Lausanne
Ville de Lausanne: quatre candidats à la candidature au PLR
Quatre candidats à la candidature se sont déclarés au PLR pour l'élection à la Municipalité de Lausanne de 2026. Le sortant Pierre-Antoine Hildbrand, la députée Florence Bettschart-Narbel et les conseillères communales Mathilde Maillard et Marlène Bérard sont en lice.
L'assemblée générale qui aura lieu le 24 février définira la composition finale du ticket, indique samedi le PLR Lausanne dans un communiqué. Il s'agira de déterminer qui accompagnera Pierre-Antoine Hildbrand pour défendre les couleurs du parti lors de cette élection, précise le PLR Lausanne.
La députée Florence Bettschart-Narbel est aussi présidente du PLR Vaud et vice-présidente du PLR au niveau suisse. Mathilde Maillard est quant à elle présidente du PLR Lausanne alors que Marlène Bérard assume la fonction de cheffe de groupe.
Pierre-Antoine Hildbrand, actuellement en charge de l'économie et de la sécurité, souhaite poursuivre son action. Il siège à l'exécutif de Lausanne depuis 2016.
Alors que les prochaines élections communales vaudoises sont programmées en mars 2026, la socialiste Florence Germond et le popiste David Payot ont déjà annoncé leur départ. Depuis plusieurs années, l'Exécutif lausannois est largement dominé par la gauche (3 PS, 2 Vert-e-s, 1 POP et 1 PLR).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne redevient le royaume de la bande-dessinée en mai
BDFIL revient pour une 19ème édition à Lausanne. Ce sera du 5 au 18 mai. Le programme a été annoncé ce mardi. Le festival mettra notamment à l'honneur le dessinateur-gastronome Guillaume Long, sans oublier de proposer au public quelque 13 expositions.
Lausanne va redevenir le paradis des bulles. BDFIL revient pour une 19ème édition du 5 au 18 mai autour de la gare de Lausanne et de la Cathédrale. La programmation a été dévoilée aujourd’hui. Au programme : pas moins de 13 expositions, des animations et un goûter d’anniversaire pour les 20 ans de la Fondation.
Comme à son habitude, le festival s’est choisi un pays invité : la Pologne. Pour ce qui est de l’invité d’honneur : c’est Guillaume Long qui sera sous les feux des projecteurs. Le Français, né à Genève, fera l’objet d’une exposition rétrospective. L’occasion pour le public de se plonger dans l’univers d’un dessinateur-gastronome à l’autodérision exacerbée. Gaëlle Kolaviv, codirectrice de BDFIL ne cache pas son admiration.
Et Christophe Long ne sera pas le seul à avoir un bon coup de fourchette dans cette 19ème édition de BDFI. Un grand amoureux des crêpes fera aussi une halte à Lausanne : le fameux ourson danois Petzi. Léonore Porchet, codirectrice du festival BDFil.
Pour ce qui est du reste des expositions, le public pourra notamment croiser Goldorack, Pingo, s’immerger dans l’univers de Winshluss. Tout un chacun pourra aussi découvrir la thématique 2025 de BDFIL, « le travail », qui prendra notamment la forme d’une exposition au parc de Milan, « Bulles au boulot », à voir du 5 mai au 28 septembre.
Les coups de coeur
Pour ses deux semaines de festivités, BDFIL propose un programme riche donc en expositions, mais aussi en animations ou en dédicaces. Difficile d’en faire le tour de manière exhaustive. Alors, les codirectrices se sont prêtées au jeu du coup de cœur, même si c’était un peu à contre-cœur. Gaëlle Kovaliv ouvre le bal.
Au tour de Léonore Porchet de nous livrer son coup de cœur 2025 .
On précisera encore que le festival affiche sa volonté d’inclusivité. Cette année encore, il proposera des visites non seulement à destination des écoles, mais aussi des personnes en situation de handicap ou issues de la migration.
Lausanne
Le syndic d'Yverdon Pierre Dessemontet démissionne du Grand Conseil
Le syndic d'Yverdon-les-Bains Pierre Dessemontet quitte son siège de député au Grand Conseil vaudois au 15 février. Sa lettre de démission a été lue mardi devant le plénum. Le socialiste a évoqué la lourdeur des deux mandats de syndic et de parlementaire.
"Depuis quelques mois, je n'arrive plus à assumer mes deux fonctions en même temps. J'ai toujours dit que je privilégierais l'exécutif communal au législatif cantonal", a écrit Pierre Dessemontet dans sa lettre de démission, lue par le président du Grand Conseil Jean-François Thuillard. Il a notamment expliqué que son travail dans la Commission des finances était très exigeant et chronophage.
Entré au Grand Conseil en 2017, au début de la précédente législature, le socialiste de 55 ans a été réélu en 2022. Il est membre de la Commission des finances depuis le printemps 2020 et a présidé la Commission de la nouvelle péréquation intercommunale vaudoise de fin 2023 à mi-2024. M. Thuillard a salué l'engagement et la qualité de bâtisseur de ponts du député.
Sur le plan communal, le géographe de formation est entré à la Municipalité de la Cité thermale en 2016, accédant ensuite tacitement au poste de syndic en 2021, au moment du basculement de la majorité à gauche. M. Dessemontet partage le poste de syndic avec la Verte Carmen Tanner, même si la loi cantonale ne prévoit pas la possibilité d'une co-syndicature en tant que telle.
Son siège au Grand Conseil revient à la Grandsonnoise Virginie Pilault, ancienne journaliste et l'une des vice-présidentes du PS vaudois.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Police vaudoise: le Grand Conseil veut des pistes d'amélioration
L'organisation de la police dans le canton de Vaud doit être repensée. C'est l'avis du Grand Conseil qui a soutenu mardi un postulat demandant au Conseil d'Etat d'analyser la situation actuelle et de proposer des pistes d'amélioration.
Un postulat de l'UDC Romain Belotti demandait initialement de relancer l'idée d'une police unique, projet qui avait été écarté par le peuple fin 2009 (initiative d'Artagnan). Les députés ont toutefois estimé que ce postulat était trop limité, et qu'il fallait laisser au Conseil d'Etat la possibilité d'étudier plusieurs pistes.
Alors que Vaud compte une police cantonale et neuf corps de polices régionales, il est "important d'avoir une vision coordonnée de gouvernance et une standardisation des procédures d'intervention", a relevé M. Belotti. Il a toutefois reconnu que la police unique n'était peut-être pas la seule solution et qu'il fallait laisser "toute la latitude au Conseil d'Etat d'étudier toutes les possibilités" pour améliorer le système actuel.
Plusieurs députés ont ajouté que si le système actuel fonctionnait, il était effectivement intéressant "d'ouvrir des champs de réflexions" pour imaginer à "la police de demain" pour répondre à la criminalité et la hausse démographique du canton.
Citant la commandante de la police cantonale Sylvie Bula, le conseiller d'Etat Vassilis Venizelos a reconnu que "le statu quo n'était pas une option" et que le système actuel devait être analysé, notamment sur le fait que le canton compte autant de polices différentes sur son territoire. Le ministre s'est réjoui de ce "postulat oecuménique" qui permet d'éviter de se concentrer uniquement sur "la question très sensible" de la police unique.
Au vote, l'ensemble du Grand Conseil - moins une abstention - a renvoyé le postulat au Conseil d'Etat.
Motion EP classée
Dans la foulée et toujours sur la thématique de la police, les parlementaires ont clairement refusé d'inscrire spécifiquement le respect des droits fondamentaux dans la loi sur la police. La motion de la gauche radicale a été jugée inutile et redondante avec les Constitutions vaudoises et helvétiques, qui stipulent déjà dans le marbre ces principes. Elle a été classée par 79 voix contre 47 non et neuf abstentions.
Uniquement soutenue par la gauche, la motion de la députée EP Mathilde Marendaz a été vivement critiquée par la droite de l'hémicycle, y compris les Vert'libéraux. Son représentant Jacques-André Haury a même dénoncé "l'acharnement" de Mme Marendaz "à attaquer la police et à la discréditer".
Côté PLR, on a critiqué une "gesticulation politique qui sous-entend que la police ne respecte pas les droits fondamentaux". L'UDC estime que justement, il n'y a pas de carences majeures à ce niveau au sein de la police vaudoise.
A gauche, on a défendu une inscription symbolique et un message clair. Mme Marendaz a défendu sa motion en rappelant que Vaud s'alignerait ainsi à d'autres cantons, dont Genève. Elle a aussi relevé que les pratiques policières avaient été épinglées par plusieurs rapports d'ONG et de commission onusienne.
Le conseiller d'Etat Vassilis Venizelos s'est dit "inquiet mais pas surpris que le débat dérape". Il a surtout insisté sur la redondance de la motion avec la Constitution et défendu le travail de la police: "non, les agents de police ne sont pas des Robocop et des brutes épaisses (...) Ils ont une formation de base sur les droits de l'homme, l'éthique professionnelle et la proportionnalité de la force", a-t-il dit.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Initiative Mormont: les députés vaudois valident le contre-projet
Le contre-projet à l'initiative "Sauvons le Mormont" a été validé par le Grand Conseil vaudois. Hormis des petites retouches, les députés ont soutenu les propositions du Conseil d'Etat, lesquelles visent deux objectifs: protéger la célèbre colline dans la loi et inscrire le concept d'économie circulaire dans la Constitution.
Un deuxième débat doit encore avoir lieu au Grand Conseil. La balle sera ensuite dans le camp des initiants qui devront dire s'ils retirent ou maintiennent leur texte, ce qui déboucherait alors sur une votation populaire.
L'initiative "Sauvons le Mormont", lancée en 2022 quelques semaines après l'occupation du site par la ZAD, demande que la colline soit protégée dans la Constitution vaudoise (comme Lavaux). Mais le Conseil d'Etat a préféré une protection dans la loi (comme la Venoge), arguant que cela permettait de donner davantage de détails quant aux objectifs de défense du site.
Il est ainsi prévu de modifier la loi sur la protection du patrimoine naturel et paysager (LPrPNP) et d'y ajouter un volet Mormont. La colline surplombant les villages d'Eclépens et de La Sarraz se verrait ainsi protégée pour sa valeur écologique, archéologique et historique.
Economie circulaire
La protection du site est conçue pour permettre uniquement les travaux d'extraction par le cimentier Holcim jusqu'à l'horizon 2060, ainsi que le futur comblement du site, comme l'a décidé le Tribunal fédéral fin 2022.
Même s'il ne veut pas du Mormont dans la Constitution, le Conseil d'Etat propose néanmoins de modifier celle-ci pour y ajouter le principe d'économie circulaire. Un dispositif qui s'avère "plus ambitieux et plus fort" que la proposition des initiants, a rappelé mardi le ministre de l'environnement Vassilis Venizelos.
Réparties sur deux semaines, les discussions sur le contre-projet direct (économie circulaire) et le contre-projet indirect (protection du Mormont dans la loi) n'ont pas donné lieu à de grandes discussions au Grand Conseil. Il y a certes eu quelques amendements, mais les propositions du Conseil d'Etat ont été largement soutenues dans les grandes lignes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Lolo
2 février 2025 à 14:14
Ce serait bien, pour les Lausannois, que la gauche laisse enfin la place à d'autres idées