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Suisse

Sonova accuse le coup au premier semestre et rabote ses ambitions

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Durant le 1er semestre de son exercice décalé 2023/24 , soit entre avril et septembre , Sonova a dégagé des revenus de 1,75 milliard de francs, en repli de 5,1% sur un an (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Le groupe Sonova a bouclé le 1er semestre de son exercice décalé 2023/24 sur des résultats en repli, comme attendu. Si les ventes se sont plus ou moins maintenues à niveau, la rentabilité s'est érodée, forçant l'entreprise à revoir ses ambitions à la baisse.

Le chiffre d'affaires réalisé entre avril et septembre s'est inscrit à 1,75 milliard de francs, en repli de 5,1% sur un an. A taux de change constants (tcc) en revanche, l'évolution s'est avérée légèrement positive (+1,6%), précise Sonova mardi dans un communiqué.

La rentabilité a souffert, l'excédent opérationnel avant amortissements (Ebita) ajusté s'affaissant de 12,1% à 350 millions de francs (+2,5% tcc), pour une marge afférente de 20,0%, en baisse de 160 points de base (pb). Le bénéfice net, avant les participations minoritaires, a chuté de 15,7% en rythme annuel, à 249,6 millions.

La copie rendue par la holding basée à Stäfa est peu ou prou conforme aux projections des analystes sondés par AWP, l'Ebita ajusté et le bénéfice net s'inscrivant dans le bas de la fourchette.

Pour la suite de l'exercice, la direction de Sonova se veut optimiste en ce qui concerne les ventes et réaffirme son objectif de croissance de 3 à 7% du chiffre d'affaires consolidé (tcc). Pour l'Ebita ajusté en revanche, la barre a été abaissée à 4-8%, contre 6-10% jusqu'ici, en raison des investissements qui seront nécessaires pour maintenir les recettes à niveau.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Culture

Sophie Ballmer remporte la Bourse vaudoise des arts plastiques 2023

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Sophie Ballmer a reçu un prix pour son film "La Maison" lors du dernier festival Visions du Réel à Nyon (archives). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

La plasticienne et réalisatrice Sophie Ballmer est la lauréate de la Bourse arts plastiques 2023 du Canton de Vaud. Elle décroche 20'000 francs pour réaliser un nouveau projet: une vidéo intitulée "Les bagnoles" qui explorera les récits biographiques de certains membres de sa famille et de celle de son partenaire l'artiste Tarik Hayward.

Diplômée de l'ECAL, Sophie Ballmer, 45 ans, travaille à Lausanne et vit au Sentier (VD). En 2015, elle a cofondé l'espace d'art indépendant Tunnel Tunnel à Lausanne qu'elle dirige toujours aujourd'hui, explique jeudi l'Etat de Vaud dans un communiqué.

Ces dernières années, son travail artistique s'est concentré sur le genre cinématographique et les récits biographiques. Le projet proposé dans le cadre de la présente Bourse s'inscrit ainsi dans la continuité de sa précédente vidéo "La maison", qui a remporté une mention spéciale le printemps dernier au festival Visions du Réel.

Le projet "Les bagnoles" a été imaginé dans un premier temps grâce à une Bourse Covid octroyée par le Canton en 2021. Cette sorte de road-movie retracera les errances de la famille de l'artiste à bord de leur véhicule et se composera d'une suite de huis clos oscillant entre gravité et comique, détaille le communiqué.

L'aventure mènera les quatre protagonistes - l'artiste, son compagnon et leurs deux enfants - à la rencontre de différents membres des deux familles du couple. Ce projet de vidéo l'a emporté en raison de "sa singularité et de son originalité", le jury y voyant les prémices "d'une création de même envergure que l'oeuvre récemment primée", ajoute le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

EPFL: l'IA pour mieux détecter les déchets plastiques en mer

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Les scientifiques ont testé le modèle d'IA à l'aide d'images satellites Sentinel 2 avec des conditions atmosphériques difficiles telles que les nuages et la brume. Les points rouges indiquent les déchets plastiques correctement identifiés. (© ESA/Cell iScience)

Des scientifiques de l'EPFL et de l'Université de Wageningen (NL) ont mis au point un modèle d'intelligence artificielle qui reconnaît sur les images satellites les objets plastiques flottant sur l'eau. Cela pourrait permettre d'éliminer ces déchets avec des navires.

L'accumulation de déchets en mer est certes visible sur les images satellites Sentinel 2 de l'Agence spatiale européenne (ESA). Mais comme il s'agit de téraoctets de données, celles-ci doivent être analysées automatiquement à l'aide de modèles d'intelligence artificielle (IA), a indiqué jeudi l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) dans un communiqué.

Les scientifiques ont mis au point un nouveau détecteur basé sur l'IA qui estime la probabilité de présence de débris marins pour chaque pixel des images satellite Sentinel-2. Le détecteur reste précis même dans des conditions difficiles, par exemple lorsque la couverture nuageuse et la brume empêchent les modèles existants d'identifier précisément les déchets.

Deux sources

Outre une prédiction plus précise des agrégations de débris marins, le modèle de détection permet également de repérer les débris dans les images de PlanetScope, provenant de nanosatellites, accessibles quotidiennement. La combinaison des acquisitions hebdomadaires de Sentinel-2 et des acquisitions quotidiennes de PlanetScope peut combler le fossé vers une surveillance quotidienne continue, selon les auteurs.

PlanetScope et Sentinel-2 capturent parfois la même zone de débris marins le même jour, à quelques minutes d'intervalle. Cette double vue du même objet à deux endroits révèle la direction de la dérive due au vent et aux courants océaniques. Cette information peut être utilisée pour améliorer les modèles d'estimation de la dérive des débris marins.

L'Université de Wageningen va poursuivre ces explorations en collaboration avec des partenaires aux Pays-Bas, tels qu'Ocean Cleanup, qui collectent les plastiques en haute mer à l'aide de navires spécialisés.

Cette recherche est issue des travaux du projet ADOPT (AI for Detection of Plastics with Tracking) mené en collaboration avec le Swiss Data Science Center, une joint venture entre l'EPFZ et l'EPFL. Ces travaux sont publiés dans la revue Cell iScience.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Hausse de la production de centrales hydroélectriques: bilan mitigé

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L'abaissement des débits résiduels a permis d'accroître la production d'électricité de 26 GWh au total, alors que la production supplémentaire attendue était de 150 GWh (image d'illustration). (© KEYSTONE/OLIVIER MAIRE)

L'augmentation temporaire de la production d’électricité des centrales hydroélectriques entre octobre 2022 et avril 2023 a permis de produire moins d'énergie qu'escompté. Par contre, elle n'a pas causé de dommages irréversibles à la biodiversité, selon l'OFEV.

Le Conseil fédéral avait décidé à la fin septembre 2022 que les débits résiduels des cours d'eau devaient être abaissés durant sept mois à certaines centrales hydroélectriques pour augmenter la production d'électricité et ainsi renforcer la sécurité de l'approvisionnement en Suisse.

Cet abaissement a permis d'accroître la production d'électricité de 26 GWh au total, relève jeudi l'Office fédéral de l'environnement (OFEV). La production supplémentaire attendue était de 150 GWh.

L'évaluation de l'OFEV montre par ailleurs que, dans 8 des 15 cours d'eau analysés, l'abaissement des débits résiduels "a augmenté la pression sur la nature". Mais "il convient de partir du principe que seule une application à long terme de la réglementation aurait porté une atteinte irrémédiable à la biodiversité".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Les perspectives économiques restent stables (baromètre KOF)

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Le KOF attribue l'évolution favorable de l'industrie manufacturière à l'industrie textile et métallurgique, ainsi qu'à celle des machines-outils (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les perspectives économiques modérées pour la Suisse restent d'actualité, selon la baromètre conjoncturel mensuel publié jeudi par l'institut de recherche zurichois KOF. Des signaux mitigés proviennent toutefois des différentes branches.

En novembre, cet indicateur très suivi par les milieux d'affaires a progressé sur un mois de 1,6 point à 96,7 points. Il évolue autour de ce niveau depuis juillet, faisant penser aux experts du KOF que "les perspectives pour l'économie suisse restent modérées", selon un communiqué.

Cet indicateur se situe dans le haut de la fourchette des prévisions, les économistes interrogés par l'agence AWP ayant tablé sur un baromètre entre 94,0 et 97,0 points pendant le mois sous revue.

La hausse est principalement à mettre sur le compte de l'industrie manufacturière et les autres secteurs des services, la première citée entrevoyant des éclaircies au niveau de l'activité à venir et de la concurrence. Cette évolution positive provient essentiellement de l'industrie textile et métallurgique, ainsi que des machines-outils.

Des "signaux légèrement négatifs" proviennent par contre des domaines de la restauration, des services financiers et de l'assurance.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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