Économie
Twint tutoie de nouveaux sommets en 2024
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Twint a poursuivi sa croissance l'an dernier. L'application de paiement a enregistré un nombre de transactions record, qui a bondi d'un tiers par rapport à l'année précédente.
Au total, plus de 773 millions de transactions ont été effectuées avec Twint en 2024, "soit plus que jamais auparavant", indique mercredi la société basée à Zurich qui gère l'application de paiement. C'est 31% de plus qu'en 2023, où 590 millions de transactions ont été enregistrées. En 2022, ce nombre était de 386 millions. L'année du lancement de l'application, en 2017, "seules" 4 millions de transactions avaient été comptabilisées.
La majorité des opérations (75%) sont commerciales, et un quart (25%) se déroulent entre particuliers. L'an dernier, environ 77 millions de transactions ont été réalisées dans les domaines de la mobilité et des transports publics l'an dernier, précise le communiqué.
Twint est proposé comme moyen de paiement par environ 81% des magasins physiques et 84% des boutiques en ligne en Suisse. Environ 65% des transactions commerciales se font en présentiel, 35% à distance. Depuis l'année dernière, environ 46'000 nouveaux commerçants ont adopté l'autocollant de code QR Twint.
"Nous sommes ravis que Twint simplifie la vie quotidienne des gens dans de plus en plus de situations et apporte un certain degré de souveraineté à l'infrastructure de paiement en Suisse", commente le directeur général Markus Kilb, cité dans le communiqué.
L'application compte plus de 5 millions d'utilisateurs, revendique encore son exploitant.
La société Twint, fondée en 2016, appartient à la Banque cantonale vaudoise (BCV), à PostFinance, à Raiffeisen, à UBS, à la Banque cantonale de Zurich (ZKB) ainsi qu'à l'exploitant de la Bourse suisse SIX et au prestataire de services de paiement Worldline.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Le Conseil des Etats veut faciliter l'exportation d'armes
L'exportation de matériel de guerre suisse doit être facilitée. Le Conseil des Etats a décidé mercredi d'autoriser a priori les demandes venant de 25 pays occidentaux. La Chambre veut aussi permettre à ces pays de réexporter du matériel suisse sans autorisation.
En 2022, le contre-projet à l'initiative populaire "contre les exportations d'armes dans des pays en proie à la guerre civile", dite "initiative correctrice", est entré en vigueur. Actuellement, toute vente est interdite si un pays est impliqué dans un conflit ou s'il viole gravement les droits humains.
Le Parlement souhaitait un assouplissement et le Conseil fédéral a proposé d'avoir une compétence dérogatoire à durée limitée, pour pouvoir s'écarter exceptionnellement des critères d'autorisation.
Industrie suisse à sauver
Mais la droite du Conseil des Etats veut aller plus loin. Il faut maintenir la base technologique et industrielle de défense, importante pour la sécurité de la Suisse, a dit la rapporteuse de commission Brigitte Häberli-Koller (Centre/TG). L'Allemagne, les Pays-Bas et le Danemark ont clairement dit qu'ils ne passeraient plus de commandes à la Suisse, jugée pas assez souple.
A la place d'une dérogation pour le Conseil fédéral, la loi doit préciser que les demandes émanant des pays mentionnés dans l'ordonnance sur le matériel de guerre seraient a priori autorisées: 17 pays européens sur les 27 de l'UE, plus notamment les Etats-Unis, le Canada, l'Australie, le Japon, la Nouvelle-Zélande et l'Argentine.
Un changement de perspective que la gauche a dénoncé, en vain. Le risque avec cette réforme, c'est de miner la neutralité suisse, a prévenu Daniel Jositsch (PS/ZH).
Réexportations à revoir
La Chambre en a aussi profité pour revenir sur la question des réexportations. Le PLR Thierry Burkart (AG) a proposé que les Etats se trouvant sur la liste précitée peuvent, sans accord de la Suisse, transmettre à un autre pays le matériel de guerre reçu.
Cette possibilité ne serait pas rétroactive. Elle ne servirait donc pas à l'Ukraine pour l'instant, a précisé le ministre de l'économie Guy Parmelin.
Là encore, la gauche s'est opposée sans succès. Si on fait ce pas, des munitions suisses se retrouveront partout dans le monde, y compris dans des conflits, a prévenu Daniel Jositsch (PS/ZH).
Le dossier passe au Conseil national.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le CEO de LLB nommé à la tête de Raiffeisen
Directeur général (CEO) de Liechtensteinische Landesbank (LLB) depuis 2021, Gabriel Brenna a été nommé à la tête de Raiffeisen Suisse. Le nouveau président de la direction prendra ses fonctions le 1er décembre, précise mercredi un communiqué de Raiffeisen.
Gabriel Brenna prend la suite de Heinz Huber, qui a quitté ses fonctions fin décembre 2024. Jusqu'à l'entrée en fonction de Gabriel Brenna, Christian Poerschke continuera d'assurer la fonction ad interim. Ensuite, il reprendra son rôle de CFO de Raiffeisen Suisse.
Possédant la double nationalité suisse et italienne, M. Brenna a étudié à l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne ainsi qu'à l'Université Carnegie Mellon et à l'Université de Stanford (Etats-Unis). En 2004, il a obtenu un doctorat de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich.
De son côté, la banque Liechtensteinische Landesbank (LLB) a salué dans un communiqué le bilan de M. Brenna depuis son arrivée dans le comité de direction en 2012, puis en tant que CEO à compter de 2021. En attendant de lui trouver un remplaçant, le directeur financier (CFO) Christoph Reich reprendra la fonction de CEO ad interim. LLB précise que le processus de recrutement a été lancé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Vaud: création d'un Centre de compétence pour la durabilité
Vaud s'offre un Centre de compétence pour la durabilité dans la construction (CCDC). Porté par l'association ConstructionVaud, il a pour but d'accélérer la transition écologique d'un pilier économique essentiel du canton. L'Etat va injecter 600'000 francs sur cinq ans.
Mettre toute les acteurs clefs du secteur de la construction autour de la table. C’est le défi porté par l’association ConstructionVaud qui rassemble les principales faîtières professionnelles du canton. Basé à la Fédération vaudoises des entrepreneurs, cette plateforme de référence permettra d’accélérer la transition écologique dans le canton de Vaud selon Alberto Verde, président de l'association ConstructionVaud et du CCDC.
Pour y parvenir, l’État va injecter 600'000 francs sur cinq ans. Ce soutien dégressif vise à permettre au Centre d’atteindre son autonomie financière d’ici 2030. Hier, la cheffe du Département de l’économie, de l’innovation, de l’emploi et du patrimoine a rappelé que la durabilité est une priorité économique, dans un secteur qui mobilise 30'000 emplois et 5% du PIB vaudois.
Pour rappel, le canton de Vaud s’est engagé à atteindre la zéro émission nette carbone d’ici 2050. Celui pour l’administration vaudoise devra être atteint dix ans avant.
Ce partenariat public-privé a pour mission de réduire l’impact environnemental des bâtiments, en particulier dans leur phase de construction comme l'explique Isabelle Moret. On la retrouve.
Les premières activités du Centre de compétence pour la durabilité démarreront cette année, avec l’enregistrement des premiers membres et l’organisation d’événements thématiques.
Économie
L'argent liquide sera garanti dans la Constitution
L'argent liquide doit être garanti en Suisse. Après le National, le Conseil des Etats a approuvé mardi à l'unanimité le contre-projet direct du Conseil fédéral à l'initiative populaire du Mouvement Liberté Suisse (MLS). La Constitution sera modifiée en ce sens.
L'initiative "Oui à une monnaie suisse libre et indépendante sous forme de pièces ou de billets" veut garantir le maintien de l'argent liquide en Suisse. Elle exige aussi que tout projet de remplacement du franc suisse par une autre monnaie soit soumis au vote du peuple et des cantons.
Ces principes devraient être inscrits dans la Constitution. Selon le MLS, cela permettra de garantir le maintien de l'argent liquide en Suisse, qui serait en péril.
Le Conseil fédéral a rejeté l'initiative mais opté pour un contre-projet. Il prévoit d'inscrire dans la Constitution la garantie de l'approvisionnement en numéraire et l'utilisation du franc en tant que monnaie nationale. Ces principes sont déjà garantis dans la législation. Mais en les inscrivant dans la Constitution, il répond à l'initiative.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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