Lausanne
De Genève à Berne, des femmes marcheront pour le climat
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A l'appel de quatre femmes engagées, des "marcheuses" traverseront la Suisse romande pour réclamer un plan d'action concret en faveur du climat. Cette marche bleue partira de Genève le 1er avril pour rallier Berne le 22 avril, via Lausanne, Neuchâtel et Fribourg.
L'action a été dévoilée mercredi au Palais de Rumine, à Lausanne. A l'origine, une professeur d'Université Julia Steinberger, une avocate Irène Wettstein, une infectiologue Valérie D'Acremont et la directrice du CSP Vaud Bastienne Joerchel ont décidé de lancer une "action d’envergure" afin que la Suisse respecte l'Accord de Paris.
Leur objectif est de rendre visible la détermination des femmes, "d'ouvrir une brèche" et de "créer une vague d'espoir, en marchant 21 jours". De multiples solutions existent pour limiter le réchauffement climatique et elles seront mises en avant durant le périple à travers la Suisse romande. Un débat participatif et citoyen s'impose, expliquent les initiatrices.
Portée par des femmes
La marche est "portée" par des femmes, mais est ouverte à tous. Il est recommandé de s'inscrire pour y participer (lamarchebleue.ch). Le premier tronçon reliera Genève, place des Nations, à Mies (VD). Le lendemain, ce sera Mies-Nyon, puis Nyon-Rolle et ainsi de suite, avec des trajets journaliers de 10 à 15 kilomètres environ.
A ce jour, plus de 130 personnalités féminines soutiennent cette marche bleue. Parmi elles figurent la chanteuse et comédienne Yvette Théraulaz, l'ancienne conseillère fédérale Micheline Calmy-Rey ou la climatologue Martine Rebetez.
Chaque étape est organisée par un groupe de bénévoles. Une douzaine d'événements jalonneront le parcours. Des journées thématiques auront lieu à Lausanne (sur le thème Construire demain, 8 avril), Neuchâtel (Vivre demain, 15 avril) et Fribourg (Imaginer demain, 19 avril). Le samedi 22 avril, les marcheuses déposeront leurs revendications au Palais fédéral, à Berne.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Classes vaudoises 1-2P: des négociations avec le Canton
Les enseignantes des classes 1-2P vaudoises ont obtenu l'ouverture de négociations avec le Canton. Après le refus par le Grand Conseil d'une pétition réclamant davantage de moyens, elles s'étaient mobilisées lundi pour exiger l'ouverture de telles discussions.
A la suite de cette journée d'actions, qui s'était terminée avec une manifestation réunissant environ 500 personnes à Lausanne, "une première étape positive" avec la Direction générale de l'enseignement obligatoire (DGEO) a été entamée, indiquent mercredi les syndicats SPV, SSP et Sud dans un communiqué.
"Une plateforme", qui réunira tous les partenaires de l'école, discutera des problématiques des classes 1-2P. Cela interviendra trois fois durant l'année scolaire prochaine. Ces discussions seront suivies "de négociations spécifiques avec les syndicats, en particulier sur nos revendications", poursuit le communiqué.
Parmi leurs revendications, les maîtresses demandent la généralisation du co-enseignement - à savoir deux enseignantes par classe - les quatre matins où les élèves de 1-2P (4 à 6 ans) sont réunis. Elles réclament aussi un effectif maximum de 16 élèves par classe ou encore davantage d'aides à l'intégration.
Les syndicats disent "saluer l'ouverture de ce dialogue et se réjouissent des futures mesures proposées."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
TGV Lausanne-Paris: les députés inquiets de la baisse des liaisons
Le Grand Conseil vaudois tient aux six liaisons quotidiennes TGV directes entre Lausanne et Paris. Il a soutenu mardi à l'unanimité une résolution demandant au Conseil d'Etat d'entreprendre "toutes les démarches utiles" pour s'opposer ou compenser la suppression des trois liaisons via Genève.
Selon l'horaire 2026 des CFF, et en raison de travaux entre Genève et La Plaine, l'actuel Paris-Genève-Lausanne ne terminera plus sa course dans la capitale vaudoise, mais aura Genève comme terminus. Alors que Paris est aujourd'hui accessible sans changement six fois par jour depuis Lausanne, il ne restera que trois liaisons directes l'an prochain via Vallorbe.
"Une telle baisse de l'offre pour notre chef-lieu cantonal est problématique. Cela risque d'instaurer un report modal du train vers d'autres modes de transports tels que la voiture ou l'avion", a relevé l'auteur de la résolution, le PLR Alexandre Berthoud.
Rencontre de prévue
Tous les députés qui ont pris la parole ont soutenu le texte, que cela soit pour préserver les objectifs climatiques du canton ou pour éviter que l'économie ou le tourisme ne souffrent que cette réduction de l'offre de TGV. La mise en place de nouvelles liaisons via Vallorbe a été avancée pour compenser celles qui s'arrêteront à Genève dès l'an prochain.
Conseillère d'Etat en charge des transports, Nuria Gorrite a estimé que cette résolution constituait "un signal fort et bienvenu" alors que l'offre de trains vers d'autres pays constitue "le parent pauvre" du système ferroviaire suisse. Elle a aussi rappelé que ces liaisons internationales dépendaient de l'axe Genève-Lausanne, lequel est déjà saturé.
La ministre a indiqué qu'une rencontre était prochainement prévue avec des représentants de Lyria et des CFF. Elle a aussi invité la députation vaudoise à agir à Berne pour obtenir davantage de moyens pour le trafic ferroviaire international.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Finance vaudoise: résolution de l'UDC écartée
L'UDC n'est pas parvenue mardi au Grand Conseil à faire passer une résolution demandant de "geler" la croissance des charges de l'Etat de Vaud. Les abstentions de nombreux PLR expliquent l'échec de ce texte, avant tout symbolique puisqu'il ne s'agissait que d'un souhait adressé au Conseil d'Etat.
Initiée par Fabrice Moscheni, la résolution demandait précisément que les charges de l'Etat de Vaud dans le budget 2026 soient inférieures ou égales à celles du budget 2025. Rappelant la situation précaire des finances vaudoises, l'élu UDC a jugé que le canton dépensait "beaucoup trop" et qu'il fallait mettre un terme à cette "croissance mirobolante des charges", lesquelles augmentent plus rapidement que la population.
Il a pris l'exemple du Conseil d'Etat fribourgeois, qui a annoncé ce printemps un vaste programme d'économies.
Plusieurs autres députés de droite ont abondé dans le même sens, critiquant notamment une politique sociale "trop généreuse", notamment en matière de subsides à l'assurance maladie. Toutefois, l'inapplicabilité de cette résolution, qui serait "impossible" à mettre en oeuvre déjà pour le budget 2026, a entraîné plusieurs abstentions dans les rangs PLR et des Vert'libéraux.
A gauche en revanche, les députés ont voté en bloc contre cette résolution. Ils ont notamment critiqué la volonté de l'UDC d'exiger des "coupes massives", mais sans dire précisément où il fallait tailler. Plusieurs élus de gauche ont aussi souligné que, selon eux, les problèmes financiers de l'Etat ne venaient pas des charges, mais des revenus, et plus précisément des baisses d'impôts accordées ces dernières années.
Au vote, la résolution a été refusée par 58 voix, contre 48 avis favorables et 31 abstentions.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Réforme de la fiscalité agricole vaudoise recalée par Berne
La nouvelle pratique vaudoise en matière de fiscalité agricole doit être abandonnée. Les mesures, portées par la conseillère d'Etat Valérie Dittli avant qu'elle ne doive céder la fiscalité, ont été recalées par l'Administration fédérale des contributions (AFC).
La pratique fiscale vaudoise intitulée "Assouplissement concernant le logement de l'exploitant pour les exploitations de petite taille" ne peut entrer en force, indique mardi l'Etat de Vaud dans un communiqué. Celui-ci ajoute que ce refus n'exclut pas "de nouvelles discussions" avec les milieux concernés pour explorer "d'autres voies d'intervention possible, par exemple au niveau fédéral".
Les mesures vaudoises avaient été présentées en mars dernier. Elles avaient été décidées pour limiter la facture fiscale de certains agriculteurs, frappés par un arrêt du Tribunal fédéral datant de 2011. Selon cette nouvelle jurisprudence, le bénéfice réalisé lors de l'aliénation d'un immeuble qui n'est pas protégé par la loi sur le droit foncier rural est désormais soumis à l'impôt sur le revenu. Auparavant, le gain n'était soumis à l'impôt sur le revenu que jusqu'à concurrence des dépenses d’investissement.
"Dans la mesure de ce qui paraissait alors possible", le Département vaudois avait pris des mesures pour soulager la facture fiscale "dans certaines configurations". Toutefois, par courrier du 22 mai dernier, l'AFC a pris position et refusé "l'application de la plupart des solutions proposées pour l'impôt fédéral direct (IFD)", poursuit le communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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