Économie
Procimmo: le fonds Immo56 améliore son résultat malgré les taux
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Le fonds immobilier Immo56, géré par la société vaudoise Procimmo, a pâti l'année dernière des charges liées à la hausse des taux hypothécaire. Le résultat a augmenté, mais la distribution reste inchangée.
Malgré la vente de deux immeubles, les revenus locatifs du véhicule d'investissement ont augmenté de 3,4% à 23,7 millions lors de l'exercice 2023/24 clos fin mars, a indiqué vendredi la société sise à Renens. Le taux de défaillance des loyers a été réduit à 1,90% à fin mars, contre 2,68% douze mois auparavant. Le taux de vacance est passé à 1,74% de 2,28% auparavant.
Les charges ont bondi de 7,0% à 11,4 millions de francs, alourdies par les taux hypothécaires. Le résultat net a néanmoins progressé de 1,4% à 12,6 millions. La direction du fonds propose le versement d'une distribution de 5,20 francs par part, stable sur un an.
Le fonds Immo56 investit dans des biens résidentiels et des bâtiments à usage mixte, notamment dans les centres urbains. Les avoirs totaux du fonds s'élevaient à 509,8 millions à fin mars, dont 497,8 millions (-3,9% sur un an) relevant du portefeuille immobilier.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Zurich Insurance confirme ses objectifs 2025-2027
L'assureur Zurich Insurance a confirmé mardi ses objectifs 2025-2027, en préambule de la journée des investisseurs.
Le groupe met en avant "une solide performance" et une stratégie axée sur l'accélération de la croissance dans les secteurs des produits de spécialité, du marché intermédiaire, de la distribution et des produits agricoles.
En novembre 2024, Zurich Insurance avait fixé de nouveaux objectifs pour 2025-2027. Sur cette période, le bénéfice par action devrait augmenter en moyenne de plus de 9% par an et le rendement des fonds propres sur le résultat d'exploitation atteindre au moins 23%.
Le bénéfice opérationnel doit lui dépasser les 4,2 milliards de dollars, soit une hausse de 18% par rapport à la valeur de 2023. Les primes brutes sont attendues à 10 milliards d'ici fin 2027, comparé à 7,5 milliards en 2023, grâce à des souscriptions de contrats à de meilleures conditions notamment.
L'assureur entend également améliorer la rentabilité des activités pour la clientèle privée ainsi que la fidélité de cette dernière.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Attaquée sur sa taxe carbone, l'UE se défend à la COP30
Désormais dans sa deuxième et dernière semaine, la COP30 en Amazonie brésilienne est passée en "mode nuit" lundi. La présidence brésilienne espère obtenir des accords rapidement malgré les divisions persistantes entre pays.
"Nous proposons d'achever une partie significative de notre travail d'ici demain (mardi) soir, pour qu'une plénière pour le paquet politique de Belem puisse avoir lieu d'ici le milieu de la semaine", a dit le président de la COP André Correa do Lago dans une lettre aux pays.
"C'est super difficile", a-t-il reconnu devant la presse. "Mais tous ceux qui sont concernés ont pensé que ça valait la peine d'essayer".
Face à l'important travail restant, il a réorganisé le programme pour "pouvoir continuer à travailler de nuit". La négociatrice en chef brésilienne, Liliam Chagas, a indiqué que les réunions dureraient aussi longtemps que nécessaire lundi soir.
La tâche est ardue car les négociations restent entravées par des sujets de blocage majeurs, dont la taxe carbone aux frontières européennes attaquée par la Chine et d'autres pays, mais déclarée non négociable par l'Union européenne.
"La tarification du carbone est une mesure que nous devons mettre en oeuvre avec le plus grand nombre possible, et le plus rapidement possible", a lancé lundi Wopke Hoekstra, commissaire européen au climat, à son arrivée à Belem.
Le Néerlandais a opposé une fin de non-recevoir à toute discussion de la taxe dans le cadre des débats sur les "mesures commerciales unilatérales".
Une question plane au-dessus de la conférence: le président Lula reviendra-t-il pour peser sur les négociations, après avoir ouvert le sommet? "S'il pouvait venir, ce serait très positif", a déclaré lundi son vice-président, Geraldo Alckmin.
Acier, aluminium, ciment...
Pour verdir ses importations, l'UE imposera à partir de janvier un "mécanisme d'ajustement carbone" aux frontières (MACF) sur l'acier, l'aluminium, le ciment, les engrais, l'électricité et l'hydrogène, des secteurs extrêmement polluants et exposés à une forte concurrence internationale.
Elle vise à imposer aux importations dans l'UE un prix du carbone similaire à celui en vigueur en Europe, où les entreprises payent déjà pour polluer. Plusieurs pays, dont les États-Unis et la Chine, y voient une mesure protectionniste déguisée. Certains ont décidé d'élever le sujet dans les négociations climatiques.
"Le meilleur MACF est en fait celui qui ne rapporte pas d'argent, c'est là son essence même", a répondu M. Hoekstra au cours d'une conférence de presse. Il a souligné que l'idée d'une tarification du carbone faisait son chemin au Brésil et dans une trentaine d'autres pays.
Obstructions
Il reste cinq jours aux ministres, arrivés lundi, pour sortir au niveau politique de l'impasse.
"Nous ne pouvons absolument pas nous permettre de perdre du temps à cause de retards tactiques ou d'obstructions", a lancé le chef de l'ONU Climat, Simon Stiell, dans un appel qui fait écho à d'autres similaires aux COP précédentes à mi-parcours.
Peu après lui, le ministre de l'Agriculture de l'archipel pacifique des Palaos et représentant des petits États insulaires Steven Victor a affirmé que "1,5°C n'est pas un slogan politique. C'est un seuil de survie non négociable pour notre peuple", en référence à l'objectif de réchauffement fixé par l'accord de Paris il y a dix ans, désormais clairement hors de portée à moyen terme.
Une semaine de consultations ont montré qu'en plus des "mesures commerciales unilatérales", deux sujets bloquent encore les tractations.
D'une part, les États insulaires, soutenus par des pays d'Amérique latine et les Européens, estiment évident que la COP doit appeler les pays à rehausser leurs engagements climatiques.
Mais de grandes économies, de la Chine à l'Arabie saoudite, ne veulent pas d'une décision qui sous-entendrait qu'elles n'en font pas assez.
D'autre part, de nombreux pays du Sud, notamment les africains, veulent rappeler aux pays développés l'insuffisance de leurs financements vers les pays en développement.
Le Brésil s'est aussi montré ambitieux sur son désir d'envoyer un signal sur la sortie des énergies fossiles, même si la forme exacte de ce signal reste à clarifier.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
L'économie suisse en recul au troisième trimestre
L'économie suisse a visiblement subi de plein fouet au troisième trimestre les répercussions de l'instauration de droits de douane américains de 39% en août et le ralentissement de la conjoncture mondiale.
Le PIB s'est réduit de 0,5% entre juillet et fin septembre, selon le Secrétariat d'Etat à l'économie, qui a publié lundi une estimation, corrigée des variations saisonnières et réalisée environ 45 jours après la fin d'un trimestre. Au deuxième trimestre, le pays avait affiché une croissance de seulement 0,1% comparé au partiel précédent et hors retombées des événements sportifs, après une croissance de 0,7% entre janvier et mars.
L'économie helvétique a donc produit encore moins de richesses qu'anticipé par les économistes consultés par AWP, qui tablaient sur une évolution entre -0,3% et +0,2% au troisième trimestre 2025 par rapport au précédent
"Plombée par un important recul de la création de valeur dans le secteur chimique et pharmaceutique, l'industrie dans son ensemble a connu une évolution négative", ont souligné les économistes fédéraux dans le document. La croissance dans le secteur des services a été inférieure à la moyenne.
En octobre, le Seco tablait sur une croissance du PIB de 1,3% en 2025, contre 1,2% lors de sa précédente estimation.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Industrie: production en hausse, recettes en baisse
L'industrie helvétique a subi au troisième trimestre un tassement marqué de ses revenus, nonobstant une production en hausse. La construction, elle, a vu ses chiffres d'affaires s'éroder moins vite que sa production.
Le secteur secondaire dans son ensemble a accusé une contraction de 4,8% de ses recettes, quand la production a progressé de 1,9%, indique lundi l'Office fédéral de la statistique.
La production manufacturière s'est enrobée de 2,4% et celle dans la construction s'est étiolée de 1,8%. Les chiffres d'affaires dans ces deux catégories d'activités ont reculé de respectivement 5,7% et 1,3%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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