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Économie

SPS voit son bénéfice net progresser sur six mois

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La société immobilière soleuroise a vu son bénéfice progresser plus rapidement que ses revenus locatifs sur les six premiers mois de l'année. (archive) (© KEYSTONE/MARTIN RUETSCHI)

La société immobilière Swiss Prime Site a enregistré de solides résultats au premier semestre, avec un bénéfice net en hausse de 6,3% à 267,4 millions de francs. Elle a relevé dans la foulée ses prévisions pour l'ensemble de l'année, indique-t-elle jeudi.

Les objectifs pour 2022 ont été atteints au premier semestre, avec notamment des actifs immobiliers sous gestion de 20 milliards et un taux de vacance diminué à 4,4%, après 4,7% il y un an, précise le communiqué.

Le revenu des loyers a augmenté de 1,9% à 214,2 millions, sur une base comparable. Les dépenses opérationnelles ont enflé de 1,7% au premier semestre en raison de l'intégration d'Akara et de la croissance enregistrée dans les différents segments.

L'Ebit avant revalorisation a atteint 198,8 millions, après 214,2 millions il y a un an, pour une marge afférente de 52,5%. La situation devrait néanmoins s'améliorer au deuxième semestre.

Les effets de revalorisation se sont inscrits à 166,6 millions, après 134,3 millions. Malgré la hausse, le rendement net du portefeuille immobilier atteint 3,1%, après 3,2%.

L'Ebit avant revalorisation et le bénéfice sont supérieurs aux prévisions des analystes, qui tablaient en moyenne sur respectivement 194 et 230,9 millions. Les revenus locatifs sont en ligne avec le consensus.

Le groupe a relevé ses prévisions pour l'ensemble de l'année. Les actifs immobiliers sous gestion devraient croître à plus de 20 milliards, contre 19 à 20 milliards dans les prévisions précédentes. Le taux de vacances devrait continuer à diminuer et s'inscrire sous 4,4% au lieu de 4,6% jusqu'à présent. Dans la division Swiss Prime Site Solutions, l'Ebit devrait s'établir aux alentours de 30 millions, contre 27 à 28 millions dans les prévisions précédentes.

Le processus de relèvement des taux d'intérêt entamé par la Banque nationale suisse (BNS) n'est pas de nature à diminuer l'attrait des placements immobiliers. "Les taux d'intérêt réels restent négatifs en raison de l'inflation", souligne SPS.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Les perspectives économiques sont moroses en Suisse, selon le KOF

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Les nuages s'amoncellent sur les perspectives économiques helvétiques. (archive) (© KEYSTONE/PATRICK B. KRAEMER)

Les perspectives se détériorent en Suisse. Après une légère hausse le mois précédent, le baromètre conjoncturel compilé par la faculté dédiée de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich a désormais atteint son plus bas niveau depuis le début de l'année.

L'indicateur du KOF s'est replié de 2,5 points pour s'établir à 96,1 points, après 98,6 points révisés en mai, indique le Centre de recherches conjoncturelle dans sa publication périodique lundi.

Il se situe en deçà des prévisions des économistes sondés par l'agence AWP, qui s'attendaient à ce que le baromètre conjoncturel s'établisse en juin à entre 96,5 et 99,5 points.

Cette évolution négative se reflète dans la plupart des groupes d'indicateurs compris dans l'indicateur du KOF. L'industrie manufacturière est notamment soumise à une forte pression, alors que les perspectives négatives sont légèrement atténuées par le groupe d'indicateurs pour la demande étrangère, qui affiche une amélioration ce mois-ci.

En ce qui concerne l'industrie manufacturière, les sous-indicateurs relatifs à la situation générale des entreprises montrent une tendance à la baisse "particulièrement forte", est-il précisé dans un communiqué.

Les sous-indicateurs relatifs à l'activité de production, à la constitution de stocks de biens intermédiaires, aux carnets de commandes et aux stocks de produits finis ont également fléchi. Les perspectives pour les sous-indicateurs relatifs aux exportations sont pour leur part "légèrement positives, mais pratiquement inchangées".

Publié depuis 1970, le baromètre conjoncturel du KOF est calculé sur la base des chiffres de l'Office fédéral de la statistique (OFS) et du Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco). Il prend en considération plus de 500 variables.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Chine: l'activité manufacturière se contracte encore

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La confiance des entrepreneurs de l'Empire du Milieu demeure toute relative, sur fonds de tensions commerciales avec l'important partenaire étasunien. (archive) (© KEYSTONE/EPA/ALEX PLAVEVSKI)

L'activité manufacturière en Chine s'est contractée en juin pour le troisième mois d'affilée, tout en affichant une légère amélioration par rapport à mai, selon des données officielles publiées mercredi.

L'indice des directeurs d'achat (PMI), baromètre du monde industriel, s'est établi à 49,7 en juin, selon le Bureau national des statistiques (NBS).

Ce chiffre est supérieur à celui de mai (49,5) et légèrement supérieur à celui de 49,6 estimé par les analystes sondés par Bloomberg.

Il reste néanmoins, pour le troisième mois consécutif, sous la barre des 50 points qui marque la séparation entre la croissance de l'activité manufacturière et sa contraction.

"L'activité de production manufacturière s'est accélérée" et "la demande du marché s'est améliorée", a noté dans un communiqué le statisticien du NBS Zhao Qinghe.

Pour Zichun Huang, de Capital Economics, les données de juin montrent "que l'économie chinoise a retrouvé un certain élan, soutenu par un rebond des industries manufacturière et de la construction".

"Nous restons toutefois prudents concernant les perspectives, car le ralentissement des exportations et l'essoufflement du soutien fiscal risquent de ralentir l'activité au second semestre", a nuancé l'économiste spécialiste de la Chine.

La Chine est confrontée à une demande intérieure atone, à un taux de chômage élevé chez sa population jeune, ainsi qu'à une crise prolongée dans le secteur de l'immobilier.

La Chine a annoncé vendredi avoir "confirmé les détails" d'un accord commercial avec les Etats-Unis, assurant que Washington lèverait des restrictions à son encontre et qu'elle pourrait valider l'exportation de davantage d'articles soumis à contrôle.

Après des pourparlers à Genève (Suisse) en mai, Washington et Pékin avaient convenu de mettre sur pause leur guerre commerciale et accepté de réduire temporairement les droits de douane prohibitifs qu'ils imposaient sur leurs produits respectifs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Commerce: Pékin et Washington scellent la détente

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Le ministre américain des Finances Scott Bessent a laissé entendre que Washington se donnait jusqu'à septembre pour conclure des accords avec ses principaux partenaires commerciaux. (archive) (© KEYSTONE/AP/J. Scott Applewhite)

La Chine et les Etats-Unis ont annoncé avoir scellé le cadre général visant à lisser leurs différends commerciaux, Pékin assurant vendredi que Washington est prêt à lever des restrictions à l'encontre de ses produits et vice versa.

Après des pourparlers à Genève en mai, Washington et Pékin étaient convenus de mettre sur pause leur guerre commerciale. Ils avaient accepté de réduire temporairement les droits de douane prohibitifs qu'ils imposaient sur leurs produits respectifs.

La Chine s'était également engagée à alléger certaines contremesures non douanières. Mais des responsables américains ont ensuite accusé Pékin de violer l'accord, et notamment de traîner des pieds pour délivrer des licences d'exportation de terres rares.

Les terres rares sont des métaux utilisés dans une large variété de produits tels que les smartphones, les turbines des éoliennes ou les véhicules électriques. Elles sont essentielles à l'économie mondiale moderne.

Mi-juin, Washington et Pékin s'étaient finalement accordés, lors de nouvelles discussions à Londres, pour remettre l'accord trouvé à Genève sur les rails.

C'est cet accord, portant notamment sur l'accélération des expéditions de terres rares vers les États-Unis, que Donald Trump s'est félicité jeudi d'avoir "signé".

Et Pékin a confirmé vendredi qu'un consensus avait été trouvé.

Les investisseurs se sont montrés rassurés par la nouvelle, d'autant que l'exécutif américain semble de surcroît disposé à reporter la date butoir à partir de laquelle il devait mettre en place des droits de douane punitifs à l'encontre de dizaines de partenaires commerciaux, dont l'Union européenne.

Vendredi matin, le ministre américain des Finances Scott Bessent a laissé entendre que Washington se donnait jusqu'à septembre pour conclure des accords avec ses principaux partenaires commerciaux.

"Je pense que nous pouvons boucler les discussions commerciales d'ici à la fête du travail", le 1er septembre aux Etats-Unis, a dit le secrétaire au Trésor sur Fox Business.

Wall Street a réagi avec optimisme, l'indice américain S&P 500 finissant même d'effacer l'intégralité des pertes causées depuis février par le tumulte autour des droits de douane, pour dépasser son plus haut historique en séance, de même que le Nasdaq.

"Même sens"

"La Chine espère que les Etats-Unis avanceront dans le même sens qu'elle", a indiqué dans un communiqué le ministère chinois du Commerce, en confirmant que Pékin et Washington avaient scellé leur accord.

"La Chine procédera en vertu de la loi à l'examen et à l'approbation des demandes d'exportations relatives aux articles soumis à contrôle qui satisfont aux exigences", a-t-on poursuivi de même source.

"Les États-Unis, en conséquence, vont lever une série de mesures restrictives à l'égard de la Chine", a complété le ministère chinois.

Aucune précision supplémentaire n'a été apportée dans l'immédiat.

La priorité absolue pour les États-Unis était de garantir leur accès aux terres rares. La Chine en est le premier producteur mondial.

Mais les flux chinois en direction des entreprises étrangères ont ralenti depuis début avril, lorsque Pékin a commencé à imposer aux producteurs nationaux l'obtention d'un permis pour pouvoir exporter sept types de terres rares.

La décision a été largement perçue comme une mesure de rétorsion face aux droits de douane américains sur les biens chinois.

Au nom de la défense de la production nationale, Donald Trump a imposé, depuis son retour à la Maison Blanche, des droits de douane sectoriels (acier, aluminium, automobile).

Mais il a aussi mis en place une surtaxe quasiment universelle de 10% et menacé d'aller plus loin à l'égard des pays qui exportent plus vers les Etats-Unis qu'ils n'achètent de produits américains.

Donald Trump a suspendu ces droits de douane punitifs jusqu'au 9 juillet, le temps de mener des négociations commerciales.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

L'inflation réaccélère en mai aux Etats-Unis, à +2,3% sur un an

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Les prix ont progressé de 2,3% sur un an en mai aux Etats-Unis. (archive) (© KEYSTONE/EPA/ALLISON DINNER)

L'inflation a réaccéléré en mai aux Etats-Unis selon un indice officiel publié vendredi, dans la lignée des attentes des analystes et de la banque centrale (Fed) aux prises avec un président Donald Trump assurant que l'inflation n'est plus un problème.

Les prix ont progressé de 2,3% sur un an en mai contre 2,2% le mois précédent (valeur révisée en hausse, l'indice ayant d'abord été annoncé en progression de 2,1%), selon l'indice PCE, publié par le ministère du Commerce.

Les analystes s'attendaient à ce regain, selon le consensus publié par MarketWatch.

Le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, avait aussi dit cette semaine, devant les parlementaires américains, qu'il s'attendait à voir le PCE augmenter de 2,3% sur un an en mai.

Depuis plusieurs mois, la banque centrale des Etats-Unis se montre inquiète de voir l'inflation rebondir avec les droits de douane mis en place par Donald Trump depuis son retour au pouvoir en janvier.

Jusqu'ici, les chiffres officiels avaient montré que l'inflation restait en passe de revenir au niveau souhaité par la Fed, autour de 2%.

Cela avait porté le président Donald Trump à assurer qu'il n'y avait "pas d'inflation" et à réclamer à l'institution de baisser ses taux d'intérêt rapidement.

Dans la publication de vendredi, l'inflation sous-jacente (hors prix volatils de l'énergie et de l'alimentation) est légèrement au-dessus des attentes, à +2,7% sur un an.

Autre élément de nature à attirer l'attention: les dépenses de consommation s'affichent en repli de 0,1% d'un mois sur l'autre. Les revenus des ménages ont quant à eux reculé de 0,4%.

Les analystes s'attendaient au contraire à des hausses.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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