Suisse
SlowUp fête son quart de siècle
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Il y a 25 ans, slowUp a vu le jour comme projet pilote de l’Expo.02 au bord du lac de Morat. Depuis, les journées découverte sans voiture se sont généralisées en Suisse, et sont devenues incontournables pour les personnes de tout âge adeptes de l’activité physique.
Le slowUp Ticino donnera le coup d’envoi de la saison le dimanche 13 avril, rappellent lundi les organisateurs de l'événement. Le 27 avril, ce sera au tour du slowUp Lac de Morat d’inviter les amateurs de vélo et de rollers à venir faire un tour. Jusqu’à fin septembre, 16 journées découverte slowUp sont prévues dans toute la Suisse et en France voisine.
Il sera possible de découvrir une région attrayante et des localités animées à la seule force du muscle, avec des routes bien sécurisées et libérées de tout véhicule à moteur.
Depuis sa création en 2000, slowUp est devenu l’un des plus grands événements de sport de masse en Suisse. De nouvelles régions manifestent régulièrement leur intérêt pour l’organisation de l'événement. Les 309 journées slowUp organisées jusqu’ici ont accueilli 8 millions de personnes.
www.slowUp.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Le pergélisol en Suisse a continué à dégeler
Le pergélisol dégèle de plus en plus vite dans les Alpes suisses. De plus, sa température n’a jamais été élevée qu’au cours de l’année hydrologique 2024, révèlent les dernières données du réseau suisse d'observation du pergélisol Permos.
Les changements observés dans le pergélisol ont eu un impact sur la stabilité des versants de montagne gelés toute l'année, a indiqué mardi l'Académie suisse des sciences naturelles (SCNAT).
Des mesures du permafrost sont effectuées depuis 25 ans dans le cadre de Permos. Dans l'ensemble, la teneur en glace du sol dans le pergélisol a nettement diminué depuis 2000, selon l'Académie.
Au cours des dix dernières années, les températures du pergélisol à dix mètres de profondeur ont augmenté en moyenne de 0,8 degré sur les 23 sites de forage Permos. Le pergélisol (aussi appelé permafrost en anglais) est un sol qui reste gelé en permanence pendant au moins deux années consécutives.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Eboulement de Blatten: 320 millions de francs de dégâts
L'éboulement survenu le 28 mai à Blatten (VS) a provoqué pour 320 milions de francs de dégâts, selon une estimation du Pool suisse pour les dommages naturels. La majeure partie des dégâts (260 millions) porte sur des dégâts aux bâtiments et aux biens meubles.
La plupart du temps, les assurés ont subi un dommage total occasionné soit directement par l’éboulement, soit par les inondations qui ont suivi, indique mardi l'Association suisse d'assurance (ASA) dans un communiqué.
Les 60 millions de francs restants viennent compenser des pertes d’exploitation et rembourser des véhicules à moteur. Ces prestations sont dues au titre d’assurances complémentaires et ne relèvent pas de l’assurance obligatoire en cas de dommages causés par les forces de la nature; elles ne peuvent donc pas être compensées par le Pool pour les dommages naturels, souligne l'ASA.
Selon elle, les premiers versements ont déjà été effectués. Les assureurs privés ont promis une aide "diligente et sans formalités administratives" à la population sinistrée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La Suisse, pays le plus compétitif du monde, selon une étude
La Suisse s'est hissée cette année à la première place du classement mondial de la compétitivité établi par l'institut lausannois IMD. Elle doit cette performance à sa structure politique stable en période de turbulences géopolitiques ainsi qu'à la force du franc.
En prenant cette première place du podium mondial de la compétitivité, après avoir gagné une place par rapport à l'an dernier, la Suisse vient devancer Singapour et Hong Kong, montre l'étude menée par IMD.
Viennent ensuite le Danemark, les Emirats arabes unis, Taïwan, l'Irlande, la Suède, le Qatar et les Pays-Bas. Le Qatar fait son entrée dans le "top 10" en raison des réformes du marché du travail et d'une infrastructure financière solide, tandis que l'Irlande (7ème) et les Pays-Bas (10ème) perdent un peu de terrain, "notamment en raison de la baisse de la productivité."
Si le Danemark et la Suède maintiennent leur position grâce à leur excellence en matière d'infrastructures et de cohésion sociale, ces pays sont également confrontés à des coûts opérationnels élevés et à des contraintes liées au marché du travail. Quant aux Etats voisins de la Suisse, ils ne sont classés que 19ème en ce qui concerne l'Allemagne, 26ème pour l'Autriche, alors que la France et l'Italie prennent respectivement la 22ème et 43ème place.
Avec Taïwan (6ème), la Malaisie (23ème) et les Philippines (51ème), les pays asiatiques continuent eux de progresser "grâce à leurs investissements dans l'avenir numérique", soutient la version 2025 du rapport annuel, qui se base sur 170 ensembles de données différents accessibles au public dans le monde entier ainsi que sur des entretiens avec plus de 6000 décideurs économiques.
Améliorer les systèmes de retraite
Les pays dotés d'une monnaie forte, comme la Suisse, se retrouvent en tête, "parce que, contrairement à ce que beaucoup pensent, c'est un signe de force", explique le directeur de recherche, Arturo Bris, professeur à l'IMD. Selon l'étude, une monnaie forte reflète des fondamentaux économiques solides, tels que la confiance des investisseurs, une gouvernance stable et l'existence d'entreprises exportatrices à forte valeur ajoutée qui résistent aux pressions sur les prix.
Autre argument en faveur du territoire helvétique: son consensus économique et politique, qui crée la stabilité, ainsi que ses infrastructures. "Les dix économies leaders disposent toutes de cadres institutionnels solides, d'infrastructures robustes et de modèles de gouvernance adaptables. Cela est nécessaire pour rester compétitif dans le monde fragmenté d'aujourd'hui, où les risques de change sont devenus une priorité stratégique à côté de la protection des besoins nationaux", souligne M. Bris.
Par contre, la Suisse n'a pas encore entièrement convaincu en matière de compétitivité économique, prenant la 6ème place pour l'efficacité de ses entreprises, et la 13e place pour ce qui a trait à sa compétitivité macroéconomique.
Les pays qui allient force institutionnelle et développement inclusif sont en mesure de résister aux chocs externes sans succomber à la fragmentation interne, observe l'étude. "Par conséquent, les décideurs politiques et les dirigeants d'entreprise doivent considérer l'efficacité du gouvernement non pas comme un idéal de gouvernance, mais comme une condition pratique pour maintenir la résilience économique et l'attractivité des investissements dans les années à venir", argumente-t-elle.
Le rapport avance que la Suisse doit notamment améliorer et diversifier son accès aux marchés étrangers, garantir une réglementation économiquement efficace et favorable aux entreprises, renforcer la concurrence dans les secteurs nationaux et améliorer la viabilité des finances publiques et des systèmes de retraite.
Il estime par ailleurs que les critères traditionnels de la compétitivité - stabilité macroéconomique, environnement favorable aux entreprises et infrastructures de qualité - sont toujours nécessaires, "mais ne suffisent plus". "Les dirigeants les plus efficaces d'aujourd'hui complètent ces facteurs par des compétences numériques, la gestion de la transition écologique et l'utilisation d'approches sophistiquées pour renforcer la résilience".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Genève
Le Centre Genève lance Xavier Magnin dans la course
Le Centre Genève lance Xavier Magnin pour l'élection complémentaire au Conseil d'Etat, qui aura lieu en septembre prochain. Le parti veut faire alliance avec les Vert'libéraux pour cette élection ainsi que pour les fédérales de 2027 et les cantonales de 2028.
Xavier Magnin, 56 ans, ex-conseiller administratif de Plan-les-Ouates et ex-député, a été désigné lundi soir à l'unanimité et 5 abstentions par l'assemblée des délégués, a indiqué Vincent Gillet, secrétaire général du parti. Les délégués ont opté pour une alliance au centre-droit avec les Vert'libéraux. Ces derniers se réunissent mercredi soir pour soumettre cette stratégie à leur base.
"Xavier Magnin est un homme de terrain, son bilan en tant que conseiller administratif de Plan-les-Ouates est largement reconnu. Il a démontré durant des années sa capacité à mener à bien des projets concrets dans l’une des communes les plus dynamiques du canton. Il s’est toujours engagé pour le bien commun avec conviction mais sans dogmatisme", peut-on lire dans le communiqué diffusé par Le Centre dans la nuit de lundi à mardi.
Xavier Magnin a déjà été candidat au Conseil d'Etat en 2023. Arrivé à la dixième place, il avait renoncé au deuxième tour.
Candidatures multiples
A droite, le PLR, qui compte déjà deux conseillères d'Etat a décidé de ne pas présenter de candidat. Le parti appelle à soutenir une candidature unique pour concrétiser le programme de législature de l'Alliance genevoise. Composée du PLR, de l'UDC, du Centre et du MCG, cette alliance avait permis à la droite de gagner la majorité au gouvernement en 2023.
A une semaine du dépôt des listes, cette Alliance genevoise n'est pourtant plus une option. L'UDC et le MCG ont chacun annoncé une candidature. L'UDC Genève lance son président, le député Lionel Dugerdil. De son côté, le MCG a annoncé la candidature de Maikl Gerzner, un novice en politique. A noter que le PLR décidera après le dépôt des listes quel candidat il soutiendra.
Siège à défendre
A gauche, un seul candidat est pour l'instant en lice. Il s'agit du conseiller national Vert Nicolas Walder. Les Vert.e.s sont déterminés à défendre le siège laissé vacant suite à la démission d'Antonio Hodgers. Le PS, qui se réunit mercredi, devrait faire bloc derrière la candidature de Nicolas Walder. La gauche de la gauche doit encore se déterminer.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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