à la classe F. Il reste à 2035 pour la classe G.
"Détricotage de la loi"
En commission, ces différents assouplissements de délais avaient été compensés par un nouveau principe, consistant à établir comme élément déclencheur le moment d'un changement de propriétaire. Lorsque l'ensemble d'un bâtiment change de propriétaire, une prise en compte des travaux à effectuer permet de planifier un assainissement. La commission proposait de fixer un délai de cinq ans à tout nouveau propriétaire pour effectuer les travaux de mise en conformité.
En premier débat, une proposition du PLR visant à supprimer complètement cette compensation avait été acceptée à trois voix près. Au grand dam de la gauche, qui avait parlé de "détricotage de la loi" et des équilibres trouvés en commission.
Mardi, c'est le député écologiste Alberto Mocchi qui est revenu avec une proposition de compromis, histoire de "ne pas vider la loi de sa substance". Il a suggéré un nouvel amendement pour les bâtiments de moins de 750 m2 , introduisant la notion de "vente" d'un bâtiment (plutôt que "transfert") et rallongeant le délai de cinq à dix ans pour l'assainissement.
L'idée était d'éviter de faire croire qu'il n'y a "pas besoin" d'assainissement énergétique pour les petits bâtiments et petits propriétaires. Cette "main tendue, ce pont et ce pas important", selon la gauche, envers les préoccupations de la droite a été refusé à une voix près (73 non contre 72 oui). La version édulcorée, moins contraignante, du premier débat a ainsi été maintenue.
"Obstruction climatique"
"Le projet de loi arrive à son terme. Il a été complètement démantelé et démembré", a lancé, dépité, le socialiste Laurent Balsiger. Tout aussi écoeurée, l'élue de la gauche radicale (EP) Mathilde Marendaz a clairement brandi la menace d'un référendum, lancé par sa formation. Pour d'autres raisons, l'UDC avait, lors de l'entrée en matière, sous-entendu une telle possibilité aussi.
L'électricité était dans l'air dès le début de ce deuxième débat. Mme Marendaz avait auparavant déjà vertement critiqué le PLR et l'UDC. "Ils n'ont eu de cesse de proposer de nouveaux amendements qui ont saturé le débat et vidé le projet de loi de sa substance (...) C'est de l'obstruction climatique", a-t-elle lancé. "Nous devons être à la hauteur de l'Histoire, défendre la science et le bien commun, et ne pas céder aux lobbies", a-t-elle clamé.
Plus d'air pour les communes
Grâce à la droite et certains Vert'libéraux, le plénum a aussi confirmé son refus de modifications plus contraignantes pour les communes, leur laissant ainsi une plus grande marge de manoeuvre dans deux volets: l'application de la politique énergétique par l'élaboration d'un plan énergétique/climatique et l'obligation de réaliser une planification énergétique dans leurs plans directeurs.
Un autre amendement proposé par la commission a été une nouvelle fois refusé, s'agissant cette fois-ci des chauffages à distance. L'Etat et les communes encouragent ces installations alimentées au moins à 70% par des énergies renouvelables ou issues de la récupération de chaleur respectant les règles de priorisation des ressources. C'est la mention "avec pour objectif 90% en 2040" qui a encore échoué une fois.
Pour rappel, cette réforme vise à développer le recours aux énergies renouvelables locales, à diminuer la consommation énergétique, à remplacer les installations de chauffage à énergie fossile tout en renforçant l'accompagnement des différents acteurs impliqués. But: tendre décisivement vers la neutralité carbone en 2050, objectif du Plan climat vaudois, ainsi que vers plus de souveraineté énergétique pour le canton, qui importe 84% de son énergie.
Le deuxième débat pourrait se terminer mardi prochain. Mais un troisième sera de toute manière nécessaire, lui, pas avant janvier 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Vaud: des milliers de manifestants contre les coupes budgétaires
Plusieurs milliers de personnes se sont réunies mardi en fin de journée à Lausanne pour protester contre les coupes budgétaires prévues par le Conseil d'Etat vaudois. Le rassemblement clôturait une journée de mobilisation dans tout le canton.
"Profs au rabais, ça sent mauvais", "Salaire de misère, parapublic en colère", ou encore "Coupes sur l'avenir, problèmes à venir", proclamaient différentes banderoles des manifestants rassemblés dès 17h30 sur l'esplanade de Montbenon, au centre-ville. Peu après 18h00, le cortège s'est mis en marche en direction de la place du Château.
"Ces coupes budgétaires sont une atteinte à la dignité de notre travail, un manque de considération profond pour toutes les heures passées à enseigner, soigner, construire et secourir", a déclaré un syndicaliste lors des prises de parole. "Avec ce Conseil d'Etat, nous atteignons des sommets, surtout avec le silence radio avec lequel sont accueillies nos demandes de négociations", a renchéri une autre syndicaliste.
L'appel des syndicats à la mobilisation a été largement entendu. Plus d'un tiers des enseignants de l'école obligatoire étaient en grève, selon le Département de l'enseignement et de la formation professionnelle. Les gymnases, l'UNIL, les hôpitaux, les structures sociales, la police, ainsi que les milieux d'accueil de la petite enfance ont également suivi le mouvement.
Le projet de budget 2026 du gouvernement vaudois, présenté en septembre dernier, prévoit un déficit de 331 millions de francs, malgré un paquet d'économies de 305 millions. Bien que tous les domaines soient touchés, ces mesures impactent particulièrement les domaines de la santé, du social et de l'éducation.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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